Passant par les bois

A premiere vue, tout etait calme dans la foret. Il n'y avait pas un animal dans les environs du genre daim, lapin ou quoi que ce soit d'autre comme sa. la nuit faisait quelques rayons de lumiere a travers les arbres mais quelque chose vint bientot troubler ce silence. Une voilée d'oiseaux noirs commencerent leur vole a travers les bois de Chet, tuant presque tout petits etres pouvant se trouver sur leur passage. Par la suite vint leur maitre, Cryldan, le Maitre Des Dunes. Il était encore troubler par sa rencontre avec Neyrelle dans le mordor. Comment se faisait-il qu'une femme puisse passer l'ombre des portes noires sans se faire voir? sa lui échappait completement. Un homme semblant du village d'Archet passa dans les bois et vit Cryldan. Il s'approcha de lui :

-Hey vous, vous ne devriez pas etre ici*Mais que font tout ses corbeaux dans les environs*Partez maintenant ou je fais venir tout le village.

A travers ses yeux de sang mais ses dents blanches, Cryldan afficha un large sourrir.

-Partir? Mais pourquoi donc? Je me sens bien ici mais je n'ai pas envie de me faire derranger par de pauvres petits hommes d'Archet sans cerveau alors...

Sans que l'homme n'ai eut le temps de réagir, Cryldan lui avait déja planter une des ses lames dans la gorge.

-Et je sais que je ne me ferrais pas derranger non plus...

Il tomba raide mort sur le sol. Cryldan reprit son arme et essuyant le sang de l'homme.

-Les gens sont tous pareilles. Ils se penssent bon mais ne valent pas mieux que les autres mauvais que j'ai battu.

Un des oiseaux croissa comme si il avait pu comprendre ses paroles.

-Vole et rapporte moi des nouvelles.

Il s'envola tel que demander par son maitre vers quelque part qu'il ne connaissait pas, raporter nouvelle d'un peuple.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 388 Age : 30 Date d'inscription : 30/01/2007

Une fillette a peine agée d'une dizaine d'année entra dans les bois pour aller chercher des baies et des fruits puis des plantes pour soigner sa mere. Elle arriva au buisson puis s'agenouilla pour commencer son travail quand elle entendit des voix. Soudainement, a travers les branchages, elle vit Cryldan qui venait d'assassiner un homme du village voisin au sien. Elle se cacha, esperant ne jamais etre vue par le meurtrier et retint son souffle. Elle vit les corbaux dans les environs et se demanda ce qu'ils pouvaient tous bien faire la.

Il essuya le sang sur la lame de son arme quand il entendit un bruit dans les buissons. Il n'en fut pas plus effrayer que sa car il se doutais que par la légèreté du bruit, la chose ne devais pas être très grosse.

-Sa ne te sert a rien de te cacher, je sais que tu es la. Si tu ne sort pas, j'envoie mes familiers sur ton cas, ce qui n'est pas une bonne chose.

Il tourna la tête vers le buisson ou se cachais la petite fille puis une fois qu'elle fut sorti, il rangea son arme et la regarda.

-Sa vas, je ne veux pas te faire de mal, sa ne me servirais a rien puis tu avais une bonne raison d'être la au moin.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 388 Age : 30 Date d'inscription : 30/01/2007

-Mais...mais...mais vous...

Elle avait du mal a parler tellement elle avait peur. Après tout, elle venait tout juste de voir quelqun se faire tuer juste devant ses yeux. Une enfant ne devait pas voir ce genre de choses.

-Vous...Vous...vous venez de tuer...un...un homme!

Elle avait tellement peur qu'elle en échappa son panier dans lequelle elle ramassait des plantes et des fruits sur le sol.

-Donc, ses corbeaux sont les vôtres!

-Tuer, la mort, c'est tout ce qu'il y a dans le monde qui nous entoure de nos jours. Tes parents te l'ont cacher car ils te croient trop jeune pour etre au courrant mais plus vite tu le saura et mieux ses sera, comme sa tu sera mieux preparer pour l'avenir. Oui, c'est oiseaux sont les miens. Ils m'obeissent au doigt et a l'oeuil. Comme par exemple en ce moment, je pourrais leur ordonner de te tuer, mais je n'en verrais pas l'interet, tel que je l'ai dit alors je vais te laisser, j'ai du travail a faire ailleurs. Oublie pas de signaler la mort de cet homme a ton voisinnage.

Il claqua des doigts et ses corbeaux virent couvrir son départ.