Souhait d'un Hors la Loi.

Un cavalier, voilé par un masque, s'avance vers la grande porte du palais, tirant sa monture par la bride, cape de voyage au vent.
Les lieux illuminés par le soleil de l'après midi dont les murs de la cité sont éclaboussés de ses rayons chauds reflètant le Paradis, du Jérusalem comme disent d'autres.
S'approchant de la porte de bois massif, le voyageur pose la main sur le museau de son cheval qui s'arrête.
L'homme s'élance d'un pas tranquille vers l'un des gardes du palais.
Prenant son temps pour respirer l'air et se répètre de l'astre brulant dans les cieux.
D'un léger écart de la tête sur le côté et d'un mouvement de la main à l'horizontale, il salut le garde et l'invite à la discussion.

Maître Fou: "Bien le bonjour noble garde. Puis je avoir un entretien avec un des membres du gouvernement sans en ayant pris rendez vous ?
Si c'est le cas, puis je avoir entretien tout de suite ?"

(hrp: bon, je réécris le post qui a été effacé!)

Le garde observa l'étranger qui s'adresait à lui.
Il se méfiait toujours un peu des étrangers, surtout les masqués, non pas par chavinisme, mais parce que son rôle de garde l'exigeait.
Il parla d'un ton sans agressivité:

Sans rendez-vous, ça va être compliqué.
De plus, parler à quelqu'un, c'est possible si vous me dîtes votre nom et le but de cette entrevue: je ne vais pas demander au gouvernement entier de venir vous voir.

L'homme regarde le soldat avec des yeux brillant et lui répondis tout de suite.

D'une voix tranquille dit avec respect envers le soldat.

Maître Fou : " Je me nomme Fou...Maître Fou. Je viens pour savoir si je puis installer un petit commerce d'alcool ici à Umbar, avec d'autres petites boutiques, dont une taverne et une épicerie.
Mais pour apporter cela, voyez, il me faut des navires, que j'ai déjà, deux belles caravelles.
Enfin il me faut aussi un droit de stockage pour mes caves et si possible, biensûr à usage strictement commerciale, posséder un entrepôt de taille moyenne au port.
D'ailleurs... A t'on le droit de faire des placards dans les rues pour inviter à l'achat ? Où avoir des crieurs ? Enfin voilà, vous savez mon affaire.
J'aimerais agrandir mon commerce et j'ai choisi Umbar, ville oasis tant du désert que de la mer.
Pareil endroit est le rêve de tout idéaliste tant pour son atmosphère de paradis que sa situation géographique. "

Fouillant dans une sacoche accrocher à sa ceinture, il tendit une petite bouteille de liqueur d'abricot au garde.

Maître Fou : " Tenait c'est un bon alcool, si vous en voulez d'autres, aller voir le Praecoquum Furis. "