Fête de nobliaux

Suladen se trouvait dans la salle de banquet de son palais, à Cathal. Autour de lui la musique, les chants, les rires. Complètement affalé sur un confortable sofa, une coupe de vin dans une main. Un sourire se dessinait sur son visage fraichement lavé à la barbe parfaitement taillé.
La fête avait été organisé par la classe marchande qui s'ennuyait fermement ces temps-ci, comme tout le reste de la noblesse d'ailleurs. Leur demande avait donc été chaudement accepté par l'Empereur qui commençait a en avoir marre de la monotonie des parties de chasse et des passage en revue de l'armée impériale. Finalement il n'était franchement pas déçus de prendre part à cette fête.
Il s'était pour l'occasion vêtus d'une chemise à manche bouffante blanches brodée d'or, un cheich blanc, et d'un pantalon bouffant blanc lui aussi. La taille était ceintré d'une large ceinture de soie rouge et il était chaussé de babouches noires.
La fête avait commencé a la tombé de la nuit. Elle avait débuté par un repas copieux aux mets succulent avant d'enchainer avec des ménéstrels jouant tour-à-tour pour arriver finalement sur un orchestre. 2vidament les serviteurs était près à servir du vin sur commande et les gardes gardait l'extérieur du palais, bien que les quarts avait été alléger et qu'ils profitaient indirectement de la fête.
Quasiment tous les nobles haradrims proche de Cathal était présent, mais Suladen nota une absence. Il se penchat vers Marakin, son intendant et serviteur en chef.

-La princesse Idrissi n'est-elle point ici?

En effet, cette noble avait récament acceder à la régence de ses terres et Suladen n'vait pas pensé à allé lui rendre visite.

-Je ne sais pas, mon seigneur, répondit l'intendant.

Et sur ce les danseuses arrivèrent.

Suladen aima beaucoup la danse, mais il fut beaucoup plus agréablement surpris de voir que l'une des danseuses était la personne dont il avait parlé avec son intendant quelque instants plus tôt. Il resta interdit un instant la beauté de l'individue. En effet, Suladen n'a que peu fréquenté les elfes, et pas dans les meilleures conditions.
Après l'instant d'interdiction Suladen se reprit et fit un baisemain à la princesse.

-Je vous en prie princesse, asseyez-vous, fit-il en faisant signe à quelques courtisans de déguerpir. Je vous remercie de vous inquiétiez du déroulement de ma soirée. Vous danser formidablement bien.

Suladen fit signe a un serviteur d'apporter deux coupes de vins, la sienne étant vide. Il les saisis et en donna une a Elowiel.

-Je n'ai points eu le temps de vous voir depuis votre ascencion au trône. Tout ce passe bien? Le peuple a ccepté le fait qu'une femme le dirige?

Tout en parlant il ne détachait pas ses yeux de l'elfe, admirant sa beauté. Soudain il remarqua son foregeron officiel et lui fit signe de venir.

-Permettez-moi de vous présentez le forgeron officiel de l'Empire, il est de délicieuse compagnie.

Je m'approchais de l'empereur. Il etait en bonne compagnie, aparament... enfin, je m'en moquais. Je saluais sans un mot la belle dame puis je murmurais a l'empereur que j'avait les plan de sont armure si sa l'interressait. Ensuite je fini ma chope de biere et je m'assis pres de l'empereur. Je me sentais mal sans ses droles de vetement, ils etaient si different des notres...

-Bon, par rapport a votre demande, j'ai fini les plan il ne me reste plus qu'a allez chercher se qu'il me faut.

Je risquai un coup d'oeil a l'elfe.

- Excuser moi, mais quelque chose me dit que vous n'etes pas une simple danseuse, vu vos oreilles, vous n'etes pas d'ici, et vu l'attrait que vous porte l'empereur et avec quel...hum... familliarité? vous lui parlé, je deduis que vous devais posseder un rang, je me trompe?

-Bien Quintescence, bien. Pour vos matériaux adressez-vous à Marakin, l'intendant. Suladen rit légérement en voyantle "mal à l'aise" du nain.
Je vois que vous ne vous habituez pas aux djellaba, mais avouez que c'est plus confortable par ce climat.

Il se tourna vers Elowiel et fit les présentations.

-Princesse Idrissi je vous présente Quintescence, forgeron de la cour. Quintescence je vous présente la Princesse Elowiel Idrissi du Ibn Saprut.
Alors? Comment trouvez-vous la fête?

Suladen fit un pause dans ses paroles. Il prit une gorgée de vin, tout en admirant l'elfe. La grâçe de ses traits, l'éclat de ses yeux, le... mais? attendez!

-Leur parents et leurs grands-parents? Mais, excusez-moi que ceci, quel âge avez-vous, ma dame?

En effet, bien que j'ai désigner Elowiel par "l'elfe" Suladen lui l'ignore totalement, bien qu'il commence à se douter de quelque chose.

-Nous avons donc a peut pres le meme age... C'est etonnant. Vous etes tres jeune, pour une elfe.

Je fit un rapide tour d'horizon des gens ici, puis, je regardais l'empereur.

- Je crois que je fait peur a une bonne partie d'entre eux, sinon, tout votre mobilier est disproportionné, apart sa, rien de tres special, tout se passe bien pour moi. Je crois que j'ai fait peur a quelque danseuse aussi...

Comme l'avait voulu certaine coutume, je portait tout de même une arme arme d'apparat, un simple coutelas. J'avait envie de me battre je ne pouvais le nié, mais, ici, sa serais dure et compromettant. Mon regard se perdis dans les couleur eclatante des draperie adjacente. Puis me tournant vers l'empereur je lui demandais:

- Organisez vous, parfois, des jeux guerriers?

Je fit signe a un serviteur de m'apporter une autre bière.

Un siècle?! Suladen s'étouffa dans son vin! Néanmoins, pendant que Suladen se reprennait, elle s'expliqua. Quintescenceemit un commentaire sur son âge et celui de l'elfe. L'elfe? Mais oui, c'était évident. Elle aurait été adopter...
Contrairement à la pensée d'Elowiel, Suladen aurait aimé écouter cette histoire, mais elle ne lui laissa pas le temps de formuler une objection et repartit danser.
Il discuta donc avec Quintscence d'une manière distraite, tant son attention était fixé sur elle.

-Oui, vous effrayerez surement les nobles pendant encore un petit moment, mais une fois habituez à votre présence tous ce passera bien. Et pour le mobilier je ne peux rien faire malheureusement.
Les tournois guerrier son reserver aux grandes occasion ou selon ma bonne volonté, suivant la conjoncture politique vous voyez?

Finalement Elowiel revint et se rassit à côté de l'Empereur.

-Je vous félicite pour vôtre danse, ma dame, mais laissez-moi vous retiré ce voile qui masque vos traits.

Alors, Suladen se penchat, et, avec une douceur infinie enleva doucement le voile cachant le visage d'Elowiel. Il marqua une pause alors que ses mains touchait le visage de la jeune elfe, sans y faire attention. Quand il aut finit il admira béatement les traits parfait de la princesse.

Suladen était troublé. Oui, je pense que l'on peut résumer son état d'esprit ainsi. Horriblement troublé. Pourtant l'origine du trouble n'était pas un risque de fronde ou la menace d'une guerre extérieure, non. L'origine était proche, à moins d'une portée de bras. C'était une femme, une simple femme. Elfe je vous l'accorde, mais quand même. Suladen avait déjà affronté des elfes sans trembler et la compagnie de jolie femme ne le dérangeait point surtout qu'il était déjà marier par deux fois.
Pourtant... Malgré cette froide logique l'Empereur ne pouvait pas expliquer ce qui lui arrivait.

-Non ma dame, surtout ne vous dérangez point, les serviteurs sont là pour sa. Ce serait d'ailleurs à moi de vous demandez si vous ne manquez de rien, après tout, vous êtes mon invitée.

En effet, vous pouvez remarque que Suladen tentait (avec succès) de dissimuler sa gène par une montagne de courtoisie, bien que dans sa voix perçait un je-ne-sait quoi de différent.
Et alors, toujours tentant de dissimuler son trouble, l'Empereur enchaina avec une question purement politique.

-Vous êtes princesse depuis peu de temps, non? On ne vous a pas beaucoup vus. Si vous le désirez je peux vous hébergez quelques temps ici, au palais, pour que vous rencontriez les grands du royaumes. Je ne pourrais pas vous faire visitez tout moi-même, mais mon jeune cousin serait surement ravie de le faire. Qu'en dites vous?

Elle était vraiment magnifique. Ce fut la pensée de Suladen. Il l'admira secouant ses cheveux. Une beauté divine.

*Mais? Mais? Qu'est-ce qui m'arrive? Pourquoi je ne peux rester normal en présence de cette femme?* pensait l'Empereur des Haradrims.

Il reprit une longue gorgée de vin, dissimulant son visage à Elowiel. Sans s'en rendre compte Suladen finit la coupe d'or avant de la reposer avec un bruit de claquement sur la table basse.

-Parfait! Je suis absolument ravis que vous acceptiez ma proposition princesse, fit-il. Vous verrez, Sol sera ravis de vous faire visitez le palais. Son père est mort il y à un an, un triste accident de cheval...

Suladen s'arrêta un instant, adressant une pensée à feu son oncle. Il avait beaucoup aimé le frères de sa mère, un vaillant commandant et un ami précieux.
-Enfin, pour que vôtre chambres vous soit accorder pour plus longtemps adressez-vous à Marakin, l'intendant. C'est une histoire d'organisation, Marakin est assez maniaque, dit-il en riant. En tout cas je vous laisse Ma Dame, la fatigue me gagne. Profitez bien de la fête.


Il se leva et fit un baisemain à la princesse.
Il frémit a se contact, ne comprennant toujours pas ce qui lui arrivait.