L'épée
Lorsque j'arrivais, de bonne heure, la forge était bien rangé. Les métaux plus ou moins précieux que j'allai travailler se situer dans une remise adjacente a la forge. J'avais pris mon tablier de cuir, brulé par endroit, déchiré a d'autre, marqué par l'âge. Je mi de long gant de cuir épais, puis, j'allais alors choisir les métaux dont j'allais me servir, je vit beaucoup d'or, et pas mal d'argent aussi... Tss... Fils de riche... Je pris quelque lingot, j'aillais m'attaquer au cimeterre, en premier lieu. Argent... Un empereur ne pouvais pas se battre avec de l'acier.
Je pris quelque lingot d'argent, ainsi qu'un peu d'or. Je placais alors dans une enorme marmitte les quelque lingot d'argent, puis, je les mis sur le feu. Ceci fait, je partis a la recherche d'un moule adéquate a la lame. Ma un moule trop petit. Non, il voulais un cimeterre... Pas un moule trop grand comme les épée ourouk hai, non, il nous fallait le juste milieu... Pour que la lame ne gène ni par sa grandeurs ni par sa petitesse mais que l'on puisse tout de même y trouver les caractéristique d'une arme supérieur. Je vis un moule d'une assez bonne taille, peut etre un peu petit, mais cela s'arrangera quant je taperai sur la lame. je pris le moule, et je retournais pres du four, je regardais l'argent commencer a fondre. Les effluve dure de la fumé noir firent remonté en moi les souvenir de Kazad-Dum, jadis. Je me détournais alors et je pris un marteau d'assez bonne taille qui pendais sur le mur.
Quelque haradrim regardais la scène, stupéfait. Il n'avait peut être jamais entendu parlais des nains, peut être pensaient-ils que je ne fusse qu'une légende.
L'argent se mi a crépiter dans des bouillonnement frénétique. Je plaçais alors le moule sous un grand bec-verseur et a l'aide d'une manivelle, je fin lentement couler le métal. Je refermé le moule, et le rouvrait vite, le durcissement rapide était utile, je ne voulais pas perdre plus de temps.
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Clung, clung...
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Je me mit a frapper la lame dans de large geste, en la tenant a l'aide de pinces solide. elle pris rapidement forme, le moule aider a cela, mais ce n'était que la lame.
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Clung, clung...
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J'adore ce bruit. Le tintement brute devenais de plus en plus cristallin. Les forgerons humain et elfe que j'ai connu ne pouvais pas comprendre ca. Il ne pouvais pas comprendre qu'une arme que l'on crée grâce au son et non la vue sera infiniment supérieur.
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Cling, cling...
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La lame s'affinait au rythme de ma symphonie. J'étais le musicien, le métal est mon instrument. La lame devin vite d'une magnifique couleur argenté éclatante. a ce moment-ci, je la trempais dans l'eau, le long soupire s'empara des oreilles voisine. Je regardais la lame ainsi faite d'un air satisfait. Je la portais a mes oreilles, et d'une chiquenaude, j'écoutais le bruit cristallin qui rechapais de mon œuvre. Je m'emparais alors de quelque pique et de quelque marteau. D'une mains experte, je creusais quelque sillon, forment ainsi des arabesque le long de la lame. Je posais mon travail dans sur la deuxieme enclume, puis, j'allait alors cherchais un manche de base adapté a la taille de la lame. Je revint vite avec un manche convenable legerement recourbé. je pris alors un lingot d'or, et je le fit fondre. L'etape sera des plus delicate. Une fois le metal fondu, j'en versais un peu sur le manche, puis, a l'aide de quelque outil, j'enroulais le long fil autour du manche. Le serpent s'enrouler autour du manche comme Lucifer, dans sa forme sifflante et rampante, s'enroule autour du pommier. Je ne ressentais pas la chaleur sur mes mains portegé, et je pris donc le metal encor chaux a pleine main avant de le tremper dans l'eau. de la meme maniere, je pris mes outil de taille precise, et les ecailles et les yeux, ce formerent vite montrant le serpent-fléaux dissimulé dans cette forme abstraite. D'emboitait alors la lame dans le manche, pui, je verifier si le tout etait equilibrer, cas echeant, je dut faire fondre un peu de metal brute pour équilibrer le poids.
Je mi alors la lame devant un présentoir qui etait destiné a soutenir l'armure complete de l'empereur. je me reposais alors, remarquant enfin que j'était fatiguais et en sueur.