J'essaye de faire un RP comme vous cette fois

Ydriar arrivait au trot tout les commerçants du coins le regardait passer. Ydriar se demandait ce que l'arrivé d'un elfe pouvait avoir de si étonnante dans une ville comme Edoras. Ydriar ne fit pas attention au regard et au chuchotement que l'on produisait sur son chemin. Ydriar lança son cheval au galop vers le château du roi car il ne pouvait plus supporter l'observation qu'il donnait au personne de la cité. Arrivé devant le château Ydriar parla au garde

-Dites au roi que Ydriar Belfargoth prince adoptif de Lothlorien aimerait le voir

Le roi Théoden arriva presque tout de suite.

-Bonjour, roi Théoden, je suis venu vous voir pour savoir si le Gondor ou le Rohan avait besoin d'un quelquon que médecin. Je sais que vous dérangez en personne n'était pas nécessaire mais demandez à une autre personne aurait été plus long et je ne préfèrerais pas resté plus longtemps dans cette ville avec tout les regards qui se sonnt arrètés sur moi. Dites moi, pourquoi ma visite a tellement surprise les habitants ?

Ydriar attendait la réponse avec impatience car il voulait savoir quesqu'il pouvait bien arrivé à cette ville qui est si acceuillante de réputation.

Aparamment il n'avait pas besoin de quelquon que médecin et comme cela Ydriar pourrait retourner continuer son entrainement dans la nature mais il fallait d'abord qu'il créer de nouvelles flèches en bois de bosquet.

- Ce n'est pas grâve je vais retourner en forêt tuer des bêtes toutes plus ignobles que d'autre, tout se que je fais depuis 100 ans...
je ne pense pas que les gens de votre royaume m'est reconnu car cela fait bien 100 ans que j'ai quittés mon pays natal, mais ce n'est pas grâve. Connaissez vous la présence d'un bosquet non loin, il faut que je créer des nouvelels flèches car j'ai tout utiliser mon carquois pour des gobelins.

Ydriar attendait avec impatience la réponse du roi car il n'aimait pas être sans flèche, et parce qu'il voulait encore tuer des bêtes en grands nombre, Ydriar ira en Gondor un peu plus tard, en temps de guerre il se précipiterai même.