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Les éclaireurs seront bientôt pret, le maniment de l'épée est presque parfait.

Messieurs, nous allons passez à l'entrainement à l'arc. Je veux que vos flèches atteignes leurs cible à une distance d'au moins 20m.

Au boulots.

Les hommes dégottes leurs première flèche à 5 m. Touchant leur cible, il reculent de 2m. AInsi de suite.

Relativement éloigné, le cavalier noir observait l'entraînement que subissaient les paysans sous les ordres de quelques chefs. La présence d'un nain le laissa indifférent, et il pensa pendant quelques secondes à les rejoindre. mais en tant qu'Assassin, il ne pouvait se fier à personne; et s'impliquer dans un conflit qui n'était pas le sien n'était pas son genre. Il préféra observer et annalyser comment étaient organisées les défenses apparentes. Un mur était en construction et des fermiers apprenaient à se battre. Bref, la guerre n'était pas loin.

* Entraîner des paysans ainsi est tout à fait inutile. face à l'ennemi, ceux-ci auront peur et fuiront. Ils leur faut un entraînement beaucoup plus dur que ça... .*

Cette réflexion laissa un léger sourire sadique lui apparaître aux lèvres. Au cours de ces nombreuses années, il avait appris tout de l'art de la guerre, et savait comment transformer des minables en machines à tuer. Il étalonna sa monture et s'approcha un peu plus du campement pour voir les choses d'un peu plus près. Laissant son cheval derrière un arbre en hauteur, il avança à pas feutrés et se planqua derrière un autre arbre, plus près des fermiers, pour surveiller leurs travails. Un homme semblait les diriger à l'entraînement de tir. Pourquoi pas ... s'ils parvenaient à tuer quelqu'un sans remord... . Il posa ses fesses sur l'herbe et contempla l'entraînement de son coin, la visage caché sur une bonne partie du visage.

Très bien messieurs. Vous voilà à une distence de 30 m Et vous parvenez à faire mouche. VOus progressez vite. Maintenant il vous faudra des nerf d'acier. Ce n'est rien de tirez sur des cibles mortes.

Je mis une armure assez spécial et renforcer.

VOus allez maintenant tirez sur moi. je pris mon arc.

Je vous demande pardon???

Messieurs si vous ne tirez pas sur moi, je vous turais! ALLEZ!

JE pris une flèche et tira au ras du pieds d'un soldat.

ALLEZ!

J'envoya une autre flèche au ras de l'oreille du premier.

ALLEZ!

LEs hommes prirent leurs flèches dans la comfusion la plus total. et les métairent sur l'arc avec difficulté pendant que je continuait à les effreillers.

Lorsque je n'eu plus de flèches, ils tirairent enfin mais à coté.

J'enlève mon armure et me rapproche. Je mis ma mains sur les épaules de ceux qui sont encore sous le choc.

Devant vous, ce ne sera pas des cibles mortes, elles seront bien vivantes et mobile. Garder bien en tête que si vous ne les tuer pas ce sont eux qui vous turons. Puisez dans votre colère pour vous donnez le courage de tuer. Vous avez tous perdue des proche dans cette guerre. Pensée à eux, pensez à ceux que vous pourrez sauver. Trouver le courage de vaincre votre ennemi.

Une drole de sensation me toucha. COmme si quelqu'un nous observait. Il n'y avait pas de vent difficile de repérez quelqu'un à l'odeur. Le bruit des construction couvrait tout déplacement. MAis il y avait quelqu'un qui les observais. Je reste sur le qui vive.

Bien messieurs, je vais vous apprendre l'utilisation des haches de combats mais egalement des haches de lancer. Les premieres sont grandes, grosses et lourdes, faites dans un metal dur et résistant pour faire un maximum de degats. Avec ces dernières vous pouvez faucher, je joignis je geste à la parole faisant trébucher deux paysans, vous pouvez fendre, bref tuer quelqu'un en un seul coup. Le seul inconvénient, elles ne sont pas très maniables, d'ou l'inportance d'une musculature adaptée aussi vous allez me tracter ces blocs de pierres à mains nues jusqu'au mur. Vous avez jusqu'au coucher du soleil.

Les paysans firent des yeux ronds devant les gros blocs de pierre. Certain faisaient bien une cinquantaine de kilos.

Demain, nous nous occuperont de manier les haches double tranchant et en fin de journée des haches de lancer.

Plus loin, un carreau siffla et rafla la joue de Aldor, lui laissant une légère cicatrice d'où un mince filet de sang coula doucement. De derrière son arbre, Waylander s'était débusqué et avait fait trois pas dans la clairière. L'Assassin scrutait les moindres mouvements, au cas où l'un de ces crétins de fermiers tenterait quelque chose d'on ne peut plus stupide. Ses deux bras restaient dissimulés sous sa cape sombre et ses habits noirs lui donnait l'image du porteur de malheur au sein des nations.
Tranquillement, mais cachant sa méfiance, il prit l'audace de risquer quelques pas vers le groupe d'Aldor pour lui adresser quelques mots. Il s'attendait à toute réaction possible de la part du Nain. Visiblement, les nabots ou décorations de jardins semblaient parfois vivre sur terre plutôt que sous ses pieds.

" Pour entraîner des fermiers à l'art de la Guerre, cela ne veut dire qu'une chose: l'attaque est imminente, et que vous n'êtes pas assez entraîné."

Effectuant une pause, il posa son regard sur la foule qui semblait se rassembler, et laissa sa main glisser sur son baudrier. Les regards montraient de la peur, de l'inquiètude, mais aussi de la fureur face à cette insulte. Mais les yeux gris de Waylander étaient maintenant braqués sur Aldor. Ses sourcils fonçés, il jetait un regard de glace au Rohirrim qui semblait bien être le seul militéire ici.

" Qu'espèrez-vous faire face à une armée d'orcs grâce à quelques paysans ? Ils ne connaissent pas l'Art de la Mort, et n'ont jamais goûté au sang noir de l'orc puant. Vous n'arriverez à rien avec eux, si ce n'est par le biais d'un entraînement intensif."

Pour lui, la situation était désespéré. mais il voulait voir la réaction des hommes qui étaient présents. S'ils se décidaient à se ruer sur lui, alors, il y aurait une chance qu'Aldor ne puisse l'atteindre pour le tuer, et se battre contre les paysans serait aisé pour un Assassin comme lui. Il resta en tension et attendit une action quelconque de la part des interlocuteurs présents... .

Toi mon ami, tu ferais mieu de revoir tes manière ou je serais forcé de faire une démonstration de l'art de la hache devant ces gens. Insulte un ami d'un nain et tu veras ce qu'il en coute noiraud !!!!!

Je pris ma hache de guerre dans la main droite et fis glisser mon marteau dans l'autre. Je me mis devant Aldor et le groupe de paysan.

Je regarde l'inconnue dans les yeux et mis la main sur l'épaule de mon ami pour qu'il se calme.

La première des règles dans l'observation est justement l'observation. Vous voyez des paysans s'entrainer, certes mais pourquoi s'entrainent-ils? Une attaque imminente comme vous venez de le dire, mais les orcs ont été frainer à Dol Amroth. Autre scénario possible, nous recrutons des soldats pour pouvoir défendre les murs. Les murs ne sont pas achevé. Reste une solutions qui est l'entrainement intensif comme vous dites qui commence.

D'après ce que j'ai pus voir de vous, vous êtes un homme d'action. J'attaque d'abord, je pose les questions après. Vous maitriser l'art du camouflage et visé très bien. Par votre équipement léger, peu encombrant mais précis, vous ne vous battez que rarement sur le front. Vous êtes surement un assassin. Votre regard montre que vous ne connaissez pas la pitier et ne craignez pas la mort.

Vous avez tendance à sous estimer les autres, ce qui me surprend pour un assassin. C'est une autre règle, ne jamais sous-estimer son ennemi, ni ses amis.

Je dirais aussi que vous combattez au nom du bien, sinon vous m'aurriez tué sans hésitation et compte tenue du beau discourt que vous avez tenue avant moi. Les vêtements chauds que vous portez montre que vous venez du Nord.

Je vous présente mes éclaireurs. J'ai commencer à les entrainer hier, voilà pourquoi vous trouvez leur formation incomplète. Ils se sont portés volontaires. Bientôt ils pourront allez espionner les lignes ennemis, effectuer des missions de reconnaissances, es des missions de sabotage sans se faire repéré. Seul l'oeil de Sauron le pourra.

SI vous souhaitez complèter leur entrainement sur l'envie de tuer, je vous en pris.

Soudain, une flèche se planta au sol à coté de moi. Puis une deuxième, puis une troisième. Ces flèches venaient de la tour de Guets.

Ce qui m'étonne encore plus c'est que vous vous soyer laisser fait suivre par des Gobelins sauvages.

Egrïn!!! Le concour commence!

Ha Ha Ha heureusement qu'il y a toujours les gobelins pour detendre l'atmosphere !!!!! A l'attaque !!!! regardez bien messieurs ce que peut faire un nain avec une hache !!!

Je partis en courant en direction des gobelins. Dès que je fus assez près je pris mon élan et sautais au mileu des combattants. Je commencais a tourner sur moi meme, pour que mes armes me fassent un bouclier et pour toucher les ennemis.

Et de 5 Aldor, je n'ai pas envie de perdre encore une fois !!!!!

Je te laisserai pas gagner! Messieurs, tuez les!

Je cour s en directions des gobelins. Les archers se mettent en positions et s'aprètent à tirer. J'arrive au niveau des gobelins sauvages. D'un coup de mon épée je tranche la tête du premier qui se présente devant moi. Un gobelin attaqua Egrïn par derrière. je saisi ma dague et lui lança dans la gorge. Un gobelins se débarrase de mon épée par une attaque vennat de mon dos. Il me bouscule et je tombe à coté d'une lance. Je la saisi et lui plante dans la gorge. Puis je la reprend et embrauche deux gobelins. N'ayant plus d'arme, je prend mon arc et dégotte une flèche sur un autre gobelin. Je prend deux flèche et tue deux autres gobelins en un tire. Je vis mon épée à coté de moi et la récupère.

Et de Huit!

Waylander préta attention à ce que le Rohirrim lui disait. La première remarque n'eut aucun effet sur lui, il avait observé la situation, il n'était juste pas au courant de la situation du monde actuel; et que l'ennemi ait été repoussé plus loin ne l'intéressait pas.
L'arrivée du Nain le laissa indifférent, mais le gènait; la tête était à raz le sol. Difficile de tuer quelqu'un lorsque celui-ci vous attaque et présente cet avantage. Enfin. L'annalyse de Aldor le fit songer à sa famille. Impressionnant de voir quelqu'un qui puisse comprendre si rapidement à qui il avait à faire. Ce n'est pas quelque chose que l'on trouvait partout. Cependant, il y avait quelques lacunes dans le récit de cet homme. En effet, Waylander n'avait aucune hésitation à tuer. Mais la critique sur le camouflage était mauvaise, puisqu'il avait eu à se débusquer pour que l'on le découvre. Ensuite, la remarque qu'il était un Assassin du Bien l'irrita quelque peu. Quiconque prononçait cette phrase s'avouait être un mauvais Assassin. Dans le Monde des Assassins, il n'y a ni Bien ni Mal; il n'y a que l'Assassin, le commenditaire, et la cible. Rien de plus.
Lui, sous-estimer ses ennemis ? Il avait plutôt tendance à les surestimer, pour être sûr qu'il n'aurait jamais de mauvaise surprise. mais l'heure n'en était pas aux débats.
Lorsque le Rohirrim eut fini son propre discours, Waylander abazissa sa capuche et émit un ricanement d'une voix amusée et sombre, sans pour autant sembler mauvais. Ses longs cheveux noirs laissèrent un sourire frapper son visage, et ses yeux gris semblaient moins haineux.

" Bien joué, Aldor, Chef des Eclaireurs du Rohan. Ton annalyse est presque parfaite. Cependant, tu négliges quelques points... ."

Il fit un pas en avant pour se mettre de profil avec lui et ils se regardèrent pendant quelques secondes dans les yeux.

" Tout d'abord, la seule raison pour laquelle je ne t'ai pas tué, c'est parce que je n'ai pas de contrat sur toi. Ensuite, si je ne crains pas la Mort, c'est parce que je suis la Mort. Et enfin..."

Les flèches comencèrent à se figer autour d'eux. Aldor, arc en main, lui lança une réplique froide et frappante, qui laissait Waylander tout souriant sur place.

* On n'arrive jamais à suivre un Assassin, Aldor. S'ils sont là, c'est probablement plus dû à ton odeur de Mumakîl !*

Sans un mot, sans un bruit, l'Assassin se retourna, effectuant quelques pas en avant vers l'ennemi, sans se soucier des flèches qui volaient dans tous les sens. Il restait calme, bien qu'au milieu d'une bataille. Marchant tranquillement, il laissa son bras gauche détacher la cordelette que cachait le reste de son corps, la laissant glisser le long de sa batisse mince. Mais dès que le bras fut visible et que le corps fut découvert...
Son bras droit se leva à grande vitesse, et le vent siffla, laissant deux carreaux d'arbalète aprtir d'un outil de mort en ébène. Le premier carreau alla se planter dans le corps d'un gobelin, à quelques centimètres du Maître Nain, le deuxième transperça la tête mole d'une créature pour aller se figer dans un autre corps. Continuant à avancer avec prudence, il réarma l'arme en quelques secondes, et ouvrit le feu une dernière fois; les carreaux transpèrçèrent un gobelin à travers son armure de métal, et le suivant s'enfonça dans l'orbite jaunâtre de la vicieuse bestiole, laissant l'hémoglobine couler abondamment.
Hésitant à recharger son arme, il préféra la poser, observant quelques petites bêtes s'approcher de lui dangeureusement. La posant coucement dans l'herbe, il se redressa soudainement, ses bras effectuant un mouvement souple et agile sur ses flancs. Les trois dagues de lancer se figèrent au sein des petits corps maintenant inoffensifs, qui s'écroulèrent par terre. Risquant un coup d'oeil vers le Nain et Aldor, il observa que ces deux là se battaient suffisamment pour ne pas être inquiètés par la masse environnante. Leurs performances étaient soignées, même la hache du Nain réalisait des prouesses dans ce corps-à-corps qui allait probablement bientôt prendre fin.
Lançant ses trois autres couteaux qui trouvèrent tous une cible sans trop de difficulté dans la masse qui tombait sur eux. Dégainant sa lâme courte, Waylander laissa arriver les premiers gobelins, et tournant sur lui-même, il trancha la tête du premier sans une once d'hésitation. Les suivants arrivèrent, mais leurs manques de défense et leurs soifs de tuerie les rendait vulnérable. L'Assassin, lui, restait calme et serein. Sa lâme fendit l'air et deux crânes de Gobelins. Tournant le dos à la crête, il faucha un gobelin qui lui cherchait noises et lui planta sa lâme dans la cathoride, le laissant se noyer dans son propre sang. Une flèche siffla et se planta dans le dos de l'Assassin. Mais celui-ci ne dit pas un mot et continua à trancher. Les Gobelins qui se lançaient au massacre n'entendaient que quelques faibles mots... .

" Treize... quatorze... quize...seize..."

HAHAHA je ne me laisserais pas battre par une fouine et un noiraud. Messieurs, les corps inanimés sont tellement nombreux que j'en ai des crampes.

Je me transformais en vraie tornade de la mort. Ma danse maccabre fis autant de degat qu'un ouragan dans une boutique de verrerie.

Et de 25 messieurs, à moi le tonneaux de bière !!!!

Je disparus dans la foule de gobelins et de mort. Certains paysans tombaient a coté de moi cela me chagrinais, je ne les connaissais pas encore et deja ils tombaient avec les armes la meilleur des morts.

Egrïn avait une avance indéniable. Je continuait de combattre et voyaitles cavaliers nous rejoindre au combat.

Les gobelins se font de moins en moins nombreux.

Arrive enfin la fin du combat. J'étais sur de devoir à Egrïn un tonneau de bière. Et cet assassin incapable de reconnaitre ces tords. SI il croit qu'il me fait peur! J'ai tuer des ventard plus impréssion nant que celui ci.

Je m'approche d'Egrïn.

42, au total.

Je fis des yeux ronds, un large sourit se découpa sur ma figure et j'explosais de rire.

Et bien mon bon vieu Aldor peut etre un jour vous aurez votre revanche, je suis assis sur mon 51°, Une bonne vieille tradition naine est de s'assoire sur ses ennemis vaincus. Mais bon parlons de choses sérieuses, combien d'hommes avez vous perdu ??

Je jetais un regard autour de moi où gobelins et humain étaient dans une étreinte immortelle. Je jetais un regard aussi à l'assassin qui semblait blessé.

De mes archer, j'ai perdue les deux plus faibles. Les cavaliers sont arrivés à temps pour sauver les autres. J'ai perdue aussi parmis ces cavaliers 10 éléments. Prenons le temps d'enterrer nos morts.

Le soir venue les victimes de guerre reçurent les hommages qu'ils méritaient.

DOrmer mes amis, demains nous poursuivrons l'entrainement.

Aldor, j'aimerais te parler en privé.

Tous les deux nous nous éloignons du campement.

C'est au sujet de l'assassin. Il nous a aidé, peut etre seulement pout se défendre mais il aurait pu fuire. De plus il semble blessé. Il faudrait revoir notre opinion à son sujet. Il pourrait devenir un allié interessant.

Je sais. Mais je ne lui fait pas confience. Qui sait si Sauron ou un de ses sbires ne l'aurai pas envoyer en quète d'information. Aucune valeur morale, il trahirai ses amis contre une bonne paye.

Je regardai l'assassin. Avec un certain dégout.

Les infirmiers peuvent s'occuper de lui. nous verrons plus tard si il peut nous être utile.

Alors je te fais confiance, je sais que tes observations ont toujours été meilleur que les miennes. Dors en paix, je surveillerais ce noiraud, l'ivresse du combat n'est pas encore retombée, je ne pourrais dormir avant un petit moment. S'il y a du mouvement, je viendrais te réveiller.
Pour le moment je vais aller dépouiller ces cadavres, certain ont surement des choses interessantes.

Je parti en direction du champ de bataille. Je gardais tout de même un oeil sur l'assassin, qui me donnait plus pitié que d'éffroi.

Le combat était fini, et les gobelins s'étaient disperés dans la brume. L'Assassin marchait tranquillement parmi les morts étendus. Il se fichait de savoir de quel camp ils étaient, pour lui, ce n'était plus que des morts. Rien de plus.
Marchant pour aller s'asseoir et se reposer, il vit les deux personnages, leaders des fermiers, qui semblaient discuter dans leurs coins. Son oreille aussi aiguisée que celle d'un renard, il perçut une partie de leur conversation. Il devina rapidement quelle image on avait de lui et cela le fit ricaner. Il se tourna vers les deux personnages pour les interrompre brusquement.

" Hum Hum... ."

Ayant coupé de court la conversation, il défit la cape qu'il avait tout juste remis sur ses épaules et la laissa glisser à terre. Délassant sa tunique, il ôta dans un geste vif son veston pour laisser voir son torse couvert de plusieurs cicatrices. Il avait l'air plutôt frêle, et son corps ne montrait pas réellement la présence d'un quelconque muscle particulièrement puissant. Mais Waylander décrocha la bandouillère qui se tenait en travers de son poitrail. Tenant solidement la corde, il fit tomber de son dos un petit bouclier rond où était planté la flèche gobeline. La saississant, il la brisa et ramassa ses affaires. Il n'avait pas eu mal à aucun moment; il avait pu éviter une blessure très grave grâce à une simple précaution. Il laissa un léger sourire se dessiner sur ses lèvres.

" Merci, Maître Nain, de vous être inquièté pour moi. Mais quand on ne peut compter sur personne, il faut toujours savoir garder ses arrières. Quant à vous, Seigneur Aldor, puisque ma vie vous importe aussi peu, enlevez-la-moi si c'est l'un de vos désirs actuels."

Souriant, il leur tourna le dos et repartit en direction de son arbre, d'où le cheval s'étaiot caché pendant la bataille. Décrochant un tapis roulé, il l'étala et s'assit dessus. Camouflant sa tête à l'ombre de sa capuche, seuls ses yeux gris brillaient sous le reflet de la nuit, lui donnant un aspect un rien inquiètant. Chargeant son arbalète, et ayant récupéré ses couteaux de lancer, il laissa son épée au clair afin de disuader les quelques imbéciles qui auraient l'envie de le tuer en pleine nuit et s'allongea afin de s'endormir. Mais un Assassin ne dort toujours que d'un oeil... . Il se méfiait de Aldor, et il ne tenait pas à se vanter des 45 gobelins qu'il avait achevé grâce à un petit tourbillon de lâmes au sein de leurs rangs.

Je rejoignai l'assassin. Et restait debout pour lui parler.

Pardonné moi, mais vous n'avez rien fait pour gagner ma confience.Ni rien d'ailleur pour vous accordez le bénéfice du doute. Récapitulons, vous m'avez envoyer un garot au visage sans raison apparante, vous avez critiquer un entrainement étant comme incomplet alors que nous venions de commencer, vous nous ramenez des gobelins sauvages qui ont tuer la pluspart de bons paysans du Rohan et surtout, vous refuser de reconnaitre vos tord.

Je reconnais que mon entrainement peut être incomplet bien que j'ai suivit celui des elfes, des nains et des hommes. Je dirai même que si vous voulez le complèter, faite le. Je reconnais mes tords comme celui de vous avoir sousestimer au combat etque je ne sens pas la rose.

Mais en regardant ce que vous avez fait, comment voulez vous que je vous fasse confience? Je ne sais même pas votre nom!!

Egrïn avait l'air de lui faire confience, mais moi il me fallait plus qu'un simple combat pour la gagner. En attendant j'avais pitier de lui.

Aller levez vous! On va vous trouver un endroit plus agréable qu'un arbre pour vous. Le batiment centrale est encore innocuper pendant les travaux. Vous pourrez y loger si vous souhaitez rester plus longtemps avec nous. Mais attention, je vous garde à l'oeil. Si vous me trahissez, personne d'autre n'aura jamais le plaisir de vous exécuter.

Waylander avait été relativement étonné de voir une pareille réaction chez ce leader. Il s'attendait plus à du mépris qu'à de l'attention. De plus, sa colère semblait différente de celle qu'il avait exprimé avant. Cet homme voulait-il essayer de faire de l'Assassin son ami ?? Idée folle, pensait Waylander.
Les propos que lui tint Aldor ne le surprirent pourtant pas plus que ça. Il savait en connaissance de causes que les hommes qu'il venait de perdre étaient importants pour lui et que les perdre de cette façon était un problème et une douleur pour lui. Ensuite, cette abscence de nom inquiètait le Rohirrim. Pourquoi, se dit l'Assassin. Après tout, quel importance y-avait-il à connaître le vrai nom d'une personne ? Bref... . La dernière note proposant un abri moins pitoyable fit réfléchir l'homme pendant quelques minutes. Et il sourit vaguement. Il se leva, le visage toujours recouvert, ses yeux gris étincellants de sous la capuche. Un léger rictus s'afficha sur ses lèvres.

" Le carreau était pour m'amuser et pour tester vos réactions. Si cela peut vous soulager, oui, vous avez très bien réagi. Il est essentiel pour un Assassin de savoir à qui on a affaire... .
Ensuite, j'ai critiqué l'entraînement parce que c'est un fait. Vos hommes manquent de l'adresse et du courage d'un guerrier. Au moins, en les insultant, ils auront la rage au ventre et redoubleront d'efforts. Cette bataille a dû leur prouver qu'ils étaient capables et ils voudront venger leurs amis morts. Pour la proposition de les aider, j'y réfléchirais. Mais je ne suis pas un homme du peuple. Je les aiderais que si j'y vois un intérêt particulier."

Il ramassa son paquetage et le monta sur le la croupe de son cheval. Il se saisit de la bride et fit quelques aps avec Aldor.

" Je suis Waylander, Grand Protecteur du Nord. J'ai suivi les traces de mon Père, mais ai préféré la voie de l'Assassinat. Quant à la confiance, je ne vous demande pas d'en avoir en moi puisque moi-même, je n'ai confiance en personne. Contentez vous de juger les actes, et non la parole... ."

Jetant un coup d'oeil furtif sur Aldor, il remarqua la grimace que celui-ci tirait. Il en devina les sentiments qu'il éprouvait.

" Et d'ailleurs, je vous conseille en passant de ne pas me considérer comme lâche, ou minable. Le carreau d'arbalète vous a sifflé la joue tout à l'heure comme il aurait pu vous percer le crâne. Je ne demande rien des autres, et surtout pas de la pitié... ."

La batisse centrale s'éleva face à eux. Elle présentait un mince abri extérieure, un parapet, et une salle commune. Waylander, tenant toujours son cheval en bride, pencha la tête à l'intérieur pour l'examiner et en ressortit. Il fit le tour de la bicotte, et attacha son cheval sous le parapet pour que celui-ci soit couvert de la pluie et du froid. Il fit une dernière fois volte-face à Aldor.

" Je préfère dormir à l'extérieur, car cela laisse moins de chances à l'ennemi. On tue plus facilement quelqu'un dans un cabanon qu'à l'extérieur. De plus, la notion de trahison émet à la base de la fidélité et un rapport hommes/chef. Or, vous n'êtes pas mon supérieur... .
Mais ne vous inquiètez pas, Aldor Fils de Tagnar, je n'ai pas de contrat sur votre tête et si je devais vous tuer, ce serait déjà fait depuis longtemps... ."

Il s'allongea à côté de son cheval, et rabattit sa capuche un peu plus sur son visage, façon à cacher sa personnalité.

Je vis partir les deux hommes en direction du batiment principal.

Bah ils finiront bien par s'entendre, ils ont des points communs, ils sont tétus, ma foi, une bonne qualité naine.

Je me replongeais dans mon travail, la dépouille des gobelins. Je trouvais quelques armes assez basiques pas de quoi s'affoler et qulques pièces d'or, déja plus interessant. Le métal de ces armes me servirait à en faire d'autres pour les paysans.

Après ma fouille, je partis en direction de ma couchette et pris mon passe temps favoris... un petit marteau et un onyx. Je m'amusais à tailler cette pierre depuis que j'étais partis de chez moi. Elle commençais à prendre forme: des ailes une longue queue. La vision des sculptures de dragon me revenais le soir et m'aidais à rendre à ce petit caillou comme l'appelaient les amateurs et ce joyau pour les habitués, une forme aussi fidèle que le modèle.

J'ai écouté avec attention ce que Waylander disait. Il m'intriguais plus qu'aucun autre. Mais je restais méfiant.

Avant qu'il ne s'allonge, je lui répondit une dernière fois avant d'aller me coucher à mon tour.

Vous dites ne pas chercher la compassion ni la pitier des autres, alors pourquoi avoir remercier le nain de l'attention qu'il vous portait et critiquer la mienne?

L'assassin ne sut quoi dire. Je le laissa dans le batiments principale, à la place qu'il avait choisi et alla me coucher à mon tour.

Waylander ne répondit pas au Rohirrim qui repartit se coucher à son tour. Il s'assit paisiblement sur la couchette qu'il avait faite et s'assura qu'il avait bien disposé ses armes en cas d'attaque nocturne.

* Parce que c'aurait été grossier de l'ignorer... .*

Mais waylander n'aurait pas donné cette réponse, car elle ne serait pas entrée en concordance avec sa façon d'agir. Il rabaissa légèrement sa capuche sur ses yeux et dissimula son visage dans l'ombre. Peut-être pour dormir...peut-être pour le faire croire... .

Voici plusieurs jours que l'assassin nous a rejoind, en échange d'une paye, il a accepté de m'aider à entrainer mes éclaireurs. Les murs de l'enceinte était terminé la porte commençait a se construire. Des pieux en bois assemblé et le sol creuser au niveau des pointes pour renforcer la porte.

Les habitations avait commencer depuis un moment et prenait forme. Bientôt nous pourrons résisté à un siège de façon digne.

Je passais mon temps à entrainer avec waylander mes éclaireurs ou je m'occupait des pièges que nous avions placé autour du camp. Bien dissimuler personne ne pouvait les voirs.

Si ils attaquent en nombre important cette paille les frainera.

Je continue ma tourné des pièges.

Ayant dormis tard je fus reiveiller par les chocs de lames.

Gneihh, on attaque ???

Les éclaireurs s'entrainaient à l'épée..
Je me levais péniblement, et me dirigeais vers les futurs soldats..

Mes ptits gars vous allez voir ce qui en coute de réveiller un nain.
Toi là, mon garçon viens ici...

Je commencais à l'attaquer pour voir si il suivait bien l'entrainement. Il arrivait à contrer mes attaques avec sans trp de mal. Mais étant à la bonne hauteur, je fis une attaque basse, qu'il ne pu contrer. Je m'arrétais juste avant la jambe.

Bien tu te débrouille bien, tu as quelques lacunes. Ne perds aucunes leçon de tes instructeurs, ce sont les meilleurs combattants que je connaisse.

Sur ce je repartis dormir.

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