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Merry vit partir les deux ami .Il ne c'etait pas vut depuis longtemps.Merry qui c'etait repose une parti de la nuit ,commanca a eteindre les feu ,et a prevenir ,un de ses ami rodeur ,qui avec le temp ,il le connaisait bien.Merry s'equipa ainsi que son ami:armur ,eppe,arc,.Il se dirigerent vers les chevaux.Il les detacherent du cordage qu'il les attacher .Merry attrape une feuille ,et ecriva dessus un message qui s'adressa a Tidus et Feagil :



MESSAGEDesolé feagil ,tidus .Mais il faut envisager la situation pour comment va se passeer la guerre.Ne vous inquiter pas j'ai preparez toute mes affaires pour la route .J'ai prit un de mes ami rodeur pour la route en cas de danger .

Merry

Merry apres avoir ecrit cet lettre parti.

Kasrh fit un long voyage avec ses troupes pour venir voir Feagil. Il chercha pendant un long moment jusqu'à qu'il le trouvit avec tidus et merry.
-Ah feagil te voilà. Désolé pour la longue absence mais j'est voulu passez par le col de caradras pour rejoindre le CMN sauf que des orques nous est tombé dessus par centaines. Je suis allez aux CMN et un haradrims et avec huit cents soldats je suis venu te le dire.

Fëagil se tourna donc vers Karsh :

Ah, Karsh !
Je suis heureux de te retrouver !
Alors comme ça, un Haradrim se tient près du CMN...
Je crois avoir entendu parler de lui, il me semble que c'est un mercenaire.
Je pensais d'ailleurs à créer une sorte d'alliance commerciale avec lui.
Par exemple, on pourrait se soutenir mutuellement entre groupes de mercenaires.
Enfin bon, qu'en penses-tu ?

Puis il attendit une réponse éventuelle de la bouche de ce dernier...

Karsh répondit à Feagil.
- Oui sa pourrait être intéressant. Ils sont au moins milles plus que nous et j'aimerais pas les avoir contre nous quand même.
Karsh regarda son frère Tidus.
- Oui je serait ravi de me joindre à vous.
Il le regarda partir et dit à Feagil.
- Pendant mon escapade au Col de caradras des Orcs sont en train de se rassembler mais ils n'ont pas beaucoup d'effectifs car ils meurent de froid souvent. Mais j'ai quand même perdu dix hommes.

Jhuldan était aller au CMN pour voir le directeur Feagil mais il était parti à Dale. Jhuldan et ses hommes était retourner à Amon-Sul pour aller chercher leurs chevaux et les deux cents soldats qui étaient restez là-bas. Pendant trois jours ils galopait jusqu'à Dale et arrivait là-bas ils cherchèrent. Trentre minutes, plus tard ils trouvèrent Feagil en compagnie de plusieurs soldats.
- Salut à toi Feagil. Je suis venu pour te faire une proposition peut-tu venir s'il te plait ?

Fëagil applaudit les paroles de Tidus, puis vit arriver un mercenaire du nom de Jhuldan.
Il l'examina, puis lui parla :

Bien le Bonjour, mon ami.
J'ai entendu parler de toi, et je suis prêt à t'écouter.
On m'a dit que tu avais une proposition à me faire.
Quelle est-elle ?

Puis, après avoir parlé ainsi, Fëagil regarda attentivement Jhuldan, puis se tint prêt à l'écouter.

Que tu me prête des hommes pour cents pièce d'or.
Jhuldan avait pas trop de temps et il ne voulait pas tourner autour du pot, il avait été direct mais il rajouta tout de même :
mais si tu veux que je peut très bien augmenter le prix nous pouvons marchander sa ùe dérange pas du tout je suis prêt à aller jusqu'é deux cents cinquante pièce d'or pour trois cents cents soldats.
Il regarda fixement Feagil et attendit une réponse de celui-ci, il devait faire vite et ne pas marchander trop sinon il serrait en retard. Il descendit de son cheval et se mit devant Feagil.

Fëagil écouta attentivement les paroles de Jhuldan, il les analysa, apprit chacun des mots qui sortaient de sa bouche, rêvassa un peu, regarda sa monture, puis lui répondit, très respectueusement :

Les soldats du CMN sont en ce moment en train de combattre pour tenter de prendre Dol Guldur.
On nous a proposé cinq cents pièces d'or pour cela.
Cela serait donc improductif pour eux de venir combattre pour seulement cent pièces d'or...
Si, par contre, vous nous proposez plus que prévu, je veux bien envoyer mes huits soldats de la première compagnie, les deux cents de la Compagnie des loups appartenant à Tidus, et les cents autres à Karsh...
A moins que vous n'arriviez à parlementer avec eux, mais cela ne m'engage pas.
Je ne peux que vous proposer la première compagnie.
Qu'en dites-vous ???

Fëagil prit une profonde inspiration, regarda le ciel bleu, ainsi que les corbeaux qui s'agitaient dedans...
La guerre allait bientôt approcher. Non à cause des corbeaux, cela n'a rien à voir avec. En réalité, les corbeaux ont été mentionnés pour rajouter de l'ampleur au récit, même s'ils étaient réellement présents.
Mais Tidus avait déjà récité son discours, et la guerre avec les forces maléfiques endiablées et complètement malsaines de Dol-Guldur commencerait bientôt, tout n'était plus qu'une question de temps...

Enfin bref, il attendit la réponse de Jhuldan.

Je sui prêt à verser le double de ce que vous à proposé cet homme.
Il jeta à Feagil une bourse pleine d'argent, il en avait à plein et pouvez l'utiliser à sa guise.
Je veux votre compagnie d'élite pour milles pièce d'or.
Il remonta de son cheval toujorus en regardant Feagil. Il regardit les soldat prêt pour Dol Guldur.
Vous ne réussirez jamais à prendre dol guldurs déjà en route vous vous ferez attaquer, je vous suggère de faire un long détour, plus longs mais vous perderez aucun hommes. Alors pour les milles pièce d'or c'est d'accord ou pas d'accord ?
Il espèrait que Feagil serait d'accord.

Fëagil regarda Jhuldan droit dans les yeux, puis lui répondit :

C'est d'accord, je vous prête les huit rôdeurs d'élite de la Première Compagnie du CMN, en échange de vos mille pièces d'or.
Je tiens cependant à ce qu'aucun de mes soldats ne meure, car ce sont des élites, ainsi que mes amis, et qu'ils ne sont que huit.
Et puis ils comptent bien profiter de leur récompense.
Gérez-les comme vous voudrez tant qu'ils restent en vie et valides.

Puis Fëagil prit une profonde inspiration avant de continuer :

Quant à moi, je vais combattre aux côtés de mes amis Merry, Tidus et Karsh.
Que pensez-vous de ma proposition ?

Alors si ils ne sont pas prêt à mourrir cela ne sert à rien. Qui avez-vous à me proposer je peux mettre plus bien évidemment.
Jhuldan regarda droit dans les yeux Feagil. Il attendit une réponse. L'un de ses soldat lui dit :
Nous devons nous hatez, seigneur, sinon se sera trop tard pour voir Elros et les Nains.
Jhuldan répondit alors :
-Partez vous je vous rejoindrez.
Jhuldan descendit de sa monture et se mit à genoux et sorti plusieurs bourse de pièce d'or.
Nous pouvons mettre tout ceci. Demandez à l'un de vos chefs de compagnie si il peut venir.