| Les vieilles Alliances retrouvées |

P'tit Nouveau Nombre de messages : 116 Age : 37 Date d'inscription : 14/08/2007

Havres Gris

Un cor puissant retentit aux portes de la cité de Thranduil. Un cor qui ressemblait étrangement à l'éclat d'une vague sur un rocher. Le son produit par les cornes des elfes eut presque l'effet de faire trembler les murs d'enceinte de la cité. Lentement, les gardes de la Forêt Noire purent apercevoir un flot de capuchon bleu marin jaillir de la lisière de la forêt et s'avancer d'un pas cadencé et parfaitement aligné. Au devant de ses troupes innombrables, ils purent apercevoir un étendard or et blanc, symbolisant un signe blanc devant un soleil doré. Bien sur, l'armée de Cìrdan n'avait plus mis un pied ici depuis bien longtemps et il ne savait vraiment si les gardes seraient en mesure de reconnaître l'armoiries de sa maison. Quand l'armée vint à s'arrêter devant les portes, Cìrdan s'avança donc plus prêt encore afin de faire entendre sa voix. Les gardes n'eurent toutefois de mal à reconnaître en lui un grand roi elfique car sa cape était plus majestueuse et plus grande que toute celle de ses soldats. Il portait également une couronne d'argent entre ses cheveux châtains et son armure brillait bien plus que de pauvres yeux pouvaient en regarder.

- Qu'on annonce aux autorités de cette cité que Cìrdan est arrivé avec nombre de ses soldats en l'honneur des anciennes alliances !

Tel furent les paroles de Cìrdan, en attendant qu'un émissaire ou même Thranduil vienne lui répondre.

-*Orophin*-

C'était certain que nous aurions mieux aimer avoir quelqun ou quelque chose qui nous avertisse avant que Cirdan n'arrive a Forêt Noire. Nous étions en pleine reconstruction et la ville n'était pas tellement en état de le recevoir. Néanmoin, nous ne pouvions certainement pas le jeter dehors, surtout pas lui. Alors Rumil se dirigea vers la portail pour aller a sa rencontre tandis que je continuais de réparer les dégats de la bataille.

-*Rumil*-

Thranduil étant en ce moment absent et me trouvant le plus proche de Myria en ce moment, je jugea bon de me rendre auprès de Cirdan, Maitre des Havres Gris afin de l'acceuillir comme il se devait. Eclairé par l'armure de Cirdan, je du me mettre la main devant le visage afin de pouvoir mieux regarder.

-Je vous souhaite la bienvenue, Seigneur Cirdan, sur les terres de Forêt Noire.

Puis me revint a l'esprit Myria que j'avais du oublier un petit instant tandis que je travaillais aux réparations de la ville. Comment il allait réagir en sachant que sa fille ainée était dans un état, disons, pas trop bien.

-Nous vous remercion d'être venu. En ce moment, les seigneurs ne sont pas trop disponibles si c'est vraiment eux que vous cherchez a voir. Thranduil et Elgolas sont a la garde du troll qui nous a attaquer et je crois que vous devriez avoir croiser Legolas en chemin. Myria est...

J'ignorait que Cirdan savait que Myria n'allait pas bien alors je ne me risquait pas a le dire tout de suite.

-Dans sa chambre et attristée du départ de Legolas. Elle nous as mit en charge le temps que Thranduil reprenne le commandement. Vous pouvez vous diriger tout de suite vers le palais Maitre Cirdan, je crois que quelqun devrais être la pour vous y acceuillir, en tout cas certainement une personne plus renseignée que je ne le suis.

Un messager de la part de Baie d'Or arriva devant Rumil mais ce dernier ne voyait pas Orophin dans les environs. Peut importait car cela ne s'empècha pas de livrer son message avec un air de panique. Probablement, même certainement que tout le royaume avait vu les soldats et entendus le son du cor des Havres Gris. Pourtant, malgré ce que Cirdan pourrait en penser, il livra son message:

-Je suis ici parce que la dame Baie d'Or m'envoie. Elle est aller faire les examens a notre future reine et elle n,a pu les terminer. L'état empire.

Il se retourna ensuite vers le seigneur Cirdan et lui fit une révérance.

-Je suis tout a fait désolé mon seigneur mais vous devez vous rendre au plus vite auprès de la dame afin qu'elle puisse vous poser quelques questions avant que vous ne puissiez vous rendre a votre fille.

Puis de plus loin vint un oiseau au plumage magnifique mais ce dernier ne venait pas pour Cirdan ou Rumil mais pour Orophin. Il se posa près de lui et lui donna la lettre que la reine Meril lui avait addresser. Puis sans attendre une réponse, il s'en alla tout de suite.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 116 Age : 37 Date d'inscription : 14/08/2007

HRP: desolé petit retard dans mes posts, je m'en excuse, un gros contre-temps que je corrige tout de suite :HRP

Cìrdan acquiesça aux nobles salutations d'un elfe dont il ne connaissait rien mais dont les traits et la chevelure, ainsi que les armoiries, lui rappelait la noble forêt de la Lothlorien. Lui rendant son salut d'un hochement de tête, le roi de Lindon perça son regard quand son hôte débuta un long discoure concernant l'absence des souverains de ces terres tout comme de l'état actuel de sa fille. Durant ce discoure, il en profita pour jeter un bref coup d’œil aux dégâts subis par la cité de Thranduil. Quand son hôte eu terminé, Cìrdan appela ses généraux et leur confia la garde des frontières du pays. Dès lors, les 50.000 elfes se tournèrent tous en même temps vers la droite, laissant leur longues et fines silhouette se présenter de profil aux gardes de la cité de Thranduil. D'un geste de main, ils firent tous tomber leur capuchon vers l'arrière et leur longs cheveux d'un blond virant presque au blanc se mirent à briller dans l'obscurité de la forêt. Les enfants des Teleris étaient sortit de leur long silence.

Sa longue cape noire flottant dans les airs, Cìrdan n'ajouta rien au discoure de l'elfe et ne fit que détourner son regard lorsqu'un messager se présenta à lui pour lui porter le message d'une " dame ". Comme à son habitude, Cìrdan n'haussa même pas un seul sourcil, toujours aussi calme et détendu le souverain des Havres Gris abaissa toutefois son regard quand le messager lui apporta des nouvelles plus douloureuses encore que celle du premier elfe à propos de sa fille aînée. Sans plus se faire attendre, Cìrdan s'avança jusqu'à l'elfe qui l'avait accueilli et lui dit:

- Soyez sans crainte, cette cité sera protégé aussi longtemps que j'y demeurerai. Semez l'espoir de nouveau dans les cœurs de vos amis, que grand bien leur fasse, car ils n'ont que trop souffert de cette terrible guerre.

Sans plus rien ajouter de plus, Cìrdan déposa une main sur l'épaule droite de l'elfe en guise d'amitié puis il suivit le messager jusqu'à cette fameuse dame.

Rumil regarda le roi et le messager partir vers la cité ainsi que les elfes qui montraient maintenant une partie de la garde. Eyant lui aussi envoyer des hommes dans les bois, en avoir d'autres ne pourrait faire qu'ameliorer leur situation. Il regarda Orophin qui avait recus une lettre de la part d'un oiseau et a voir l'etat de son visage, il devinait tout de suite que cette lettre venait de la haute reine Meril et qu'il ferrais mieux de ne pas s'en meler pour le moment. Un de ses hommes arriva et lui chuchotta a l'oreille que l'une de ses patrouilles avaient repecher un homme dans les bois venant du Gondor. Rumil posa le reggard sur son frere puis quitta pour aller a la rencontre de l'homme du Gondor.

**

Orophin tourna la lettre dans tout les sens et comme il voyait que les travaux avancaient bien, il la garda avec lui et se mit en marche pour aller la lire a l'abbris des regards.