arrive devant la porte de la cité

Jhuldan marchait avec ses milles soldats est direction de Minas Tirith. arrivait devant la porte il cria aux gardiens.
- Ouvrez les portes !
Mais les gardiens ne voulèrent pas les laissait passez et des archers avait encocher des flèches.
- Protégez vous avec vos boucliers et ne faites rien.
Les hommes fit plusieurs groupes et firent plusieurs carapaces avec leurs boucliers, leurs lances juste entre un petit espace entre les boucliers.
- Je veux juste voir le roi Aragorn qu'il vienne et nous déposons nos armes à terre.
Il fit un geste de mains et les hommes de jhuldan ainsi que lui-même reculèrent de cents mètre jeta à terre lances, arcs, épées, couteaux et bouclier ils avançèrent de deux cents mètres.
-Voilà vous voyez le temps qu'on coure pour prendre nos armes vos archers nous aurez tués alors s'il vous plait faites sortir le roi aragorn avec des gardes si vous le souhaitez.

Guillemot fut prévenue de la présence des Hommes du Sud et décida de s’y rendre en vitesse. En arrivant sur les remparts de la porte de Minas Tirith (rebâtie après la Guerre de l’Anneau par les Nains de Mithril et de Fers la rendant encore plus résistante qu’au paravent), Guillemot ordonna aux archers en postes de baisser leurs armes tout en restant le plus vigilant possible. Puis il s’adressa au Hommes devant l’entrée de la citée :

_Je suis le Seigneur Guillemot, Conseiller du Roi Aragorn, déclinez votre identité ainsi que la raison de votre venue.

Ensuite il se tourna vers le sergent dirigeant la porte :

_Ne les faîtes pas entré sans mon accord ou celle du Roi, si il fallait les abattrent, je ne souhaite pas souiller la Grande Place de leurs sangs et de faire voir ceci aux femmes et aux enfants.

Nous sommes des mercenaire du sud ! je me nomme Jhuldan ancien capitaine des armées d'élite des orientaux ! C'est milles hommes ainsi que moi-même avont été banni par une cause injuste ! Nous voulons vous proposez un marché ouvez les portes, nous ne sommes pas armée nous armes sont à deux cents mètres on n'a rien pour nous défendre !
Jhuldan regarda l'homems sur les remparts et attendit la réponse de celui-ci en écoutant ses hommes murmurer d'impatience.
Attendez, murmura Jhuldan à ses hommes.
Il cria en suite :
Je rentre seul et vous me fouillerez pour voir c'est j'ai une arme.

Et bien si nous avons été banni, nous sommes des mercenaires du sud. Nou sommes venus pour que vous nous pretiez des soldat en échange de pièce d'or je suis prêt à verser deux pièce d'or pour cinq cents soldats.
Jhuldan reprit un peu son souffle et mumura à ses hommes :
Reprenez vos lances, boucliers et formez des carapaces.
Ses hommes coururent et obéirent.
Je leur est donné cet ordre car généralement les échange sous soldats dégénère assez rapidement.
Il prit son bouclier et une lance et mit son casque.
Alors êtes vous d'accord.
Il jeta une bourse pleine d'argent au pied de l'homme.

Très bien cinq cents pièce d'or alors ?
Jhuldan rajouta plusieurs pièce dans la bourse et la relança. il attendit la réponse de celui-ci e til vit ses hommes se rapprochait toujours en carapace.
N'approchez pas soldat! je veux que cette affaire se règle sans bavure, alors reculez.
Jhuldan se retourna et regarda les trois hommes dans regard noirs en arrendant la réponse du conseiller de minas tirtih.
Alors c'est équidable non ? surtout que vos hommes sont plus faible que les miens.
Ses hommes éclatèrent de rire et Jhuldan aussi.
Je ne montrerait pas le prix, et en plus c'est pour une bonne cause que je veux vos soldats et vous le saurez bien assez tôt.

Un Cavalerie s'annonca plus loin, dans le champs de pellenor, les Cavaliers du Gondor, et Nargothrond et les survivant de Rhun se fit voir au loin, les gardes ouvrie la porte pour les soldats puis Adrahil s'arreta au coté de Jhuldan et Guillemot, en regardant le conseiller de Minas Tirith, Adrahil demanda

C'est qui lui?..

Il regarda Jhuldan en disant sa puis il se secoua la tete en regardant Guillemot en disant

Ou est le Roi, Urgence Capital..

Il se tenna sur sa montur, bien droit, gardant un oeill non certain sur Jhuldan, qui ne lui inspirait pas trop confience mais bon..il attendit sa reponce essouflé

(J'avais nul part ou aller pis la forteresse de Targon m'énarve )

-Si vous nous abbatez avec vos trébuchets vous serez lache, et c'est pour cela qu'on n'a besoin de soldat reprendre l'harad, mais pas pour ntore compte personnel.
Jhuldan ordonna à c'est ses hommes de prendre leurs arcs, mais que cinq cents et et les cinqs autres protègent les autres.
-Pas mal, mais malhreusement nous sommes trop prêt des murs et vous trébuchets détruiront vos remparts. C'est déjà très dommage, nous avons dû massacrez des hommes, des miliciens je crois car il voulait notre argent. Ils étaient je crois une centaines, on c'est mis a vingt pour les tués. Alors ?

- Avancez !
Jhuldan tira son épée et la mit sous la gorge du gondoriens.
D'une l'Harad est trop loin, de dexu nous n'avons plus de familles.
Il avait crié en disant ses mots.
- Maintenant dites à vos hommes de lacher leurs armes à terres.
Il ordonna à ses hommes de se mettre devant les portes de sorte que le gondorien ne sorte et pour que les trébuchets ne puisse les atteindres
- Alors toujours prêt à faire son malin ? Nous voulons voir le Aragorn moi-même mes hommes resterons dehors et moi je jeterais mes armes à terre, d'accord vermine ?

Pauvre fous, je n'est pas peur de la mort alors vous mourrirez et des gondoriens pourront et mes hommes aussi nous sommes prêt pour çà. Nous ne craignons aucune douleurs. Donc d'accord pour les hommes et je n'hésiterais pas à vous tuez.
Jhuldan avait jétais son casque à terre. Il jeta un bref coup d'oueil au archers, ils tremblaient ! Jhuldan eut soudain une idée, mais ne la mit pas en oeuvre.
Alors ? Si tu acceptes aucun homme ne mourra aujourd'hui.

très bien. Alors en refusant notre offre vous avez conduis les gondoriens pas tous, à une mort certaine.
Il s'adressa au hommes sur les remparts.
Vous tous Gondoriens ! Vous voulez tous gagnez cette guerre ? alors portez vous volontaires pour aller prendre l'harad et tuer leurs dirigeants ! nous rendrons l'harad à la seul véritabl héritière et devinez dans quelle camps elle est ? dans le votre, nous aurons un nouveaux alliés contre bientot deux car nous allons demander à Elros. Alors si vous voulez gagnez cette guerre portez vous volontaire !
Il regarda Guillemot.
Cette fois-ci je te le demande en tant qu'alliés. Prêtes-moi des soldats pour gagnez cette guerre !

- très bien, nous vous aiderons dans cette bataille futur.
Il regarda guillemot. Les hommes de Jhuldan rangèrent leurs armes et attendit les véènement futur
Mais avant je vais chercher deux cents autres soldats pour plus tards, pourrons-nous logez ici ? si cela ne vous dérange point.
Il tendit sa main à Guillemot pour qu'il la serre et attendit. Il avait réussi mais il devrait perde des hommes surement pour cela mais il allait en ravoir.

Un cavalier de Jhuldan arrivèrent.
- Jhuldan les elfes de fondcombe es font attaquer.
Jhuldan répondit alors :
-Très bien, mais nous ne pouvons y aller, nous devons allez chercher d'autres effectifs au CMN et nous reviendron, ce sera ici la plus grande bataille de tout les temps.
Le cavalier descendit de sa monture et alla vers les autres.
- Aurevoir gondoriens, nous reviendrons très bientôt dans deux jours nous serons ici.
Les milles hommes de Jhuldan montirent sur leurs cheveux qui était restez sur les champs du pellennor et rejoingit Jhuldan, celui-ci montit sur son cheval.
- A bientôt, je reviendrais dans peu de tempscomme je te l'ai dit. En avant !
Jhuldan prit la tête du groupe et parti en direction de Dale.

malif rentra dans la cite blanche et demanda a un garde si beretor est la parceque il voudrais le voir pour des affaires inportante a faire avec lui et li voudrais le voir le plus vite posible et si il nai pas la donner moi des information sur lui