Temps de guerre (libre...)

Depuis quelques jours, la nouvelle avait circulé dans toute la ville : les soupçons d’une attaque du Mordor à Minas Tirith avait entraîner la panique dans les esprit des hommes et des femmes de la citée. Et depuis ce temps, les soldats étaient en alerte sur les remparts et dans les casernes de la ville. Guillemot, en l’absence du roi Aragorn, supervisait les préparations en espérant qu’ils faisaient tout cela pour rien et que le Mal ne viendrait pas ici. Il s’était lui-même préparer à cette futur bataille si elle devait avoir lieu. Il ne dormait presque pas la nuit et restait sur les remparts en attendant les événements proches, ce n’été que quelques soirées où il s’effondrait de sommeil sur les remparts, la brique des murs comme oreiller.
Aujourd’hui, la matinée s’installer dans la ville et Guillemot se promena dans les marché pour oublier un peu ses pensée des derniers jours. Les femmes chercher les meilleurs fruits et légumes pour la semaines pendant que les enfants jouaient avec des épées en bois ou couraient sur les remparts en remontant le morales aux troupes.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 41 Date d'inscription : 17/08/2007

- a bon personne me repond donc je vais plus tard ou je vais revenir dans un bon moment meme dans deux en sil il faut. malif prenna son cheval a lecuri et sanva pour un entrainement intensif malif galopa avec son cheval alors il trouva la place ideal et commenca a se pratiquer intensifement et apprend des nouveau sort - empolaco empeler tola!!!!!!!

(Qui qui dit ?)

Guillemot, encore dans le marchés, allez et venez entre les étales et les marchandises en tout genre, fruits, légumes, vins, tapis, tissus, étoffes... Minas Tirith n’était pas qu’une capitale des Peuples Libres, mais aussi un grand lieux, qui, perdu, ne serait jamais récupéré. Et c’est pour sa en principale que le Conseiller voulait protéger cette citée, en plus du nombres d’habitant qui y vivait.
Perdu dans ses pensées, il ne vit pas tout de suite le groupe d’enfants courant vers lui.

_ Seigneur Guillemot, Seigneur Guillemot ! Nous avons perdu nos cerceaux de bois sur les toits du 2ème étages, et on n’osaient pas demander aux gardes, ils nous auraient encore dit d’aller jouer ailleurs…

Guillemot, le sourire aux lèvres, suivit les jeunes Gondoriens jusqu’à l’endroit de la perte. En effet, en avant des remparts du troisième étages, deux cerceaux étaient sur les toits et ne pouvaient être facilement récupéré. Guillemot appela les gardes en services à côtés d’eux et leurs demandèrent une échelles. Ravis d’avoir une occupation autre qu’un tour de garde, les soldats se atterrent et revinrent avec l’échelle. Ils l’a placèrent, avec l’aide de Guillemot, entre le remparts et le toit, et un des gardes alla chercher les cerceaux et les rapportèrent. Les enfants, joyeux, remercia Guillemot et les gardes, et repartirent jouer, comme si leurs cerceaux venait de leurs être acheté.

Encore jamais ... enfin si, mais il y a fort longtemps, je n'étais pas allée visiter les terres humaines. Je décidais un beau jour de laisser la cité entre les excellentes mains de mon mari et visiter incognito ces terres exceptionnelles. Une impression particulière s'empara de moi quand j' entrais après quelques semaines de voyage, en terre inconnue. J'avais décidé de visiter en premier Minas Tirith, cité qui ne m'étais pas inconnue de nom. J'étais sur la place principale, par chance le marché était ouvert. Je pus sentir l'ambiance particulière des marchés humains, une ambiance calme, posée, des cris s'élevaient de partout me faisant tourner la tête. Au loin je vis des enfants tournoyer autour d'un beau jeune homme, il semblait être aimé et peut-être pourrait-il me conseiller. Les enfants l'avaient conquit et il semblait s'en aller au milieu de cette assemblée enfantine, je décidais par curiosité de les suivre et voilà qu'il leur cherchait des cerceaux. Je souriais de cette image chaleureuse et touchante. Par mon statut de reine j'avais oublié que je voyageais inconnue et dans des terres inconnues, cette image m'avais fait rire et sourire aux éclats, ma cape avait glissé de ma tête faisant voir mon visage. Le soleil me chatouillait les oreilles, les enfants parurent stupéfait de voir une créature telle que moi, je remarquais mon erreur, je souris aux enfants et adressais la parole à l'homme pas moins étonné que les jeunes gens cachés derrière son dos.

Je vous demande pardon ! Vous vous occupez très bien des enfants ! Je suis ici en visite, pourriez vous m'indiquer où je me situe dans cette grande ville ?

J'adressais un large sourire à l'homme et regardais avec attention autour de moi.

Après avoir redonner les jouets aux jeunes Gondoriens, Guillemot aperçu une femme, et à en voir son physique et surtout ses oreilles, c’était une elfes.

_ Sa ne fait rien, bon nombre d’étrangers ne possèdent pas encore leurs repères ici. Vous êtes ici au troisième niveau de Minas Tirith et quasiment aux portes du quatrième. Ce n’est pas le niveau le plus habité car les marchés et autres sont au premier. Permettez moi de me présenter, je me nomme Guillemot, conseiller de notre roi et en son absence le dirigeant. Une personne qui ne connaît pas cette ville ne devrait pas resté tout seul. Excusez-moi j'ai trop parlé... pourrais-je savoir votre nom?

Minas Tirith n'était pas un endroit mal famé mais les premiers niveaux étaient à certain endroit de vrai labyrinthe.

Remarquant alors la beauté de la ville, je ne pus réprimer un cri de surprise suivit d'un rire doux

C'est une cité magnifique, permettez que je me présente, Elenwë, reine de Nevrast.
Je vous en prie, ce que vous racontez est très interressant pour, moi étrangère à la ville. C'est très interressant de voir les différences qu'il ya aentre une ville humaine et une ville elfique. Enfin ! Si cela ne vous embête pas, monsieur le conseiller du roi, j'aimerais que vous me conseilliez sur les endroits à visiter.

Je balançais ma tête d'un côté à l'autre, la cité était vraiment magnifique mais les chances de s'y perdre étaient si grande que ... Une idée vint tout à fait par hasard dans mon esprit, j'en faisais directement part à l'homme se tenant à coté de moi

Auriez vous une carte ? Vous m'entoureriez les sites interressants et je me débrouillerais ensuite, qu'en dites vous ?

Malheureusement, des idées comme celle-ci j'en avais souvent, pourquoi malheureusement ? Mais c'est tout simple quand on ne sait pas lire une carte, on n'est pas réellement censé avoir une telle demande. C'est vrai qu'il y a un début à tout mais les cartes et moi c'est tout une histoire. Mon sac de voyage commençait à peser, je le posais par-terre et regardais mon interlocuteur. Ah ! Il était probablement curieux, cela se lisait dans ses yeux mais il était réservé et j'en étais particulièrement flattée. Moi au contraire avais beaucoup parlé et j'en rougissais, je perdais mes habitudes et ce n'était pas forcément une très bonne chose, la solitude d'un voyage refait la personnalité mais mon statut ne me le permattais pas.

Guillemot, vit que la jeune femme (en physique, car elle avait peu être plusieurs centaine d‘année) souhaitez voir un peu plus de la ville, et remarqua que ses bagages ne l’aidait pas. Il décida donc quelques chose.

_ Je ne pense pas que nous possédons des cartes simplifier de la ville, car elles servent aux architectes et autres gens de savoir. Et comme j’ai assez de temps, je vais vous donnez un peu plus qu’une carte.

Il prit le sacs de la reine elfes et le mit sur son dos pour épargner à la jeune femme dans endurer encore le poids.

_ Si vous le voulez bien, je prendrais la place de la carte et vous fera visiter notre ville.

Ca ne vous dérange pas au moins ?!

Trop tard il avait enfilé mes sacs de voyage sans que je ne puisse l'en empêcher. Je décidais, toute curieuse de le suivre. Assurément la beauté de la ville me faisait rêver.

C'est vraiment une très gentillle attention à vous de bien vouloir m'aider. Par quoi commence -t-on ?

Une seule chose m'importais c'était de ne pas avoir parler trop et trop vite
Je ne pouvais pas avoir meilleur carte que le conseiller du roi mais mon image à tenir était nécessaire, si des elfes, des espions de mon mari ou autre venaient à voir que je me tiens d'une façon peu convenable, ma fin serait proche, les elfes de Nevrast ont trop d'estime pour leur reine et leur roi. Bien !
J'observais les arcades et les différents étages de la merveilleuse cité, je me demandais comment avait-on pu construire une si belle cité aussi retirée de toute autre ville. Ah ! Ce sont des questions bêtes et méchantes qui vous changent une opinion, en tout cas la mienne sur les hommes n'avait jamais changé je les admirais et les admire toujours, leur façon de vivre, leur tradition ce sont des sujets qui me passionent mais j'ai peu de temps à y consacrer malheureusement. Nous visitions la ville, Guillemot expliquait très bien tout ce qui se passait, les différents étages, les différentes portes, les différentes constructions. Ah ! j'esperais ne jamais cesser de visiter cette ville, chaque recoin était différent et si l'on revenait à un endroit on pouvait avoir l'impression de ne pas l'avoir visité. L'idylle humain se présentait à mes yeux et j'en fus émerveillée.

_ Je vous emmène sur le lieux inévitable pour aprécier Minas Tirith dans toute sa grandeur. C’est un peu en hauteur mais cela vaut la marche.

La pente se faisait un peu plus raide à chaque étage tout en restant très fiable. Au bout d’un temps de marche, Guillemot et Elenwë entrèrent dans les fondations, passèrent deux trois virages et gardes, puis retrouvèrent la lumière. Ils étaient arrivés au dernier étages : la citadelle. Guillemot emmena la jeune femme sur la partit la plus avancer de l’étage, la pointe de Minas Tirith. Ici, rien ne restait inaperçu et la vue s’étendait jusqu’au frontière du Mordor.

_ J’espère que ceci vous plaira, dit en lui montrant le paysage.

Ah ! ma curiosité ne faisait qu'accroitre au fur et à mesure de notre montée. Lorsque nous sommes passés sous les fondations du moins dans les fondations, j'avais eu le souffle coupé, les beaux murs blancs froids me faisaient rêver et encore une fois mon esprit fut remplit de questions. Je m'imaginais la vie qu'il y avait lorsque j'étais née ou encore il y a quelques centaines d'années lorsque je n'étais qu'adolescente comme disent les humains. Mon esprit créatif se reflétait bien ici ! Lorsque nous arrivâmes, après maintes explication, à la citadelle mon émerveillement était à son compte, un léger vent caressait nos visages, les étages du dessous que l'on apercevait en s'appuyant sur le rebord du mur faisait que la cité était vraiment très impressionnante, les arcs boutants se croisaient et se recroisaient, s'enmêlaient au constructions, les tourelles se dressaient avec dignité et la blancheur de Minas Thirit. Devant moi s'étendait le royaume humain et tout les autres royaumes, ici avaient eu lieu des guerres et pas une seule, un champ de bataille se dressait devant la cité blanche, des vies avaient été enlevées et d'autres avaient été épargnées. Avec douleur je me rappelais des guerres que j'ai du mener malgré moi, avec douleur je me rappelais des êtres chers perdus au cours de celle-ci, mais ce paysage s'étendant ici à mes pieds, rien ne pouvait plus m'émerveiller. Je me rappelais des collines vertes que j'ai traversées, des bois et des montagnes pour arriver ici, pour les voir toutes du haut de la citadelle.

Mince de mince ! Si cela me plait ? Plus que tout ! cela me rappelle mon enfance. Lorsque j'étais toute jeune ( je ne pus réprimer un sourire) j'habitais dans une demeure que mes parents nommaient château, c'était plus un palais qui continuait notre ville elfique. Bref, je passais des heures en compagnie de mes amis ou -la plupart du temps- seule, à regarder le paysage qui s'offrait à moi, je m'asseyais sur le balcon et regardais le soleil se coucher, se lever ou tout simplement les villes aux horizons qui s'agitaient. Les balcons ça me connait et moi aussi.

Quels délicieux moments j'avais passé seule assise, la nuit ou le jour sur ce balcon planté là, sans vie. Même s'il était sans vie j'avais réussis à m'y attacher, oh ! c'est ridicule je sais mais je m'y suis attachée.

Guillemot voyait combien Elenwë appréciait visité Minas Tirith. Guillemot ne comprenait pas jusqu’où, car lui était née et avait grandit ici, ses souvenirs, ses apprentissages du combat et du droit s‘était fait dans cette citée. Il décida alors de montrer autre chose que des bâtisses du présent à la reine elfe.

_ Voulez venir avec moi voir les bibliothèque? Je crois que cela vous plaira et je pense même qu’il y a des livres elfiques.

(s'cusez pour le peu de lignes, mais l'immagination me manque un peu.)

Cette idée m'avait semblé parfaite ! J'adore les livres et les bibliothèques sont les endroits que je préfère. Observer toutes ses couvertures c'était vraiment une de mes passions, voir l'évolution des peuples, des traditions ou encore des manières de vivre.

J'adorerais visiter votre bibliothèque ! Vous connaissez l'elfique ?

C'était une question bien spéciale, un humain ne connait pas souvent cette langue si conservée des elfes, ceux qui la connaissent sont rares. Si la bibliothèque avait une étagère consacrée aux livres elfiques, j'aurais été ravie, la curiosité me tordais l'estomac mais en dehors, mon visage restait le même, impassible, personne ne pouvait lire mes sentiments sur mon visage ni dans mes yeux. C'était après le choc de voir pendant mon enfance des personnes mortes sous mes yeux, la cruauté de la chose avait fait de mon visage un visage de pierre qui depuis des millénaires n'avait été si joyeux qu'aujourd'hui. Guillemot me conduisit avec rapidité à la bibliothèque. Souffle coupé !

Non de non !

Les étagères faites en un bois vieux comme le temps, des livres aussi vieux que la bibliothèque et certains plus récents se faisait voir par la luisance de leur couverture. J'étais émerveillée, je frôlais d'un doigt incertain les livres, je fermais les yeux et inspirais un grand bol d'air. L'odeur des livres !!! Quel délicieux parfum.

Chaque livre a une odeur spécifique, tout dépend du papier sur lequel il a été écrit, de l'encre utilisée et de son âge bien évidemment. Le cuir de la couverture indique l'époque et aussi le genre du livre. Cuivre noir pour un livre historique, en carton marron foncé avec des traits, très beau, pour les livres de contes etc ... A chacun son code, à chacun sa nature, à chacun son parfum.

Quand je parlais, mes lèvres remuaient à peine, quelques lecteurs curieux çà et là passaient tendant l'oreille pour écouter des explications. Ma voix avait changé, devenant encore plus ouce qu'auparavant, on sentait la connaissance et une expérience.

Pendant le trajet Elenwë posa une question et Guillemot lui répondit précisément :

_ Je suis d’origine des Hommes d’Arnor, ma famille à quitté les terres du Nord pendant la guerre contre Angmar il y a de cela 1 000 ans environ, et en tant que Dùnedain, je connais un peu l’elfique. Que les bases, mais assez pour déchirer les plus gros des messages ou autres…

Il arrivèrent ensuite à la bibliothèque. Elenwë semblait ravit et allez de rayonnages en rayonnages. Regardant les livres, manuscrits, et rouleaux de parchemins avec sagesse. Après toutes ces siècles d’existence sur la Terre du Milieu, elle devait en savoir beaucoup plus que tout les hommes de savoir ici.

_ Venait, il y a quelques livres elfiques qu côté ouest.

La bibliothèque, plus grande que la salle du trône, était séparée en 8 partie, avec le centre, nommé comme les points d’orientation : Nord, Sud, Est, Ouest mais aussi Nord-Est, Nord-Ouest etc…
Ils arrivèrent dans un rayonnage qui n’avait pas été visité depuis de nombreuses années à en voir la poussière. Guillemot prit un grand livre elfe d’une étagère, lui donna un coup de manche dessus. Et le donna à Elenwë.

_ Tenez, il y est question de bien des choses, écrit en elfique. Il y a même un passage parlant des Anneaux de pouvoirs et de l’Unique si je me souviens bien…

Elbarâd, tranquilement assis sur une chaise rambourrée, savourait un livre sur les Dragons quand il entendit des voix dans la bibliothèque calme. Il décida d'aller voir d'où elles venaient. Il reposa le livre sur uné étagère et rajusta son l'épée de son père à son côté gauche. Elbarâd prit bien soin de soigner son apparence. Il défit donc les plis de sa cape et refit sa queue de cheval. Cela faisait quand même trois jours qu'il était cloitré dans cette bibliothèque à se remettre de la flèche qu'il avait reçu dans le genou, mais c'est une autre histoire, qu'il detestait aborder. C'est donc en boitillant qu'Elbarâd rejoint les deux personnes. Il repéra très vite qu'il s'agissait d'une elfe et d'un jeune homme de Minas Tirith.

"Bonjour à vous! Excusez ma curiosité, mais que cherchez-vous? Cela fait longtemps que je n'ai pas vu de monde et parler me ferait du bien."

C'est en grattant sa barbe naissance qu'Elbarâd attendit leur réponse.

Guillemot savait où étaient les livres elfiques et avec hâte je le suivais,juste quelques secondes avant que le jeune homme n'apparaisse, je pris le livre tendu par Guillemot, ce qui m'avait plu dans son franc parlé c'était qu'il savait de quoi parlait le livre et pour moi, rien de plus important. Une culture et ...

Bonjour ! Je suis Elenwë, en voyage, j'observe le monde des humains. Quand à votre curiosité, elle n'est que naturelle et tout à fait normale.

Chose interressante, je m'attendais à une visite, je ne savais pas de quelle nature est-ce qu'elle allait être mais je l'avais présentie. Observatrice, aucun détail ne m'échappais, au détriment des gens m'accompagnant, un boitement faussait la marche d' Elbarad, il avait une allure soignée malgré quelques petits détails qui me firent sourire je détournais mon regard du jeune homme, le regardant à nouveau mon visage sévère et souriant. Une allure chétive et discrète m'intriguais dans son comportement. Je regardais Guillemot debout à coté de moi, il s'appuyait sur une des chaises disposées derrière la table pour que les lecteurs puissent s'installer confortablement. Je réprimais un sourire gêné, je tenais le livre dans mes mains et comme Elbarad fit une apparition soudaine, je n'avais pas eu le temps d'ouvrir le livre. Je posais le livre de Guillemot, encore poussiéreux malgré le fait qu'il l'ait essuyé je l'ouvrais et un nuage léger de poussière s'envolait encore. Un mouvement de réflexe me fit reculer. Le livre parlait effectivement des anneaux et de la façon dont ils avaient été acquérit par les neufs rois. des frissons me parcoururent, des illustrations froides et sinistres illustraient le livre.

Oui, c'est un livre très interressant, n'en auriez vous pas un sur Nevrast ou sur le peuple des Noldor ?

Au moment où Elenwë prit le livre, un homme de Minas Tirith, vint parler avec eux. Guillemot connaissez de réputation l’homme et de ses mésaventures.

_ Bonjour Elbarâd, cela fais longtemps que nous ne vous avons pas vu dans la cité. En tout cas, je suis heureux de voir que vous allez mieux.

A ce moment Elenwë posa sa question à Guillemot et le conseiller finit alors avec le capitaine pour la renseigner.

_ Je ne crois pas que nous possédons de registres ou livres des Nevrast Mais je pense avoir le souvenir d’un livre sur les elfes Noldor.

Puis il se tourna vers l’autre homme.

_ Restez donc un peu avec nous Elbarâd.

Guillemot partit alors plus profondément dans le rayonnage en cherchant le fameux livre. Il finit pas le trouver en haut des étagères, avec près de lui, un manuscrit des Nevrast.

_ Jour de chance, j’ai trouver les deux, dit-il à Elenwë en revenant vers eux, je pense que vous allez plus aimer ceci.

A ce moment un garde entra dans la bibliothèque, essoufler.

_ Seigneur Aragorn, un homme du Hardad, Jhuldan, vient d'arriver. Il dit vouloir vous voir.

Guillemot, un peu alerté par ce message, fut obliger de laisser Elenwë et le Capitaine.

_ Je suis affreseument désolé mais je dois y aller. En l'absence d'Aragorn, c'est à moi de régler cela.

Le garde reprit alors.

_ L'homme du Harad dit aussi de prévenir les elfes.

_ Venez donc avec moi si vous le voulez Elenwë, cela pourrait concerné votre peuple.

Elbarâd apprécia l'accueil que lui firent Elenwë et Guillemot. Il les écouta parler tranquilement et remarqua une drôle d'attitude du côté d'Elenwë. Mais ça ne devait pas être bien grave. Au moment où il allait prendre la parole, un garde de Minas Tirith qu'il connaissant surgit près d'eux. Elbarâd écouta très attentivement ces paroles et dès qu'il eut fini, se tourna vers Guillemot. Il avait bien sûr plus qu'envie de se pencher sur cette affaire.

"Guillemot, je vais venir avec vous. Cette affaire m'interesse plus que tout... Ce Jhuldan me dit quelque chose. Et si jamais il y a guerre, mon genou ne me genera presque pas."

Elbarâd était heureux. Il sentait que son rang de Capitaine de Minas Tirith allait de nouveau être justifié.

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