(HRP: Désolé, le lycée m'empêche de venir sur le fofo aussi fréquament que vous, donc il est normal que je loupe des épisodes...)

Durant toutes ces péripéties, de l'alliance avec Elros, l'allumage des feux de détresse, et la guerre devant Minas Tirith, Elbarâd n'avait rien suivi. Il était tellement plongé dans ses pensées cloîtré dans la salle du trône que toute cette agitation ne l'avait pas perturbé. Ce ne fut que le bruit retentissant du cor qui le "reveilla". Il avait dans sa vie, tant entendu de cor, de bruit d'armée en mouvement, de flèches pénétrant dans des chairs qu'il poussa un hurlement incontrôlé et dégaina son épée d'un mouvement habitué, tout seul dans la grande Salle du Trône. Les grosses fièvres qu'il avait enduré durant la soufrance de son genou lui avait laissé des séquelles.
Elbarâd se rua hors de la Salle du Trône, épée à la main. Tout en la rengainant, il demanda à un garde où se trouvait Guillemot. On lui dit aux maisons de guérison. Elbarâd y courut et y trouva effectivement au chevet d'Elros. Elbarâd connaissait Elros. Il avait déjà combattu des armées de Numéroens noirs. Elbarâd prit la parole:

" Guillemot, je pense qu'il faut agir au plus vite car une énorme armée va sûrement arrivée. Il faut les contrer en les faisant douter. En tout cas, ce n'est pas ma première bataille et je suis plus que déterminé. Ce ne sera pas non plus ma dernière."

Dès que Guillemot aura répondu, Elbarâd ira prendre le commandement des hommes, comme au bon vieux temps...

karsh arriva au pied de la cité, il était avec cinq milles hommes et ils regardèrent les numénoréens morts ! Il monti les sept niveaux se renseigna où était son roi et se dirigea dans la maison des guérisseurs, il entrit dans une salle en passant devant une fille qui vomissait. Il regarda Elros sur un lit et Guillemot juste à côté. Il le regarda et dit :
- Que s'est t-il passé ?
Karsh regarda Elros sans vit.

Karsh courut après Guillemot tira son épée et lui dit :
- C'est toi qu'il l'a tué ? allez avoué !
Karsh était fou de rage que son roi est été tués et par vu de ses blessures il avait salement était ammochés quand il à été achevé par un lâche, voyant que Guillemot ne le répondait pas il mit la lame de son épée sous sa gorge.
- Allez je veux entendre tout ce qui s'est passé du eébut à la fin !

Karsh reçus un coup au mollet, il se retourna et vit une fille avec une dague ensangletée.
- Pauvre idiote ! Je n'allez jamais le tuer !
Karsh se retourna prit dans son sacs un bandage et attendit alors en pressant sa plaie avec sa main, il s'était assis sur un petit muret son épée toujours à la main. Il ne pourrait pas se faire attaquer par derrière à présent. Il regarda fixement Guillemot et attendit une éventuelle éponse de celui-ci il n'avait pas que ça à faire.

_ J’ai en effet combatte votre roi, c’est de ma lame qu’il est mort mais pas de mon bras : Elros c’est suicidé avec mon épée et ses blessures furent trop grave pour le maintenir en vie.

Soudain sa fille réapparut alors derrière l’homme et lui transperça le mollet avec sa dague.

_ Nioviel !!

Mais l’enfant était déjà partit, Guillemot s’avança vers Karsh, appuyé sur le mur, et lui tendit le papier de Elros mentionnant les vœux du roi.

_ Cela vous revient. C'est à vous que revient la tache de replacer votre peuple dans son honneur d'entemps.

(Pour ceux qui veulent venir à Minas Tirith ouvrez un nouveau sujet !!!)

[désolée]

Cela faisait plusieurs jours que je n'étais pas sortie, un mal de tête puis quelques envies de solitude probablement, je n'avais pas mangé depuis pas mal de temps, j'étais pâle mais je ne m'en étais pas rendue compte. Je sortis un beau matin, les jours avaient passés sans que je ne les compte, je m'étirais devant un si beau soleil. Je venais prendre des nouvelles chez les gardes postés devant ma porte. J'appris la mort d'un roi numéronéen dont je n'avais même pas connaissance de l'existence. Le moral plombé par une telle nouvelle, j'allais à la cueillette de fleurs aux marchés. Raté, je m'étais à nouveau perdue dans la ville, ce n'était pas si facile de se retrouver dans toutes ces ruelles qui se ressemblent tant. Je réussis finalement par accéder au niveau de là où j'avais pu observer la venue du Nazgûl la première fois. Je me remémorais de cette tragédie avec un faible sourire ironique. *Fameux jour !!!* Soudain je me rapellais d'une requête, celle de mes armées, je me frappais la tête contre la paume de ma main.

Ha ! zut de zut, quelle sotte je fais ! comment je vais faire maintenant.

Les gens qui étaient autour de moi, me regardèrent bizarrement, une elfe se parlant à soi même en elfique, ce n'est pas un bon signe. Enfin ! Je prenais les pents de ma robe dans les mains pour pouvoir courir, je courrais retrouver Guillemot, je savais pas où le trouver mais par chance je tombais nez à nez sur lui, enfin un peu plus loin ... Je vis la scène lorsque la petite dans les bras de son père sauta et transperça la cheville du numéronéen, je pus réprimer un fou rire à cette vue. La petite fonça dans ma direction pour pouvoir se cacher, moi même j'étais cachée par un mur, elle ne pouvait pas savoir. Je décidais de sortir de ma cachette, un regard dédaigneux de ma part vint se poser sur Karsh. Je souriais.

Un avenir se dessine pour la petite...
Soit, j'aimerais pouvoir m'entretenir avec vous Guillemot tout à l'heure lorsque vous aurez du temps à m'accorder. Ce serait à propos de mes elfes.

Je regardais calme le conseiller, je regardais autour de moi et tentais de comprendre où était passée la jeune fille, j'aurais bien aimé parler avec celle-ci mais elle avait l'air de s'être enfuie, tant pis ... J'attendais une quelconque réponse de Guillemot, un signe, un hochement de tête, je tentais de m'effacer mais je ne pouvais en venir à bout à cause de l'attente de ma réponse.

La jeune fille était partie en 4eme vitesse pour ne pas se faire attraper par cet homme à l'aspect peu engagent et alla se cacher derrière une grosse caisse. Elle observa la scène et vit une créature magnifique, une elfe. Elle n'en avait jamais vu et ne pu s'empêcher de lâcher un "Waowww" sonore, que l'elfe avait surement entendu grâce à son ouïe fine. La fillette continua à observer la dame avec de grands yeux curieux, sa petite tête dépassant au-dessus de la boîte. Elle n'avait jamais vu d'être aussi étrange. Elle avait déjà rencontrée un hobbit, Peregrin Touque, par le passé, mais un elfe, c'était bien plus étrange et mystérieux !

( Désolé, pas beaucoup d'inspiratio aujourd'hui ! )

De plus en plus curieuse de l'elfe qui lui faisait à présent signe de les rejoindre, Nioviel s'approcha en trottinant et salua Elenwë avec une révérence un peu maladroite. Elle avait vraiment l'air d'une petite guerrière, avec ses longs cheveux qui n'étaient pas coiffés, sa dague elfique à la main et ses habits sales. Elle garda le silence car la discution semblait sérieuse et demeura silencieuse, attendant la suite des évènements qui ne tarderont surement pas. Elle observa son père, puis la dame elfe qui semblait contrariée par le soleil. La petite fille regarda elle aussi l'astre du jour en souriant, car il lui réchauffait la peau.

( A savoir que mon nom et mon arme sont d'origines elfiques, des choses qui peuvent cotrarier une elfe comme vous, Elenwë )

Akaritsu avait fait long voyage pour arriver à Minas Tirith. Ils étaient avec milles soldats, ils passèrent à travers les portes de Minas Tirith et montit les sept niveaux de Minas Tirith, malgré les gardes qui essayé en vain de les tuez avec leurs lances. Il soupira et vit, une elfe, un homme, un autres elfe appuyé contre le mur et une fillete. Il s'approcha d'eux et leurs demanda de sa voix lente et rauque:

- Pouvez me dire où est le roi ?

Akaritsu regarda alors les personnes qui avait tourner le regard vers eux, l'humain avait tirez son épée :

- Vous ne pouvez pas me tuez, alors au lieu de me faire des petits chatouillement au niveau de mon corps, répondez tout de suite.

_ Il se passe que le Mal est de nouveau à nos portes et que vous pouvez nous aidez.

Aragorn, grand roi du Gondor, avait été absent à Minas Tirith depuis plus d‘un mois. Et à son retour à la citadelle, les gardes de la porte l’acclamèrent en apercevant leur roi chevauchant Arod, le cheval d’Elessar depuis leur rencontre dans les écuries d’Edoras. Quelques heures après avoir remonté considérablement le moral de toute la ville, Aragorn, ne voyant pas son conseiller Guillemot, charger de diriger Minas Tirith en son absence, demanda aux gardes de la Fontaine, gardes de l’Arbre Blanc (qui fleurissait de plus belle), et ils lui indiquèrent la Maison des Guérisseurs. Aragorn comprit en traversant une partie de la ville qu’il avait manqué énormément de chose et il se fit penser de demander tous cela à son conseiller.
En arrivant à la bâtisse des soigneurs, il aperçu bien sur Guillemot, mais la forme verte et luisante à ses côtés le fit un peu réfléchir, il reconnut vite le Roi des Morts, le roi des spectres maudits par son ancêtre Isildur. Grâce à ses hommes, Aragorn avait quand même apprit que le Mordor préparez une immense attaque contre la citée Blanche ainsi que l‘attaque d‘une partie des Peuples Libres contre la Porte Noire, et la venue d’Akaritsu fut opportun.

_ Je suis heureux de vous revoir ici Akaritsu, car il me semble qu’une aide aux hommes à la Porte Noire serait décisif. Je suis désolé de vous renvoyez déjà hors de la ville, mais je vous demande à vous et à vos semblables de m'accompagner pour leurs venir en aide. Je sais que je viens de revenir, dit-il enfin à Guillemot, mais c'est mon devoir dit aller.

Akaritsu inclina la tête en signe de salut. Il lui dit alors :
-J'enverrais cinq milles morts là-bas, et cinq milles ici où cas où si Sauron se vengerai et si vous me le permettez moi et mes semblables nous sommes tombés d'accord nous vous aiderons jusqu'à la fin de sauron.
Akaritsu avança vers Aragorn, il avait changé depuis leurs rencontre. Akaritsu avait les yeux fixés sur lui, jusqu'à ce que son regard fut attirés vers l'épée de celui-ci, il recula alors de peur, car l'épée qu'avait Aragorn était l'une des seul pouvant les tuer.