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Elros avait fait un long voyage pour venir à Minas Tirith avec deux milles sodats. Les chevaux était fatigués et avançais très lentement. Plusieurs minutes plus tard il était arrivait devant les hautes et solides portes de minas tirith. Sur les remparts il vit Jhuldan en compagnie du conseiller du roi dont il en avait vaguement entendut parlé par des soldats du gondor qui surveillait les routes. Il tira un drapeau blanc l'attacha au bout de sa lance et le plantea dans le sol. Il descendit de son cheval et cria :
- Normalement vous avez dû recevoir un message disant que Elros, moi, voulez vous voir pour marchander. Si vous me proposez quelques chose qui pourrait m'intéresser en échange de mon aide.
Il regarda alors les deux hommes en attente d'une réponse rapide. Plusieur minutes s'écoulèrent. Il mit empoigna le pommeau de son épée. Il avait décidé d'attendre quelques soit le temps. Il n'avait pas détourner les yeux une seule secondes de Jhuldan et de son compagnon.

Dans la matinée, alors que Guillemot était dans la grande salle pour préparer son départ à Dale, il vit le jeune Touque, en retard à son poste, arrivé devant lui et en lui expliquant la situation :

_ Je comprend parfaitement votre fatigue, les temps son dur… Et donc comme vous semblez aimer les matinée sous la couette, je vais changé vos tours de garde. Vous commencerez à 10 heures et finirais votre journée à 23 heures. En espérant maintenant que vous serez à l’heure.

Puis après avoir discuter avec Perrin, il se tourna vers Elbarâd.

_ Comme votre jambes va mieux, je voudrais que vous assureriez de Minas Tirith avec maitre Touque quand je serez partie à Dale. Je ne pense pas que les orques diviseront leurs force ou que ce Nazgûl reviendra en sachant que la porte Noir et attaqué.

Elenwë arriva à son tour dans la salle et Guillemot la salua. Derrière elle un garde apparut.

_ Seigneur Guillemot, Un dénommé Elros est aux portes et veux vous parler.

Guillemot descendit avec les autres les étages pour aller à la porte de la ville. En effet une petite armée était aux portes et un homme se tenait devant eux. Guillemot comprit qu’il s’agissait de Elros. Le conseiller fit ouvrir les portes, et suivit de ses amis, s’avança vers le roi des Numénoréens noirs.

_ Votre aide serait la bien venue, surtout avant l’attaque sur le Mordor. Que voulez vous? De l’or ?

Invité

Le nazgûl continuait à surveiller la cité quand soudain, des soldats armés débarquèrent dans la pleine. D'après leurs bannières, c'était des numénoréens, ce qui étonna la créature, qui les croyait disparus. Il se reprit vite et décida de faire beaucoup plus attention aux évènements qui allaient se produire. Il décida d'avancer discrètement et se cacha derrière un énorme rocher non loin des portes de la ville. D'ici, personne ne pouvait le voir, mais lui pouvait tout entendre et voir ce qu'il allait se passer.

Elros rigola bruyamment. De l'or et puis quoi encore, il avait tout l'or qu'ilvoulait. Il répliqua alors :
- De l'or j'en est plein chez moi et bien plus que vous en avez. Voilà ce que je vous propose: Soit des soldat qui m'obéiront, des terres ou autres chose, mais pas de l'or, j'en trop et je ne c'estpas quoi en faire.
Elros regardait le conseiller droit dans les yeux, Elros savait qu'il ne serrait pas d'accord pour les soldats et encore moins pour les terres.
- Sinon j'aimerais bien des trébuchets, des catapultes, des baliste de sièges, des flcèhes et des lances. Car j'en manque énormément, car j'utilise le bois souvent pour des navires de marchands ou des navires de guerres. J'aimerais aussi possédez des vant-poste dans vos terres. car je pense que mon aide vous serait utile pour l'attaque contre le mordor, plus précisément la porte noire qui reste invincible par vos attaque inutile. Et si vous refusez d'une vous avait Sauron contre vous et de deux mes cnets milles soldats qui attendant sur les rives de la terre du milieu détruiront tout sur les passages. Alors que me proposez-vous ?

P'tit Nouveau Nombre de messages : 91 Date d'inscription : 13/10/2007

Pippin fut soulagé d'apprendre qu'il n'aurait plus à surveiller les plaines la nuit. Ainsi, il pourrait enfin dormir un peu plus et cela ne lui ferait pas de mal ! Il se tourna vers le capitaine quand celui-ci lui demanda ce qu'il avait vu dans la plaine et se rappela vaguement de quelque chose. Soudain, il ouvrit de grands yeux et s'écria :

"Mais oui c'est vrai ! J'ai vu une silhouette noire non loin du lieu du combat d'hier ! Là où les cadavres de mercenaires du Sud sont en train de pourrir !"

Il fut coupé net par le conseiller qui ajouta qu'il voulait qu'il reste ici avec Elbarâd pour s'occuper de la cité car lui-même devait partir à Dale, la cité naine d'Erebor. Peregrin se redressa et à son tour, interrompit Guillemot :

"Messieur ! Si je puis me permettre, j'ai voyagé jusqu'en Erebor il y a deux ans et je connais bien la ville ainsi que la route pour y aller ! En plus, il y a si longtemps que je n'ai pas quitté le Gondor..."

Ce n'était un secret pour personne, Peregrin Touque aime voyager. Depuis ses aventures avec la Communauté de l'Anneau, il avait pris goût aux longs voyages dans des contrés inconnues. Deux ans plus tôt, effectivement, il prit des congés pendant lesquels il rendit visite à Elrond pui alla en Erebor pour visiter la Montagne Solitaire, ancien fief du terrifiant dragon Smaug. Il se tut soudain, car un garde rentra et déclara qu'une armée se trouvait aux portes. Il suivit tout le monde et écouta...

Guillemot ne voulait pas lui donner de terres car si Elros se trouvait plus tard dans le temps allié à Sauron, il aurait d’important point d’avance et la quantité de bois que Minas Tirith était avec l’Itilien quasi infinie.

_ Je vous propose autant de bois que vos navires peuvent transpostaient, et vous alimenter quotidiennement. Et si votre aide devra être demander dans les semaines à venir, je verrais personnellement pour vous donnez un avant-poste sur les côtes.

(plus tard pipin je dois régler le truc avec Elros, reviens me le dire après)

Invité

Le nazgûl fut satisfait des paroles qu'il entendit. Si Elros se liguait contre le Gondor, se serait l'occasion de les detruires une bonne fois pour toues ! Mais la créature des ombres ne s'emballa pas trop vite. Le conseiller de la citadelle était intelligent, il fera en sorte que ces hommes soient de son côté. Et de ce point de vue, c'est plutôt les soldats du Morodor qui en souffriront. Il fut heureux cependant d'apprendre que l'ennemi comptait attaquer la Porte Noire, ainsi, il pourrait avertir son maître à temps et l'ennemi se retrouvera face à des forces prêtent à les repousser.

Quelques minutes plus tard, comme le nazgûl s'y attendait, les humains trouvèrent un arrengement, la situation devenait d eplus en plus critique pour le nazgûl...

- Très bien, merci je reviendrais demain, pour le bois.
Elros parti de son cheval et se dirigea vers le Nazgûls disparraitant du champs de vision des gondoriens. Il dit au Nazgûls.
- Ne t'inquiète pas c'est une ruse je suis avec ton maître et mes cents milles commencent déjà à piller les villages sur mon ordre. Quand tu verras ton maître dis lui qu'Elros l'a rejoint dans ses rangs et qu'il l'aideras pour la bataille de la porte noire. Comme ça les effectifs du bien souffriront de leurs défaite et dis lui aussi que Karsh, mon amis seras là pour l'aider.
Il regarda le Nazgûls sans avoir l'ombre de terreur, tandis que ses hommes reculait peu à peu à la vue du Nazgûl. Mais Elros n'avait pas bougé d'un poil il descendit de son cheval et regarda toujours le Nazgûl en attendant la réponse de celui-ci.

Invité

Le nazgûl remarqua que le chef des numenoréens était un bon pisteur, car malgré tout, il détecta le nazgûl. Celui-ci siffla lorsque l'humain s'approcha, mais quand l'autre le rassura en lui assurant sa loyauté, il ricanna, avant de répondre :

Nazgûl : "-Bien ! Je suis content d'apprendre que d'autres humains que les hommes du sud et d'Umbar ont compris qui était le véritable maître ! Je suis sûr que Sauron, mon maître, saura vous récompenser ! Les terres du Gondor feront sans doute l'affaire, n'est-ce pas ? Mais assez parlé ! Si vous ne faites pas partit des troupes gondoriennes qui vont partir à Dale, j'ai un plan parfait pour en finir une bonne fois pour tout avec ces idiots ! Suivez moi !"

La créature avait raison, il allait paraître étrange que les soldats s'arrêtent ainsi sans raison. Le Nazgûl partit donc furtivement, suivi des troupes d'Elros et de celui-ci. Une fois que les troupes en entières furent rassemblés derrière des collines, hors de la vue de la cité blanche, un conseil de guerre eut lieu auquel assista le nazgûl, Elros et ses généraux. Le nazgûl déclara :

Nazgûl : "-Ecoutez moi bien ! Si vous n'êtes pas parmi les troupes des humains lors de l'attaque de la Porte Noire, on n'aura aucun mal à défendre le Mordor avec l'armée présente là-bas. Par contre, Minas Tirith sera vidée de ses troupes ! Voilà ce que je vous propose : Lorsque vous retournerez là-bas chercher votre bois demain, dîtes à leur chef que vous partez en avance et qu'ils n'auront qu'à vous rejoindre à Dale. Vous partirez en direction de la cité et dès que vous serez hors de leur champ de vision, revenez ici. Préparez-vous autant d'armes que possible avec ce qu'ils vous auront donnés et dès que leurs troupes partiront, il sera temps de frapper ! Qu'en dîtes-vous ? Le poste de seigneur de la futur Minas Tirith du seigneur des ténèbres peut vous revenir si l'assaut réussit !"

Le nazgûl se tut et attendit les réponses des autres.

Guillemot, toujours peu rassuré par l’aide d’Elros, médita pendant de longues heures à côté de l’Arbre Blanc, symbole du Gondor. Le moment était venue, le Gondor, ainsi que les peuples Libres de la terre du milieux devaient faire face ensemble devant la Porte Noir pour que le mal et Sauron soient anéantie.
Plus tard dans l’après midi, Guillemot monta au plus haut sommet de Minas Tirith, là où trônait de Feu d’alarme d’Amon Dîn, le feu unifiant le Gondor et le Rohan devant le Mal.
Le conseiller arriva à destination, les hommes charger du feu, saluèrent Guillemot.

_ Mettez le feu, allumez le feu d’alarme pour les peuples libres viennent ensemble affronter le Mal !!!

En quelques minutes, l’huile fut jeté. Guillemot, la torche à la main, s’avança vers le tas de bois et de paille.

_ Pour les Peuples Libres.

Il jeta alors la troche, le feu prit rapidement, et au lion, plusieurs torche s’allumèrent, l’heure de la bataille arrivait.

Je suis tout à fait d'accord. Il ammèneront le plus de soldat possible donc nous pourronsattaquer la cité sans encombre. Les corsaire iront prendre les hommes à revers de la porte noirs, ils pourront lancés des bombes incendières pour les encerclaient de feu et ils seront grillés. Après que Minas Tirth sera tombé au tour du rohan, les elfes sont les plus forts il faut les encerclers, moi, mes hommes et les corsaire attaqueront fondcombe. Après Sauron gouverneras la terre du milieu.

Le plan paraissait parfait, même trop parfait, mais il pouvait marcher, après Elros et les autres et surtout Sauron seront les maîtres. Ils pourras alors anéantir les elfes son désir de toujours. Il regarda les autres et attendit la réponse du Nazgûl.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 91 Date d'inscription : 13/10/2007

Pippin passa le reste de la journée sur les remparts à faire son travail et quand vint la fin de l'après-midi, il retourna là où il dormait et ranga ses affaires dans son sac qu'il laissa là. Puis il se rendit en haut de la tour où brûlait le feu qui servait à appeller le Rohan à l'aide et y trouva le conseiller. Il approcha à pas discrets et attendit quelques minutes, aux côtés de Guillemot en regardant le feu en silence. Il choisit bien ses mots, puis dit :

"Messieur le conseiller..."

Mais Guillemot leva la main en lui faisant signe de se taire et dit :

Invité

La créature ricanna devant l'impatience de l'humain, puis se reprit et lui dit, sur le même ton sec qui lui était familier :

Nazgûl : "-Du calme, Elros ! Prenons déjà le contrôle du Gondor ! Chaque chose en son temps ! Serait-il possible que vous envoyez un messager au Mordor annoncer le plan prévu, il n'aura qu'à porter la banièrre que voici et il pourra passer sans problème..."

Le nazgûl fouilla quelques instants dans son habits et sortit une bannière du Mordor, mais sous l'habituel signe des troupes du Mordor, un anneau avait été brodé en plus. Le nazgûl tendit l'étendard à Elros puis reprit :

Nazgûl :"Prendre Minas Tirith est capital ! Une fois le Gondor sous notre contrôle, il suffira de faire appel aux troupes de l'Isengard pour réduire le Rohan en cendres après les avoir prit en tenaille. Les elfes et les nains suivront et comme vous le dîtes si justement, Sauron règnera sur ces terres. Mais d'abord, le messager, puis le plan prévu !"

Oui, je c'est qu'il ne faut pas se presser, mais il faudra agir vite, car sinon les forces du bien pourront commencer à ravoir et à préparer leurs défense. Il faut quasiment jouer sur la rapidité sur ce coup-là. J'avais quasi oublié l'Isengard, alors envoyez un messager dire qu'il commence à attaquer. Comme ça les rohirims ne pourront pas envoyé des renforts.

Il arrêta de parlez pendant un moment, mais voyant que personne ne prenait la parole, Elros reprit la parole.

- Je voudrais savoir combien il ya de soldats qui défense la porte noire, et combien de soldat m'aiderons à prendre Minas Tirith

Il attendit alors une réponse.

Invité

Le nazgûl s'appuya sur la table avec ses mains gantées. Il fit face au chef des numénoréens noires et lui dit sur un ton agacé :

Nazgûl : "-La Porte est gardée par le reste des nazgûls, les généraux de l'armée du Mordor et en cas de problème, Sauron lui-même peut se charger d'anéantir les forces ennemis ! Ne vous occupez pas de ça ! Ce qui est des troupes qui attaqueront Minas Tirith, ce sera votre armée, vous et moi ! Donc il vaudrait mieux qu'une fois en possession de votre bois, vous vous fassiez des munitions ! Maintenant, je veux que vous envoyez un messager à la Porte Noire pour les avertir du risque qu'ils courent et de votre adhésion aux forces de Sauron ! Faites vite ! Car vous avez totalement raison sur le fait qu'il faut agir vite !"

Elros appela un messager de son armée et lui dit :

- Vous allez partir pour le mordor et expliquer les risques à Sauron sur la porte noire et le plan pour prendre Minas Tirith et la suite. Prenez cinq cents hommes au cas où et tenez cette abnnière vous fera entrez facilement en mordor et dites à Sauron qu'on la rejoint est-ce clair ?

Le messager parti quelques minutes plus tard. Elros se retourna et regarda fixement le Nazgûl.

Ecoutez moi bien, je n'est pas trop aimé sur le ton que vous m'avez parler, alors s'il vous plait arrêter. Sinon pour Minas Tirith j'introduirai des soldats comme ça il pourront tué les gardes de la porte et nous ouvrires comme çà pas la peine de s'encombrer de bélier. Et nous prendrons Minas Tirith les mains dan les poches.

Il était interressant de voir que je connaissais plus de gens que eux ne me connaissait, par exemple simple, Peregrin Touque, j'avais du le rencontrer un jour mais de loin, et je me souvenais très bien de lui contrairement à Peregrin, je me souvenais de toutes les personnes que j'ai rencontré, depuis les millénaires que je suis en vie, j'ai rencontré des gens et pas qu'un peu, j'ai eu le temps de m'exercer la mémoire. Je suivais le mouvement sans réellement comprendre les enjeux du moment, une guerre se préparait quelque part et je n'avais pas réussit à savoir l'endroit exact où elle se passerait. Je sentais une présnece, un peu comme celle du Nazgûl, je regardais par la fenêtre mais rien, aucune ombre, aucun spectre. Soit, l'heure était grave, une mauvaise ombre planait non loin de là.

Bien je propose à nouveau mes services, si vous avez un faucon ou un volatile rapide et efficace, je veux bien envoyer un message de détresse aux miens vous disposerez de tant d'elfes qu'il vous plait, comptez archers, cavaliers, épéistes etc ...

Proposant ainsi mes services, je m'engageais dans une lutte bien grave et sans merci.

Guillemot était encore devant le feu d’alarme jusqu’à ce qu’un soldat vint lui parler.

_ Guillemot, un paysan de la côte nord-ouest veut vous parler, il dit que des villages subissent des attaques…

Mais à ce moment Peregrin Touque arriva à son tour. Il voulut lui parler mais Guillemot l’interrompit.

_ Excusez moi maître Peregrin mais je doit me rendre aux étages inférieurs.

Il descendit avec Pipin les escaliers et se rendirent devant la citadelle, prés de l’Arbre Blanc, où deux gardes aidaient un jeune paysan à tenir debout. Guillemot s’approcha de lui et le fit asseoir.

_ Qui y’a-t-il, qui vous à attaquer?

_ J’ai galopait pendant une journée et demie entière sans m’arrêter… Nous sommes partie de nos villages, moi et mes deux frères, vous prévenir, Minas Tirith, Dom Amroth et Cair Andors… Mais je crois être le seul à avoir atteint ma ville.

_ Mais qui vous à attaquer ?

_ Les Hommes venant de la mer. Les Numénoréens Noirs, ils nous attaquent quand nous allons pécher près d’une île faîtes de falaise…

A peine le pauvre homme avait déclarait avoir été attaquer par les Numénoréens que Guillemot ne l’écoutait plus.

_ Tous de sales traîtres, venir ici demander du bois en échange d’une aide et nous attaquer par derrière !!!

Ragée pas cette nouvelle, Guillemot se tourna vers Pipin.

_ Vous irez à Dale en mon nom, vous prendrait les hommes que je vous donnerez, dîtes leur que je ne peut venir…

Puis il s’adressa à Elenwë.

_ Je vais vous donner notre meilleur faucon, s’il vous plait, faîtes quérir le plus de cavalier possible, dîtes leur que Minas Tirith est en danger.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 91 Date d'inscription : 13/10/2007

Pippin suivit son seigneur sans broncher et apprit en même temps que lui la nouvelle. Puis il se souvint de l'ombre qu'il avait vu la nuit dernière et dit sur un ton plutôt inquiet :

"Ils se sont alliés au nazgûl !"

Puis Guillemot se mit à parler et finit par déclarer que c'est lui : Peregrin Touque, qui representera le Gondor à Dale et lors de l'attaque contre la Porte Noire. Le hobbit ouvrit de grands yeux, puis se ressaisit et s'agenouilla devant le conseiller et dit sur un ton solennel :

"Je promets de représenter dignement le Gondor, seigneur Guillemot ! Jusqu'à la mort, je servirais le Gondor !"

Par la suite, il se releva, puis réfléchit. Maintenant qu'ils avaient perdus l'avantage du nombre pour attaquer la Porte Noire, il leur fallait frapper au plus vite. Il dit à l'humain sur un ton sérieux :

"Je demande à pouvoir partir dans l'heure avec les troupes que vous me confierez. Nous devons partir au plus vite pour pouvoir surprendre le Mordor ! De plus, nous allons pouvoir..."

Pippin s'arrêta soudain et réfléchit encore quelques instants, puis il dit :

"Ou alors, nous devrions attendre l'arrivée des forces d'Elros, tous armés derrière les portes de la ville. Nous pourrions ainsi les surprendre et les exterminer, ainsi le royaume serait en sécurité pendant l'attaque contre la Porte Noire !"

_ Si les renforts des elfes peuvent venir, avec moi et Albarâd, la citée est imprenable même face à cents milles hommes. Vous de votre côté vous partirez dés que vos troupes seront prêtes, à savoir… 20 trébuchet, car il nous faut en garder ici… deux milles archers… et trois milles cavaliers. Les trébuchets seront décisif pour la destruction de la Porte Noir. Je crois que vous possédez toujours les dagues de Noldorin que les elfes vous ont offert… Si un Nazgûl vous attaque et que vos hommes ne peuvent pas vous aidez, cela vous servira. Je pense que vous avez toute les information requise pour ce voyage. Maître Touque, faîtes honneur aux hommes de l’Ouest.

( Tu peu allez poster dans « attaque » vu que je t’en donne le droit)

P'tit Nouveau Nombre de messages : 91 Date d'inscription : 13/10/2007

Peregrin s'inclina devant son seigneur et déclara sur un ton digne et plein de reconnaissance à Guillemot :

"Je ne vous decevrai pas, seigneur Guillemot. Je pars voir l'état des troupes et je pars tout de suite après, je vous dis donc aurevoir ou Adieu ! Que les Valars vous protèges et guide votre chemin !"

Le hobbit s'inclina une fois de plus devant le conseiller du Roi, puis il part en courant en faisant un bref signe de tête aux autres personnes présentes. Il partit en courant auprès des troupes qui préparaient le départ devant la porte et cria :

"Départ dans une heure, j'ai été chargé du déroulement des opérations ! On se dépêche, on va y aller !"

Suite à quoi Pippin se rendit dans la tour en quatrième vitesse et prit ses affaires déjà emballés sur son lit. Il s'en alla ensuite à l'écurie et demanda à ce qu'on lui fournisse un cheval plutôt petit qu'il lui serait possible de monter. On lui trouva une belle jument à la robe brune et on lui scella. Il grimpa dessus puis partit au galop jusqu'à la porte principale où il cria :

"Ouvrez les portes ! Pour le Gondor !"

Suite à quoi les lourdes portes de la cité s'ouvrirent et l'énorme convoi se mit en marche. Le hobbit, à la tête des troupes se retourna sur sa monture et regarda les remparts sur lesquels Guillemot n'avait pas bougé. Il lui fit un signe de la main, puis se retourna, sorti son cor et souffla dedans, faisant ainsi savoir au monde extérieur que le Gondor allait entrer en guerre !

( Je ne reponds plus ici, les troupes sont partis ! Bon RP à tous !)

Invité

boromir rentra dans la salle et vit en venant a minas thirit une grande armée en direction de la porte noir,il rentra et disa :

messirs,en passant devant la porte noir,en venant a minas thirit j'ai croiser une grande armée en direction de la porte noir,c'est le moment d'attaquer!!nous pourrions balayer l'armée de l'isengard,et vut que le mordor est occuper avec cette immense armée,il n'auront point de renfort et puis gandalf est venue avec moi,je l'ai croiser au rohan.c'est lui qui m'a convaincu d'attaquer l'isengard,il a raison!!!c'est maintenant qu'il faut reagir

puis boromir accompagner de gandalf attendit une reponse.

Elros regarda un long moment le Nazgûl et il se leva et dit :

- Et voilà je dois y allez rejoindre mes hommes devant Minas Tirith j'y vais faites comme tout à l'heure.

Elros parti, il galopa avec ses deux milles hommes un long moment lorsqu'il arriva devant les portes de Minas Tirith, non seulement les portes ne s'ouvrirent pas, mais tout les archers sur les remparts du premier niveaux les archers avait encocher des flèches. Au remparts, il vit un villageois à la tête ensangletée. Il comprit alors que son plan était jetée à l'eau.Il descendit de son destrier et prit sa lance et ses hommes firent de même, les chevaux étaient partis. Il prit sa lance prit de l'élan et la lança de toutes ses forces, les quelques secondes qui permit à la lance d'atteindre le murs paraissaient interminable, la lance traversa la tête du villageois et tua en même temps un gondorien. Les hommes d'Elros firent de même et sur deux milles lances, cinq cent atteignirent leurs cibles. Alors Elros mit son bouclier en avant, il savait que c'était sa fin, mais il ne tomberait, Karsh allait arrivé un moment à l'autre avec des renforts.

- C'est aujourd'hui où nos vies s'arrêteront mais nous ne reculerons pas, est-ce bien clair ?

Aucun soldats ne prostesta, alors s'approcha un peu des remparts et cria à ses hommes :

- A MORT !

Ses soldats crièrent cette phrase quatres fois de suite. Elros avait rêver de ce jour toutes sa vies, mourrir au combat, bien qu'il était forts ets es hommes aussi, Elros n'était pas fous, il ne pouvait évité plus de cinq milles flèches, qui s'abbaterront sur eux dans quelques instant, il tira sa deuxième épée bien qu'il avait toujours sa première épée dans la main. Il lança son épée sur Guillemot et lui trancha faiblement la joue gauche, en guise de cadeau d'Adieu. Elros lâcha son boucliers et attendit alors.

Un garde arriva devant Guillemot et Boromir, essouffler par la monter.

_ Seigneur Guillemot… Les numénoréens nous attaques !!!

Guillemot se tourna vers Boromir.

_ Nous discuterons de cela plus tard. Venez avec moi, car vous serais un bon dirigeant pour cette bataille.

Ils descendirent à l’aide de chevaux la citée, et se rendirent devant les portes. Elros était là, accompagné de deux milles soldats. Il vit sur les côtés que déjà plusieurs Gondoriens avaient périe. Guillemot, voyant Elros lui jetait son épée sur lui, essaya de l’éviter mais elle lui coupa une fine partie de la joue gauche. La bataille commençait. Guillemot se tourna vers les étages supérieurs comme pour vérifier quelques chose, puis se retourna vers leurs ennemis.

_ Pour le Gondor !!! Ouvrez LE FEU !!!!

Un cor se fit entendre, et au loin, des cliquetis incessant commencèrent, en laissant place quelques secondes plus tard le sifflement d’une dizaine de roches, tombant sur les numénoréens. Quatre touchèrent des hommes, en déséquilibrant d’autres à leurs côtés.

_ Archers : TIREZ !!!!

Un millier de flèches arrivèrent sur le groupe tuant des hommes n’ayant pas replacé leurs défenses. Après leurs tires, Guillemot ordonna aux archers de s’agenouiller sur les remparts pour se protégeait des renvoies ennemis. Le groupe en face ne possédez ni échelles, ni bélier. Leur fin avait déjà commencerait.

Invité

Un nazgûl n'était pas lâche, mais encore moins suicidaire, il n'alla donc pas à l'aide de ses "alliés". Peu après le départ des Numénoréens, il vit les projectiles enflammés des archers sur les remparts et se dit que la fin de cette brève alliance était proche. Cependant, il sentait son maître, Sauron, qui approchait avec des centaines de milliers d'hommes prêts à combattre. Et cette fois, Numénor ou pas, le Gondor tombera ! Le nazgûl se réjouit de ses pensées macabres et continua d'observer le combat de loin. Pour le moment, personne ne l'avait remarqué depuis la veille à la cité blanche, ça leurs fera un choc de le voir surgir aux côtés du Seigneur Noir !

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