attaque substille

l'éclaireur d'Aldor était resté à Edoras. Il en avait la garde. Si des rennfort avait été amené, il aurait su leur arrivé. L'éclaireur s'approcha avec quelques hommes du chef des nouveaux arrivants.

Qui est votre Roi ? Et que vous a-t-il dit sur les derniers évènements qui ont cour?

Une question simple, mais l'éclaireur ne reconaissait pas les armures, les étendard des hommes qui sont entré dans la ville. Ils ressemblait au Rohirrims mais ils sentaient l'orc.

L'éclaireur n'était pas convaincue. Il regarda son interlocuteur dans les yeux. Ces yeux n'étaient pas ceux d'un homme et cette puanteur caractéristique des orcs.

Si tu es un Rohirrim, pourquoi ta voie tremble t elle? pourquoi cette hésitation dans ta réponse. un homme à l'aise répond sans hésitation!

Capturer les ou tuez les!

L'éclaireur sort son sabre et trancha la tête d'un homme proche.

Voilà la confirmation. Du Sang D'orc!

Tout en galopant dans les rues Théodred et les siens aperçurent devant eux une dizaine d’homme qui portaient des armures du Rohan mais qui n’étaient pas de ce pays car leurs peaux et leurs cheveux les trahissaient. Sans attendre Théodred ordonna la charge et les ennemis furent balayer tel les feuilles mortes par le vent. Après quelques minutes les cavaliers atteignirent la muraille et Théodred mit pied à terre. Déjà de nombreux combattants d’Edoras jouaient de l’épée, de l’arc et de la lance. Théodred monta sur la muraille après avoir ordonner le renforcement de la porte. Il jeta son javelot dans le dos d’un homme du Nord avant de dégainait son épée et d’en combattre un autre. Il le tua d’un revers de sa lame. Un autre adversaire courut sur sa direction mais d’un coup de bouclier en plein visage, Théodred le fit s’effondrer sur le sol avant de l’achever. Il vit alors Aldor qui combattait avec fureur mais submergé par l’ennemi. Lui et quelques hommes le rejoignirent et après quelques minutes de combat Théodred et Aldor se trouvèrent seuls entourés de cadavres. Théodred l’observa afin de s’assurer de son bon état. Il donna ensuite ses ordres.

-« Il faut protéger la population, moi et mes cavaliers allons faire une sortie vers la porte secrète qui mène aux montagnes, l’ennemi est en trop petit nombre par ce côté. Les habitants vont fuirent vers le Gouffre de Helm. Aldor je vais te demander de tenir jusqu’à ce que mon cor sonne. A ce moment la il faudra que tous nos hommes se replis au sommet de la colline. Le bas d’Edoras est trop grand pour que nous puissions le défendre efficacement. Nous nous retrouveront la bas ! »

Il posa sa main droite sur son épaule.

-« Il est fort probable que nous tombons ensemble ce soir mais battons nous comme nous nous sommes jamais battus ! Pour le Rohan ! »

Il disparut alors repartant de la muraille. Il rassembla de nouveau ses cavaliers qui étaient un peu plus nombreux et accourut vers la porte qui menait vers les montagnes déjà la population attendait prête au départ. Les portes s’ouvrirent et c’est cinq cents cavaliers en colères qui en sortirent balayant les quelques ennemis se situant devant eux. Les autres prirent la fuite. La population partir alors dans la nuit sans lumière pour ne pas être repérée mais guidée par les cinq cents cavaliers, l’un des cavaliers partit à grand galop vers Minas Tirith. Théodred retourna dans la cité, fit refermé les portes, saisit son cor et sonna dedans avec force. Le son raisonna dans toute la cité d’Edoras. Il repartir au grand galop vers le sommet ralliant les soldats qu’il croisait. Il ne restait à Edoras plus que quatre mille cinq cents soldats sans compter les pertes.

Théodred qui avait atteint les sommets d’Edoras, fit fermer les portes après s’être assurer que tous les hommes y étaient regroupés. Il monta sur la muraille qui dominait de plus de cinquantes mètres de hauts le bas de la cité et il posa son regard vers l’armée adverse. De nombreuses torches brûlaient. La population avait cependant réussie à fuir et rien qu’en cela Théodred était heureux d’y avoir reussis. C’est alors qua la machine de guerre machiavélique de l’ennemi se mit en place, dix mille archers ouvrirent le feu mais Théodred sourit. Car l’ennemi n’ayant pas encore détruit la porte principale de l’entrée, les flèches se perdirent dans la ville. Il ne restait plus personne tous étaient au sommet. Quelle perte de flèches inutiles.

Pendant que l’ennemi gaspillait ses armes de jet dans le vent, Théodred ordonna le renforcement de la porte du sommet, le rassemblement de toutes les armes possibles et fit bouillir de l’huile en grande quantité ainsi que de l’eau. L’un de ces capitaines s’avança vers lui.

Capitaine du Rohan –« Combien de temps allons nous tenir. »

Théodred répondit d’un air inquiet.

-« Je n’en sais rien…l’ennemi pense que nous sommes encore en bas et il tir ainsi de nombreux traits dans le vide cependant c’est un gros sacrifice que nous avons fait en laissant le bas de la ville mais nous devons être heureux. La population est libre est hors de danger. »

Il sourit, tous se mirent en position.

-« Aldor, prenez position avec vos hommes en haut de la porte. »

Théodred se plaça sur la muraille attendant l’arrivée des forces adverse avec détermination.

Saresh qui était seulement venu faire une visite vis a la place de Edoras une sênes de désolation.

-Boris ma lance!

Il prit sa lance et désendis de son cheval il prit son élan et la lanca de toute s'Est force transperssant un homme.Saresh qui n'étai venu qu'avec s'est generaux était sous le choc.

-BASTON!

Pret a foncer il fut retenu pas Mazal.

Mazal:mon seigneur si vous aller la bas vous mourer!

-s'est vrai il a un fond de vériter mais si ont charge ont meur en tuant beaucoup d'orc et homme mais aussi ont peux mourir alors je vais les batre a distence

Saresh prit son carquois et le mit au sol il prit une fleche et commenca a tirer sur les ennemi comme si s'était un entrainement.

Saresh! Les porte son FERMÉ ET BARRÉ et vien pas dire que tu els escalade ou que tu passe par une autre chemin yen a pas


Bon tres bien , Mes hommes , nous allons aller au chateau en haut et , nous allons entré et prendre possetion du territoire enfin.

mes hommes et moi allerent jusqu'au chateau , j'avais laisser 15 000 hommes en bas. En arrivant au porte du chateau mes hommes aisailla de l'ouvrir. Elles étaient barré.


chef , les porte... elles..elles.. sont barré.

Apporter les balistes et attacher une corde dessu chaque et tiré par la suite. Les 10 balistes arriverent et mes hommes attacherent une corde , grace au systeme de poulie nous pouvions tiré et forcer les portes... alors j'ordonna que l'ont tire dessu les portes.


TIRÉ

10 geantes fleches entrerent dans les portes en les défoncant. Puis mes hommes se mirent a tourner les levis. Les portes commencaient a craquer sous la pressions puis une des fleches lacha, puis une autre. mais On les retiraient. Apres plusieurs minutes qui parue des heures enfin nous avions ouverts les portes , sauf que a la place de charger je me suis avancer et j'ai pris la parole.

- Je vous offre deux choses. Sois que vous travailler pour moi et que vous devener mes hommes, Ou vous mourez. A vous de décider.

(dsl je vais éditer mon message en haut ne compte pas)

Saresh venais d'arriver et galopa en direction des porte il entendais des bruit de pas et du sacage il apercu cogna a la porte en hurlant.

-OUVRER LES PORTE!

Mais rien a par des bruit de pas qui vennais vers la porte.


[ EDIT ANYA: SARESH! IL ME SEMBLE QUE CE N'EST PAS LA PREMIÈRE FOIS QUE JE T'AVERTIE! 3 LIGNES COMPLÈTES, C'EST PAS SI DUR QUE ÇA NON? ET FAIS ATTENTION A TON FRANÇAIS, S'IL TE PLAÎT! C'EST PÉNIBLE TE LIRE! Non mais vraiment.. ]

Dsl la mais bon donné moi un avertisement pr hrp ( Je suis a l'intérieur des mur de la cité , Tu ne sais pas que je suis la et je ne sais pas que Tu est la. tu ne peux pas entré ni voir a l'intérieur personne va te laisser entré... en fin de compte je ne sais pas se que Tu fais la.)

Edit Targon: Voila ma parti, Saresh tu es meme pas dans le combat, vue que tu es pas en mesure de combattre du au fait que tu es pas rester asser longtemps a une maison de guerison, deplus que la ville est barré et les soldats d'Agatuuk sont DEDANS la ville... alors tu ne peux rien faire appart te demander pourquoi la porte est barré

(Il n’y à que quatre personnes dans ce sujet sauf les renforts qui vont arrivés ces personnes sont Miaki(qui était présente dans la cité au moment de l’assaut), Moi, Aldor et notre amis le méchant orc lol)

Les orcs après s’être assurés de la possession du bas de la cité entamèrent la monté vers le sommet. Une fois arrivaient à portés, nombreux d’entre eux tombèrent sous l’effet des traits tirés par les défenseurs. Théodred regarda l’immense armée qui avançait malgré les tirs. Il soupira.

Arrivaient devant les portes les hommes du Nord entamèrent un échange de flèches avec les défenseurs pendant que les énormes balistes se mettaient en place. Plusieurs furent incendiées par des flèches enflammées mais rien n’y fit. Dix d’entre elles tirèrent perçant la porte en de nombreux endroits et les orcs entamèrent l’ouverture de la porte. Théodred se tourna vers Meduseld visiblement certain de l’issue de la bataille. Il soupira et aperçut Miaki. Il la regarda un moment jusqu’à ce que la porte fut littéralement arrachée.

Un grand orc s’avança devant les derniers défenseurs d’Edoras. C’était visiblement leur chef. Théodred décendit de la muraille écoutant l’orc parlait.

-Je vous offre deux choses. Sois que vous travailler pour moi et que vous devenez mes hommes, Ou vous mourez. A vous de décider.

C’est alors que Théodred apparut devant l’orc. Le terrible monstre était bien plus grand que le prince mais celui-ci n’avait pas peur.

-« Ces choix sont bien étranges, d’habitude les orcs préfèrent détruire tout jusqu’à la dernière pierre. Que recherches tu ici ? »

Il avait ranger son épée et fixer l’orc droit dans les yeux.

-« Aucun fils du Rohan ne travaillera jamais pour toi et tu risque de perdre encore plus d’hommes avant que nous soyons tous morts. »

Il soupira.

-« Tu as déjà des hommes qui te suivent et tu recherche une terre à habitée. Pourquoi nous faire la guerre. Tu détruit un allié potentiel plus sur que le Mordor et l’Isengard. »

Théodred fit alors un petit sourire presque amical.

-« Si tu me tus et que tu tus tout les hommes ici présents, mon père viendra et me vengera. Tu resteras l’esclave de Sauron si tu survis. Moi je te propose un choix. Libères toi de Sauron créer un peuple. Si tu quittes cette cité nous te trouverons une terre et une alliance sera bâtie. Je te le jure. »

Son visage redevint ferme.

Je ne s'avais pas quoi vraiment dire apres que Theodred eu fini de parler. J'étais boucher si on veux. Je ne pouvais pas accepter son offre.. mais je ne pouvait pas le tuer comme les autres. Lui il avait quelque chose de différent si on veux. Alors je me tournas vers mes hommes en position d'attaque puis je me retournas vers Theodred.


- euh...euh... regarde... j'ai pas l'abitude de parler avec mes adversaires mais je veux mettre des chose au claire immédiatement. Tu es le premier qui vien me parler comme si j'étais normal. Alors je ne vais pas te tuer sois en sur. Mais je ne peux pas accepter ton offre... devenir ton ami... Tu vois... alors regarde. je te laisse la vit sauve ma va ten. je ne veux plus te revoir Ici compris? je laisse tes hommes et toi vivant. Je vais dire a mes roi que je ... que Tu tes sauvés. mais je dois avoir cette citer a tous prix.. alors par et va rejoindre les tiens.

puis je me tourna vers mes hommes, qui semblait étonné par se que je venait de dire...

QUOI QUE VOULEZ-VOUS? QUE JE VOUS MANGE UN PAR UN? ALLEZ JE LEUR LAISSE LA VIT SAUVE POUR CETTE FOIS SI, Je ME SENS GÉNÉREUX.


*se tourne vers theodred.*

Bon alors si tu ne par pas je vais devoir utiliser la force.

Ainsi les paroles de Théodred avaient émues le grand orc, celui ordonna à Théodred de partir avec le reste de ses hommes. Théodred sourit mais ce n’était pas un sourire de victoire mais celui d’une heureuse surprise. Il s’approcha alors de l’orc alors que déjà les soldats du Rohan, comme ayant saisis l’intention de leur chef, préparaient le départ. Théodred à quelques pas de l’orc le regarda droit dans les yeux.

-« Alors tu refuses la paix avec le Rohan et mon amitié…c’est la guerre qui nous unie désormais. »

Il soupira.

-« Cependant je dois avouer que c’est la première fois que je ressens de l’admiration pour un orc. Alors que tu pouvais en un seul ordre le massacre des miens tu me laisses partir. Si nous reprenons Edoras je ferais en sorte que tu puisses également en ressortir vivant et libre. Je n’oublierais jamais ce geste. Adieu ! »

Il grimpa sur son cheval que l’ont venait de lui emmener puis s’avança avec le reste des forces du Rohan et des gens qui n’avaient pas encore fuient. Miaki était à ses côtés. Ils quittèrent la cité et après quelques heures de route il rattrapèrent le peuple qui avait déjà fuit. Théodred regarda une dernière fois les lumières d’Edoras.

L'éclaireur avait suivit les instructions de l'héritier à la lettre; il avait peu d'expérience du combat. Mais il l'avait pris pour Aldor. il devait remagnier cette erreur.

Mon Seigneur; je ne suis pas Aldor. Je suis l'un de ses éclaireurs. L'unité spécial qu'il a créé. Une unité d'espion, de comandant, de diplomate et de messager. Le tout à la fois. Aldor est parti pour le Rhûn au moment où le Mordor attaquait Minas Tiriths. Le territoire doit être pris à l'heure qu'il est. J'étais charger de garder la ville pendant cette attaque. Un autre de mes collègues garde l'ouestfold dans la forteresse que nous avons batis. Un Nain et un Assassin ont accompagné mon maître. tend qu'il n'est pas là je suis à vos ordres.

Saresh vus la porte ouvrir et des cavalier sortis de Edoras il dis.

-Mon seigneur ques qui s'est passer ici

Cinq homme galopais avec un cheval qui tenais il donna les r^ne a Saresh qui monta.

-j'ai entendus des bruit de combat et quel que sênes de désolation avant mon arriver ques qui s'est passer

Saresh suivais les seigneur au galo il attendia sune reponce mais beaucoup de cavalier avais un regard froid et lugubre.

L’éclaireur d’Aldor pour qui le prince pensait qu’il s’agissait du véritable Aldor annonça l’erreur du jeune héritier. Théodred à la tète de la cavalerie sourit alors.

-« Excuses moi alors, je crois que le combat et la tension m’a un peu fait perdre la tète toutefois nous nous en sommes pas si mal sortit. Je pleurs ce qui sont morts et la perte de notre belle cité d’Edoras mais nous reviendrons je te le jure. »

Il soupira un peu déçus. Malgré ces paroles encourageantes, Théodred semblait bel et bien triste. Soudain un groupe d’une dizaine de cavaliers apparut. Il rejoignit Théodred et leur chef demanda des nouvelles.

-« Je devines à vos armures que toi et les tiens vous êtes des hommes du Gondor cependant il est trop tard, Edoras est tombait mais je suis parvenus grâce à l’aide de mes hommes à faire survivre la population et une grande partie de l’armée. Nous partons pour le Gouffre de Helm. Libre à vous de nous suivre. Mais je ne connais pas votre nom… ? »

La chevauché vers le Gouffre de Helm fut tranquille pendant plusieurs heures. Ils arrivèrent à un croisement d’une grande route et Théodred se tourna vers l’éclaireur d’Aldor.

-« J’ai une mission pour toi de la plus haute importance. Je te demandes d’aller voir mon père qui est avec le gros des forces du Rohan à Minas Tirith et de l’avertir de la situation, racontes lui la bataille et indiques lui que nous sommes au Gouffre de Helm avec la population et à peu près quatre mille cinq cent soldats. Cours ensuite prévenir ton chef Aldor et si il souhaîte revenir qu’il me retrouve au Gouffre de Helm. Puisse des ailes pousser aux pattes de ton cheval. »

Il sourit à l’éclaireur qui peut être pour la première fois aller servir de messager dans une mission de la plus haut importance.

[Saresh, Miaki continuons au Gouffre de Helm]