La bataille

Quatre-vingt dix mille orcs du Mordor arrivèrent sur place, Grashnak en tête.

Ils arrivèrent au milieu du Khand, là où doit se trouver la bataille.
Les 50 000 autres soldats qui y étaient restés les rejoingnirent. L'armée de 0 90 000 orcs, semi-trolls et suderons stationnait, flèches bandées et épée empoignées.

Glusrak arriva en courant. Il fait du long chemin pour venir ici et l'avait parcouru en courant sans pause. Arrivant à Khand. Il vit une géante armée d'orques attendant apparemment leur adversaire. Glusrak s'avanca vers leur chef, Grashnak, le conseiller de Sauron qui avait mené les armées jusqu'ici en toute sécurité. Il se mit à genou devant celui-ci, pas seulement pour le respect, mais aussi à cause de la fatigue, puis dit :

" Mes armes sont à votre disposition, maître. Je vous respecte. Je me battrai pour la cause du Mordor pendant cette bataille. "

- Bien, dit-il, debout sur son ouargue. Voyons ce que les Isenguardiens font sur un champ de bataille.

Il sonna d'une grand coup de cor, qui se répercuta dans la vallée.
Le ciel s'assombrit, le soleil se voila et un orage éclata.

Les semi-trolls et les orques hurlaient des cris de rage. On attendait avec impatience 'accueillir les hommes du Gondor et ces soi-disant elfes.

Glusrak se prépara pour la bataille, prêt pour la bataille. Il se demanait où se trouvait les troupes de Khand. Il tira ces deux hachoirs de leur fourreau.

" Avez-vous pas peur qu'ils aient tendus une embuscade ? Si, ils sont derrière la montagne ? On devrait y envoyer un éclaireur. Je peux y aller. Je coure très vite. "

Glusrak n'avait pas peur. Il savait qu'il coure plu vite que des misérables humains. Il attendait à présent la réponse de son maître. Il regardait la dune au loin.

- Oui. Allez-y. Mais faites attention, les archers elfes sont étonnement rusés. Ils vous embrocherait comme un hérisson avant que vous ne les ayez vus. Déplacez-vous avec prudence, vous courrez surement plus vite qu'eux, mais pas plus que leurs traits.



Il fit volte-face. L'attente la bataille était impossible à surmonter et il se tâtait de fouiller les collines. Tans pis, se dit-il, ces imbéciles attendent et les orques seront plus énervés pour le combat.




Un messager le prévint de la présence d'attaque sur Edoras que l'on venait de capturer. Tant pis se dit-il. Il confia la commande ç des généraux et partit au galop en ouargue, suivi de Glurak.

Grashnak venait d'avoir un message de partir. Grashnak partit sur un ouargue pour partir. Glusrak le suivit à pleine vitesse. Il devait faire beaucoup d'efforts pour tenir avec l'ouargue de Grashnak. Il vit les orques stressés les regarder s'éloigner, plein de jalousie, sachant qu'ils doivent rester ici. Glusrak se demanait où ils allaient. Il abondonna vite la question et fit confiance à Grashnak.