départ

Cela faisait un bout de temps à présent que la bataille de Minas Tirith s’était terminée, plus de bataille pour moi à présent. J’avais été ramenée par Kir-Thelassis après avoir été à nouveau inconsciente, le coup qu’avait porté le Nazgûl sur moi avait été tellement fort que voici quatre jours que je dormais. Ma convalescence allait pour le mieux, soignée par la Valar qui avait eut la bonté de me ramener, mais je sentais une autre présence qui disparaissait à chaque fois que j’ouvrais les yeux, quotidiennement je me levais et allais me promener un peu mais mes forces physiques étaient bien faibles et ma capacité à marcher était tout autant faible. J’aimais me poser sur un banc pour sentir le vent contre mes joues, ce sentiment de plénitude et de béatitude était une véritable découverte. J’entretenais une liaison épistolaire avec mon mari qui tentait pour le mieux de me rassurer sur le sort de mon pays et me conseillait toujours de rester à Minas Tirith et de lui revenir en pleine santé. Je me demandais comment vivaient mes sujets, comment se portaient-ils mais je n’arrivais pas à acquérir cette imagination. Plusieurs fois lors de mes promenades des larmes chaudes coulaient sur mon visage mais à chaque fois que je revenais dans ma chambre de malade personne ne se rendait compte de ce qui était arrivé. Je savais que Kir-Thelassis soupçonnait un brin ma mélancolie mais je ne lui laissais jamais arriver à des conclusions définitives. Je vivais ainsi depuis quatre jours et pourtant le temps paraissait s’écouler en des années entières il me semblait que plusieurs mois s’étaient écoulés au lieu de ces simples quatre jours. De temps en temps il m’arrivait de parler durant de longues heures avec la jolie elfe qui me soignait mais jamais nous n’avions abordé le sujet de nos terres sachant que cela ferait du mal à l’une ou à l’autre, c’était une simple forme de respect mutuel que nous entretenions sérieusement. Plusieurs fois elle m’avait parlé des terres qu’elle avait visité, elle aimait cela, ça se sentait dans sa manière de parler, dans son regard vide, plein d’espoir, de rêves et pourtant si triste, abimé par un passé douloureux. Jamais Kir n’avait mentionné ses parents je supposais qu’elle les avait perdus, elle souriait, son sourire est merveilleux bien que je fus dans une passe mélancolique, l’elfe de sa chevelure blonde-dorée me faisait rêver, son sourire si doux, si gentil, si rassurant et toujours avec une pointe de tristesse qui la rendait encore plus gracieuse grâce à ses origines. Kir-Thelassis me donna l’envie de voyager, visiter des mondes différents, des cultures et des traditions qui semblaient si étrangères et pourtant si proches des nôtres. Les discussions que nous avions eut étaient de temps en temps interrompues par des instants de rêveries ou par des allées de servantes qui apportaient de la nourriture. Ces jours m’avaient apporté beaucoup de douceur, de chaleur et de compréhension. Oui, je comprenais à présent les raisons qui ont poussé cette guerrière si fragile en apparence à en devenir une, je comprenais l’amour qu’elle avait pour la vie, la joie qu’elle donnait à sa vie. Beaucoup de choses s’étaient éclaircies grâce à elle.
Un matin du cinquième jour, je me réveillais prise de convulsions, j’avais fait un cauchemar terrible et peu de gens pouvaient me comprendre, encore une fois l’elfe vint à mes côtés mais accompagnée cette fois-ci, accompagnée d’une autre elfe que j’avais eut du mal à reconnaître. Nioviel, cette charmante et douce créature était venue tenant par la main l’imposante guerrière. Le visage grave de Kir montrait qu’elle voulait dire quelque chose mais elle afficha son sourire habituel et me réconforta.

- Surtout ne vous inquiétez pas, on s’occupe de vous …

Elle chuchotait et m’appliquait un torchon humide sur le front.

- Ni … Ni … Nioviel, venez par ici.

Je m’asseyais sur mon lit, toute en sueur, je regardais les yeux si brillants et si jolis de la nouvelle elfe. Je souriais et pris parole en ayant pris une grande décision.

- Nioviel, je vais me permettre de partir aujourd’hui. Je vous laisserais à votre père. J’aurais aimé parfaire votre éducation mais j’ai peur que la séparation avec votre père ne soit trop douloureuse pour une si jeune fille que vous.

Je regardais ensuite Kir-Thelassis qui s’affairait autour d’une table, je la hélais doucement et en murmurant presque je lui dis.

-Kir-Thelassis je sais que je ne devrais pas … je pars aujourd’hui. Je vous confie la garde de mon cheval quelques heures, attelez le pour que mon départ puisse se faire ce matin, je ne dois à présent plus tarder.

L’elfe se tourna vers moi avec un léger sourire aux lèvres, ses yeux verts flamboyaient et transmettaient la sincérité de son âme, sa sagesse d’un ton doux qui ne s’était jamais fait entendre elle me répondit avec respect :

-Permettez-moi de vous conseiller sur un point. Je sais ce qui s’est passé avec le jeune elfe. Elle ne comprend pas encore ce que nous disons … voyez plutôt comme elle lit et boit nos paroles, elle aime cette langue, alors que vous vous reposiez j’ai eu le temps de parler avec elle, c’est une jeune fille adorable, gentille comme un cœur et jolie comme un soleil. Cet enfant a besoin d’être épaulée, elle a besoin de connaître ses racines, elle a besoin de vous et vous ne pouvez pas la laisser ainsi sans aucune non pas défense mais sans aucune connaissance de son peuple, sans rien avec son père qui ne pourras que lui enseigner les théories elfes dans des livres et sans pratique de notre langue ne la connaissant pas. Je vais vous atteler votre cheval et il sera fin prêt pour votre départ mais sachez que j’espère une chose c’est que la petite viendra avec vous.

Sur ces paroles elle tourna les talons et sortit de la pièce, j’ai supposé qu’elle sortit tremblante et fière de son discours. Je regardais Nioviel d’un air abasourdi, jamais l’on n’avait osé me parler avec tant de toupet et sincérité, je remerciais intérieurement l’elfe bien loin à présent et je me levais de mon lit.

- Si vous voulez m’accompagner pour connaître un peu vos origines et toute la sagesse et le savoir des elfes vous avez intérêt à être bientôt prête, je voudrais vous voir à cheval prête au départ d’ici la fin de la matinée. Oubliez donc ce que j’ai dit tout à l’heure, vous devez une fière chandelle à Kir-Thelassis.

Je me demandais ce qu’allait me répondre la petite mais j’étais fière d’avoir ouvert les yeux et d’avoir été conseillée par une gente elfe dont la sagesse m’étonneras … moi qui l’avait vu tellement enfantine dans ses gestes, ses paroles me marquèrent.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 192 Date d'inscription : 16/10/2007

Nioviel avait passée ces derniers jours sans son père, celui-ci trop occupé à cause de la reconstruction des parties de la ville endommagés. Elle avait discutée la majeure partie de son temps avec Kir-Thelassis des elfes, même si ce n'était que des choses vagues mais le 4eme jour, alors qu'elle se promenait avec la guerrière elfe sur la place de la citadelle, Kir lui confia qu'elle sentait qu'Elenwë s'apprêtait à partir pour son pays. Elle lui dit aussi qu'à cause des troubles que la reine de Nevrast encourait intérieurement, la reine voudrait surement la laisser là et que si Nioviel voulait l'accompagner, il faudra qu'elle soit vive d'esprit et prévoyante. Ainsi, à l'aube du 5eme jour après la bataille, Nioviel se rendit avec Kir, dans la chambre de Elenwë, habillée d'une tenue de cuir faite pour la route et de couleur forestières, ainsi que des bottes noires aux semelles solides et souples. Elle avait attaché ses cheveux mi-longs bruns en arrière et les accrocha avec un simple bout de cordelette. A présent qu'elle s'était remise pleinement de sa transformation, bien que ses oreilles maintenant pointues lui cause encore quelque douleur que les pommades d'Elenwë et depuis peu celles de Kir fassent disparaitre la souffrance. Son visage doux était vraiment splendide mais ce qui se voyait le plus, c'était ses magnifiques yeux argentés. Quand Elenwë lui dit qu'elle préférait la laisser là, Nioviel ne broncha pas, s'attendant à cela comme l'avait prévue Kir. Ensuite elle écouta avec émerveillement les deux elfes se parler dans eur langue bien qu'elle n'en comprenait pas le moindre mot, et attendit la suite. Peu après, Elenwë lui dit qu'il vaudrait mieux qu'elle soit prête d'ici peu et là, la jeune fille sourit avant de répondre en se désignant elle=même ainsi qu'un sac de voyage qu'elle venait de sortir de derrière son dos :

"-Croyez-vous que dame Kir Thelassis ne m'avait pas informée de vos dessins ? Je suis levée depuis trois heures et j'ai sur moi une cotte de maille gondorienne, ainsi que cette tenue de cuir par-dessus, ma ceinture avec mon poignard elfique, dont je me pose la question de quel nom il peut bien porter, ainsi que des bottes de marches. J'ai également préparée mon sac, à l'intérieur duquel j'ai mis des habits de rechange, du "cram", ce pain au goût infecte mais qui prend moins de place et permet de tenir plus longtemps que la nourriture normale, ainsi que de l'eau dans une grande gourde et tout ce qui m'appartient, c'est-à-dire, pas grand-chose, je crois quand fait, tout ce qui m'appartient vraiment, c'est ce poignard... J'ai également scellée deux chevaux, celui que je monte d'habitude et le votre. Vos affaires sont dans votre sac au pied du lit, j'ai prise la liberté de faire vos affaires pendant que vous dormiez, mais je n'ai pas été curieuse ! Pour finir, j'ai laissé un mot à mon père, qui de toute façon, est trop occupé par les réparations pour s'occuper de moi ! Je crois ne rien avoir oubliée, madame Elenwë !"

Ainsi, Nioviel regarda la dame elfe d'un air triomphant, contente de pouvoir surprendre l'elfe, même si elle n'était pas encore sûr que celle-ci soit vraiment surprise...

Je n'arrivais pas à être étonnée de ce que m'avait dis Nioviel, Kir-Thelassis en bonne elfe avait tout prévu mais ce qui m'étonnais quand même c'était l'absolue insouciance de la nouvelle elfe. Ses beaux yeux métallisés me fascinaient, je me levais et pus observer la sincerité des paroles de la jeune fille, je souriais. Je ne doutais plus de rien à présent. Je m'habillais convenablement en ma tenue de voyage. Tenue en cuir qui ressemblait un peu à celle de Nioviel, ce détail me fit à nouveau sourire, je lassais mes chaussures hautes, je mis ma ceinture contenant mes armes à ma taille et je mis ma cape. Je regardais une dernière fois par la fenêtre et tressaillant légèrement je me tournais vers la jeune elfe, sa beauté, la finesse des traits de son visage m'étonnèrent encore. Prenant la parole je lui dis :

Ma chère Nioviel, vous pouvez à présent me tutoyer et m'appeler simplement Elenwë, dans les seules occasions de bal, de grande fête où la politesse vient de toute part, seulement dans ces occasions là vous devrez me vouvoyer. Aussi, si vous le permettez j'en ferais de même.

Je ne savais pas comment Nioviel avait vécu, je lui inculquais les règles de politesse principales bien que la toute jeune elfe devait les connaitre surement.

Pour ce qui est de ce que t'as dit Kir-Thelassis, cela ne m'étonne guère. C'est une gentille elfe qui mérite cette sagesse dont elle fait preuve.

Je parlais déjà pour moi même, j'avais détourné la tête et je fis signe en prenant mon sac de voyage à Nioviel de me suivre. L'excitation était à son comble, je soupirais, j'étais heureuse.

Bien, pour ce qui est du poignard, je suppose que ça te suffiras lorsque nous serons à Nevrast, je te ferais parvenir une et plusieurs autres armes. Je ne pense pas que tu saches ce qui t'attends réellement. Je vais t'apprendre toute la civilisation elfe, la médecine elfique qui ne se transmet que de génération en génération et des mouvements d'armes. Mais aussi et surtout notre langue, ce sera un enseignement long et un peu difficile qui devra absorber toute ton attention, ton père, tu pourras le voir mais ce ne seront des visites de courtes durée, enfin c'est un point que nous verrons plus tard. Tu vivras comme ma propre fille a vécu, en princesse, il y aura des jours qui seront difficiles et des jours où mon devoir fera que je ne serais pas forcément disponible. Bien. Si tu es prête à accepter toutes ces conditions plus ou moins difficiles, suis moi.

Je ne doutais pas que la jeune fille me suivrais, un moment d'adaptation et tout ira pour le mieux. Je m'inquiétais tout de même, je vis lorsque nous sortîmes Kir-Thelassis, je me précipitais vers elle pour la remercier, je soupirais.

Les elfes de Nevrast vous redevrons ce que vous avez fait pour moi, j'espère vous revoir en mon pays. Prenez soin de vous et que la grâce des Valars vous protège en toute situation.

Je souriais, je rêvais de ma ville déjà mais quitter une âme si humble me fendait le coeur. Je regardais Nioviel et lui indiquais le chemin que nous allions emprunter.

Kir-Thelassis avait amené la reine de Nevrast dans un piteux état et elle s'était mis en tête de la soigner. La guerrière passa quelques jours à son chevet à faire ingurgiter Elenwë des potions qui peu à peu la remirent sur pieds. A part s'occuper attentivement de la reine, Kir prit soin de Nioviel, pendant sa chevauchée vers Minas Tirith, Elenwë avait mentionné son prénom, prenant toutes les informations sur le jeune fille, Kir fit sa connaissance et lui exposa les faits. Les deux protégées de Kir parlaient souvent avec elle, l'elfe apprit beaucoup mais pas trop, juste ce qu'il fallait de leur vies. Cette situation plaisait beaucoup à Kir, elle se sentait utile et cela lui permettait d'oublier ses cauchemars qui lui revenaient quotidiennement. Au bout de 4 jours, la guerrière sentit que la reine était à bout et que sa décision de partir viendrait d'ici peu, son subconscient ne l'avait pas trompé, le lendemain très tôt elle rencontra Nioviel et lui dit de préparer les affaires de la reine et les siennes en la prévenant du possible changement d'opinion d'Elenwë. Kir-Thelassis fut pourtant surprise de ne ressentir aucun sentiment négatif de la part de l'elfe aux yeux argentés quand la reine lui annonca sa décision de partir seule. C'est ce qui donna encore plus de conviction à Kir lorsqu'elle contredit la décision de la reine. Quand elle finit son speech elle sortit tremblante de la salle laissant seules les deux elfes. Elle soupira longuement en s'appuyant contre le mur froid, puis elle descendit à toute vitesse la tour connaissant le résultat de son discours. Sortant les deux chevaux déjà sellés par la plus grande attention de Nioviel, Kir rassura les deux animaux par quelques paroles elfes. En attendant les deux elfes elle engagea une discussion avec un écuyer pour le moins charmant, voyant enfin les deux elfes sortir dans des tenues similaires elle sourit. Elenwë paraissait embarrassée de la laisser mais Kir rassura celle-ci par un sourire des plus réconfortants.

Surtout ne vous inquiétez pas pour moi, je vais poursuivre mon chemin de guerrière solitaire et qui sait ! Je viendrais peut-être vous visiter d'ici quelque temps avec de la compagnie.

Kir-Thelassis sourit à cette idée qui lui semblait ridicule et drôle, un rien la faisait rire mais l'heure ne prêtait pas à l'humour, on vit donc son visage s'assombrir et ne pouvant s'en empêcher elle serra dans ses bras la reine, une amitié les liait et toutes les deux s'en étaient rendus compte. Elle se détourna d'Elenwë pour saluer Nioviel. Lui prenant le menton pour que la jeune elfe la regarde dans les yeux elle lui dit.

Prenez bien soin de la reine, vous êtes un soleil dans sa vie difficile. Ne baissez surtout pas les bras et faites très attention à vous. Si vous le voulez, envoyez moi de temps en temps de vos nouvelles, les oiseaux me trouvent toujours, enfin, c'est moi qui les trouve.

Kir-Thelassis sourit et discrètement elle lui donna un des bijoux qu'elle portait à son cou. Un collier qui portait un insigne un peu particulier, un gri-gri qu'adorait Kir et dont elle utilisait souvent la force pour survivre aux situations les plus rudes. Aidant Nioviel à grimper sur son cheval et l'empêchant de refuser son cadeau, Kir leur montra la route, peu compliquée à suivre.

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Nioviel acquiesça d'un signe de tête et ils sortirent à l'extérieur. A cette heure, les rues étaient encore en parties désertes. Ils avancèrent dans les ruelles en silence, Kir-Thelassis à l'avant, bien que Nioviel connaissait la cité comme sa poche. La jeune elfe avançait à la même hauteur que Elenwë et elle lui jeta des regards en biais pour être sûre qu'elle se sentait bien puis remonta son sac sur ses épaules. Elles avancèrent d'un pas léger, rapide et surtout silencieux et finirent par atteindre les portes de la ville, toujours en travaux. A part quelques gardes et les deux chevaux, personne n'était déjà sortit dans les rues et les elfes passèrent inaperçues. Nioviel passa le capuchon de sa cape sur ses traits, car si les gardes voyaient la fille de l'intendant tenter de sortir, ils la rameneraient à la citadelle au plus vite. Les soldats semblaient être au courant du départ des deux elfes, surement une autre prévision de Kir, et les laissèrent sortir dans les champs du Pelennor, les murs de la cité blanche les surplombant de toute leur grandeur légendaire. C'est là que les adieux se firent. Nioviel demanda à Kir d'informer Guillemot de son départ et de lui dire qu'elle lui avait laissée un mot dans sa chambre. Puis ensuite, elle attendit sur son cheval que les deux adultes se disent aurevoir.

( Désolé, pas très en forme pour le rp aujourd'hui :s )

(t'inquiète, c'est ok)

Mon sang ne fit qu'un tour lorsque je vis la porte de Minas Tirith, j'avais passé si peu de temps ici et pourtant tant de chose m'y retenaient. Je ne savais plus quoi penser, notre sortie se fit silencieusement. Lors des adieux je vis Kir-Thelassis glisser quelques mots à l'oreille attentive de Nioviel, je ne me posais aucune question juste mon esprit faisait preuve d'imagination. Je me sentais beaucoup mieux juste un peu patraque mais rien de grave. Lorsque les aurevoir se finirent nous nous élançâmes au galop avec Nioviel vers une nouvelle vie, un autre mode de vie. J'espèrais seulement avoir quelques nouvelles de Kir de temps à autre, la savoir en vie me ferait le plus grand bien. Le soleil était déjà haut dans le ciel, le ciel était sans nuage, un dernier regard à travers la poussière que faisait mon cheval et je vis Kir-Thelassis aux pieds de la cité nous regarder s'en aller. Un sourire s'afficha sur mon visage et je regardais Nioviel.

Je ne te demanderais qu'une seule chose c'est de me prévenir si jamais tu as besoin d'une halte, j'en fais très rarement et je préfère en faire plus souvent et te savoir en pleine santé.

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