Saresh était tout pret il voyais plein de torche alors il parti avec cinq homme avec les catapult les catapult avais déja prépare rleur projectil mais les soldat qui fesai leur ronde les avais repérer il bombardaire les soldat de Saresh avec leur catapult se qui en détruit deux il restait dix catapult prête a tiré.

-visé les murail

Un des projectil parvint a trouer le murs les autre brulais des maison et des soldat par la même occasion déja l'ennemi était en place.

-BOUCLIER préparer vous au premier tire ennemi

Les homme de devant avais de large pavois et les autre des bouclier normal ont plassais les petit bouclier par dessus les pavois qui formais de grand carée de métal Saresh commenca a mêtre de l'huile sur les pierre avec du fouin dessus.

-vous cinq a mon commandement vous tiré les projectil et vous aller rejouindre les autre...

Les dix projectil volais dans le ciel les soldats était dérière les bouclier un des boulet toucha encor le murs qui commencais a bruler et les autre avais bien endommagé des homme dans la cité.

Saresh avais ordonner d'éteidre le feu avec de l'eau une chance se n'était pas du feu grégois mais il restait seulemtn cinq catapult.

-aucue chance de survie une mort sertaine hum FEU!

Les cinq catapult restante tiraire avec tout les archer restant de Saresh 1500 fleche et cinq projectil non enflamée tombère sur les murs les fleche perssias les armur des orc car les Lican avais une grande préssision au tir deux boulet avais fais une breche dans le murs de bois le roc avais dépasser la pierre et avais détruit tout le murs de bois.

-pret a lancer vos lance!

(ps: si t'est homem sort il mange 1500 lance dans la ******)

Les cavaliers arrivèrent à Edoras. Les défenses étaient tout autre que ce qui était prévue. Je regarde le Sud de la cité et un nouveau plan émergea dans mon esprit.

Nous allons prendre la cité de front.

J'explique à mes hommes tous ce qu'il y a à faire. Je récite ma formule elfique. Le vent se lève et éteind quelque torche. Ce n'était pas suffisant pour toutes les éteindres, mais ça l'était pour au moins rendre l'ennemi un peu moins attentioné au combats. Les cavaliers courent vers les murailles. Les chevaux saute par dessus la fausse sous les pluis de flèches ennemis. Les chevaux et cavaliers se sont protégé avec les deuxième boucliers que mes cavaliers avaient en possession. Arriver de l'autre coté, 3 volés de lance enpalèrent les archers sur les murs.

ECHELLES!

Les cavaliers s'alignent en perpendiculaire des murs. Chacun prend l'autre bout de la lance du cavalier en face formant ainsi un escalier ascendant. Pour aller plus haut, les plus proches du mur croisent leur lance. Ainsi avec cette escalier de lance, les éclaireurs et moi montons sur les murs. Le nettoyage commence.

Plusieurs orcs se trouvent aurtour de moi l'un d'eux m'attaque avec son sabre, que je parre pour l'attraper ensuite à la gorge et lui arrache la tracher. Et d'un mouvement circulaire de mon sabre, en m'acroupissant, je tue 5 orcs autour de moi. Les éclaireurs se battent avec rage, force et dextérité.

Pendant ce temps, certains cavaliers récupèrent une partie du produit qui entourait la cité, du moins les éléments qui en était tramper. Ils les placèrent sur le mur pour bien l'imbiber et mirent le feu.

Avant cela, les autres cavaliers nous avaient rejoind par le bier des échelles humaines sur le mur et nous descendions tous dans la partie entre la falaise et la muraille. 5000 cavaliers devenue soldats attendait dans cette étroit coridor les armé ennemis, là où le nombre ne signifiait rien. C'est par vague de 1000 que l'ennemi s'approchait de nous. 5000 contre 1000 sur 2 flans, la bataille pourrait être gagner. Les catapultes ne pouvait nous envoyer des projectils, cela dû à l'angle de tire.

De l'autre coté les cavaliers restant arrosent la cité de flèches enflammé.

Déguiser en ennemi, je vais avec mes éclaireurs à la porte, alors que mes hommes exterminent ces orcs.La porte était garder. J'avance aussi sur de moi que possible.

_Nous avons besoins d'aide, l'Est est attaqué par les hommes du gondor.

_On ne nous a pas informé.

_Maintenant tu l'es vermissot! Alors tu te dépaiche d'y aller. Je sais juste que vous devez y aller alors tu magne!

Les hommes partirent où je voulais qu'ils ayent. Les éclaireurs se mirent en place derrière les portes.
Eclaireur en place, certains avec leurs arcs et le flèches enflammé visait les bâtiments autour des catapultes.

D'un ochement de tête, je donne le signal. Les éclaireurs frappèrent de toutes leurs forces sur les gons des portes. Celle-ci tomba. Les 5 éclaireurs restant avec leurs flèches enflammé tirèrent sur les munitions des catapultes, sur les munitions enflamé qui flambèrent instantanément. Mais le bruit des coups sur la porte et la chutre de la porte avait attiré l'attention. un volé de flèche était partie en même temps que la porte tombait. Le passage au dessus nous sauva la vie mais elle ne le serait pas longtemps sauver si nous ne partions pas vers les autres.

Saresh avais perdu beaucoup d'hommes il commencais a reculer et les orc criais victoire mais dans le bruyard ont vis un immence ombre aprocher les homme de Saresh était sur des chevaux il sotère par dessus les débris et commencaire a massacrer les orcs il avais baisser leur lance mais quand même aux mouin 50 cavalier était mort a cause des lance le combat était sanglant les têtes d,orc volais dans le champs mais hommes lancère tous en même temps leur lance qui tua grand norbre d'ennemi ont galopais dans les ruie écrasant tout les orc nous aprochions de la porte.

-archer!!

quelle que un e mais homme se tournais et tirais leur fleche sur les orc qui les suivais en courant quand il tombais les autre dérière trebuchet dessus.

Dans les cris de courage des hommes vint une force inattendue. Les renforts de Porte Noire arrivaient.

- Allez bandes de bouseux! Rats du Mordor! Allez! Les ouargues en première ligne!


Une troupe de 4 000 chevaucheurs de ouargues se plaça en première ligne.
Les archers derrièrent eux et les fatassins sur les flancs.

- Allez! Abattez moi cette pourriture de l'ouest!

Les ouargues arrivaient en contrebas par rapport aux hommes et prenaient un avantage dans le relief du terrain. Les monstres sautaient par-dessus les buttes et tuaient les soldats apeurés qui se cachaient.
Grashnak était monté en première ligne. Il découpait de nombreuses têtes qui roulaient sur le sol. Il monta en haut d'un tertre et écrasa le symbelminë.

- Allez! Pourritures! A mort!

Les fantassins s'élançaient dans le sillage des cavaliers.

Malheureusement pour le peu d'hommes de saresh , les archers présent de la villes s'occupèrent de toute ses cavalier qui lui restent et saresh avait peut-être tuer environs 1000 hommes avec ses cavalier... Les archers de la ville était poster sur les toits et des orcs avait bloqué le passage aux chevaux dedans un coin de la ville. Une envolé de 10 000 flèches abattit les derniers cavaliers mais personne n’avait touché à Saresh. Les hommes qui avaient trahis la ville avaient été repérés. Car Ils étaient les seuls près de la porte quand elle avait explosé. Les archers de saresh avaient déjà été maitrisés par Grashnak. Alors on emmena les hommes qui restait de vivant dans le cercle de la mort ou se trouvait Saresh entouré de 5 000 hommes et les archers qui se préparais a tiré en plus des hommes de grahnak. Puis je sortis d'entre mes hommes pour leur parler.

Bon bon bon... a se que je vois on a aisailler de nous attaquer... mais ... malheureusement vous avez échouez.... *point les hommes d'Aldor* Vous... je ne vous connais pas et je ne veux pas vous connaitre...alors vous avez 3 choix. Vous partez et ne revenez plus , Vous devenez a mes ordres , Ou encore , Je vous capture et vous aller voir mon chef a vous de répondre.

Je pris une pause.

* pointe saresh* Toi ... Toi .... Capturé le. les 5 000 hommes autour sautèrent sur Saresh , il tua quelqu'un de mes hommes mais Ils finirent par le maitriser. Enlever lui toute son linge, laisser lui ses sou vêtements et je veux 500 orcs qui vont l'emporter aux cachots dans notre ville. Compris?

On attacha Saresh comme il le faut et on le mit dedans une charet de prison escorter avec les 500 orcs . Je demandai aussi à mes hommes de ramener des machines de guerre. Finalement j'ordonnai a mes hommes d'aller fabriquer une nouvelle porte, et de se servirent de celle du château d'Edoras et des bâtisses et de refaire des pentures. Aussi d'aller remettre du feu sur toutes les torches. Je demandai aussi qu'on refabrique des catapultes... On allait démolir leur ville pour fabriquer de la défense et des catapulte si sa continuait.

*dans les cachot*

-Une chance que Boris Mazal et Tama ne sont pas ven uici pf... une chance que ici il ne peuve pas de un me dégriffer de deux enlevé mais croc alors je peut couper s'est lien facilement mais le plus dur est de sortir du chateaux si je trouve un humain je le mange j'ai telement faim même si j'ai renonsser a mangé des humain je peux recomensser...

Saresh se leva et regarda la piece un moment.

-Il ont bien était construie mais si je peut trouver une casse qui pourais être enlevé hum..voyon voir si quel que vas venir me donner a mangé hum hum hum il regraitera se jour...

Théodred arriva devant ses 50 000 cavaliers prêts à en découdre, Aldor était encore entrain de discuter avec le chef des orcs ainsi la porte était maintenue et les orcs commençaient à la réparer pensant l’assaut fini. Théodred soupira. Il murmura à lui-même.

-« Pourquoi Aldor et Saresh sont ils partis aussi vite au combat sans nous attendre… »

Il abaissa les yeux conscients de nombreuses pertes mais sa détermination n’en fut que plus grande. Il vit un groupe d’orc partirent en direction de la forêt environ 1000. D’un geste de la main, 5 000 cavaliers rompirent les rangs et partirent à la chasse de ses ouvriers. Soudain les 45 000 autres menés par Théodred s’élancèrent lentement dans le brouillard. Aldor avait etein les torches et sans galoper les cavalier du Rohan parvinrent rapidement à la porte sans être remarquer. Les archers montés lachèrent à peu près 10 000 flèches sur les ouvriers qui étaient entrain de réparer la porte. Les cors sonnèrent et les 45 000 cavaliers entrèrent dans la cité avec rage et détermination. Les orcs et hommes affairaient aux travaux étaient le plus souvent juste équiper pour les travaux et en formation rompue. Les cavaliers ne tardèrent par à dévastés tout sur leurs passages. Après quelques minutes de combat Théodred cria.

-« Agatuuk montres toi !!! »

L’épée à la main il tournait en rond dans les décombres du combat. Déjà de nombreux orcs pris par surprises avaient était balayer et certains commencèrent à fuirent. Un groupe de cavalier était partis libérer Aldor et déjà les 5 000 cavaliers partis abattre les 1 000 ouvriers partis vers les bois revinrent pour donner une nouvelle vague d’attaque. Les orcs qui étaient pas si dépassés par le nombre que sa avaient était cependant frappés par surprise alors qu’ils s’affairaient à des travaux. Dans le désordre le plus total, les cavaliers du Rohan mirent en pièces les catapultes adverses, cibles prioritaires désormais l’infanterie formait d’orc et d’hommes du Nord fut à son tour balayées.

Des centaines d'orcs et hommes nous attaquèrent en même temps. Plusieurs piquiers arrivèrent lance en avant sur moi. D'un mouvement rapide, j'empoigne avec un bras plusieurs lance. je tire d'un coup sec et utilise ses lances sur les hommes arrivant. Je continuait le combat au sabres et me servit des lances pour embrochés ceux qui saprochait trop près.

Nous ne pouvions sortir ou nous mourrions sous un pluis de flèches.

Appelle de l'aide!

Un éclaireur saisi le cor du rohan et le fit sonné 5 fois pour que saresh ou le prince arrivant viennent à leurs aides. Nous continuons de combattre.

Théodred galopait à la tète d’un grand régiment d’homme, rattrapant un groupe d’environ 200 orcs ils passèrent à travers fauchant, empalant et tranchant l’immonde chaire des enfants du mal. Partout dans la cité les fantassins adverses désordonnés se faisaient renverser et balayer tel les feuilles mortes par le vent frais de l’Ouest. Des flèches bondissaient avant de redescendre frapper le corps d’un orc ou d’un homme au service de l’ennemi. Théodred laissait ses soldats exterminer l’adversaire toujours à la recherche d’Agatuuk c’est alors qu’un cor sonna non loin de la porte. Théodred avait déjà entendus se son au Gouffre de Helm.

-« Aldor !!! »

Il empoigna sa lance et cria.

-« Anorom ! Suit moi avec les tiens !!! »

5 000 cavaliers s’élancèrent à la suite du jeune prince en direction des potes. Ils traversèrent quelques ruelles dévastées avant d’arriver au niveau de la porte détruite. Aldor et les siens étaient entouré d’adversaire en grand nombre. Théodred fit signe à 3 000 soldats de sortir leurs arcs pendant que les 2 000 autres les couvraient. Les traits mortels jaillirent avant de frapper les ennemis qui encerclaient Aldor, beaucoup tombèrent. Théodred mit alors pied à terre et s’élança suivit d’une centaine de Rohirrims alors que les autres toujours à cheval continuaient le combat au pied des murailles. Théodred rejoignit alors Aldor jouant de l’épée. D’un revers de bouclier il terrassa un orc avant d’empaler un homme du Nord qui s’effondra poussant une longue plainte. Il se retourna voyant Aldor combattre avec fierté et force. Un grand homme se dressait derrière lui prêt à le frapper. Mais avant que son geste puisse s’accomplir la lance de Théodred vola chantant dans l’air. Elle vint frapper l’ennemi au torse. Il s’effondra. Après avoir jouer de l’épée pendant de nombreuses minutes Théodred et Aldor n’étaient plus que tous deux sur la muraille. Ceux qui les avaient accompagnés étaient morts mais beaucoup d’orc et d’hommes avaient aussi péris. Théodred regarda Aldor.

-« Mon frère ! Prends 5 000 cavaliers et montes prendre Meduseld j’ai une parole à respecter !! »

Il décendit à vive allure de la muraille avant de monter sur son cheval il s’élança vers le gros des forces ennemis déjà au combat.

Une fois sur place il cria.

-« Agatuuk fait rends toi ! Tu m’as accorder la vie une fois je te l’accordes à toi et a tes hommes déjà 50 000 cavaliers du Rohan sont sur les tiens pris par surprise et encore 30 000 Elfes arrivent pour nous soutenir sans oublier que d’autre encore son au Gouffre de Helm !! »

Il leva sa lance vers le ciel.

-« Si tu te rends, je te laisserais partir avec les tiens !! »

Il fixait le combat cherchant Agatuuk du regard.

Soudain, un rayon de soleil d'or s'illumina au sud-est. 30 000 (et une!^^) soldats habillés d'une armure d'opale arrivèrent sur les plaines surplombant l'Edoras. Les elfes. Les elfes de la Lothlorien, commandés par leur princesse héritière, Liadon. Les chevaux galopèrent en vitesse vers la ville, remarquant que la belle capitale était attaquée. Les dommages étaient trop grands pour arrêter la guerre. Il fallait combattre. Les guerriers elfes tirèrent leurs épées, leurs arcs, leurs lance et leur pics et se ruèrent vers l'ennemi. La princesse se battait certes, bien, mais elle devait avouer que les attaquants étaient très bien entraînés. Les soldats, déjà quelque peu diminués, se forgèrent un chemin vers la porte de la ville, et défendirent les pauvres habitants qui se faisaient massacrer.
Les troupes de la Lothlorien tirèrent une pluie de flèches en direction des orcs. Il y avait maintenant 25 000 flèches étaient tombées sur les têtes des pourritures de l'est.

*Quelle pourriture*, dit Liadon en décapitant une des unitées de Garshnak.

Grashnak vit une lumière scintiller dans le lointain. Il poussa un grognement, puis envoya un messager rapide vers le nord.
On dit que des elfes arrivaient. Mais où étaient les renforts qui devaient se placer au Gouffre?

On jetait maintenant du bois noir provoquant d'épais nuages gris. Si les ennemis voyaient quelque chose dans cette purée de pois, ce serai un exploit. On renforça la porte avec du fer et grashnak mit la moitié de ses hommes devant la cité. L'autre moitié stationnait ailleurs, peut-être en attente d'embuscade ou en train de combattre.

Les orcs m'entourèrent pret à me tuer. Agatuuk discutait victoire avec son chef.

Agatuuk! Ta victoire semble prématurer!

J'avance et tue le premier orcs se présentant devant moi. Les autres se lancèrent, le premier passa par dessus mon bouclier, le suivant fut transpercer par mon sabre Durendil, le prochain perdit la tête et les autres la jambes. J'envoie ma lance qui transperce 2 Hommes du mal. Mes éclaireurs achèvent les survivants.

Après une petite traverser, je retrouve mes Hommes. 500 sont tombés. Mais devant nous, un mur de cadavre nous séparait les éclaireurs et moi de mes troupes. Le mur s'effondra, pousser par les Rohirrims qui tuèrent les hommes coincer sous les dépouilles. 500 perdues, L'ennemi en a perdue 10 vagues de mille, soit 10 000 unités. La position de mes hommes joua son role. le corridor étroit à canalisé les unité ennemis. Mes unités plus expérimenter n'ont eu que peu de peine à les tuer. Attaquer par deux flan, nous tenons bon.

A l'arrière de l'ennemi, on hurle des ordres pour le combats, devant c'est des hurlement de douleurs qui se font percevoir. Sur nos positions, l'ennemi commence à hésiter de venir se frotter à nos bouclier. La prochaine vague resta devant nous sans vouloir s'approcher plus pret.

Les 5000 cavalier à l'extérieur de la cité continuèrent leur bombardement de flèches enflammés. Ils en étaient aussi à 10 000 morts et les catapultes ennemis flambèrent sous les pluis de flèches.

JE me tourne vers mes hommes.

Si une pluis de flèches s'abat sur nous, tout le monde se couvre exepté la seconde ligne qui couvrira la première avec ses larges boucliers! Aujourdhui, plus personne ne doit mourir parmis nous! Ne leur laisser rien mes prenner leurs tous, à ces monstres! Je vous ordonne de tenir!

Les cris des rohirrim résonnèrent dans les enceintes du Chateau. Et le combat ne s'en fait que plus ardit.

Les homes de Grashnak qui s'éloignaient pour attaquer les elfes firent volte-face. Ils revinrent en arrière et chargèrent furtivement en s'aidant de la fumée, si bien que aucun Rohirrim n'ait rien vu jusqu'à 5 mètres de l'armée des orques.
Il frappèrent au dos la plupart des hommes qui se recourbaient au sol pour esquiver les flèches qui venaient de la cité. Is en reçurent de l'arrière une bonne dizaine de volée et 8000 tombèrent, plus les 2000 tués à l'épée. Grashnak décapita un cheval qui s'ébrouait et balança une lame sur un rohirrim qui galopait. Il trancha la tête à un homme et fit un estoc au ventre contre un homme de pied sans cheval.

* le mur ne tombe pas aussi facilement alors je n'en prend pas compte...*

apres avoir perdu 10 000 orc , toute mes trouve se rassemblerent en un rang , les catapultes qui me restait tirerent sur les derniers hommes d'aldor qui restait , 40 000 hommes a cheval sortirent de null par et commencairent a tuer les cavalier a aldor avec une tres grande faciliter grace a leur lances. Apres avoir tuer les 5 000 cavaliers d'aldor , Il nous restent encore 35 000 cavaliers.. alors Un capitaine ordonna de charger sur les troupe de aldor . Des cavaliers contre des hommes a pied aucune chance... Les cavaliers passerent comme un couteau chaud dans du beure. Il ne restait plus d'hommes a aldor grace a grashnak et son attauqe et des cavalier que j'avais. Il ne restent plus d'hommes a aldor.. alors les quelque 50 hommes qui devais rester pouvais seulement se sauver... Ou bien se faire prisonnier...

* je ne vois pas le post dou que tu m'attaque... j'aurais voulu voir combien d'hommes que tu avait car j'en ai déja tuer beaucoup de tes hommes....! en plus la de tes 5000 cavaliers.. alors la tu na plus d'armé vraiment*

Grashnak sautait sur le cjheval d'Aldor. Il lui trancha l'encoluree. Le corps du cheval tomba avec Aldor sur le sol. Bientôt, le cavalier fut entourée d'arcs pointés sur lui. Grashnak s'approcha de l'homme et se battit avec lui. Après lui avoir mit une estoccade rapide dans le ventre il fut ligoté et mit sur un chariot. Il fut pour l'instant enfermé dans la cité. On attenndait avec impatience l'arrivée des elfes. Ils allaient se faire massacrés pour avoir osés se mêler des affaires du Mordor.


hrp: pour être un peu plus réalistes, disont qu'il reste 5 000 cavaliers à Aldor.