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Kir-Thelassis s'était échappée du groupe à toute vitesse, son visage était froid par le vent qui frappait ses joues rosies à force ... Son visage était de pierre, elle courait peut-être à la mort mais elle ne pouvait plus reculer. En moins de deux jours elle arriva au bas de la Porte Noire, elle laissa son cheval avant d'arriver devant, les orques grouillaient ... Observant, cachée les allées et venues des créatures du mal, elle n'arrivait pas à savoir si les hobbits étaient là, dans ce domaine du mal. Voyant aucun signe de vie à l'extérieur des portes, elle abbatit son capuchon et sa cape elfique sur ses épaules et sa tête, il ne vallait mieux pas trop provoquer les orques en leur montrant que c'était une elfe. Jouer la fine mouche n'était pas la meilleure des solutions peut-être mais elle avait fait une promesse, une promesse c'est une parole et l'honneur qui sont en jeu, elle ne pouvait plus reculer, à présent devant la Porte. Le coeur palpitant, le corps frémissant, foule de souvenirs affluèrent dans sa tête. De sa main droite cachée par sa cape, elle tenait son épée, de son autre main elle tenait son arc encore attaché dans son dos. Elle s'avança bien en vue, au milieu de la plaine noire, elle inspira profondément et cria :

Je recherche une famille hobbit, est-ce que le Nazgûl responsable de leur disparition est là ?

La guerrière, visage caché, pieds nus au milieu de la terre noire, imbibée de sang et de mal tressaillait un peu. Elle attendit une réponse venant de l'intérieur, un interlocuteur qui pourrait lui donner des indications ... les minutes s'écoulaient, des gouttes de sueur coulaient sur son visage, la dernière fois qu'elle était là, c'était durant une guerre ... à présent elle était seule, les orques pourraient ne faire qu'une bouchée de sa personne mais elle était protégée comme on dit, par la grâce et l'amour elfe. Elle ferma les yeux attendant la réponse qui ne semblait pas venir, elle attendit patiemment ayant l'impression d'être debout depuis des heures alors qu'elle n'était là que depuis quelques minutes à peine.

Saresh avait beaucoup de retard sur Kir-Thelassis qui était parti après avoir porter le Hobit et Eldarion à l'isengard il avait galoper jour et nuit sont cheval était fatiguée mais il fesait souvent des pose et il nourissait finalement arriver devant la porte noir Saresh sauta de son cheval et aprocha de Kir

-Alors,aucune réponce...

Saresh n'avais pas froid mais il n,était pas d'humeur a rire il voulait récupérer la famille de Sam pour la rende a Sam et savoir pourquoi le nazgul avais fais sa

Toujours debout dans l'ombre, Kir-Thelassis sentit tout à coup une présence s'approcher d'elle, Ce n'était pas un orque mais elle tira discrètement son poignard jusqu'à ce que la personne soit assez proche. Elle reconnut le souffle de saresh et expira longuement. Son poignard rangé dans un fourreau, elle tentait de se détendre.

Non, rien.

Elle avait la gorge sèche, sa sacoche était sur son cheval de l'autre côté, loin d'elle. Elle se retourna soudain vers Saresh le regardan les yeux plissés, ce geste n'étant pas vu car elle était cachée par sa capuche.

Qu'est ce que tu fais là ? Et les enfants, ils vont bien au moins ?

Elle ne s'était pas tout de suite rendue compte de la présence de Saresh, elle ne l'avait pas inquiété mais le voir là alors qu'elle voulait qu'il soit avec le hobbit et le prince ... peu importe. Elle se concentra sur ce qui se passait derrière la Porte, on s'agitait, quelque chose se passait, on se disputait, on ne savait pas quoi faire. C'était un tambourinement continu et des bavardages assidus qui frappaient les oreilles de Kir, elle tentait de percevoir les discussions sans jamais pouvoir arriver à ses fins. Elle baissait la tête pour mieux entendre se rendant compte que ça ne servait à rien. La fatigue pesait à présent sur ses yeux, elle s'appuya sur l'épaule de Saresh.

Je déteste attendre quand je suis fatiguée.. Qu'est ce qu'ils nous font ?

Elle soupirait, attendant encore une réponse du Mordor.

-je vais les réveiller s'est idiot!

Saresh alla pre^t de son cheval et sorti sa lance il pouinta le haut de la porte et al alnca elle vola un moment et retonba dérrière la porte et ont entendis un hurlement orc.

-je crois qu,il vont ouvrir sa ne sera pas long même si il ne seront pas d'humeur!

Saresh regarda Kir qui ne se sentait pas bien.

-attend

Saresh enleva sa cape et la mit au sol.

-assie toi et respire profondément sa m'arrivait souvent avant sourtout avent mais batail mais quand le nazgul m'avais transpèrcer j'ai vus se qu,il a après la mort et s'est merveilleux il ne faut pas vivre dans la peur mais toujour aller de l'avent!

Saresh prit une fourure qui était sur son cheval.

-réchaufe toi avec sa!

Saresh déposa la fourure sur les épaule de Kir et parti un peu plus a l'avent.

-Eldarion et Sam son avec Gandalf en sécuriter a l'isengard.

Kir-Thelassis sentait sa tête tourner, elle faillit arrêter le geste de Saresh de peur des conséquences qui pourraient s'en suivre mais n'en eut pas la force. Elle se laissa asseoir au sol, la fourrure sur les épaules, elle avait chaud, un peu trop même mais ça ne la dérangeait pas. Finalement elle s'assit regardant curieuse, la porte.

Je n'ai pas peur, je n'ai eu peur qu'une seule fois et ça a couté la vie de mes parents et grands parents, seul mon père a pu s'en sortir mais je n'ai plus jamais eu peur, non, je suis maladivement fatiguée. Ce n'est pas normal mais j'en ai connu des pires.

Contente de savoir les jeunes gens en sécurité, la guerrière décida de ne plus se préoccuper d'autre chose que des orques sommeillant derrière la Porte. L'elfe se leva doucement, regarda le ciel, regarda en arrière, son cheval était au bout de l'allée, vision ou pas elle s'en étonna, tournant la tête vers Saresh qui était à l'avant puis vers l'allée à nouveau, il avait disparu.
* Qu'est ce que ça veut dire ...*

Dis moi, qu'est ce que t'as fait après Minas Tirith ? Tu ne m'as pas raconté !

Un nouveau tambourinement sortit de derrière la porte, un bruit sourd puis des discussions, toujours des discussions.

-Je suis parti prende du repos a Edoras mais elle était attaquer par des orc elle est tomber sur son empris j'ai tenter de la reprende mon armée a était détruite et j'ai était amener a une prison louin dans le nord et je suis revenu après une lourde négosiation.

Saresh s'assie sur le sol il enleva une pièce de son armur qui était sur son épaule enleva la cote de maille il avais encor du sang s'était une trace de flêches il en avais une a l,épaule et une a la jambe sur la joue une trace d,épée ont vollais que sa ne fesia pas longtemps.

-j'ai toujour detester m,éloigner de la lune j'aime avoir une fenetre pas une prison sous la terre...

Un orque montait alorqs les escaliers. Il rugit, très courroucé:

- Espèce d'imbécile, les patrons sont occupés ailleurs! Quoi? Des étrangers? Laissez moi les acceuillir...

Il monta les dernières marches en mettant un coup de fouet à un snaga.

- Quoi encore? Que voulez-vous?

On lui chuchota quelque chose à l'oreille pendant prè_s de cinq minutes.

- AH je vois? Elle ne se trouve pas ici, pauvres idiots, mais dans les cachots élevés de Barad-Dur!

Eclats de ire d'orques et air hebêté des trolls.

- Qu'avez-vous à proposer?

Kir-Thelassis vit avec stupeur les blessures de Saresh; elle se précipita sur son épaule pour voir un peu les entailles qu'il s'était faites mais juste à ce moment là, un orque s'était enfin décidé à venir leur parler. Elle rebondit sur ses jambes, capuche sur son visage, on ne voyait que son menton de loin tandis que près d'elle on pouvait légèrement apercevoir l'expression de ses yeux mais surtout sa bouche aux lèvres très rouges contrastant avec ses joues pâles. Elle ricana très doucement pour ne pas éveiller de soupçons de la part des orques.

Cher ami, je n'ai rien à te proposer malheureusement en échange de ton information. Dis moi quel pourrait être ton prix mais je ne te garantis rien, je dois absolument retrouver cette famille. Tes maitres la détiennent et moi je dois les voir, c'est de la plus grande importance.
Je n'ai donc rien à te proposer ...

L'elfe parlait avec diplomatie et dans sa voix résonnait le calme le plus humble et la sagesse des elfes. Les ténèbres de ces terres du mal qui entourait les deux personnes du bien étaient très pesantes mais rien n'arrêtait nos guerriers. D'un son quasi imperceptible Kir appela son cheval, toujours de sa manière la plus particulière, une complainte entonnée et il arrivait au galop, c'était un lien qui unissait les deux êtres de la façon la plus extraordinaire qui soit. La guerrière avait tellement chanté lorsqu'ils étaient ensembles seuls autour d'un feu le soir ou même sur la route que le cheval s'habitua à le jeune femme et commença à réagir lorsque lui était loin et qu'il entendait l'elfe chanter. Les deux compères se connaissaient depuis peu mais ils étaient terriblement complices.
Kir se tourna vers l'allée d'où venait son cheval, elle attrappa le brin de celui-ci et se tourna vers Saresh en faisant un signe de tête puis vers la Porte où se tenait l'orque.

Maitre orque, je n'ai plus rien à tirer de toi, je te suis redevable en information mais ... à présent, la route m'attend.

Depuis le debut Saresh n'avais pas dis un mot en regardant l'orc arriver il voulu sortir sa lame elfique mais il vut qui ne montrait pas de signe d'ostilité alors il resta la a le fixer sans parler il regardais l'orc les yeux neutre aucun sentiment ne lui venais prendre le coeur a par l'impatiense du combat il voulais lui trancher la tête mais il devais attendre qui Kir agis (vous dite pas fermer les porte je vois dans s'est yeux une intention mauvaise tsé) il observa la porte noir il se retourna et aprocha de sont cheval dérrière le cheval deux lance deux cimtère une corde et une hache de batail était la sur son dos Saresh avais son arc et 30 fleches et une de métal plus dur il chuchota!!
a Kir.

-tu peux y aller je m'en occupe vas y quand tu veut.

Kir-Thelassis regarda Saresh sortir ses armes, qui étaient à présent sur son dos, les yeux ronds puis apeurés l'elfe le laissa faire en hochant la tête. Elle ravala sa salive et ses paroles avec, scrutant le jeune homme puis ses armes. Elle reconnut l'arme qu'elle lui avait offert, un faible sourire se dessina sur son visage elle adorait donner des gri-gri au (peu) de gens qu'elle connaissait lorsqu'elle savait qu'ils courraient un danger mais à force d'en donner il ne lui en restait plus. Seul le bracelet que son père lui avait offert restait accroché à son bras. Elle regarda saresh dans les yeux puis lui dit en murmurant

Je t'aurais bien donné un gri-gri mais je n'en ai plus -elle rit- Je n'ai plus qu'à te souhaiter bonne chance ! Prête moi voir ton épée ...

Elle prit l'épée elfique dans ses mains, la regarda en la caressant un peu, aiguisée, elle se coupa un peu ... l'elfe sourit.

C'est un bonne arme, qu'elle te serve et bien ... Prend soin des orques surtout. Au fait si jamais ... penses à moi et je viendrais, prononce mon prénom histoire d'être bien sûr que je t'entendrais !

Elle lança l'arme à Saresh, le regardant avec des yeux plein de malice. Elle donna un coup à son cheval pour qu'il parte, et les voilà partis vers Barad-Dûr ... Kir regarda l'orque au loin en enlevant enfin sa cape montrant ses oreilles pointues. Les cheveux dans le vent, l'air glacé lui frappait ses joues et ses mains gantées de cuir étaient tout de même tout autant glacées. Elle filait vers Barad-Dûr sans rien sur le coeur, c'était probablement la première fois dans sa vie que ses sentiments et son esprit étaient totalement vides, l'un plus que l'autre. Elle avançait ne sachant même pas si la direction était bonne et ne s'en préoccupant absolument pas, elle avançait juste tel un automate.

Saresh enelva une des lances de son cheval et regarda l'orc avec un sourir enfin un peu d'action! se qu'il attendait depuis longtemps il visa le cou de l'orc et la lanssa elle pris son parcour comme si elle avais elle s'avais ou elle devais allé elle plenta dans le cou de l'orc qui fut projecter au sol.

-suivant!

[i]Il prit son arc et commenca a tiré sur les orcs qui aprochais de lui tombant comme des mouches il regarda vus un orc préparer son arc l'orc lanssa sa fleche en direction de Saresh qui sauta au sol en lanca deux fleches qui transpècert le corps de l'orc.

-amener vous je suis encor vivant si vous avez besouin d'un don de sang aprocher!

L'orque rit. Cet homme stupide allait se faire embrocher vivant. Un cor sonna. Une troupe de 500 orques sortirent et saisirent l'homme, en l'assomant. On le prit sans aucune douceur.

- Amennez-le dans les cachots! Avec les semi-hommes!

Il fut jeté (le mot est faible) sur une charette. Les ouargues tirèrent. La charette contenait de la nourriture moisie, et elle se dirigea vers les donjons de Barad-Dur.

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