Saresh qui avait un caractère qui ne lui permétait pas d,avoir d'érreur était *activer si ont peu le dire* il regarda la demande de kir.

-d'accord mais Kir je refuse que tu le surveil je veux que 15 lican le surveil toujour Boris et Mazal (ps:Boris gars version Goliath super muscler et Mazal:Hars super fort à la hache.) serons charger de commender les archer si tu fait quelque choses c'ête nuit eu...Grima tu le dis avant de le faire sinon tu resemblera à un porc-épique ses clair......

Saresh se retourna en prenant une respiration et parti dans sa tente pour dormir déja le long voyage à partir du mordor et tous sa il devait prendre du repos.

Ouais.. Il était mieu des retirés ses satanés elfes...humm des elfes sa fesais un bon bout que j'avais pas gouter a leur petite chair tendre... Mais qu'est ce que je m'imagine la....

Ahahah l'elfe .. Oui nous sommes plus rusé... nous avons plus d'un tours dans notre sac. Si il en retire pas ses troupes de la-bas , non seulement on brule surment edoras , les renfort arrive et vous perder une TRES grosse partie de vos armési ses pas nous sa va etre le mordor qui va reprendre les terres que vous nous avez pris car vous aller etre trop inférieur a nous, mais en plus nos allier aurons aucune dificulter a vous rasez apres.


apres tout je disais la vérité en partie toute était pres pour faire bruler la ville

Saresh qui était apparemment le commandeur s adressé d abord a Kir mais Grima ne comprit pas ce qu’il lui dit .Ensuite ils e tourna vers lui et lui dit d un air sévère :

-Grima tu le dis avant de le faire sinon tu ressembleras à un porc-épique ses clair......

Grima toisa l homme avec une froideur inaudible et inpercevable et sourit ensuite et tourna le regard vers Kir.

-Très bien, j essayerai de tenir en place. Je ne désire pas ader dans les flammes infernales...

Il effaça son sourire et afficha une mine qui incitait à une phase de réflexion. Voyant les deux entités un peu gênées, il ajouta :
-Et bien ? Qui me mènera a ma couche ?

Cependant grima avait comprit que la méfiante qu’avait Kir envers lui était immense et qu il faudrait être très subtil pour l amadouer, il lui fallait trouver le fameux secret ou la fameuse blessure qu’elle cachait en elle .Soudain le visage de Grima devint pale et une voix lui parlait mais de l intérieur de sa tête. « Alors ? Où en est tu ? » Il reconnut cette voix, c’était celle du seigneur de l Isengard .Il lui répondit « je suis au Rohan Maistre et le plan fonctionne a quelques exceptions prés .Mais par pitié, n entrer plus jamais dans mon esprit !! » La voix se mit à rire de plus en plus fort et elle ajouta : « N’oublie pas qui est ton Maistre Serpent »
Grima vit les deux autres le regarder avec étonnement .Sob esprit s en allait, il n’était plus lui, ile tait un fantôme qui observait son corps .Et Grima tomba dans les pommes sur le sol glacer des pleine d Edoras .

Ocarina observa le nouveau venu avec froideur. Quand son regard croisa celui de la jeune fille, elle eut un frisson. Cet homme ne lui inspirait aucune confiance, et ses intentions semblaient aussi fausses que sournoises. Elle repoussa une mèche de cheveux et s'éfforça de détourner le regard, qui vint se river sur Kir. L'elfe semblait méfiante, et la jeune femme ne la comprenait que trop bien. Sans le vouloir, au plus profond de son coeur, elle se mit à éprouver un réel dégoût à propos de ce Grima, et elle se demanda si ils ne tombaient pas dans un piège la tête la première, mais elle garda ses intentions pour elle. Alors que Grima était tombé dans les pommes, et après un moment de choc, elle laissa les rôdeurs s'occper de l'homme et elle alla voir Kir et lui demanda avec gravité:
- Que sais-tu de ce Grima?

Kir regardait Grima avec un air peu inquiet mais quand elle entendit les paroles de Saresh, ses yeux grossirent et s'illuminèrent de dégout. Non pas de dégout envers Saresh mais envers sa décision, son regard se noircit, un voile gagna son visage ...
* On règlera ça tout à l'heure *
L'elfe sembla prise soudain d'un malaise, la présence (qui lui était inconnue) des ténèbres dans la tête du nouveau venu la perturba, sa tête commença à lui faire mal. Il demanda enfin qui le mènerait à l'endroit qui lui était destiné pour dormir, sans hésitation, la jeune femme se désigna. Mais à peine eut-elle le temps de se laisser interrompre par un mécontentement de la part du rodeur qu'elle vit Grima s'affaler par-terre. Elle se précipita vers lui, prit son poul très faible et ordonna qu'on l'ammène au plus vite dans une tente, elle s'en occuperait. Mais elle se retourna encore une fois et Ocarina la surprit.

Rien, je ne sais rien de cet homme, c'est bien ce qui m'inquiète. Et tu vois le problème c'est que si on le place sous la surveillance de chiens de gardes ... pardon de Licans, on n'apprendra rien de lui. C'est pour ça que ... JE vais m'en occuper.

L'elfe têtue comme une mule tourna les talons à Saresh, pour aller chercher son sac dans la tente où on lui avait laissé prendre un bain. Regardant derrière soi, elle fit signe à Ocarina de la suivre. En entrant dans la tente, Kir trouva vite son sac et regarda avec désespoir ses habits crasseux sur une paillasse, elle les ramassa vite et les mis dans le bain encore tiède.

Alors ... Raconte moi quelque chose sur toi, que j'apprennes à te connaitre. Dis moi avant tout si tu t'y connais en médecine.

L'elfe était extrêmement calme mais elle paraissait tout de même préoccupée, ne regardant sans cesse derrière soi comme si quelque chose la poursuivait, comme si quelqu'un la poursuivait. Elle s'arrêta juste devant la tente qu'elle désigna comme celle où l'on avait allongé Grima, trois Licans y étaient postés ...

Bien, je vais avoir besoin de ton aide pour le soigner c'est tout.

Kir attendit qu'Ocarina réponde à sa question avant d'entrer dans la chambre de l'homme mal en point.

Grima se voyait tout jeune, il avait peut être 10 ans. Il chevauchait sur les plaines d Edoras souri aux lèvres .Cette vision de lui le surprit, cela fessait tellement longtemps qu’il n avait plus sourit. Grima adulte se trouvais aussi sur els plaines et se regardait, lui en plus jeune .Il vit le sourire de son double s effacer alors que le cheval ralentissait. Apparemment il avait vu quelqu‘un, Grima adulte se retourna et vit son père qui fixait le fils d un air noir .Le père s approcha du fils, ce dernier baissait la tète et descendit du cheval .Il fessait presque nuit et un légers vent fais fessait se balader les fleurs et l herbe de la plaine .Le fils en bas baissait toujours la tête alors qu’il se rendait avec son père vers Edoras. Le père ne dit mot et Grima savait que lorsqu’ il était comme ca c est qu’il avait abusé de l eau de vie .A cent mètres des portes il se tourna vers son fils .Il le toisa avec un regard tellement noir qu’il aurait fait fuir un Balrog .Il leva la main et gifla son fils avec une violence rare, au point de faire tomber Grima par terre .Se relevant, la bouche ensanglantée, il défia son père du regard et celui-ci le regifla et encore plus de violence.

-Abruti ! Un fils comme toi personne n'en voudrait, tu ne fera jamais rien de ta vie. .Incapable de se battre et voleur en plus.

Son père le prit par l oreille et le jeta en avant

-Voleurs ! répétât-il : si ce n était que ca, tu es aussi un tueur ! Tu as tué ta mère ! Monstre !

Le père et le fils pleurait et le père cria de se relever. Ils marchèrent en silence et entrèrent dans Edoras. Ils passèrent deux ou trois rues et entrèrent dans une demeure .Le bonne les accueillis et le père la jeta par terre en lui sommant de se terre, il lui ajouta qu’il ne voulait être déranger sous aucun prétexte. Alors tirant toujours son fils par l oreille, il entra dans la chambre et s y enferma ...

Saresh était allongé sur son lit et avait les yeux fermer pas pour dormir mais pour réflécir.

*pf.......ses air de personne qui est inofanssif sa me rapelle moi quand j'avait 7 ans et pourquoi veux t'il dormir ici nous somme des rodeurs et il à un camps delf et d'homme à coté je vais aller voir Targrid....*

Saresh se leva et parti il se frélla un passage dans les Gondorien et vue Targrid il lui dis.

-Targrid,je voudrais savoir les directives à prendre mais trebuchet pourait défonsser les portes nous somme a bonne distance et il ne pourait nous atteindre sur la colline si les négociation tourne mal esque nous devons attaquer ?

( depuis quand vous avez des trébuchet..?? des catapulte okay...)


Je me suis tourner en faisant dos a l'ennemis .. amis je ne fuiais pas . J'écoutais mon maitre qui m'avais demander de retourner dans edoras defendre si les ennemis approchaient.


Écouter moi bande de null! Nous revenons sur la garde . Mais la garde code rouge je me suis Bien fait entendre?? les ennemis son dans norte cercle de gouderons ... s'ils attaques on les tues asser facilement. Je me suis Bien fais comprendre????

Oui general


Vous etes mieu!

Puis je suis aller me reposer un peu. Mais j'avais toujours un oeil sur la guerre qui pouvait reprendre.

[ Hrp... On recommence la bataille ou on continue de parler chiffon mesdames?]

*La jeune femme attrapa l'insigne de capitaine et sourit d'un sourire sadique a son nouveau subalterne. Elle plaça l'insigne sur elle et resserra l'étreinte de la poigne de son épée. Puis d'un mouvement plutôt sensuelle elle s'avança vers les dirigeants de l'armée ennemie. Elle remarqua un simplet qui se prenait pour un autre, entendit un fou furieux crier au sang et plusieurs personnes non moins importante mais toute aussi inutile. Trop de sang avait coulé mais visiblement pas le bon. Elle eu un petit sourire et continua d'avancer jusqu'à être à hauteur des capitaines, ou peu importe d'ailleurs, des ennemis. Elle leva la tête, bomba son torse et se tin droite. D'une voix qui ne cachait pas son mécontentement et son agacement*

~ Je suis le capitaine Scortia, Chef de cette Compagnie de Mercenaires. A qui ai-je l'honneur?

*Elle ne prit pas la peine de présenté le soldat qui la suivait et attendit une réponse*

*La jeune femme l'aire toujours aussi hautain leva la main lorsque son sous-officier se mit à clamer haut et fort ses propres paroles. Elle ne prit pas la peine de lui lancer un regard mais elle savait bien se qu'il avait en tête, et en tant que chef elle n'avait pas à s'intéresser aux provocations de ses officier si minables soit-elle (je parle des provocations pour ceux n'avait pas compris la subtilité). Elle aperçut une femme s'approcher, un autre officier probablement. L'arme toujours au point elle la regarda de ses yeux vert foncé remplis d'une lueur de plaisir, effectivement elle prenait un malin plaisir a sonder ses adversaires qui ne semblait pas avoir réellement d'organisation. Se petit repos lui permit de sentir le vent souffler doucement sur la plaine, elle senti la boue qui avait aspergé ses vêtements tout comme la poussière et le sang séché se mêler à la sueur de ses efforts. Elle s'attendait à sentir une vague de fatigue l'envahir mais il n'en fut rien. Lorsque l'autre demoiselle prit la parole, Hanna s'empêcha de rire et répliqua sur un ton arrogant, visiblement agacé et irrité.*

~ Ton chef à demandé à me voir alors me voici mais si tu n'es pas au courant, c'est probablement que tu ne devrais pas te trouver ici...

*Elle lança alors un regard à son officier qui laissait sous-entendre que le manque d'organisation de l'ennemi commençait sérieusement à l'énerver. Trop simple de battre une armée comme celle-ci, pour qu'une armée soit forte et puisse vaincre il fallait que les hommes soit soudé et que tous puisse conté les uns sur les autres. Diviser pour mieux régné n'était pas la bonne façon de faire, cela menait inévitablement à l'échec...*

Saresh qui réfléchissait dans la tente sentit une odeur il se leva et parti il vit enfin la capitain des mercenairs qu'il avait attendu tous a leur il s'aprocha et ne chercha pas la bagard comme d'habitude.

-je voulait seulement comprendre pourquoi des humain était avec le mordor et dans votre armer il à des nains des elfs vous n'êtes pas des haradrim ni des soldat ,umbar et encor mouin des homme du nord dite moi se que vous avez fait avec Agatuuk dans Edoras car sa atirer mon attention de voir des homme sortir de Edoras....

Saresh avait dis se qu'il avait attendu il se préprarait a voir la capitaine parler de facon arogante mais Saresh était habituer avec tous les orc qu,il a vue les deux personne était venu malgré la menace de tous les Licans devant eu il avait du courage et sa se vollait dans leur yeux mais en même temps ont aurait dis que le sous-officier semblait plus confiant que son capitaine cela était étrange.

*La jeune femme qui se tenait toujours droite et fière sans la moindre nervosité regarda celui qui se croyait homme avancer vers elle avec un aire de supériorité qui le rendait ridicule. Elle tourna les yeux au ciel, des homme comme lui elle les baisait et bien sur elle les déplumait aussi facilement que s'il avait été des poulets. Elle s'était monté une petite fortune de cette façon... Un de plus ou de moins n'allait pas changer grand chose. Mais comme sons sous-officier était avec elle, elle garda une petite gêne. Lorsque le lican ouvrit la bouche elle eu vraiment du mal à comprendre son langage bien qu'il parla la même langue qu'elle-même. Elle essaya d'être polie mais elle était tellement exaspérée qu'elle fut plutôt arrogante voir qu'elle laissa entendre une certaine pitier à l'égare de se pauvre homme.*

~ Ravie de... En faite non pas du tout. Je suis navré d'avoir entendu pareille massacre de ma langue, mais puisque je n'ai pas le choix je vais essayer de vous expliquer de façon concise le fait que des ''humains'' se retrouve ici... Pour commencer, on nous paye pour que nous nous battions, alors nous partons en quêtes d'un quelconque acheteur pour réaliser un nouveau contrat et ainsi de suite, se qui nous amène évidemment à voyager. Est-ce plus claire maintenant? Puisque plus rien ne me retient ici, je vais aller rejoindre mon armé. Je vous souhaite donc une merveilleuse journée...

*Elle attendit quelques secondes pour voir si se porc allait répondre et lança un regard noir à son subalterne pour lui intimer le silence.*

Epuisée, lasse, Ocarina s'en fut à l'exterieur de la tente, laissant Grima à ses soucis. Elle alla voir Kir qui semblait occupée à discuter avec un homme et une jeune femme à côté d'elle. Saresh semblait pris d'un violent mal de tête.
*De toute façons, il ne s'est pas bien soigné avant. Quelle idée d'aller mener bataille dans un état pareil!*
Elle se dirigea vers l'elfe et lui dit:
- Quoi de neuf?

Kir-Thelassis s'était légèrement détachée de la discussion lorsque Saresh arriva, elle écoutait simplement, l'arrogance reine du capitaine des ennemis la mettait hors d'elle. Elle regardait donc la scène du coin de l'oeil et écoutait attentivement tout ce qui se passait, après quelques instants de discussion inutile, les deux jeunes gens partirent. Kir hochait la tête ... quelle peut-être l'utilité de partir en guerre sans raison apparente sauf l'argent ... ah ! ces humains ... aussi cupides soient-ils ils se sentent toujours supérieurs. Un peu énervée, l'elfe s'éloigna encore lorsque Saresh lui adressa la parole, elle souria et lui répondit d'un ton las

Ouvrir le feu sur eux ne ferait qu'assouvir leurs désirs, tout ce qu'ils attendent c'est que leur camp adverse attaque. Ce qu'il faut c'est ...

*élaborer un plan plus fin * Kir avait fini la phrase dans sa tête, elle ne voulait pas avancer un sujet sur lequel, elle n'avait aucune expérience. la jeune elfe s'éloigna et exécuta les ordres de Saresh, demandant à plusieurs Lican d'ordonner un repos, tout se faisait groupe par groupe, les informations circulaient mieux ainsi. Elle revint sur ses pas, allant trouver le rodeur, l'elfe se fit interpeller par Ocarina à quelques mètres de Saresh, il ne pouvait entendre leur conversation. Kir l'observait, il avait en effet l'air d'avoir besoin de repos elle observait donc d'un oeil attentif Saresh tout en parlant avec Ocarina.

Rien de spécial, on a eu une approche de l'ambiance sur l'autre flan, ils sont un peu tendus on dirait, impatients que quelqu'un ouvre le feu. Reste à espérer qu'ils ne l'ouvrent pas tout de suite ... Sinon, tu vois, les hommes sont fatigués enfin quelques heures de repos leur devraient suffir mais lui là-bas * un mouvement de tête désigne le rodeur* ... lui est plus mal en point qu'il ne le pense, je l'avais prévenu.

Kir avait les yeux qui commençaient à devenir de plus en plus clairs, elle fit un signe pour qu'Ocarina la suive et elles firent quelques pas en direction du rodeur.

Écoute Saresh ... laisse moi voi ce que tu as, j'ai peur que ce ne soit un peu plus grave qu'une simple réaction à une potion ... Tu sais que j'ai le savoir qu'il faut pour te dire ce que tu as.
Et puis c'est de chaque côté il ne faut pas sous-estimer ses adversaires, ils sont aussi de bons combattants, on ne les payerait pas sinon pour faire une guerre. De toute façon à partir du moment où l'on sait ce que l'on fait et qu'on a un plan d'attaque et de défense ...

Ocarina observa Saresh d'un regard profond, qui exprimait parfaitement ses pensées. Elle était à la fois inquiète pour lui, et en colère contre son inaccessible simplicité. Elle pensa à lui demander ce qu'il avait fait pour être dans un état pareil, mais se tut. Il y a un temps pour tout. Quand l'heure viendra, elle en saura plus sur lui. Pour l'instant, l'oeuil cerné, le visage blême, il faisait vraiment triste à le voir. Elle sentait qu'il fallait s'occuper vite de lui et que cela dépendait de sa vie, quoi qu'il en dise. La jeune femme était vraiment à la fois impressionée et ironique de voir un homme aussi mal en point diriger une bataille. Et puis, il y avait ce Grima. D'un seul coup, un doute horrible l'empara: et si son évanouissement était prélude à une traîtrise? Elle avait senti ce passage démoniaque, ce souffle de vent perfide qui avait précédé sa perte de connaissance. Elle voulut courir pour se soulager, mais se reprit: il avait véritablement l'air mal en point et il était surement plus important de soigner Saresh. Elle s'avança vers le rôdeur, et dit:
- La bataille ne recommencera pas tant que tu n'auras pas ordonné d'attaquer. Il faut que tu te reposes, ou sinon, l'action de mener cette bataille n'aurait pas été de la bravoure mais plutôt...
Elle s'en alla en direction de la tente de Grima, calmement:
- ...un suicide.
Elle se tut en entra dans la tente.