Myria arriva avec Laifennas a la riviere.

-Nous sommes dans une partie de la rivière que les elfes ne viennent pas très souvent près. Je crois que c'est le meilleur endroit pour se nettoyer.

Myria entra dans l'eau puis se rendit a l'autre rive.

-Vous venez?

-oui, oui. Je vous suit. Ne vous en faites pas, je ne risque pas de m'éloyer beaucoup. Cela fait trop longtemps que je ne suis pas venu près de la civilisation, alors...

-Mais justement, je me demmandais comment cela se faisait-il que vous vous soyez autant eloigner de la civilisation. J'ai entendu certaine rumeures a votre sujet sur une mauvaise reputation que les gens vous avaient donner. Je me demandait comment cela se faisait-il qu'ils osent parler de cette facon sur une personne de la meme race.

Elle resta assise sur l'autre rive puis attendis sa reponse.

- hum.. c'est une longue histoire. Vous saviez que je suis orpheline? Et bien, à la mort de mes parents, mon village m'a rejeté parce que personne ne pouvait ou ne voulais s'occuper de moi. Alors je suis partie, loin. Je me suis sauvée, cachée dans les bois et j'ai évité toute personne. Jusqu'à vous..

-Mais vous n'auriez pas du faire cela. Les gens ici sont habituellement tres gentil et si ils ne peuvent s'occuper de vous, comme je suis sur que vous etes plus jeune que la personne a qui je pense, vous auriez pu aller voir au palais voir Legolas. Il a un grand coeur et je suis sur qu'il vous aurait accueuillie a bras ouvert, a moin qu'il n'aie pas vraiment le temps.

- Ce n'est pas seulement cela... je ne veux pas tout vous dire car je pourrait être vulgaire et méchante... les elfes ne sont pas seulement gentils, vous savez... j'ai préféré fuir... De plus, j'étais trop jeune, le palais ne me semblait pas une solution...

-Une elfe vulgaire...Je ne croyais pas pouvoir en trouver une. Par contre, je dois dire que le fait de partir et de s'isoler n'est pas une bonne idee sauf si comme Baie d'Or, vous avez un mari sachant combattre les meilleurs forces. Dol Guldur, au sud des bois est un tres grand danger pour quiquonque voudrais aller s'y avanturer. Vous auriez pu vous faire tuer.

- Je suis bien capable de me défendre toute seule!!! Je n'ai point besoin de mari, je me suis défendu seule et je suis toujours en vie!


Laifennas étais un peu vexé pas la remarque de son amie.

-Aujourd'hui, pour vous, il y bien aiser de vous deffendre et je ne dit pas que vous avez a tout prix besoin d'un mari. Mais dans le temps, je crois pas que sa aurait ete aussi facile. Meme les plus entrainer ne peuvent y survivre, a quelques rares exeption. Je ne doute pas de vos capaciter car je les aie deja vue au gouffre mais meme moi ou Legolas ou meme Laesonif aurions tres peu de chance de nous en tirer.

Laifennas avait compris. Elle boudait quand même un peu son amie. Elle ne pouvait pas comprendre! Elle fesait partie d'une famille riche, avait des amis merveilleux depuis longtemps et était héritière. Laifennas n'avait rien de cela! Elle resta quand même avec Myria et fit comme si de rien était car c'était le seule support moral dont elle disposait.

Myria se sentait mal de ce qu'elle venait de dire. Elle se leva en prenant une serviette et en se l'enroulant autour d'elle.

-Vous viendrais vous coucher quand vous serrez prete.

Elle sortie de l'eu puis elle se mit des vetements et commenca a marcher.

Laifennas jouat un peu dans l'eau. Elle aussi se sentait mal a l'aise. Environ 30 minute après le départ de Myria, la jeune elfe avait pris sa décision. Elle sortie de l'eau, s'essuya puis enfila ses vêtements. Elle pris ceux que Myria lui avait prété puis se dirigea vers la chambre de cette dernière. Son amie dormait. Elle déposa les vêtements puis commença une lettre qu'elle déposerait sur la commode de Myria:

chère amie,
J'ai été très bien reçu et j'apprécie énormément. Malheureusemen, je ne me sens pas dans mon élément. Je part donc dès ce soir. J'irais ou le vent me ménera. Je viendrais surement vous voir un jour puisque vous êtes toujours mon amie, a moins que vous ne voulez plus de moi. Dites merci a Legolas et faites attention a vous deux.

votre amie qui vous aime beaucoup
Laifennas

Puis, les larmes commençant à rouler sur ses joues, Laifennas partie du palais, de la ville. Elle savait ou elle allait. Seulement, elle ne voulais pas que Myria viennne la trouver tout de suite...