Après une longue chevaucher, la cité d'Edoras apparut face à nous. Les murs d'enceinte ne tenait plus, les habitations détruites, y compris la forge de mon ami. Seul le chateau d'or de Meduseld restait intacte.

En avant, nous allons avoir du travail.

Les cavaliers entrèrent par ce qu'il restait de la porte. Le Seigneur Eomer était déjà là. Mais aucun signe du Roi. Les feux d'alarme étant déclancher, j'envoie un éclaireur à Minas Tirith afin de me rendre compte de la situation. Le roi a peut être aider les Gondoriens sur cette bataille.

D'un cotés je comprenais les tourments du Roi. Nous avions beaucoup à faire et nous étions peu. De mon mieux j'essaya de réconforter mon souverain.

La Guerre est partout mon seigneur. Nous sommes trop peu de commandant Rohirrim pour pouvoir combattre de partout. Nous avons fait des choix. Le Rohan n'allais pas être attaquer, alors nous voulions aider nos voisins qui avait besoins d'aide.
Je me sens responsable de ce qui est arriver à Edoras. Je n'étais pas là quand la cité à eu besoin de moi. Nous étions en conquète du Rhûn, chose faite, et à ce prix j'ai laisser l'ennemi prendre la cité. Un de mes hommes était rester au cas où, mais il n'a pas vécue assez longtemps pour me dire ce qui c'est passé.

L'attaque de la cité blanche a du masquer une autre attaque, la même tactique qu'ils ont utiliser pour Edoras.

La cité est en reconstruction, sans mur, il nous sera plus facile de la reprendre si elle est de nouveau attaquer.

Le cor d'alarme sonna.

Vous êtes le Roi. Nous vous suivrons même au porte de l'enfer. Les 10 000 cavaliers d'élites que j'ai former sont pret au combat. 40 000 attendent au Gouffre de Helm.

Théoden sortit son épée,...

Eomer regarda Theoden sans rien dire, son plan pouvait marcher si se n`était pas du fait que les soldats dans les plaines serrait sans doute les premier tuer, deplus qui n'Avait aucune idée de quoi qui se passe alors il repondit a sont Seigneur

Moi tombé? jamais, j'étais seulement pas autour si on veut..du moin..en tout cas je me comprend, pour se qui est de gardé des soldats dans les plaine sa pourrait etre une bonne idée, si se n'était pas que j'Ai aucune idée de se qui se passe ici? pourquoi gardé des soldats dans les plaine tata ti tata ta.. Mon Seigneur, je pourrais avoir une explication de la situation actuelle, apres l'Attaque d'Idrahil sur Edoras?..et pour se qui est de ma soeur, esperont qu'Elle soit toujours en vie..

Il regarda sont Seigneur sans rien dire, en attendant une reponce de selui ci

(Et en passant Groin avait 50 000 du a sont dernier combat a Edoras qui est pas parti )

Le Roi partie en guerre avec son neveu, je restais pour défendre la cité. j'avais avec moi mes 20 000 cavaliers, avec les 30 000 soldats de la garnison d'Edoras. La reconstruction avançait.

Les nains transportaient le bois pour les murs, mais je pensais qu'il fallais que ceux ci soit plus résistant. J'envoya 10 000 de mes soldats chercher des pierres pour les fondations et ordonnait au paysan de garder de coté les peaux de bêtes mortes. Elle seront traité bien sûr et servirons contre les pierres de feu des catapultes.

Le mur seront comme ceux de la forteresse que j'ai fait battir en Ouestfold. Quand à la porte, nous resterons sur l'idée d'une petite porte, assez large pour faire passer 2 cavaliers côte à côte. Elle sera cependant revue à ma façon.

(DSL pour le double post)

Alors que les jours passent, le mur monte petit à petit. Avec l'aide des nains et des Hommes d'Eowyn, la forteresse grandissait. Les habitations furent reconstruites ainsi que l'indispensable : auberge, forge, caserne, archerie et les écuries. Il nous fallu beaucoup de temps pour en arriver là mais nous avions tous un toit sous le quel dormir.

Les nains continuèrent d'ériger les murs. Pendant ce temp, avec une vingtaine d'hommes, nous installons les pièges de ma conception. Les mêmes pièges qui se trouvent en Ouestflod. Ils seront très bien dicimuler aux yeux de l'ennemi qui ne les verra et ne saura ce que c'est que lorsqu'ils se déclencheront.

Le plan de disposition était dans mon esprit, bien prédéfini, avec une utilité indispensable en cas d'attaque.

Le terrain avait été bien accidenté lors du dernier combat. Parfait, car l'avancer ennemi serai ralenti, les fatiguants plus. Pour les unités à pieds, la porte et les rempart était situer légèrement plus en amont de la colline que les anciens murs, une contrainte supplémentaire en notre faveur. Un bélier, si il arrivait jusque là aurait beaucoup de mal à faire effondrer la porte que j'avais prévue.

Une porte pas très large, suffisante pour 2 cavaliers côte à côte, faite de tron d'arbre, ouverture à bascule mais vers l'extérieur. Elle sera donc en buté contre le mur et contre le sol à l'opposer, à 1m de fond. 2 point de buter, une porte danse, à sens d'ouverture opposé au bélier, il sera impossible de l'ouvrir pour l'ennemi.

Toutes les portes de la cité seront sur ce fonctionnement, c'est pourquoi il nous faudra des murs tout aussi résistant pour ne créer aucune faille.

Les 100.000 soldats de Baraduin arrivèrent alors non loin d'Edoras. Devant le nombre d'ennemis, le roi des hommes installa ses troupes et fit tirer ses archers et ses catapultes, ce qui eut pour effet de faire rentrer les Rohirrims.
Baraduin vit que la cité était puissamment gardée et si les défenses s'annonçaient très bonnes, elle n'était rien du tout pour l'instant.
Les 100.000 hommes de Baraduin avancèrent aussi près qu'ils le purent puis s'arrêtèrent.

Baraduin demanda à parler à un émissaire du Rohan.

Je n'es aucune idée de qui il peut s'agir mon Seigneur. La seul chose que je sais sur lui, c'est qu'il a ouvert le combat et qu'il faut nous défendre. Nous disposons de 30 000 Rohirrim venant de Dame Eowyn, J'en es actuellement 10 000 avec moi, la garnison du Gouffre de Helm compte 40 000 cavaliers d'élites, surentrainer comme mes cavaliers présent. Je ne sais pas combien de nains sont présent, et ils reste vos hommes.

Nous ne devons pas avoir l'avantage du nombre, mais nous avons le terrain avec nous. Ils seront essouffler en atteignant les premiers remparts, vue que je les es fait installer plus haut. J'ai bon nombre de pièges indétectable sur le terrain. Je vous laisserai voir par vous même leur utilité. Si nous devons charger, je demande que mes cavaliers passent en premier. Ils savent très bien comment héviter les piquiers et les flèches.

Vous êtes le grader le plus élevé ici, à vous de décider. Envoyons tout de même un émissaire pour en apprendre plus sur notre ennemi. Je me porte volontaire. En cas d'embuscade, je pourrai sans problème me libérer.

Je ne savais pas de qui il s'agissait, mais si il avait de vrai intension hostile, il aurai attaquer sans tarder profitant de l'effet de surprise.

Pendant que nous parlions, les hommes disposèrent les peaux de bêtes sur les remparts et versèrent de l'eau dessus. La plus pard des hommes ne savaient pas pourquoi, mais je savais et il n'y a que cela qui comptais.

La porte était achevé et installer au moment où notre ennemi arrivait.

Baraduin s'avança de devant ses armées... Il fit une centaine de mètre vers la cité pour parlementer et puis cria haut et fort qu'il demandait à parlementer ou à discuter avec les généraux de Rohan.

Après quoi il attendit désarmé et loin des deux armées que quelqu'un arrive pour discuter avec lui... Il n'avait pas tout son temps et désirait régler ce différent au plus vite. La guerre ne l'intéressait plus et le grand ver c'était joué de lui en lui demandant de faire venir ses armées pour rien. Il fallait s'expliquer.

Je ne pensais pas avoir été meurtrier en lançant 5 boulets de pierre sur une partie de votre capitale que d'ici on voit en ruines ...
Mis à part ce détail, je suis du côté des Dunlendings et je viens en leur nom. Leur peuple est en rage car ils n'en peuvent plus de vivre comme des bêtes tapis dans les montagnes et ils sont prêts à réenvahir le Rohan, même si cela doit les mener à leur perte. Je venais ici parlementer. J'ai 100.000 hommes et le roi des hommes des montagnes en a 50.000. Vous êtes forts c'est vrai mais vous savez que cette guerre vous coûtera cher. Vous avez déjà perdu plusieurs dizaines de milliers de cavaliers lors de la guerre contre Idrahil et maintenant vous venez d'en perdre 40.000 à Fondcombe. Etes-vous donc prêt à en perdre 40.000 de plus ?
Voilà ce que je pense être un bon arrangement. Le peuple des mauvais hommes en a assez d'être à la solde de Sauron et nous cherchons maintenant notre profit à nous. Je viens d'un royaume lointain ou la main de Sauron n'a pas autant de pouvoir que sur les autres terres. De plus, j'entretiens de bons contacts avec Rhun, Kand et le Harad et je suis en train de créer une nouvelle grande alliance pour les hommes. C'est mon espoir. Et dans ce cadre, je n'ai nul avantage à vous avoir pour ennemis. JE vous demande ceci :
Rendez aux Dunlendings une province ou deux. Juste de quoi permettre à leurs habitants de vivre décemment et je vous garanti que plus jamais vous n'aurez à nous combattre. C'est tout ce que nous demandons.
J'attends votre réponse. Mais sachez qu'il n'y a nulle fourberie dans mes paroles et que j'ai été lésé par le grand ver. C'est la dernière fois que mon peuple agi sous les ordres d'un autre que moi, ça je vous le promet !

Alors que le roi négociait avec les nouveaux venues, la construction poursuivait. Mais le chantier n'avançait pas vite. la crainte d'une attaque pesait dans nos coeurs. Nous avions mis tant de temps pour reconstruire nos maisons, que nous ne voulions pas les voir détruite une deuxième fois.

la muraille nord était achevé, mais le reste devait être fait. La porte nord était telle mon souhait, les autres portes serai de même.

Je guètes toujours l'ennemi, pret à déclancher mes pièges si ils venaient à attaquer. Nous perdrions alors moin d'homme qu'une attaque directe. Sur le qui vive, je veille.

-JE comprends votre position mais je me permet une dernière fois d'insister. Les Dunlendings furent chassés il y a bien longtemps par votre premier roi et si Wulf a réenvahit le Rohan, sachez que moi de deux siècles auparavant les Dunlendings peuplaient ces terres. Tout ce qu'ils demandent c'est un endroit où vivre décemment !
Mais puisque vous le dites, l'exemple est mal choisi pour le Mordor car il n'a jamais rien fait subir au Dorwinion. En revanche une paix avec le Gondor qui pourtant nous a fait la guerre et dont le premier roi Elendil nous a chassé de Gondor il y a de cela fort longtemps, je l'accepterais...

Enfin vous voilà à votre dernier mot. J'aurai au moins eu le mérite d'avoir essayé non ? J'espère que cela non plus vous ne me le reprocherez pas.