Ancalagon sourit. Il n'attendait que ça pour mettre son plan en action.
Les 10.000 archers humains descendirent un peu plus bas de sorte qu'ils purent tirer directement sur les elfes et les humains sans devoir pour autant faire de tirs de volée et ce fut bien plus efficace. De plus, leur position en hauteur empêchait les archers du bien de les atteindre. Ancalagon fit tirer les catapultes de projectiles qu'il avait enflammés et qui détruisirent deux bâtiments elfiques dont une partie des murs s'écroulèrent et le toit pris feu. De plus, Ancalagon vint au dessus de la cité et Thorondor vint avec les aigles. Ancalagon eut le temps de tuer un elfe en vol d'une boule de feu et en arracha un autre de ses griffes. Restait alors Thorondor, Landroval et Gwaihir. Le combat allait être rude mais Ancalagon était confiant et il s'était paré à une attaque depuis le poitrail et avait tout prévu. Avant de se lancer contre les aigles, il piqua à une vitesse incroyable sur Fondcombe et passa sur la longueur de la ligne de la compagnie noire en crachant son feu. En moins de 20 secondes, le dragons crachait ses flammes et brûlait plusieurs humains. De plus, en s'écroulant, les débris des bâtiments écrasaient ceux qui les défendaient. Les hommes fatigués ne tenaient pas bien face aux Uruk même si ceux-ci étaient en sous nombre et les flèches des hommes de Rhun étaient très efficaces. De plus, Ancalagon vint par le flanc et avant que les hommes de la compagnie noire ne purent tourner leurs balistes, Ancalagon en tenait une dans ses mains et vint la poser hors de la ville, la positionnant devant les cavaliers de Théoden afin que celle-ci fasse des ravages.
Thirit jura en voyant cette perte mais il comprit qu'il fallait toujours avoir un oeil sur le ciel si il voulait savoir réagir à temps. Ancalagon monta haut au dessus des nuages et en piquant de toute sa vitesse, il percuta Thorondor qui n'eut le temps que de se préparer au choc et vint l'écraser violemment à terre. Cependant, les deux autres aigles étaient là et si Glaurung n'avait pas été caché pour intervenir, Ancalagon aurait sans doute été vaincu.

En contre bas, voyant que les elfes tournaient les talons et qu'ils se jetaient dans la mêlée contre Carock, les 50.000 archers précédés des 10.000 orcs et des 10.000 survivants d'Eron les suivirent et ceux qui pensaient prendre les Uruk dans le dos furent pris dans le dos eux-même et les traits se firent virulents et tuèrent encore nombre d'elfes.

J'avais entendu le capitaine mercenaire - je compris plus tard que c'était le capitaine - il se défit de mes guérisseurs en les remerciant. Je souriais bien que le temps n'était pas aux sourires, je réfléchissais aussi. Ces uruks semblaient infatigables, et pourtant ils avaient bien besoin de vivres et de sommeil ... ma stratégie vint alors. Leur couper les vivres et mettre des soldats pour garder les portes, juste ce qu'il faut pour défendre de l'attaque constante des créatures. Je m'approuvais en en parlant discrètement à mon général, une fois en haut des remparts, je réalisais qu'une grande partie des uruks étaient dans l'enceinte de la ville, la chance tournait. Ils avaient peut-être des dragons mais ces créatures ne pourraient pas résister longtemps aux flèches meurtrières des elfes. Les mercenaires s'élançaient avec mes soldats quand je revis le capitaine, je marchais vers lui. Malencontreusement un orque ou un uruk vint à m'attaquer par derrière, le pauvre ... il aurait du savoir que s'attaquer à quelqu'un comme moi en période de guerre en particulier était très mauvais. Une elfe ! a-t-on idée d'attaquer une elfe par derrière ! Il se trouva donc rapidement tranché, je n'y fis guère attention, me préoccupant plus d'atteindre le malade pour lui faire part de mon avis.

Vous semblez commander cette armée ... vous êtes si jeune !
Bref, je ne suis pas venue vous trouver pour vous parler de cela. Je me demandais ... si l'on enferme les Uruks dans la ville, que l'on retourne les archers vers eux, et cela en toute discrétion ... on peut déjà éliminer un grand nombre d'opposants. Ensuite, là regardez par les remparts, vos hommes ont une force, c'est sur ! Il faut les rapatrier ici, leur expliquer que si l'on coupe les vivres aux Uruks, ils seront obligés de se replier. Il faut les faire fuir, il n'en n'est pas possible autrement. Si on entoure ces armées ennemies, ils devront reculer, plus ils reculent mieux c'est, le temps de reconstruire puis de retrouver une stratégie plus appropriée.
Il faut faire vite ...

Je regardais l'homme dans les yeux, questionnant son regard, il était fatigué, des soins lui étaient nécessaires mais visiblement l'envie n'y était pas. Je regardais la forêt me demandant encore si elle survivrais à une telle attaque. La nature a survécu à tant d'horreurs ... cela m'étonnait toujours. Une idée me vint alors.

Je connais une excellente guerrière, il me semble qu'elle est ici, je ne préfère pas savoir comment est-ce qu'elle est arrivée ici mais il n'empêche que ses stratégies de combat peuvent être excellentes même si on a du mal à les comprendre immédiatement. Kir-Thelassis, la connaitriez vous ? Elle pourrait nous aider ... qu'en dites vous ?

Je sifflais un oiseau qui m'accompagnait dans mes voyages, c'était un hibou blanc, je lui chuchotais quelques mots en elfique puis le laissait repartir, il devait trouver ma petite protégée qui m'avait tant aidé autrefois.

Hrp : Non prise en compte de la capture de la baliste, explication par MP auprès du concerné.




La bataille continuait, le passage éclaire du dragon causa quelques dommage.
Entouré de sa Garde personnel et de la 11e division, le Capitaine continuait d’observer la bataille alors qu’un des guérisseurs recousait tant bien que mal l’entaille de son épaule gauche.
La douleur était tellement importante qu’il ne ressentait presque pas l’aiguille transpercé sa peau à mainte reprise.

Une fois finit, le Mercenaire salua son capitaine avant de rentré dans le bâtiment. Il aurait voulut dire à Thirit de rester en retrait, mais il savait que son chef l’aurait envoyé balader.
Distribuant ses ordres, le Gondorien arpentait l’arrière de ses ligne de long en large.
Soudain, il distingua des cavaliers elfes portants un blesser, qui tentaient de pénétré dans la cité.

Couvrez les cavaliers jusqu’ici !

Obéissant sans discuter, les archers et arbalétriers concentrèrent leurs tires vers l’es ennemis les plus proches des elfes, leur traçant un chemin sûr jusqu'à leur ligne et le bâtiment qu’il protégeait.
Sans reconnaitre Celeborn, le Capitaine ordonna aux elfes de porter le blesser à l’intérieur. En effet, ce bâtiment âprement défendu était l’hôpital de campagne qu’avait installé la 4e division.
Alors que son regard se tournait détournait des elfes, il croisa celui de Elenwë.
La reine elfique venait vers lui.
Immédiatement, les mercenaires la laissèrent passer et refermèrent le périmètre de défense juste derrière elle.
Le Capitaine l’écouta avec attention, bien que la mention de sa jeunesse le fasse sourire. Il avait quand même 83 ans, ce qui était extrêmement vieux pour un humain…
D’une voie froide mais néanmoins marqué par la fatigue et la douleur, il lui répondit :

Je me nomme Thirit, et effectivement, je suis le Capitaine de cette Compagnie de Mercenaire.
En effet, je pense que reprendre les remparts est la priorité. Une fois sous notre contrôle, l’on pourra exterminer ces Ouroukais. Mais mes hommes ne peuvent quitter la défense des bâtiments. La plus pares abritent les blessés du début de la bataille, ou nos balistes, seules armes efficace contre les Dragons.
La grande partie de mes hommes sont exténué. Néanmoins, ma garde personnel est excellente, permettre moi de vous accompagner avec eux lors de la reprise des remparts.

Sa 1ère division était l’élite de la Compagnie Noire. Elle regroupait une grosse centaine de guerriers aguerris et équiper d’imposante épée à deux mains qu’ils magnaient avec grâce.
La mention de Kir déclencha un air d’étonnement chez le Capitaine. En temps normale il n’aurait rien laissé paraitre, mais la fatigue jouait son rôle.
Sur un aire mi amusé et mi intéressé, il poursuivit :

Oui je la connais, elle a été récemment incorporée au sein de la Compagnie. Mais malheureusement, elle est actuellement en mission en dehors des murailles avec sa division. Je la ferai quérir lorsqu’ils reviendront…

Volontairement, il ne s’étendit pas sur les raisons et surtout la manière avec laquelle Kir venait de rejoindre la Compagnie.
Plongeant son regard dans les yeux magnifiques de la reine, Thirit attendit une réponse.

Glaurung se trouvait sur la montagne et le combat entre les deux dragons et les trois aigles commença...
La mêlée était rude car Thorondor était puissant, presque autant que les dragons et Gwaihir, bien qu'il fut inférieur à Glaurung ou Ancalagon était aussi un adversaire de taille. Landroval pour sa part était si agile et petit qu'il se faufilait entre les griffes des dragons. Il fallu que les 10.000 hommes de Rhun approchent et bandèrent leurs arcs pour mettre en danger le troisième aigle. Pendant ce temps, les deux duels, l'un opposant Gwaihir et Landroval à Ancalagon et l'autre Thorondor et Glaurung faisait rage et Thorondor parvint miraculeusement à entailler le dos de Glaurung ce qui provoqua une douleur aiguë au dragon. En retour, celui-ci crache ses flammes et il s'en fallu de très peu pour que le Maia ne fut brûlé vif. Les plumes de sa queues roussirent même.
En contre-bas, les 8000 derniers Uruk de l'armée de Théoden mirent une heure entière avant de tomber. Lorsque les dernières troupes du dragon s'écroulèrent, ce n'en fut pas moins en tuant autant de cavaliers dans les rangs de Théoden, et même un peu plus. 10.000 piquiers avaient coûtés 15.000 cavaliers à Théoden et celui-ci voyait ses 50.000 réduits à présent à 33.000. En face d'eux, trois fois plus d'orcs les pressaient contre les rochers et même les chevaux ne parvenaient pas à charger. Glaurung eut l'occasion de cracher une voule de feu qui fit brûler une dizaine de cavaliers et leurs montures puis reprit son combat acharné avec l'aigle.
Ancalagon agissait de telle sorte que lorsque ses deux opposants s'extirpaient du combat, ils devaient y revenir sans quoi Ancalagon restait au sol et cracha ses flammes sur les cavaliers. Les aigles ne pouvaient alors laisser les Rohirrims rôtir et devaient donc charger les dragons sur les sol où Glaurung était de loin le meilleur...

//PS : Je préviens déjà que si je ne peux tuer aucun des trois aigles restant, Landroval sera mis hors circuit ! Alors Thorondor, prière de faire comme je l'ai fait ici et de ne pas dire que l'un de nous meure ou que tu me massacre. A la limite tu peux dire que tu me blesse mais tu devras t'attendre à un ... retour de flammes, c'est le cas de le dire :D//

Les 50.000 orques se séparèrent en deux groupes. Près de la porte, 25.000 d'entre eux pilonnaient les 18.000 elfes restant et les 25.000 autres vinrent sur le flanc des Rohirrims et commencèrent à décocher leurs flèches...

(je n'es pa spu tous lire)

Imaragon restait en haut carbonisant les aigles était trop près. La batail fesait rage même si il perdait foncombre était condané le nombre de mort la ^peste allait se répandre sur la vallé les cadavres était partout le sang coulait comme un rivière se répandant dans la mer le mal régnait partout les elfs pleurait leur perte cher comme les homme et les uruk reoutait de rage au combat si cela continuait la batail serait gagne rpa rle mal.

(ps: tu à mal au poumon encor Thirit un cou pde queue sa fait plus mal qu'on le pense.)

/Quoi? Je suis outré, hors de moi.
- J'ai dit que je pillonais les dragons à une hauteur où même les elfes ne nous voyent pas. Ancalagon venait de se prendre 10x11 boulets, soit 110 rochers en plein tronche, et tu me dis que j'attaquais les ourouks? M'enfin, ma vengeance est prise, me voilà bien\\


Landroval, Gwahir et Meneldur remontèrent vers le ciel, sur ordre de Thorondor. De pensée, il prévint Elrond de ses agissements. Quand les armées des elfes s'enfuirent par l'entrée de Fondcombe, rentrant à imladris, tandis que les rohirrims sortaient du champ de bataille en remontant vers les hauts aux côtés de Thranduil et de Celeborn, l'aigle regarda lers armées du mal seule dans la vallée. Après avoir écrasé plusieurs d'entre eux dans la boue, de gigantesques flots déferlèrent de la Bruinen, inondant à 70cm la vallée de Rivendell. L'aigle regarda les gobelins impuissants remonter vers la falaise en jouant des pieds et des mains, puis écrasés par des tirs elfiques. Des éclairs déchirèrent de nouveaux le ciel, entamant les roches de la vallée. L'aigle tourbillonait de partout, écrasant tout ce qu'il pouvait. De lourdes vapeurs s'émanèrent du sol, dues au feu des dragons. L'aigle regarda les rochers se fracasser de partout, sur elfes et orques.
L'oiseau était offusqué des agissements que l'ion faisait à Rivendell. Un éclair frappa Glaurung sur le dos de ses écailles. Quelques rochers tombèrent, s'écrasant sur les orques. La tempête s'arrêta. Le esprits de l'air s'étaient apaisés. La foudre reffrapa en force une dernière fois le sol, dont l'eau s'infiltrant descendait à 20cm de hauteur. Une démarche fatale. L'eau, excellente conductrice tua un grand nombre d'ourouks-haïs et d'orques. Les trois quarts des armées du mal étaient tombés, mais aussi quelques elfes. Même les dragons, avec leurs dures écailles ne furent pas insensible à cela. Thorondor remonta vers le ciel. Il regarda les galeries des elfes béantes, les eaux boueuses et les vapeurs qui s'échappaient de ces dernières. L'aigle fit un coup de tête gracieux à Elrond, tandis que de beaux rayons de soleil transperçaient le ciel, provoquants la panique chez les armées ennemies. Même les ourouks-haïs qui ne la craignait pas en furent repugnés. Les orques se cachèrent entre leurs mains, cherchant une quelconque ombre. L'aigle remonta vers le ciel, dans de majestueux coups d'ailes. Les aigles avaient achevés leur tâche.

- Adieu Elrond, mes travaux sont ici terminés, tuez les dragons désormais, je ne peut faire plus que cela. Adieu! Gondolin entière te charrie!

Quand l'eau arriva les hommes de Érons prir leur monture et partir en revenant ensuite quand l'eau se commencait à partir car ont ne peu remplir toute un vallé ainsi qu'une forêt l'eau entraian les cadavre elfs dragon aigles elf humain qui vinre se perdre dans la forêt l'odeur que dégagait la forêt désormait était horible les vallé n'étoyer maintenant toute lkes unite rdans la ville sa devenait un vrai siège les 4000 numénoriens partir au galo pour aider Carok sur les renparts dix capitaines masacrait les garde sur les murail les numénorien avait de grand talent au corps à corps

//Tu m'explique comment tu fais Thorondor pour lancer des rocs avec précision sur un dragon en vol alors que moi même je ne touche pas au but quand je lance des boules de feu bien plus précise ! De plus, il ne te restait déjà plus que 8 aigles à ce moment là ! Sinon il est vrai que c'est une erreur mais que crois-tu ? Que sur les 110 rocs, il a du en toucher 20 maximum. Que vu ta taille les rocs étaient deux fois plus petits qu'Ancalagon et qu'il ne faisait que se briser dessus ! Même nous on ne vous lance pas de rocs tellement c'est inutile contre une bête en vol ! JE suis désolé et il est vrai que Glaurung n'aurait pas du réagir ainsi mais il est vrai aussi qu'il a très bien pu s'enfuir et agir ailleurs. Dès lors tes rocs tomberaient partout sur les hommes du bien ! //

A ce moment, la lumière vive fut trop éblouissante et les orcs s'arrêtèrent. Il fallu que Glaurung devant le départ des aigles fasse appel à Imaragon et Ancalagon. A eux trois, ils brûlaient à toute vitesse toutes les forêts combustibles alentours et crachait leur poix épaisse autant qu'ils pouvaient.
Ce fut la poid et la fumée des arbres en flammes qui permirent d'atténuer le soleil, mais il ne fallait pas s'arrêter là. Profitant de cela, Théoden tua 10.000 orcs mais les 80.000 autres reprirent leurs esprit suffisamment pour pousser les Rohirrims contre les rochers une fois encore. Pendant près d'une heure, les dragons ne firent que cela et bientôt, non seulement le sol était déjà brûlés et brunâtres de telle façon que plus jamais personne ne viendrait, l'eau de la rivière rouge et noire de sang mais maintenant l'air empestait de l'odeur des cadavres et de la fumée des dragons. C'était une situation dans laquelle les orcs se délectaient et si pendant une demi heure Théoden eut le dessus et tua les 10.000 orcs, dès la demi-heure suivante, cela s'équilibra et à présent, les orcs étaient avantagés.
De plus, lorsqu'ils eurent terminés, les trois dragons se mirent à voler au dessus du champ de bataille en hurlant et crachant des flammes de ci de là. Ce qui ne fit que renforcer le théâtre funeste et macabre.
Glaurung hurla à Ancalagon d'attaquer sur les remparts. Que de là, il aiderait Eron et Carock ainsi qu'au massacre des troupes de Celeborn et il fit envoyé ses 5000 orcs restant dans la mêlée. De plus, les catapultes tirèrent encore leurs pierre qui vinrent s'abattre sur les bâtiments qui dès qu'ils étaient atteins une fois ou deux étaient à la proie des flammes. Il fallait aux guerriers du bien éteindre les feux si ils ne voulaient pas mourir dans un énorme brasier.
Pendant ce temps, Glaurung descendit dans la vallée et capture 5 elfes dans ses serres. Lorsqu'il les déposa sur les montagnes, ils furent désarmés et Glaurung les menaça avec Imaragon...
Il leur ordonna de soigner les plaies du dragons car Glaurung avait vu parmis eux un guérisseur. Glaurung usa de ses talents de paroles et proposa un marché aux elfes. Si ils soignaient le dragons, les 15.000 elfes qui se battaient encore en bas aux côtés de Celeborn seraient épargnés. Sinon, ils mourraient tous et Glaurung se chargerait alors de torturer les 4 autres elfes jusqu'à une douleur impossible totu en leur faisant garder leur tête. Il écouta la réponse du guérisseur. Mais avant que celui-ci ne répondit, il lui expliqua qu'il avait plus de connaissances en la matière que l'elfe mais qu'il était incapable de le faire lui même, ce qui n'empêchait pas pour autant que Glaurung connaissent tous les produits et sauraient si l'elfe usait d'un quelconque produit néfaste. En contre bas, la bataille se poursuivait et dans cet état des choses, rien ne s'arrangeait pour Théoden ou Celeborn. Depuis les catapultes, Glaurung fit lancer des têtes décapitées d'elfes dont les traits encore visibles reflétaient la peur et la douleur dans la cité... En quelques salves, des cris s'élevèrent de Fondcbome tandis qu'on entendait le rire des Uruks et des Orcs.

Alors qu'Astaldo se battait de plus en plus furieusement ,il se retourna pour attaquer un orque dans son dos et il vit une énorme boule de feu fondre sur lui. Il n'eu qu'une seconde pour se baisser au s'aplatir au sol évitant en même temps la boule de feu (sûrement lancée par un dragon ^^)et le coup dépée de l'orc. C'est la dernière chose qu'il fît. Il se releva et rejoignit ses troupes.

-Vous allez bien ? demanda un soldat.
-A merveille ... répondit-il.Attention !

Un orc s'avancait vers le soldat après avoir tué un rohirrim qui se tenait devant eux. Il pris son épée et lui passa a travers le corps. L'orque eu quand même le temps de laisser tomber son arme ,afffligant une petite blessure au soldat.
Les orques prenaient l'avantage. Les Rohirrims reculaient. Les dragons nous attaquaient depuis le ciel et les orques ne semblaient pas mourrir.
Astaldo recula dans les rangs rohirrims.

-Donnez moi votre arc ! ordonna-t-il a un de ses hommes.

Il le banda et observa le ciel. Ce qu'il faisait était sans AUCUN doute inutile mais il essaya. Il vit un dragon passer et il lacha la corde qui propulsa la flèche. Astaldo ne sut jamais s'il avait atteint sa cible car les orques faisaient une percée dans les rangs des soldats du Rohan. Il reprit le combat.

Ancalagon volait dans le ciel quand soudain une douleur assez vive l'étreine au poitrail. Ses écailles lacérées par les aigles étianet à présent bien moins résistantes et Ancalagon avait une flèche plantée dans le ventre. Elle n'avait pas fait très grands dommages mais elle était douloureuse à chaque mouvement. Il alla se poser sur les montagnes où deux hommes lui enlevèrent la flèche et nettoyèrent rapidement la plaie.
Lorsqu'Ancalagon reprit son envol, il était bien décidé à se battre contre celui qu'il avait vu le toucher. Il laissa les remparts un moment et piqua vers Astaldo. Il cracha ses flammes et une boule de feu sur ses cavaliers et fit tirer ses 10.000 archers sur ceux-ci avec les 25.000 orcs qui tiraillaient les flancs de Théoden. Ses cavaliers tombèrent autour de lui et Ancalagon fit donner la charge. Il la menait lui même et combattit avec férocité au sol les Rohirrims d'Astaldo. Il tuait et tuait encore et nul ne lui résistait jusqu'à ce qu'il arriva près du second d'Astaldo qui ralliait autour de lui les meilleurs gardes royaux de l'armée de Théoden et d'Astaldo... Un millier de cavaliers d'élites se dressaient devant lui et chargèrent le dragon avec folie. Cependant, de nombreux chevaux refusèrent d'avancer mais ceux qui chargèrent encerclèrent le dragon et commencèrent à essayer de la blesser. Ancalagon cracha ses flammes et se démenait. Après quelques dizaines de minutes, 300 gardes royaux gisaient alors au sol. Cependant, le second d'Astaldo s'avança à pied et vint percer la queue d'Ancalagon de sa lance. Le dragon fou de rage le tua sur le coup mais devant cette attaque réussie du dragon les gardes royaux reprirent espoir. Lorsque les 500 autres furent tués, Ancalagon avait deux flèches entre les écailles et un javelot planté dans le côté. De plus, sa queue blessée lui faisait mal. Il ne risquait pas de mourir mais dans cet état il était moins efficace. Alors Ancalagon s'avança vers Astaldo et brisa son cheval, dispersant ses hommes. Les flèches s'abattirent encore puis 30.000 orcs s'engouffrèrent dans ses lignes éparses, ce qui fit que les cavaliers immobilisés devaient se battre à un contre 2 ou 3 tout en contrôlant leurs montures et en résistants aux flèches qui s'abattaient sur l'arrière encore indemne de leurs lignes.
Ancalagon assaillit Astaldo et parvint à lui griffer assez profondément le bras gauche puis il l'attrapa dans ses serres mais d'un coup d'épée le Rohirrim s'extirpa et parvint à s'enfuir. Ancalagon souffrant monta rejoindre Glaurung et le guérisseur elfe qu'il était en train de maîtriser par sa force d'esprit pour qu'il fasse ce qu'il veut...

Je remarquais que des Uruks s'enfuirent à bord de Wargs, loups qui me rappellèrent un peu les Licans de Saresh ... allez comprendre le lien ! Ces créatures, les unes plus dégoutantes et dangeureuses que les autres s'étaient débrouillées pour tenter de nous bloquer notre chemin. Thirit avait une voix un peu rauque encore atteinte par la fatigue et sa maladie qui m'intrigait chez lui. Une personne si jeune ... Il me sembla bien déceler aussi plus tard dans sa voix une once d'intérêt lorsque je nommais mon amie Kir-Thelassis, cela me fit sourire mais moins lorsqu'il me dit qu'elle avait rejoint sa compagnie, mon visage redevint alors de marbre. Que s'était-il donc passé pour qu'une elfe telle qu'elle se soit lancée dans une aventure aussi suicidaire. Je m'inquiétais grandement pour elle, mais je préférais la mettre pour l'instant de côté dans mon esprit pour ne pas être perturbée. Je sifflais pour que mon oiseau revienne, il ne fallait pas qu'il gêne les actions de la compagnie, si elles pouvaient nous mener à la victoire. D'un ton des plus calmes et posés je dis

Bien, je rappelle mon oiseau ... je joins donc mes 1000 élites à vos troupes ainsi que de simples soldats que j'ai regardé s'entrainer avec acharnement, ils me connaissent tous et je les sais vaillants discrets 9000 hommes. Le tout de 10 000 hommes pour reconquérir les remparts et bloquer les sorties. Mes autres 30 000 enfants je les laisse s'occuper des affaires de dehors, qu'ils bloquent le passage d'entrée en ville, qu'ils le reprennent, je vous envoie 10 000 qui aideront votre hopital.
Les pertes risquent d'être nombreuses si nous n'agissons en toute vitesse et sans stratégie. Il faut les encercler, je ne ferais que vous suivre.

Je tonnais les ordres en elfique à mes hommes, ils s'exécutèrent avec rapidité, tous à cheval tandis que mes élites étaient à pieds. Ils devaient suivre mes ordres mais cela ne se fit pas, la porte de la cité était bloquée, nous nous retrouvions enfermés, fort heureusement, j'avais la plupart de mes hommes de l'autre côté de la porte, leur faisant entière confiance, je savais qu'ils arriveraient à se débrouiller pour débloquer la porte puis qu'ils viendraient nous aider. Pour l'instant 8000 elfes dont mes élites étaient là et suivaient mes instructions : suivre celle de Thirit. Je le regardais avec respect puis remettant ma main sur son dos afin de le soulager je lui dis.

Je ne peux pas consacrer toutes mes forces à vous soigner, je le ferais petit à petit dans les pires moments, s'il m'en vient à mourir je consacrerais mes dernières forces à vous soigner pour que vous sauviez la cité des mains des orques sans quoi ... je ne préfèrerais pas être à votre place. Mes hommes vous écouteront, ils vous écoutent déjà.

//Cela dit si les aigles jette des rocs sur le dragon c'est sur le dragon, leur vue leur permettra de savoir qu'il a bougé --' \\


Les aigles venaient d'arriver. Ce fut à cet instant que déferlèrent dans la vallée de Rivendell quinze mille ourouks-haïs et autant de numénoréens noirs. A la tête de ces derniers, Eron, frère d'Idrahil. Que revenaient faire ici ces pourritures du nord? Il prit son épée en main, son anneau brillant de fureur. Des vapeurs fumantes empêchaient la vue précise, et beaucoup de coup étaient portés dans le vide. Elrond sauta sur le sol, repoussant la brume de sa magie autour de lui. Il marcha doucement dans l'eau. Il crut bon le moment venu. Mais alors, des éclairs frappèrent le sol d'eau. Plus de 50 000 orques tombèrent, et tandis que les elfes prévenus étaient rentrés dans la cité ou en haut des ravins, Elrond était sur un rocher. Alors à cet instant, les galeries creusées avec soin il y a bien longtemps s'ouvrirent, béantes. Les elfes se dépêchèrent de sortir de là. TRente mille elfes de Fondcombe frias se ruèrent sur les armées ennemis. Ils n'attaquèrent pas directement. Tandis que les piquiers restaient devant, des vagues de flèches veues des hauts et des elfes finit par avoir bon des piquiers. Elrond prit son cheval, tandis que tous les elfes d'en haut des ravins et les siens attaquaient les orques, à l'improviste tandis que les dragons attaquaient les remparts. les orques prit de leurs flans furent débordés.

Glaurung parvint enfin à prendre possession de l'esprit de l'elfe qui lui résistait même après avoir tué ses 4 compagnons. Lorsque le guérisseur commença son œuvre, Glaurung regarda tout d'un œil suspect mais l'elfe était soumis et ne fit rien de mauvais. Au contraire, les guérisseurs elfes étaient de vrais prodiges et en moins d'une demi heure, les blessures d'Imaragon avaient été nettoyées et des onguents et produits elfiques activaient leurs cicatrisations. Imaragon dut rester sur les rochers et commença à pilonner de ses flammes les Rohirrims plus bas.
Ensuite ce fut au tour d'Ancalagon d'être soigné et ses plaies étant superficielles, l'elfe lui administra un anti-douleur avec la dose de 15 chevaux puis nettoya les petites plaies. Ancalagon et Glaurung étaient fins prêt à agir...

Sur les murs, les elfes s'activaient et les 10 catapultes et les 10.000 archers se positionnèrent. Lorsque les elfes d'Elenwë parvinrent à prendre pied sur une partie des remparts, 10 rocs et 10.000 flèches s'abattirent sur ceux-ci et Ancalagon passa sur les remparts et cracha ses flammes sur les elfes debout sur les murs. Les remparts gagnés étaient reperdus chaque fois que Glaurung passait et brûlait les elfes. Il remontait si haut dans le ciel que jamais les archers ne pouvaient savoir d'où il venait.
Pour sa part, Glaurung chargea près des portes où les elfes de Celeborn agonisants n'étaient plus que 10.000 et que des renforts d'Elenwë venaient aider. Glaurung se jetta dans la masse et commença son balais de la mort en zigzaguant au milieu des lignes elfiques et crachant son feu au plus profond des elfes. Si ils ne voulaient pas mourir, les 10.000 de Celeborn devaient tout de suite reculer. Les archers orcs bandèrent leurs arcs et décochèrent leurs flèches. Glaurung se jeta au devant d'Elenwë, couvrant tout l'encadrement de la porte. Derrière lui, elfes de Celeborn se battaient contre orcs et Uruks et devant lui, les troupes d'Elenwë tentaient de passer mais en vain car Glaurung était sur la défensive et ses flammes meurtrières.

//Elrond tu ne sembles pas comprendre ce qui se passe :

D'une part de l'autre côté de la rivière se trouvent mes orcs contre Théoden et d'autre part, tu as déjà laissé passer les autres sans agir, tu me dis comment tu fais pour tuer 50.000 orcs ????
Aucun de mes soldats ne traversent le gué en ce moment ! Alors stp regarde à ce qu'on écrit ! Et pour tes tunnels, sache qu'il te faut bien une demi-heure pour faire sortir 30.000 elfes de la terre, même si tu as plusieurs tunnels ! On a eut le temps d'intervenir non ?//

Spoiler:

Glaurung voyait les elfes sur les bords des ravins ... Il quitta la porte.
D'une part Glaurung plongea dans les tunnels, tuant tous ceux qui s'y trouvaient encore et d'autre part, Ancalagon ricanna. Elrond était bien sot.
Il vint par derrière et les flèches ricochèrent sur lui. Alors Ancalagon vint de la longueur et percuta les elfes
(je vous montre comment :
--------------------------------------------
ANCALAGON--> EEEEEEEEEEEEEEEEE
Les tirets c'est le ravin)

Ancalagon bouscula les elfes et fit toute la longueur du ravin sur 200 mètres, ralentissant peu à peu et pour finir, il vint s'écraser au sol tout au bout et sut se rattraper tout juste. Il se retourna et vit que les trois quarts des elfes qui se tenaient près du ravin étaient tombés dans le précipice. De plus, tandis que Glaurung terminait de nettoyer toute un tunnel, il bifurca et tomba devant 500 elfes qui se bousculèrent mais furent vite tués dans les sombres tunnels dont Glaurung raffolait tant. Le dragon sortit de terre et vit un autre tunnel dans lequel il cracha ses flammes.
La moitié des elfes d'Elrond étaient déjà sortis mais tous ceux qui se précipitaient dehors souffrait de plus en plus...
Les catapultes se mirent à tirer et les elfes d'Elrond furent écrasés en grand nombre. De plus, 10.000 flèches ne cessaient de tomber là où les dragons n'étaient pas. 5000 orcs se jettèrent dans un tunnel où se trouvait encore 2000 elfes... Les elfes étaient faibles et évoluaient très mal sous terre et les orcs faisaient des ravages.
Ancalagon recommença une fois sa technique du renversement puis se mit en quête de cramer tous ceux qui passaient à sa portée et qui sortaient des tunnels... La technique d'Elrond était bancale. Ses elfes mettaient tu temps à sortir et le mal avait été si prompt à réagir que Elrond avait perdu un millier d'elfes dans le ravin, le double dans les tunnels, le même nombre était en train de se faire décimer et catapultes et archers ne cessaient de plomber les troupes d'Elrond.
Des 15.000 qui étaient dehors 5000 étaient déjà tombés et des 15.000 dans les galeries, chaque fois que Glaurung tuait une centaine d'elfes dans les tunnels, 300 sortaient par les autres tunnels...
De plus Glaurung eut tôt fait de cracher une boule de feu énorme dans un tunnel, nettoyant littéralement 200 elfes d'un coup.
D'un autre côté, les elfes tiraillaient les orcs en contre bas sur la cité et pour chaque paire d'elfes tués, un orc tombait !
Du côté de Théoden, ses troupes ne cessaient d'être acculées.

//Bon, Thirit tu as demandé que ça avance et malgré la présence d'Elrond, il ne juge pas bon de réagir près des Rohrrims, je fais avancer le RP comme tu l'as demandé ! Pour Celeborn, je considère que ses elfes sont rentrés dans Fondcombe sinon ils sont tous morts !//

Celeborn fit rentrer ses 7500 derniers elfes pour les sauver et les 25.000 archers orcs qui étaient là reculèrent et tiraillèrent par delà la muraille sur les elfes d'Elenwë qui avançaient inexorablement et qui repoussaient les orcs. Toutefois, Ancalagon descendit passer par là et redonna courage aux orcs puis remonta plus haut et repiqua vers les elfes d'Elrond.

Du côté de Théoden et d'Astaldo, rien n'allait bien. Les chevaux du général furent écartés par les orcs et en trois volées successives de flèches, le général se retrouvait avec 3000 cavaliers. De son côté, Théoden tenta une charge que les orcs parvinrent à contenir. La poussé de 75.000 orcs s'avéra plus grande que celle de 30.000 cavaliers. De plus, une fois encore Imaragon intervint et de ses flammes et de sa présence fit reculer les chevaux.

//Je fais avancer !//

Une demi-heure plus tard et 10.000 orcs tués supplémentaires, Théoden n'avait plus que 20.000 Rohirrims et Astaldo rejoint le roi du Rohan avec ses quelques derniers survivants...
La bataille faisait rage mais chaque fois qu'un capitaine tentait une charge, une boule de feu le consumait et Imaragon venait alors là et les chevaux se détournaient.
Encore une heure comme ça et tout serait terminé !

//Avant que Théoden ne pète une case je m'explique, il est contre des parois rocheuses avec 75.000 orcs qui poussent et 25.000 archers qui ne cessent jamais de tirer leurs traits ! De plus Imaragon est au dessus d'eux et lorsqu'une charge commence il descend et les chevaux sont incapable d'avancer devant un dragon !//

Du côté des elfes, Glaurung continuait de nettoyer les galeries. Lorsqu'il n'y eut plus aucuns elfes à l'intérieur, 20.000 elfes respiraient l'air libre et était assaillis par 2 dragons, 10 catapultes, 10.000 archers dans leur dos et 5000 orcs...

//Prière de lire le sujet bataille de Fondcombe dans général avant de reposter pour savoir où on en est svp !

Je riais doucement à sa remarque ...

Je suis obligée de vous faire confiance, si nous devons combattre l'un contre l'autre un autre jour eh bien soit mais ... pour l'instant restons dans une relation amicale.

Il me donna pour ordre d'attaquer par le flan Est, je m'exécutais patiemment, mes soldats en arrière, moi, en avant les guidant jusque la porte. De là où je m'étais postée le point d'observation était plus que parfait ... il était génial, je voyais tout au tout sans que l'on ne puisse me remarquer et cela en était tant mieux. Il y avait malencontreusement assez peu d'hommes et peu d'orques sur les remparts, il fallait donc les exterminer tous afin que nous puissions nous mettre tranquillement à l'oeuvre et sauver la ville de tous ses occupants ennemis.
Je regardais Thirit et lorsque le mot d'ordre de sa tête courut dans les rangs, nous nous précipitions tous sur les remparts, les mercenaires côté Ouest et mes hommes et moi du côté Est, nous les avions cerné et c'en était fait, ils furent obligés de se rendre. La victoire des remparts ( ) était proche. Il s'en fallait d'un cheveu, de toute façon il en importait très peu de notre part les troupes avançaient, les orques étaient obligés de céder. Une chose m'opressait le coeur mais je ne savais réellement ce que c'était, encore une fois notre guerre devait passer avant mais je n'arrivais pas à m'en défendre, cela dit, cela me permit de m'acharner avec plus de témérité sur les Uruks bloquant les remparts.

La division de Hanna avait été envoyée de l'autre côté, près d'un bois pour surveiller des allées et venues des orques et parer dès que possible des renforts ennemis. Kir avait la mauvaise impression qu'ils n'allaient pas s'en sortir, elle ne voyait aucune bonne issue ... c'est là qu'elle entendit quelques orques arriver, ce devait être une petite patrouille mais cela suffirait pour assouvir son envie de venger son combat perdu l'autre jour. De la rage profonde coulait dans son sang, elle n'avait envie que de cela ... se battre ! Quelle autre possibilité et quelle autre envie pouvait lui venir ?! Elle aurait du peut-être rester dans son coin en ce moment, aux côtés de Saresh soit à courir à une guerre avec peu de risques soit à courir dans les champs ... seule ... elle n'aurait alors pas rencontré son fils ! Sa raison de vivre à présent, lui seul la ramenait à son passé et lui seul pouvait la raisonner, elle le savait, il ressemblait tellement à son père. A peine qu'apparut une créature ennemie qu'un poignard lui fila droit dans l'oeil et un autre dans le cou le tuant sur-le-champ. Hanna regarda Kir d'un regard tueur et celle ci haussa les épaules en signe d'absolue désobéissance suivie d'un sourire ironique. Elles se ressemblaient tellement ... Une chose blanche attira l'attention de Kir dans les airs, elle vit un oiseau qu'elle avait déjà vu auparavant lors d'une convalescence, un oiseau si beau et si gracieux ... ce cor et ces tintements d'armes ... Il n'y avait qu'une personne qui pouvait émettre de pareils chants guerriers : Elenwë ... reine de Nevrast. Ha ! Kir sourit de joie, elle allait enfin retrouver son ancienne amie. La jeune femme ne put s'empêcher de quitter ses rangs prétextant maladroitement une affaire urgente et relançant à nouveau un regard noir de la part d'Hanna ce qui provoqua chez l'elfe une phrase qu'elle prononça pour soi * Ne t'inquiète pas ma puce, je lui transmets le message ... *
Oh ! ça ! Pour avoir une âme mesquine avec certaines personnes, Kir ne l'avait jamais loupé, à chaque moment possible elle se remettait ardemment à la tâche n'osant y faillir.
Elle sauta sur son cheval qu'elle siffla et s'élança vers le palais ; La bataille faisait rage et Kir préféra passer par une issue de secours gardée par des elfes, il n'en était pas question que de louper une seule seconde. Le temps pressait, l'elfe s'en rendait bien compte, et lorsqu'elle vit l'état des troupes, son moral baissa aussi, habituellement gaie pour cacher son désespoir profond, Kir eut vite fait de le retrouver. Elle vit au loin Elenwë se battre aux côtés de Thirit qui visiblement se sentait mieux, elle fronça les sourcils mécontente. Grimpa les marches esquivant deux attaques d'orque courroucé et atteignit les remparts se plaçant derrière la reine toujours aussi belle et déconcertante. L'elfe ne put s'empêcher de jeter un regard noir vers Thirit qui l'eut remarquée rapidement, Elenwë se retourna et les retrouvailles ne vinrent pas, l'elfe commença immédiatemment à parler avec froideur.

Cet homme là n'est pas fréquentable, il vaut mieux se demander s'il est réellement du côté du bien.
J'ai vu ton oiseau, je n'ai pas pu m'empêcher de quitter mes rangs ... qui -elle met sa tête de côté regardant au loin son capitaine - vont bien, et t'as le bonjour de ton amie préférée pardon ... de ton officier préférée.
Comment vont les hommes et les attaques ?

La jeune elfe ne pouvait s'empêcher de transmettre son insolence bien qu'elle risquait beaucoup en faisant cela. Mais peu lui importait, de toute façon elle n'était pas entrée de son plein gré dans cette compagnie.

Glaurung mit tout en œuvre pour faire crouler le plan d'Elrond...
Le combat avança et tandis que dans la cité les Uruks ne parvenaient plus à tenir tête face aux elfes, Glaurung se mit en train de tuer les armées d'Elrond... Les 5000 orcs firent une percée sous l'impulsion du dragon et lorsque les derniers orcs moururent, 7000 des combattants elfes étaient tombés. Pendant ce temps, les elfes avaient pour la moitié d'entre eux cessés de tirer sur les orcs et il restait encore sur les hauteurs 7000 archers et 6000 combattants. Alors pendant que les elfes et les orcs s'affrontaient, les archers de Rhun et les catapultes harcelèrent les autres elfes avec Ancalagon. Lorsque tout se calma sur les hauteur, 5000 orcs étaient tombés et 7000 combattants plus 3000 archers avaient péris sous les flèches et 2000 combattants sous celles-ci et les catapultes, ainsi que sous la pression d'Ancalagon. Si dans Fondcombe la situation s'améliorait pour les elfes, à l'extérieur, Celeborn et Forlong étant rentrés et ayant été défaits et Théoden, Astaldo et Thorondor ayant eux quittés le combat, il n'y avait plus que 4000 archers et 4000 combattants contre 10.000 archers, 10 catapultes et les deux dragons qui dans le terrain rocailleux et accidentés tuaient toujours plus de soldats...
Alors Glaurung usa d'un stratagème longuement préparé... Les orcs commencèrent peu à peu à traverser le gué. Elrond ayant déjà une fois épuisé le sort et l'ayant réutilisé pour rendre le sol boueux, il fut incapable de demander plus à la rivière qu'elle ne pouvait donner, d'ailleurs celle-ci avait perdu la moitié de son niveau et il était maintenant possible de passer sur une plus large étendue. Alors dans la boue ou ayant de l'eau jusqu'à la moitié du corps, les orcs traversèrent en grands nombres. Elrond fit encore appel au pouvoir de la rivière mais celui-ci était épuisé et il ne fit que 10.000 morts. Devant la cité, 50.000 archers orcs s'étaient rassemblés et les troupes de Elenwë qui poussaient alors les portes virent 2000 elfes tomber sous la première salve. Devant la condamnation inéluctable des elfes perdus d'Elrond sur les versants de la montagne, Glaurung laissa Ancalagon régler le problème et descendit mener ses orcs au combat. Il reprit la porte sans difficultés aucunes et monta sur les remparts renverser tous les elfes alentours puis fit tirer une seconde salve de flèches qui eurent le même effet. De plus, Glaurung se rua au devant des troupes d'Elenwë qui étaient là au nombre de 22.000 à présent et qui ne profitaient pas de l'avancée des elfes partout ailleurs dans la cité.
De sorte que les elfes près de la porte virent bientôt un dragon leur cracher une boule de feu et un jet de flammes et 50.000 flèches s'abattrent toutes les 30 secondes.
Cependant, les elfes étaient puissants et bien armés et ils parvinrent au contact. Là alors se trouvaient les 70.000 renforts venus de l'extérieur qui tailladèrent les elfes largement en sous nombre. De plus, Glaurung brisait les poches de résistances et il cria, hurla, déchiqueta et cracha ses flammes si fort que les orcs furent emplis d'un courage égal. Près des portes, Glaurung parvint à la tête de 20.000 orcs de séparer les 20.000 elfes d'Elenwë encore debouts en deux parties et ceux-ci commencèrent à tomber bien plus nombreux qu'ils ne tuaient d'ennemis. Le temps que Elrond sorte de son retranchement et nettoie la ville jusqu'à la porte, les 20.000 seraient vaincus. Du haut des montagnes, les elfes tirèrent sur les orcs en contre bas et des 4000 flèches elfiques, une sur quatre ou cinq atteignirent leur but et 850 orcs s'écroulèrent. Dans leurs dos, les archers retirèrent une salve en même temps, ce qui tua 1200 elfes. Ancalagon se rua au milieu des fantassins, créant un grand brasier et un mélange de cris et de morts car si les elfes n'avaient plus peur, ils n'en étaient pas moins tailladés.

Toujours en contre bas, Glaurung fit donner l'ordre de faire monter des orcs avec des pierres sur les remparts. De là, 20.000 guerriers commencèrent à lancer des pierres suffisamment grosses pour gêner ou même blesser les elfes. Ceux-ci furent bientôt encadrés de soldats de part et d'autres et Glaurung nettoyait les remparts étroits des ennemis sur un des flancs... Gênés par bientôt 20.000 pierres, pris entre les flèches de 50.000 orcs, séparés et pris en sur-nombre par 4 fois plus d'orcs, les elfes mourraient par deux chaque fois qu'un orc tombait.

Je regardais Thirit parlant de mon regard avec luin le félicitant, une présence me fit sourire et je me retournais découvrant à nouveau le visage de mon amie. Je souriais de ne la voir aucunement me souhaiter la bienvenue dans cette pénurie ni rien, simplement des accusations puis des plaintes couvertes. Je sentais son désaccord total avec son capitaine ce qui m'étonna particulièrement de sa part mais cela ne m'empêchait de sourire. Un homme vint lui tenir le bras, j'en fus étonnée regardant ma petite protégée avec de grands yeux étonnés. Son regard en dit long ... j'avais décidément raté une énorme étape en me séparant d'elle. Le passé était le passé sous aucun cas on ne peut retourner en arrière et le pire était à venir. Souriant malicieusement, je me retournais vers le capitaine mercenaire qui ne put refuser ma demande. (je pars, soyez logiques)

Je vous emprunte votre enfant ... n'est ce pas ... vous la reverrez ne vous inquiétez pas. J'en ai simplement besoin quelques instants, vous possédez mon armée et moi je possède votre membre ici présente causant tords mais aussi beaucoup de bien, je vous fait confiance.

Je ne savais pas en quel état était mon armée mais je savais que mes pertes allaient être nombreuses. S'il en était ainsi, eh bien soit. Nous descendions les marches à toute vitesse, je tenais la jeune femme par le bras en le serrant fort pour qu'elle me suive sans problèmes, il en était assez. Je bifurquais rapidement et nous restions à l'abri des regards, pouvant parler à toute aise. Mon armée aux mains d'un mercenaire, je devais m'absenter pour traiter.
Je demandais à Kir son avis sur la bataille, elle m'expliqua comment s'en était-elle retrouvée dans cette compagnie avec son fils, cela m'étonna de sa part, et enfin me montra des cartes sorties de nulle-part, prononçant son point de vue sur la situation.