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Elrond tua lui même l'oiseau de malheur. Il lut le papier puis le passa à Celeborn. Après que son ami l'ai lu il dit:

- De quel droit ose-t-il nous menacer? De traiter Forlong de bouffi et de belliqueux? Il a fuit devant les elfes de Valinor. Que sa traitrise soit maudite!

Elrond ne s'était pas enflammé tel que cela depuis les jours anciens, où il emporta avec lui le cadavre du défunt Gil-Galad. Sa haine envers la bête en fut accrue. Ne perdant pas de temps, il s'assit en silence et envoya ces paroles, resonner dans la tête du dragon.

"De quel droit venez-vous nous féliciter nous elfes et en même temps nous menacer? Que Sauron vienne. Oui il n'a quà venir. Il ne résistera pas au pouvoir de Viliya. Il le craint tellement qu'il n'a jamais osé s'en prendre à Fondcombe. Ignorez-vous donc tout de l'opiniâtreté des elfes et de leur magie. Il le semble oui. Fondcombe sera vite remise sur pied. Je, quant à moi, vous plaint grandement. Que craignez-vous donc? La colère d'une Valië? L'arrivée des troupes Noldo? Il semblerait oui. Que votre personne soit bannie à jamais de la Terre du Milieu. N'essayez pas de me renvoyer de vos créatures puantes."

Tandis que tous les cadavres furent exhumés, ou encore brulés, Elrond se retira seul, dans ses appartements et le coeur de la ville, qui était demeuré intact. Il s'assit sur son lit, puis alla s'acouder à la fenêtr. Une douce voix s'éleva a de sa bouche, et prit les coeurs d'une profonde nostalgie, bien qu'il n'entendirent pas la musique. Comme en réponse, deux petits oiseaux s'élevèrent d'un des petits jardins pour gazouiller doucement. Une lumière jaillit de la nuit, puis s'évanouit. Les maisons se faisaient rebâtir, les jardins allaient reflorir à nouveau. Il se souvint de ces paroles qu'il avait entendu de Gil-Galad, lorsqu'il parlait agonisant.
"Vous vous rappelez Elrond, quand on nous racontait les histoires de héros ? Comment le monde pouvait-il redevenir comme avant, avec tout le mal qui s'y était passé? Lorsque tout cela sera essuyé, tout ne sera que plus resplendissant. La soleil brillera de toute sa lumière et les étoiles chanteront de bonheur. Adieu Elrond. Je m'en vais maintenant. Ad... Adieu..."
Une autre lumière s'alluma dans son coeur, et cette fois de bonheur et d'espoir. Une rage autre que colérique. Celle de la volonté. Il déposa alors son arme et son armure. Il alla aider au chantier.

De Gondolin, une centaine de chevaux partirent. Tous des guérisseurs experimentés. Ils arrivaient de toute urgence. Il étaient sur leurs chevaux nacre, beaux et majesteux. Leurs selles de cuir noir resplendissait dans la nuit. Le cavalier de tête fut le premier à entrer dans la vallée d'Imladris. Ancalìmë avait fait envoyer de Gondolin sesguérisseurs. La moitié était partie aider à la cité blanche, l'autre viendrait à Fondcombe. La bataille avait été sanglante. Des milliers de morts de chaques côtés, des blessés en masse... Ancalìmë le savait et c'est pourquoi ses guérissezurs pénétrèrent après la bataille, dans la belle vallée de Fondcombe. Joyeux, il devinrent vite mélancolliques. De sombres vapeurs s'élevaient des flaques d'eau, des cadavres étaient empilés puis brulés. Ceux des hommes, des elfes et des orques étaient tous pris avec soin. Les sabots claquèrent dans l'eau tiède. Ils pavirent vite aux blessés, et là ils s'activèrent. Ils étaient maîtres des savoirs médecinals.

Cryldan regarda les dégâts de la ville. Il avait participer à la bataille pour aider le bien, il n,allait certainement pas rester là pour les aider à faire leur ménage ou encore à regarder leur femmes pleurer la mort de leur époux ou encore du père de leur enfant. C'était une des seuls raisons pourquoi il n,aimait pas trop les elfes. En tout cas, entre eux ou les humains, surtout ceux du Gondor, c'était ce qu'il préférait. Il regarda Maedhros puis lui dit:

-Moi je vous ai aidé pour la bataille, je vais certainement me faire traiter de tout les noms au Mordor si ils s'en appercoivent, ce que je doute parce que j'étais bien caché pour la plupart du temps alors non je ne vais pas vous aider à ramasser ce dégât, j'en ai assez fait comme ça. Considérez ça comme une chance que je sois venue et restez-en là car ca va probablement être la seule fois ou je vais aider Fondcombe. Cependant, soyez certain du fait que nous allons nous revoir.

Puis il disparu dans les derniêres fumées de la bataille.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 146 Date d'inscription : 07/01/2007

Maedhros regarda aussi les dégâts. Normalement, avec la rancoeur qu'il éprouvait envers la mère d'Elrond, il n'aurait pas prit cette affaire trop au sérieu mais les affaires avaient bien changé avec le temps. Il dit à Cryldan:

-Si le Mordor cherche à vous expulser, même si je ne devrais pas être porté dans votre coeur, sachez que la bataille que vous avez fait ici vous a valu une place auprès de moi si le coeur vous en dit. Je suis probablement tout aussi traitre que vous mais je peux toujours vous déffendre en cas de besoin. Merci de votre aide, je vous suis redevable.

C'était pas une bonne idée normalement de dire ça à quelqun du Mordor mais il n'en avait pas tenu compte. Il savait ce qu'il faisait et l'assassin n'était pas stupide, il savait que Maedhros ne ferrait pas n'importe quoi et c'était bien visible. Il le regarda partir puis vit le crébain se faire tuer. Les cavaliers et archers de Maedhros et d'Elena sortirent de leur cachette et virent se joindre à ceux qui ramassaient les décombres de la ville tandis que Maedhros vint se joindre à Elrond et aux autres seigneurs.

-Mes hommes et moi ne pourrons pas rester encore bien longtemps. Les batailles font rage dans la Terre du Milieu et je dois me rachjeter pour mes erreures du passé. Si je peux me permettre de vous demander un petit service, si vous croisez celui que vous appelez Legolas ou alors son ami Laesonif, dites-leur simplement que Maedhros est à leur recherche et qu,il es disposé à les écouter.

Puis il partit, laissant comme seul message à ses hommes de venir le rejoindre quand leur tâche serait terminée et que la ville aura retrouver un semblant de beauté d'antan.

Le dragon n'était pas revenu. Tant mieux pour Astaldo. Les pertes en chevaux et en hommes étaient très fortes. Astaldo regarda le champ de bataille. Il était fatigué, il lacha son épée et il tomba à genoux. Il pleura la mort de son capitaine ,celle des chevaux et des hommes. De grosses colonnes de fumée s'élevaient de la ville. Astaldo se releva en s'appuyant sur son épée. Il rechercha son cheval. Il le trouva plus loin ,vers le forêt blessé. Il se pencha et lui parla. Lorsque le cheval se calma ,il partit en quête d'un guérisseur.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 276 Age : 35 Date d'inscription : 23/11/2007

Thirit toujours adossé au mur respirait profondément, heureux que sa maladie lui laisse un moment de répit. Sans faire attention à se qui se passait autour de lui, le capitaine pensait à la suite des évènements… La première priorité était de retourner au terrier et soigner ses soldats…

Soudain, son calme fut troublé par l’intervention d’un homme ou plutôt d’un elfe noir.
Le Mercenaire ne reconnue pas l’homme avec qui il avait échangé un regard quelques minutes auparavant. Celui-ci lui demandait à être engagé. Une demande bien curieuse, sa compagnie venait de perdre une grosse partie de ses hommes et lui demandait à les rejoindre ?...
Avant que Thirit n’est put répondre, l’elfe tourna les talons et sortit de FondCombe. En restant étonné, le capitaine s’adossa doucement au mur une fois de plus, mais se coup-si, il garda ses yeux ouvert afin d’observer se qu’il se passait dans la cité.

La plus part des elfes fêtaient la victoire, d’autres rassemblaient les blessés et les morts.
C’est alors qu’une centaines de cavaliers entrèrent dans la cité, se présentant comme des soigneurs. Cela tira un sourir à l’homme, et il regarda avec soulagement ses hommes amener les soigneurs auprès des blessers pour qu’ils épaulent la 4e division. Cela remit du baume au cœur de Thirit. Beaucoup moins de ses hommes périraient à la suite de leurs blessures grâce à cette aide salvatrice…

Parcourant de nouveau la cité du regard, il reconnue alors Hanna. Sans vraiment qu’il ne sache pourquoi, la vision de son officier lui tira un sourire et ses épaules d’affaissèrent… Un profond soulagement, voilà se qu’il ressentait. La dernière fois qu’il lavait vu c’était dans le début de la bataille…
Cette histoire l’embêtait d’ailleurs… Il ne savait pas vraiment se que représentait cette elfe qui en l’espace de quelques jours avait prit une place importante dans sa vie…
D’un autre coté, il savait qu’il pouvait compter sur elle…

Elle tourna alors sa tête vers lui, et le Capitaine lui renvoya un signe de tête amicale signifiant que si elle le souhaitait, elle pouvait le rejoindre.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 77 Date d'inscription : 26/11/2007

*la jeune femme déambulait parmi les hommes perdue dans ses pensées. Elle déposait un pied devant l'autre sans savoir véritablement où elle voulait aller. Alors que son regard se promenait tout autour elle croisa celui de Thirit. Ses jambes s'arrêtèrent net et elle passa à un cheveux de perdre l'équilibre mais le capitaine ne sembla pas l'avoir remarqué. C'était mieux ainsi. Elle avait perdu la notion du temps pendant le combat. Elle ne savait plus s'il avaient combattu pendant plusieurs jours ou simplement quelques minutes. Elle n'avait plus de réel idée du présent et encore moins du futur, existait-il seulement un futur? C'était une question avec une réponse, mais elle se trouvait si loin à l'intérieure d'elle même et Hanna n'avait pas réellement envie de faire un examen de conscience. Pas présentement du moins, elle le ferais mais plus tard. Ses jambes se remirent à avancé mais cette fois en direction du capitaine, elle n'avait plus l'impression de contrôler son corps. Elle était fatigué mais pourtant elle tenait encore debout. Sa conscience et elle était en grande discutions à savoir si elle devait encore combattre contre la fatigue où si abandonner. Mais quelque chose lui disait de rester éveiller, Thirit avait-il quelque chose d'important à lui dire? Elle n'en savait rien et remarqua alors qu'elle s'était adossé au mur près de lui. Ses yeux était vide d'émotion mais son coeur était heureux de le revoir en vie. Elle lui sourit tendrement et le salua. Peut-être l'avait-il déjà fait? Elle n'en était pas certaine... *

~ Heureuse de vous voir en vie capitaine, vous allez bien?

P'tit Nouveau Nombre de messages : 276 Age : 35 Date d'inscription : 23/11/2007

Thirit observait avec inquiétude son officier avancer vers lui. Elle semblait faible, visiblement elle avait été durement éprouvée par la bataille qui avait eut lieu. Néanmoins, elle semblait en bonne état d’en l’ensemble…

Le Mercenaire la laissa approcher et s’assoir tout prêt de lui. Thirit l’observa de la tête au pied, vérifiant qu’aucune facture ne soit pas blessée quelques par.
Il aurait voulut lui parler de son désaccord sur la désertion de Kir lors de la bataille, mais le moment était plutôt mal choisit.

Je vais plutôt bien étant donné les circonstances. En tout cas, il semblerait qu’il me reste plus de force que toi…

Il lui afficha un petit sourire de défit espérant qu’elle morte à l’hameçon, avant de continuer.
Thirit reposa sa tête contre le rempart et poursuivit :

Tes troupes se sont très bien battues. Elles ont particulièrement bien tenus leur rôle. C’est là que je me rends compte que je ne m’étais pas trompé en te donnant ma confiance et en te nommant officier…
Nos troupes se reposent, demain à l’aube j’irai percevoir notre prime de fin de contrat et nous repartirons chez nous…

Il était claire que Hanna n’était pas au mieux de sa forme… Le Capitaine la regarda en gardant le silence quelques instant.

Tu es sûre que ça va ?

P'tit Nouveau Nombre de messages : 77 Date d'inscription : 26/11/2007

*Elle ne se souvenait pas avoir fait le chemin jusqu'à Thirit mais c'était surtout parce qu'elle était perdu dans ses pensés. Dans son passé... Cela faisait si longtemps qu'elle n'avait pas mis les pieds dans cet endroit. Elle lui sourit tendrement et dut amusé par son commentaire. Cependant elle préféra ne pas perdre ses forces à le remettre à sa place elle aurait tout le loisir en temps voulu. Puis voyant qu'elle ne répliquait pas il déposa sa tête contre la rempare et elle posa sa tête sur son épaule. Elle écouta se qu'il avait à dire gardant le silence même s'il lui cachait quelque chose. Enfin elle en avait eu vent alors que Rhamir essayait de la faire rester sur place mais elle pour l'instant elle n'avait pas envie de jouer les officiers. Elle avait simplement envie de profité des derniers instants passé à fondcombe. Elle était sorti sans en entendre d'avantage et son sous-officier n'avait eu d'autre choix que de la laisser faire. Elle règlerait cela plus tard, de toute façon se n'était pas pressant, enfin pas pour l'instant. Puis la question fatidique vint. ''Tu es sûr que ça va?'' Elle redressa lentement la tête pour le regarder, plongeant ses yeux d'un verts qui normalement pétillait d'une lueur inconnu et qui pour l'instant semblait s'être éteint avec le soleil couchant. Elle inspira comme pour réfléchir à la question et puis elle décida de lui répondre le plus simplement possible d'une voix douce et calme.*

~ Tu sais... Cela fais fort longtemps que je n'avais pas remis les pieds ici. Je dois avouée que cela me rend un peu nostalgique et avec cette guerre et la destruction partiel de la cité... Je me sens encore moins à ma place dans cet endroit.

*Elle garda le silence un instant déposant de nouveau sa tête sur son épaule. Elle soupira tristement*

~ Je sais que sa fera un peu étrange... Mais... Tu es la seule famille que j'ai maintenant...

*Elle garda le silence et ferma les yeux, elle n'avait plus réellement envie de regarder autour d'elle. La seule présence de cet homme la rassurait et elle avait besoin de cela en cet instant, beaucoup plus que de constater la désolation qui régnait dans se lieu jadis si beau*

P'tit Nouveau Nombre de messages : 276 Age : 35 Date d'inscription : 23/11/2007

Lorsqu’elle pausa sa tête contre son épaule, Thirit s’attendait à avoir un mouvement de recul. Depuis bien des années, il refusait toute implication envers ses hommes…Enfin surtout avec les femmes.
Pourtant, c’est une onde de chaleur qui se répandit dans tout son corps. Ses douleurs et ses doutes d’évanouirent, pendant un instant, plus rien ne lui importait. Pour la première fois depuis des années, il ne pensait pas au futur, se délectant juste du moment présent.

Il l’écouta avec attention, comprenant sa peine et son malaise. Il allait répliquer une phrase qu’il avait tant sortit à ceux qui éprouvaient le al du pays : La Compagnie était maintenant sa famille…
Mais il n’en eut le temps, elle continua à parler.
Ce qu’elle lui dit le toucha, comme rien ne l’avait touché depuis bien des années…
Par reflex ou par peur, il faillit un instant lâcher un commentaire désobligeant, mais son cœur le retînt. Cette elfe s’ouvrait à lui, et il tenait trop à elle pour ne pas répondre à cette invitation…

Avec douceur et délicatesse, il enroula son bras encore valide autour d’Hanna, l’enveloppant comme dans une bulle protectrice. Il garda un moment le silence avant de lui déposer un doux baiser sur le front. Il lui répondit d’une voie douce et amicale qu’elle ne lui connaissait pas :

Tu sais, toute la Compagnie est ta famille maintenant. Tes hommes sont tes enfants, tes collègues officiers des frères, et moi…

Il ne termina pas sa phrase, ne sachant vraiment que dire.
Se contentant de garder le silence, il lui afficha un sourire et adossa sa tête sur la muraille, profitant de cet instant d’intimité.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 77 Date d'inscription : 26/11/2007

*Hanna était assis la tête sur l'épaule de cet homme qui était devenu en si peu de temps un être presque respectable à son avis. Les visages de ses hommes se bousculait dans sa tête. Tous était important pour elle, hanna avait passé presque tout son temps avec eux. Ils avaient appris beaucoup les uns sur les autres et elle venait de réaliser qu'il était fort probable que sa division est connu des pertes. Le visage de Kir vint s'imposer dans sa tête. Que c'était-il passé avec elle? Se moment était peut-être agréable mais pour l'instant elle n'avait plus envie de songé à un passé alors qu'elle avait un présent. Elle plongea un regard triste dans celui de Thirit, il lui parlait, d'une voix douce, rassurante et tendre. Elle en fut surprise mais ne le démontra pas. Serais-ce son imagination où il commençait à l'apprécier à sa juste valeur? Non! C'était de la manipulation! Rien d'autre. Elle essaya de s'en convaincre, tant bien que mal. Il ne termina pas sa phrase et elle déposa de nouveau sa tête sur son épaule. Il gardèrent ainsi le silence encore quelques minutes avant qu'elle ne se décide à parler de façon plus professionnel. Une idée lui traversa l'esprit alors qu'elle allait lui demander des nouvelles des hommes. Elle pensa à Elrond, devait-elle aller avec lui chercher la prime? Il venait de dire qu'il ne l'avait pas? Cela ne ferait-il pas que lui causer une sensation plus grande de vide ? Elle laissa échapper un long soupire d'exaspération comme pour remettre de l'ordre, ou enfin un semblant d'ordre, dans ses idées*

~ Thirit... A combien monte les pertes de la compagnie? Et de la 4ieme division?

*Elle se tu un instant, le temps de redresser sa tête et de plonger un regard dur dans le sien.*

~ J'ai eu vent d'une dispute avec Kir, mais j'ai crue bon d'entendre ta version avant la sienne, de toute façon elle fait partie de ma section et donc elle est sous ma responsabilité...

*Elle se tu ne sachant pas si elle avait été claire, incertaine des paroles qu'elle venait d'aligner. Elle essaya de se remémorer mais ni arriva pas, elle plongea un regard interrogatifs dans le sien espérant qu'il l'ai comprise et de se fait qu'elle n'ai pas à reformuler la question.*

P'tit Nouveau Nombre de messages : 276 Age : 35 Date d'inscription : 23/11/2007

Thirit regardait le soleil décliner doucement derrière les montagnes qui encadraient la vallée elfique. Cet endroit était vraiment magnifique. Un jour si sa destinée était de vivre jusque là, lorsqu’il ne serait plus capable de se battre, c’est surement ce lieu qu’il choisira pour vivre ses derniers instanst de paix. Hanna commença à le questionner. Des questions plus professionnelles, plus pratiques…
D’un ton de nouveau neutre et froid, il répondit tout en commençant à se relever.

Cette bataille nous à coûter presque la moitié de nos hommes. Un bon nombre de blessés dont certains ne passeront pas la nuit. Je ne connais pas vraiment le nombre de morts dans ta division, mais je sais qu’ils étaient une bonne centaine à te chercher lorsqu’ils on remarqué que tu manquais à l’appel. Je pense quelles sont donc minimes comparées à d’autres…

Maintenant debout, le Capitaine plongea son regard dans celui d’Hanna. Il prit une inspiration, retînt une grimace de douleur et continua :

Il se fait tard, va te reposer, une longue route nous attend demain.
Prend ma tente pour cette nuit, le calme et la solitude te feront le plus grand bien je pense.
J’enverrai un des officiers chercher notre argent.

Sans un mot de plus, il se retourna et prit la direction de l’escalier. Maintenant son travail finit, il allait pouvoir se lancer dans son grand projet, celui qui allait changer toute sa Compagnie et peut-être définitivement…

La nuit passa rapidement, et dès les premières lueurs de l’aube, la troupe se mit en route en silence. La colonne s’étira sur les sentiers de FondCombe, les blessés étaient rassemblés dans les chariots de ravitaillement. La Compagnie avait laissée les balistes aux elfes. Ils en auraient certainement plus besoin qu’eux…

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Arrivée des renforts et début de l'attaque