[Non astaldo, tu n'a que 15 000 c'est les seigneur qui ont 50 000
Imaragon, évites de dire que tu écrases 250 cavaliers d'un coup...]

Roi Théoden quitta Edoras à la tête de 50 000 rohirims, précédant Astaldo nouvellement promu au grade de général de l'infanterie. Le roi avait laissé Eomer et Aldor à la défense de la cité. Pour l'instant l'affaire la plus urgente était celle de Fondcombe. Le roi était sur son cheval Nivacrin. Les rohirrims remontèrent l'Anduin et passèrent près de la Lorien? Ils ne rentrèrent pas dans le bois mais continuèrent vers le nord. Ils passèrent par Rubicorne et la passage du col près de la Sonoronne. Ils avaient eut vent que L'Isenguard s'était vidé pour bloquer tout passage vers le nord par la Trouée du Rohan. Les cavaliers arrivèrent dans Houssaye (Eregion). Ils rencontrèrent des Dudenlings qui chassaient. Après avoir tué les 50 qui les attaquaient, sans grand mal car les montagnards avaient des armes très primitives. Ils remontèrent vers Fondcombe. Le roi était en tête. Il craignait pour la survie des hommes de pied d'Astaldo. Il fit forcer le pas à ses chevaux et ils arrivèrent bientôt ar derrière les ourouks-haïs. Des vagues de flèches tirées depuis la vallée faisaient tomber les créatures. Les rohirrims d'Astaldo étaient bien là. Soixante-cinq mille rohirrims se déversèrent sur les ourouks-haïs de Glaurung par leur arrière (qui ne sont plus très nombreux après avoir été 50 000 au début de la bataille). Les ourouks-haïs étaient écrasés entre les tirs des flèches elfiques, les épées des elfes et la charge des rohirrims:

- En avant cavaliers du Rohan! Pour Helmingas! Souvenez-vous de la bataille de Fort-le-Cor!

[HRP]

Spoiler:

[/HRP]



Thirit se coucha à plat ventre afin d’éviter le boule de feux que venait de crasher le dragon.
Celle-ci s’engouffra dans une bâtisse pour tout y carboniser. Le Capitaine Mercenaire jura tout haut, il ne pouvait se permettre de perdre ses balistes, elles étaient uniques et constituaient l’une des seules armes efficace contre les Dragons…
Se redressant avec difficulté, il porta son regard vers la bataille. Il ne comprenait pas vraiment la stratégie des elfes. La quasi-totalité de la bataille avait lieux dans la forêt, hors de FondCombe ! Pourquoi ? Seuls ses hommes étaient dans la ville afin de la protéger. Ils disposaient ainsi d’abris et aux vue des passages étroits, l’ennemi ne pouvait faire jouer le poids du nombre… Mais après tout, il pouvait comprendre que les elfes souhaitent éloigner les combats de la cité afin de limiter au maximum les dégâts collatéraux… Surtout que contrairement à leurs ennemis, ils connaissaient les lieux et pouvait donc en jouer…

Allez me chercher Tolbio !

L’un de ses hommes partit au pas de course voir le capitaine de la 4e division qui semblait toujours occuper à installer l’hôpital de campagne.
Quelques instants plus tard, alors que Thirit observait toujours la bataille, celui-ci arriva accompagné d’Artahrys qui suivait son chef.
Sans se retourner, le Capitaine distribua ses ordres :

Tolbio, il est temps pour tes hommes de passer à l’action.
Récupérez tous les blessés que vous pourrez ici et en dehors du camp. Priorité à ceux de notre compagnie, mais soignez bien évidemment nos allier… Et achevez moi ces abrutis d’orcs !
Evitez les combats au maximum, la bataille risque d’être longue et le soin des blessés nous apportera peut-être la victoire…

C’est alors qu’il tourna son regard vers les deux Mercenaires pour poursuivre tout bas afin que personne ne puisse les entendre. Artahrys réagit à son annonce, mais Tolbio lui indiqua d’un regard que ses sentiments ne devaient pas l’empêcher de faire son devoir.

C’est bon allez-y, vous serez une clef maitresse de cette bataille, alors faite honneur à la Compagnie Noire !

Le Capitaine les laissa partir pour ensuite porter une nouvelle fois son regard vers la bataille même si la forte végétation l’empêchait de voire correctement.
Le combat ne semblait réagir à aucune stratégie… Seulement à une immense mêlé générale…

Sur la colline louin dans la forêt Gorkill était seul il brandit sa hache et hurla à l'assault 20 000 flèche siflèrent tombant dasn les cavalier ensuite 25 000 warg passais à coté de Gorkill pour fonsser dans le tat d,homme et d'elfs les catapult et balist ne postiton fir feu en fesant de lourd égat dans la batail.

-gr.... saleter d,oreil pouintu! aller mais enfant gobelin détruiser moi tous cette bonté réduiser la en carnage et en haine!

Imaragon continuais à carboniser des cavalier il en eu asser il charga dans les cavalie rtête baiser comme un taureau laissant les chevaux volé dans les airs au contact de ses cornes il tourna sur lui m^me tuant 20 cavalier avec sa queue avant de lacher une boule de feu sur les batiment de Fondcombre entrant dans les fênêtre tuant 20 mercenaire.

-Glaurung si il continue à avoir des renfort nous mourerons!!! sous les lance et les flèches... Ancalagon détruit moi ses balist.

(EDIT LEGOLAS: Tu peux plus bouger, le filet que Thirit t'a lancé dessus était assez fort pour te blesser donc tu n'as rien fait aux soldats ou sinon, tu es vraiment mort(dans le sens que tu peux plus rien faire après ca, mis-à part te sauver, pas même cracher du feu)

Les aigles venaient de quitter leur repaire près de Gondolin. Eux étaient différents des aigles des hauts cols. Thorondor, maia et plus grand des aigles de la Terre du Milieu et du Beleriand, et aussi le plus majestueux volait vers Imladris. A côté de lui était son fidèle ami Malvinal. Les deux aigles parlaient. Thorondor n'avait qu'à faire quelques mouvements d'ailes pour faire plusieurs centaines de mètres, mais il devait attendre son armée. Ils étaient seuls dans les airs.

- ... près de Fondcombe. Je crus apercevoir des échos de bataille. J'ai connu Gil-Galad dans le passé, comme toi Thorondor. Je ne crois pas que nous devrions laisser ses amis en détresse, même si il n'est plus.
- Je t'écouterai Malvinal, même si cela courerait à notre perte. Combien étaient leur ennemis?
- Six fois mille compté dix fois, si je ne me trompe. Mais ce qui est le plus préoccupant est l'arrivée des serviteurs du Vala déchu. Tu as sans doute entendu parler d'Annatar.
- Voilà une forte aubaine. L'attraper et le défaire serait heureux pour les hommes.
- Et bien, dois-je?

Sur un acquiescement de Thorondor, il retourna en arrière dans un mouvement d'aile et fit un grand cri aigu. Quelques minutes plus tard, ils volaient avec une cinquantaine d'aigles. Ils se dirigèrent vers la dernière maison simple à l'ouest des monts. Sauron allait payer pour ce qu'il avait fait endurer à Gondolin. La vengeance allait sonner contre Melkor.
Les aigles volaient avec toujours autant de vitesse. Ils arrivèrent en vue des contreforts des Monts Brumeux. Ils finirent par les dépasser. Ils firent cap sud. Ils arrivèrent en vue de la vallée de Rivendell. Les aigles tournoyaient très haut, si haut que les elfes ne pouvaient pas les voir. Ils finirent par piquer vers le sol. Thorondor dit alors qu'ils volaient:

- En plus d'Annatar, nous voilà avec le dragon Glaurung! Je vais sermonner ce tas d'écailles. Jamais il ne m'attrapera.

L'aigle était en tête de son armée. Au moment où le dragon allait une nouvelle fois se ruer sur les elfes, Thorondor sauta sur lui accompagné de 30 aigles. Les autres attaquèrent Ancalagon, menés par Malvinal. Thorondor sauta sur les yeux du dragon. Ils planta sa serre dans osn front. Il remonta, se serva de sa tête comme appui d'élan. Il attira l'attention du dragon.

- Alors Glaurung, tu ne te souviens pas de Thorondor? N'as-tu pas assez mijoté dans les abysses? Je vois que non. Allez, bouge tes écailles et viens à ma poursuite.

L'aigle remonta et repiqua vers le draon, bec en avant dans une folle embardée. Sa fureur était telle qu'il fut quelques secondes plus tard, arrivé 100 mètres plus haut.

A ce moment, de gondor venaient des autres armées. Les hommes de Lossarnach allaient arriver. Trente cinq mille soldats de plus étaient en marche pour la défense de Fondcombe. Un cor sonna. Trois fois dans le lointain. Le même que celui sonné par Boromir à Amon Hen. Sauf qu'à cet instant, des hommes arrivaient vraiment. Les cavaliers de devant tenaient une bannière. Un arbre blanc sur fond azur. Leur armure étaient comparables à celle portée par le seigneur Elessar. Le seigneur Forlong avait consacré beaucoup de temps à son armée. La région du Lossarnach étai au sud de Minas Tirith, et si la cité blanche venait à tomber, la région serait immédiatement attaquée. Les cavaliers arrivèrent par derrière les rohirrims. Ils foncèrent non pas sur les ourouks-haïs mais sur les hommes de Maedhros. Forlong eut un sourire lorsque ses renforts arrivèrent il hurla:

- A Imladris! Pour le Gondor, la marche et les elfes!

Le cor du Gondor sonna. Mais cette fois-ci plus fort. Les armées du Gondor se rallièrent. Elles foncèrent sur les hommes d'Eron. Mais ils se stoppèrent. Ils se retournèrent, fonçant sur les ouargues. Lances pointés en avant, ils galopaient. Les ramées se rentrèrent dedans de plein fouet.

//Gorkill ne dit pas que tu m'en embroches 10 d'un coup, sinon je sens qu'on va pas s'entendre.\\

C'est à ce moment que le glas des hommes sonna...
quelques minutes après l'arrivée des hommes de Forlong, 150.000 orcs se ruèrent dans le dos des Gondoriens... A 5 contre un et de flanc et de dos, les orcs tuaient hommes pour chacun d'entre eux qui tombait ! Le combat était terrible mais les orcs ne cédaient pas de terrain.
Glaurung fut assailli pour sa part par les aigles qui ne purent percer ses écailles et lorsque Thongrondor vola vers le ciel, au lieu de jurer, Glaurung arracha un aigle qui allait s'envoler et lui écrasa le crâne puis d'une boule de feu en massacra un autre en plein vol. Un troisième fut la victime des flammes alors même que Thongrondor parlait.

"Alors vieil emplumé ? Vois-tu ? Tes serres ne peuvent m'atteindre et pendant que tu te pavanais à montrer comme tu volais bien et haut tu as perdu trois des tiens... Ce sera de même chaque fois et je vois déjà Ancalagon échapper à tes sbires. Tu ne m'as jamais défait. Jamais dans notre histoire les aigles n'ont vaincus les dragons et ça ne commencera pas aujourd'hui."

/tu ma attaquer les ailes j,ai encor mais 4 patte pour avancer... ne te fit pas à mais photo ses juste pour imaginer à quoi il resemble.../

Imaragon vue des elfs arriver et combattant Glaurung il lacha une boule de feu et l'aigles se diriga vers lui en esquivant l'attaque c,était surprenant mais ses attaque ne pouvait rien contre Imaragon l'aigles trop près ressu un coup de queue dans le bec et il chuta s,'écrasant au sol.

-et de un je vais me replier un moment.

[b][i][color=darkgreen]Imaragon charga de nouveau dans les cavalier pour grimper

//Voilà le contrat passé avec Legolas
1) Ancalagon Imaragon et moi ne pouvons pas tuer que 4 aigles au maximum par post et nous pouvons utiliser pour cela notre feu
2) Chaque fois que 5 aigles meurent, un dragon meurt
3) Interdiction de tuer Thorondor ou Gwaihir
4) Les dragons ne sont utilisés que contre les aigles ! //

Les 150.000 orcs qui tailladaient les hommes de Forlong en avait déjà tués plusieurs milliers ... Ceux-ci étaient acculés et ne pouvaient rien faire !
De plus, Glaurung lorsqu'il vit Ancalagon assaillit rugit et de pars les montagnes, 7 dragons montèrent haut dans le ciel et lorsqu'ils redescendirent en piqué vers les aigles et Ancalagon, les aigles ne purent rien faire car ils ne s'attendaient pas à ça !
Les 7 dragons se ruèrent dans la puissante mêlée et 5 aigles furent massacrés d'emblée. Toutefois, Gwaihir parvint à crever un oeil à un dragon que Thorondor parvint à lacérer à mort. Le dragon mortellement blessé quitta le combat, pour aller mourir un peu plus loin. De plus, Ancalagon qui fut pour un moment débarrassé de ses assaillants décida de se venger. Il entamma une lutte acharnée contre Landroval et Meneldur. Le combat fut puissant mais Ancalagon était fou de rage et nul n'aurait pu l'arrêter en ce moment. Alors dans un geste précis, Ancalagon parvint à percer une des ailes de Landroval qui s'éloigna pour sauver sa vie et agrippa Meneldur qui dans sa futie, avait tourné le dos au dragon noir.
Le noir dragon tira l'aigle en arrière, et tenant la créature trois fois plus petite que lui, Ancalagon l'écrasa contre les rochers et lui arracha précisément la tête d'un coup de griffe précis...
Durant ce moment, Glaurung mit en place la suite de son plan. IL rassembla peu à peu les 20.000 guerriers Ourouk dont il ne restait en fait que 15.000 d'entre eux et ses 10.000 arbalétriers. Sa cavelerie ne comptait plus que 5000 wargs et ceux-ci chargèrent les elfes qui combattaient Eron. Les 10.000 arbalétriers s'avancèrent et protégés par les Uruks, ils pilonnèrent les lignes de Forlong dont les hommes tombaient comme des mouches, à 35.000 pris entre 6 fois plus d'ennemis.
De plus, les 20.000 soldats Uruks réunis et bien serrés prirent par le flanc les Rohirims d'Astaldo qui, serrés de partout ne pouvaient plus charger. Immobilisé sur leurs chevaux, les Rohirims se voyaient tomber les uns sur les autres. Enfin, Glaurung se dressa au milieu de la bataille de Forlong et cracha son feu sur les lignes denses et serrées des hommes qui marchaient déjà sur un sol qui quelques jours à peine était couvert de belles forêts et qui n'était plus qu'un amas de terre brûlée.
Enfin, lorsque Glaurung vit deux aigles foncer sur lui, il cracha une boule de feu qui en arrêta un net en vol et ses 10.000 arbalétriers criblèrent de flèches le second. Les deux cadavres vinrent s'écraser au milieu des rangs de Forlong dont les hommes affolés commençaient à tenter de fuir. Enfin, lorsque Glaurung revint dans la bataille pour emplir d'épouvante les hommes, il n'eut le temps que de voir dans le ciel, deux autres aigles tomber tandis qu'un Dragon mourrait encore !

**Misère, les dragons ne sont plus ce qu'ils étaient !**

//Donc on a bel et bien 10 aigles (dont Meneldur) tués et 2 dragons morts //

[Ce que tu ne compte pas, c'est que si les elfes et es hommes sont serrés, les troupes du mal le sont elles aussi! Pis on dira que Meneldur est juste gravement blessé, c'est comme si qu'on tuait Hama ou Gothmog parce qu'il n'existe pas en PJ...]

Les cavaliers de Théoden étaient coincés par leur arrière. Ils se réunirent avec les cavaliers de Forlong et les hommes de pied d'Astaldo. Une troupe de 100 000 hommes. Ils foncèrent sur les orques qui les assaillaient. Les orques étaient de naturel couard lorsqu'il s'agissait de sauver leur peau. Tandis que les chevaux galopaient sans prendre attention à qui ils écrasaient, ils rentrèrent dans les lignes des orques, écrasant tout ce qu'ils pouvaient. Ils tombaient sous la pluie de flèches drues. Théoden ordonna alors d'utiliser leur bouclier de bois. Les cavaliers avancèrent, s'enfonçant toujours plus dans la marée. Le cor du Rohan ressona. Les cavaliers empoignèrent leur lance, transperçant les orques. A un moment, il arriverait qu'il ne resterait plus d'hommes dans aucunes des armées.

Ancalagon vit les troupes Rohirims intervenir et alors que déjà plusieurs dizaines de milliers d'orcs tournaient talon, Ancalagon fit fuir les aigles qui étaient là puis se dirigea vers les cavaliers de Théoden...
A la vue du dragons, tous les orcs qui fuyaient se ruèrent dans la bataille et Ancalagon en carbonisa 10 en guise d'avertissement, criant aux orcs que le premier qui fuyait ou ne tuait pas d'ennemis subirait le même sort !

Alors que les Rohirims pensaient faire fuir les orcs, Ancalagon s'avança. Si les orcs étaient couards et fuyaient vite, avec un dragon à leur tête, ils étaient hardis et déchaînés. De plus, si quelques minutes plus tôt les orcs tournaient talons, devant le dragon, les cavaliers ne tenaient plus leurs chevaux en selle et la situation s'inversa...
Glaurung rejoignit Ancalagon et usa de son pouvoir psychique... Une fois de plus, devant les dragons, les chevaux devenaient fous et seul Théoden et son Méharas tenaient encore bon. Toutefois, seuls devant deux dragons en rage, le roi du se replier pour sauver sa vie !
Glaurung et Ancalagon crachèrent de concert leurs flammes et les deux dragons chargèrent les cavaliers en plein coeur. Partout des chevaux se câblaient et la charge qui avait été arrêtée tournait à la débacle. IL s'en falut de peu pour que Théoden voit son armée emportée au loin mais après avoir fait fuir ou avoir tué un millier de cavaliers par les flammes ou les flèches de leurs orcs, Glaurung et Ancalagon n'eurent pas le temps de continuer que des aigles vinrent les empêcher de continuer...
Alors que le combat dans le ciel entre dragons et aigles se poursuivait et que chaque fois que quelques aigles tombaient, un dragon mourrait juste avant ou après et l'équilibre était gardé.
Glaurung continua d'occuper les cavaliers et à faire fuir de folie nombre de chevaux tandis qu'Ancalagon monta vers les rochers et arracha un énorme roc de la montagne. Lorsqu'il le lâcha sur les rohirims, deux aigles se jetèrent sur lui, inconscient !
Alors Les orcs continuèrent de massacrer les orcs de Losarnach mais 50.000 d'entre eux bandirent leurs arcs et tirèrent leurs traits sans cesse sur les Rohirims qui à chaque volée perdaient 1000 de leurs cavaliers. Chaque fois que des cavaliers contournaient Glaurung, ils étaient abattus par les archers orcs...
Au centre de la cité, les 10 catapultes d'Ancalagon brisèrent le bâtiment qui bordait l'endroit où le grand conseil d'Elrond s'était réunis quelque fois, jettant des rocs sur l'endroit sacré. Le symbole de Fondcombe s'effritait un peu plus chaque fois. De plus, les piquiers Ourouk-Hai vinrent sur le flanc des Rohirims et les empalèrent de leurs piques...
La cavalerie avait su être arrêtée mais la présence de Glaurung était nécessaire à l'immobilisation de celle-ci.
Quoi qu'il en fut, les archers orcs se reculèrent et recommencèrent à pilonner les hommes de Losarnach et les piquiers se mirent face aux cavaliers et glaurung quittant le combat laissa les Rohirims combattre les orcs et les 20.000 hommes de Losarnach combattre 10.000 Ourouk et 50.000 archers orcs qui leur tiraient dans le dos...
Théoden et les siens devait encore mettre à bas 100.000 orcs et 10.000 piquiers, ce qui mettrait trois fois plus de temps que pour les orcs de massacrer les deux-tiers restant de Forlong le gros !

Nous étions arrivés sur place ... les combats faisaient rage. On sentait une légère odeur de feu dans l'air, c'était assez bizarre d'ailleurs, j'étais descendu de mon cheval avant d'arriver à la cité que l'on devait défendre le bruit émit par la bataille était assez impressionnant.
Le tatouage à ma main droite se faisait de plus en plus voyant et mon coeur s'emballait. Lorsque le décor s'offrit à mes yeux j'en eus le souffle coupé des créatures spectaculaires étaient présentes et je compris l'odeur du brulé lorsqu'une flamme s'abbatit au dessus de nos têtes. Je courrais dans tous les sens me protéger et tentais de résonner pour savoir comment est-ce que la bataille pourrait s'inverser à notre avantage quand j'entendis Tilbio m'appeler.

Viens ici immédiatement !

Sa voix avait résonné à travers tous les remparts, je regardais la plaine sous mes yeux avec plus qu'étonnement. J'étais sur qu'il souriait mais cela ne s'affichait pas sur son visage, c'est ce qui me mit une puce à l'oreille. Des centaine de mercenaires étaient là à protéger la ville mettant leurs vies en danger pour en sauver d'autres. Tilbio m'ammena avec lui jusqu'au capitaine, j'étais ébranlé mais ma tête restait froide et lucide sans quoi jamais je n'y serais arrivé. Nous écoutâmes ses ordres et partîmes directement les executer, dumoins moi ... Tilbio je m'en rendis compte après quelques minutes était resté à traiter de quelque affaire avec Thirit. Je m'avançais dans les rangs cherchant des survivants et lorsque j'en trouvais je me faisais généralement aider pour les guérir, les presques morts survivaient grâce à mes talents issus de mon père quant aux blessés, ils étaient assez souvent mis à part pour se faire soigner par d'autres membres de la compagnie, ils étaient rejoints par ceux que j'arrivais à guérir plus ou moins bien des maux de l'enfer. Je vis un de mes compagnons de tente se faire trancher en deux, la rage me prit et j'allais en faire de même avec l'assassin. J'allais et achevais comme il m'avait été dit les survivants ennemis, les têtes tombaient des deux côtés les hommes et les elfes blessés étaient ramenés dans l'enceinte de la ville tandis que les morts étaient transposés dans un coin. Les soldats s'affairaient dans tous les sens ... je continuais mon travail avec soin.

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Plus loin Tilbio était resté avec son capitaine, son silence signifiait beaucoup. Il se sépara de Thirit par un regard très insistant ; Tilbio descendit prêter main forte à ses soldats.

[Ancalagon, je vais compter une partie de ton poste. mes cavaliers n'ont pas fuis parce que Legolas a dit que les dragons ne pourraient que s'attaquer aux aigles.]

Les rohirrims virent que le dragon redonnaient du courage aux orques. Le roi Théoden restait devant son armée. Il fit rassembler ses hommes, les poussant à affronter les orques. Les cavaliers refoncèrent sur les orques, ne prenant pas garde aux dragons.

- Souvenez-vous du Pelennor où le Roi-Sorcier d'Angmar tomba, ne craignez pas la mort!

Les cavaliers hurlèrent et envoyèrent leur javeline sur les orques. Des milliers de flèches tombèrent. Les cavaliers entrèrent de plein fouet dans les orques, tuant, les écrasant sur le sol, leur tranchant la tête. [b]

Une fois encore, le temps passait et alors que Celeborn intervenait après une heure de plus contre ses Uruk et que les 20.000 qui chargèrent là il y a de cela trois heures les hommes de Losarnach n'étaient déjà plus que 10.000 ! Cependant, les hommes de Losarnach avaient déjà perdu 15.000 d'entre eux et les 50.000 flèches orques qui ne cessaient de tomber en massacrait 1000 de plus à chaque volée !
Après 5 volées supplémentaires, les hommes de forlong étaient réduits quasiment à néant et les Uruk se tournèrent vers Celeborn et les siens.

Dans le ciel, Ancalagon attrapa un aigle et l'écrasa entre ses pattes arrière et piqua vers les lignes de Celeborn dans lesquelles, il fit s'écraser l'aigle qui mourut en abattant encore plus la peur dans les rangs de Celeborn...
Une rafale de flammes supplémentaire vint parachevé la technique de peur et la moitié des elfes tétanisés ne savaient plus que faire. Près des murs, il ne restait plus un seul ennemi. A cet instant de la bataille, Eron menaient ses 10.000 soldats restants avec les 5000 ouargs encore en vie de Glaurung.
Les 20.000 orcs des montagnes c'étaient rués dans la bataille et la moitié étaient tombés mais 10.000 encore subsistaient et prenaient les Rohirrims de flanc. Les 10.000 derniers Uruks fantassins de Glaurung se battaient contre les elfes et les hommes de Losarnach tandis que 10.000 piquiers lacéraient les chevaux des hommes du Rohan qui ne pouvaient plus charger. 100.000 soldats orcs suivaient les piquiers Uruk et encerclaient peu à peu les cavaliers et enfin, 50.000 n'avaient plus qu'à tirer une dizaine de volées pour anéantir totalement l'armée de Forlong qui se trouvait en renfort.
De plus, haut dans les montagnes, 10 catapultes et 10.000 archers humains ne cessaient de massacrer l'ennemi par centaines depuis maintenant plusieurs jours. Dans le ciel, il restait encore une trentaine de d'aigles et 4 dragons.

Lorsque Glaurung entra dans le combat, non seulement les chevaux qui se souvenaient encore de lui hennirent et devinrent fou à sa seule vue et les elfes de Celeborn que lui seul arrivait encore à maintenant autour de lui s'apprêtaient à tourner les talons. Deux aigles qui venaient aider les elfes furent mis à bas par les deux dragons et une fois encore, en s'écrasant au milieu du champ de bataille emplirent les Uruk d'une hardiesse et d'une force nouvelle tandis que les elfes tremblaient d'effroi.
Haut dans le ciel, 3 aigles déchiquetaient un dragon et ce fut 3 autres dragons qui crachèrent de concert une boule de feu, tuant ainsi les aigles mais aussi le dragon. Il restait 25 aigles et 3 dragons plus Ancalagon et Glaurung.
Glaurung usa de sa technique au milieu des hommes de Losarnach, crachant ses flammes au sein de leurs lignes et écrasant de sa queue, de ses crocs et des ses griffes ceux qui s'aventuraient trop près de lui. Il déploya son pouvoir d'effroi et lorsque les hommes reculèrent pour fuire, ils furent empalés par une dizaine de milliers d'orcs et glaurung avait rallié et qui s'acharnaient à présent contre autant d'hommes qu'eux, affolés et dont le chef ne semblait pas réagir. Même si il sortait vivant de cette bataille, Forlong y aurait perdu la moitié de ses hommes et même plus peut-être.
Lorsque Glaurung eut achevé de semer le trouble dans les rangs des hommes, il vit que ses Uruks continuaient de tenir bon et tuaient plus d'elfes que d'orcs ne tombaient. Eron fut appelé et parvint de justesse à quitter Fondcombe et chargea dans le dos des elfes avec ses 10.000 hommes et les 5000 wargs de Glaurung. Loin des murs, les hommes de Losarnach semblaient condamner, les cavaliers de Théoden immobilisés et les elfes de Celeborn étaient tétanisés.

Si une quelconque armée se montrait ou venait rallier les troupes, elle aurait à traverser le gué et les forêts qui pour certaines étaient encore en proie au flammes et devraient affronter Glaurung et Ancalagon qui se tenaient prêts pour intervenir sur quiconque s'avanceraient.

Dernier fait important, les forêts aux alentours de Fondcombe étaient déjà consumée pour les trois quarts d'entre elles et le feu à présent se propageait à plusieurs lieues à la ronde.
Avant de revenir dans le combat, Glaurung recula et cracha tout le feu dont il était capable en cet instant pour relancer l'incendie de forêt qui ravageait déjà presque toute la vallée de Rivendell. Même le pouvoir des elfes mettrait plusieurs années avant de rendre à la cité et à la vallée un souvenir de ce qu'elle fut avant l'attaque. Les marques des dragons étaient solidement encrées.