Lorsque Ancalagon vint aussi au dessus des hommes de Losarnach, il en brûla une centaine de ses flammes puis poussa un tel cri que les hommes furent effrayés et se mirent à pleurer et à hurler.
Lorsque Ancalagon eut terminé de semer le trouble chez les hommes, ce fut au tour des chevaux du Rohan d'être repoussés une fois encore. Il vint s'écraser sur une dizaine de cavaliers et immédiatement, un cercle fut créé autour de lui, nul ne voulant être sa proie. Ancalagon fit un tour sur lui-même en crachant son feu puis se décida à donner la chasse aux chevaux. Il s'élança au milieu des cavaliers à grande vitesse, ouvrant ses ailes pour faire tomber tous ceux qu'il cognait puis les rentra dès que les Rohirrims retrouvèrent leurs esprits et commencèrent à tirer leurs glaives. Cependant, Ancalagon traversa l'armée toutefois puis arrivé non loin de la fin des lignes, il hurla, déchiqueta (au sens propre du terme ^^) deux chevaux et crache du feu, ce qui eut pour effet de faire tourner les talons à un millier de cavaliers qu'il commença à poursuivre. Il rabattit les cavaliers incapables de reprendre le contrôle de leurs montures et bon nombre de chevaux s'engouffrèrent dans des forêts enflammées pour échapper au dragon puis furent brûlés. Les autres furent écraser, dévorer ou brûler et plusieurs centaines d'entre eux fuirent définitivement le combat. Lorsqu'Ancalagon revint, il se jeta au milieu des hommes de Losarnach et des elfes qui s'étaient rejoins et qui constituaient une armée de 30.000 soldats, dont 20.000 elfes contre deux dragons, 10.000 orcs, 5000 Uruk et 50.000 archers. Celeborn parvint à extirper ses troupes du guet-apens, sauvant la vie de ses hommes dont l'un d'eux s'approcha du roi et le supplia de donner la retraite, qu'aucun elfe n'était plus capable de charger en cet instant et que même si les hommes de Losarnach semblaient vouloir combattre jusqu'au dernier, il fallait les laisser à leur sort. Celeborn le sage gronda l'elfe et celui-ci se suicida de honte.

//Ne serait-il pas temps que Forlong sorte de là avant que ses 8000 derniers hommes ne meurent tous ? Je veux bien mais si il répond pas pour dire ce qui se passe, nous on continue comme ça jusqu'au dernier ! Nous devons pas le tuer et alors qu'il se casse si il veut pas mourir au milieu de ses hommes, tués par 10.000 flèches non ?//

//De quel droit détruit-on mon armée de 50 000 cavaliers alors que je m'absente une journée, et aussi alors que je suis censé être depuis hier sur Imaragon? Je suis outré que des gens du mal fasse bouger mon armée, je suis tout prêt des remparts de Fondcombe, pas à l'entrée de la valée. Comment se fait-il qu'on détruise une armée et que deux dragons ne font qu'alterner leurs postes, tuant près de 100 000 cavaliers à eux deux?
EDIT ME: C'est de la faute à Elrond/Théoden, 'scusez-moi^^. Si vous voulez bien accepter que je sois toujours où j'étais, je vous en serai redevable, je n'ai jamais été attaquer les orques qui arrivaient moi, mais sinon c'est pas grave. Je te laisse dans ta merd* frérot Je crois qu'Elrond est pas content là, il va avoir certaines choses à dire, il devient livide XD \\


Les cavaliers de Forlong s'attaquaient au dragon Imaragon. Les cavaliers du Gondor lancèrent leur flèches sur le dragon qui était déjà gravement blessé. C'est à cet instant que des aigles, venant de toute part du ciel piquèrent sur les dragons. Ils furent acclamés par des cavaliers euphoriques, quoique stupéfaits. Ils tiraient des flèches sur le dragon. Ils se détachèrent de leur cible qui était out-combat. Ils se retirèrent vers leur arrière. Ils foncèrent sur les hommes d'Eron. Les 20 000 soldats furent bien vite cernés, débordés et attaqués de toute part. Forlong tenait sa lance dans sa main. Il sauta à terre. Tandis qu'Eron se dirigeait vers Elrond, il envoya une pierre avec sa fronde sur ce dernier. Eron se retourna, se massant la côte même si le choc avait été prit par son armure.

- Viens ici pourriture, traître au Gondor! Au lieu de t'attaquer aux Belles-gens, viens à moi!

Les filet commencait à seder plus qu,il se débatait plus il le fesait soufrir.

-Glaurung! dis à quelque un de t,es uruk de venir m'aider bon sens!!!!

Il voulu lacher une soufle de feu mais ses poumon était bloquer pa rle filet il ne fut que éjecter un grand nuage de vapeur au homme qui hurlait les yeux bruler.

il regarda et vue les aigles se faire masacrer des dragon tombait au sol écrssant nombreux elfs et les aigles tuer tombait sur la ville comme des mouches.

(en passant Forlong tu na pas mal aucune chance contre moi mais bon...)

Éron ressu une pierre sur son armur il se retourna et vue Forlong le vieux il sorti son fléo et commenca à masacrer les elfs et homme devant lui pour arriver devant Forlong il ranga son fléo et sorit son épée. Les cavalier déron vraiment plus fort que les cavalier gondoriens perssait les ligne pour aller devant le dragon Imaragon en coupant les filet de leur longue lame avant de recharger dans les hommes.

-espèce d,idiot tu penses vraiment pouvoir me combatre.... pf... si tu es mouin fort qu,un seigneur elf oublie la posibiliter de durée 30 seconde au combat avec moi

Il resortit son fléo par surprise Forlong ressu le fléo dans les cote le désarsonnant de sa monture Éron prépara une deuxième attaque avec son épée.

//Je veux bien que tu sois fort, mais tu n'es pas le plus puissant de la Terre du Milieu. Je suis beaucoup plus vieux et chevronné que toi, avec 40 ans. Tes hommes sont aussi forts que les miens, c'est tout ce que je t'accordes, ce n'est pas la peine de dire que tu massacre tout --' . Forlong est un très grand combattant, c'est le peu qu'on dit sur lui dans le bouquin. De plus, je suis déjà descendu de mon cheval. Attaques, mais encaisses aussi! Je ne veux surtout pas te dégoûter mais appliques mes conseils \\


Forlong sauta en arrière pour éviter le fléau de Eron. Il sorti son épée, le faisant tourner autour de sa main droite. Il tenait son bouclier de l'autre main. Quand Eron partit à la charge en donnant un coup d'épée, il brisa le bouclier du Gondorien. Le seigneur en profita pour asseminer une estocade dans la côte de son adversaire.

- Ignores-tu donc tout de l'opiniâtreté des hommes de Lossarnach? De leur ruse et de leur capacité à...

Il donna un coup dans le genou de son adversaire. Celui-ci vacilla mais ne tomba pas. Il poursuivit:

- A attirer l'attention d'un pauvre homme cherchant la facilité, le manant à sa perte.

Il sauta en arrière, esquivant un coup. Il se prit un coup de lame dans le visage, provoquant une estafilade. Forlong ramassa sa javeline* et l'envoya sur son adversaire. Ce dernier esquiva, laissant l'arme embrocher deux des hommes d'Eron. Le seigneur Forlong refit un bond de côté et fit un mouvement de bras. Après plusieurs entrechoquement, le combat continuait.




EDIT ME: Carok, la cité comme l'a judicieusement fait remarquer Glaurung est entièrement entourée d'elfe, il est impossible que tu puisses passer avec tes ourouks sans qu'ils ne se fassent tuer.
[* arme servant au lancer, plus grande qu'un javelot]

(je suis plus vieux que toi chui un numénorien noir....)

Éron esquiva le coup de genou.

-et tu ne sais pas que j'ai eu Idrahil comme maitre..
Il lanssa un coup de fléo que Forlong esquiva il donna un coup de pied dans l'estoma de Forlong puis vint lui trancher une parti de sa joue.

-je n'aime pas me batre contre des gondorien comme toi... pf... si faible...

IL se serva de son épée comme d,un gourdin pour frappé à la tête Forlong et en le poussant il trébuchat sur un corps et tomba au sol.

-sa fais 230 ans que je me bat avec idrahil alors sa m'étonerait que tu me bat!

(j'ai pas dis que je tuais tous le monde j'ai is que je me fraiyait un passage avec un fléo...)

-soldat! la phalan.. (resois coup d,épée)

Même si les hommes n'avais pas tous entendu il laissère leur monture et s eplacère en rond avec des pavois et des lance perssant les cavalier sun à un éron devant tuais des elfs et des hommes un à un il fendit le crane d,un cavalier elfs en le propulsant au sol il reprit son fléo et le fit tourner massacrant s,eu trop près.

-Forlong! t'es insulte ne me touche pas j'ai vécu avec idrahil long temps il ne m'apréci pas beaucoup mais nous somme frère de sang!

Il prit une lance en l'envoyant sur Forlogn qui esquiva elel se planta dans un cavalier dérrière qui revola au sol.

-et maintenant regarde la puissance du nord! lansser!

1200 lance fur lansser avec présition et puissance sur les cavaliers ensuite il prir de long pieu d ebois (comme dans coeur vayant) et les levère pour bloquée la cavaleri.

Après savoir fait délivrer des filet par les cavalier D'éron Imaragon semblait fou de rage les archer de la compagnie croyant encor le dragon piéger ressur un jet de flamme en plein visage 40 soldat tombère embrasser imaragon qui avait mal au muscle (ses un dragon il à une meilleru résistance) devait se réfigier dans un endroit il fondit dans les rang adversse et grimpa à la montagne il monta si haut que même les balist ne pouvait le toucher.

(bon la batail dans le rp dure depuis à peu près 8 heures toute les troupe son épuiser autant les dragon que les hommes elf. mais pas les uruks à cause qu,il ont beaucoup d'endurance si on continue la batail les soldat elf vont devoir dire qu,il faiblis autant que les soldat d'éron0

Après quelques temps encore, les derniers fantassins de Forlong s'écroulèrent et la charge des cavaliers fut arrêtée par les deux dragons et 50.000 flèches venant de derrière les orcs et 10.000 depuis les montagnes.
Un millier de cavaliers s'écroulèrent, trois fois moins que Glaurung ne l'aurait espéré. Ils avaient de trop bonnes armures et les flèches perdaient la moitié de leur efficacité. Toutefois, lorsque Glaurung vit Eron en difficulté, il cria à Ancalagon d'agir de concert avec lui et le dragon noir cracha son feu autour de Forlong dont les hommes alentours brûlèrent ou fuirent. Puis Glaurung s'étant frayé un passage au milieu des cavaliers et ayant tués bon nombre de cavaliers en passant arriva près des deux hommes et de derrière, il tua le cheval de Forlong, jetant celui-ci à terre et créant une très profonde entaille dans la jambe de celui-ci. Puis il s'approcha de son visage et alors que l'homme pensait sa fin totue proche, Glaurung lui souffla avec une haleine fétide dans l'oreille :

"Je t'aime bien homme. Tout dragon que je puisse être, je t'aime bien et je sais reconnaître les bons et braves ennemis lorsqu'ils se présentent à moi. Toi et les tiens vous êtes battus sans relâche avec vaillance, même lorsque vous étiez entourés de 6 fois plus d'ennemis et coupés de tout renfort. Je pourrais en cet instant de tuer mais vois-tu, je considère que la puissance que tu représentes ne doit pas être annihilée. Ce n'est pas ton combat ici et j'ai conscience qu'en te laissant repartir il y a de fortes chances pour que tu reviennes mais je préfère te laisser la vie sauve.
Glaurung l'écrasa, l'empêchant de s'extirper.
Je vais te laisser en vie car tu le mérites et que le jour n'est pas bon pour tuer ceux qui méritent la vie. Je n'ai rien contre les hommes. Ils sont braves et fidèles mais pas vaniteux comme ces elfes. Ils sont nombreux et puissants mais ne se montrent pas tous écrasant envers les autres.
Tu n'es plus capable de combattre et je t'en prie, va-t-en. Et surtout, ne te remet plus jamais sur mon chemin."

Puis Glaurung se retournant retraversa les lignes, tuant tout le monde sur son passage et semant le trouble dans les lignes des hommes. Puis deux autres volées de flèches suivirent et deux milles cavaliers s'écroulèrent.

Glaurung cria vers Glaurung "dépêche toi avant qu'il ne soit trop tard. Tu n'as pas déjà assez de 40.000 pertes dans ton armée ?".
Enfin, Glaurung menant Eron et les siens et tenant l'homme dans une patte permis à l'armée de travers celle des hommes par le flanc sans encombre puisque les chevaux refusaient d'avancer à la seule vue du dragon. Lorsque l'armée d'Eron fut revenue, elle se mêla aux 4000 Uruks, au 10.000 orcs et aux 50.000 archers et firent face aux 10.000 cavaliers et aux elfes étant encore du même nombre. Les catapultes des montagnes tirèrent et 6 rocs vinrent s'écraser sur les lignes de Thirit tandis que les 47 autres s'éparpillèrent autour, détruisant les bâtiments qui étaient là. Enfin, l'un des rocs s'étaient écrasés si près d'une des balistes que celle-ci fut renversée.
Ce fut Ancalagon dont la vue perçante était sans égale qui montant haut dans le ciel visa juste et d'une boule de feu détruisit celle-ci.

Ensuite, les 2 dragons encore en vie et qui protégeaient les catapultes furent vaincus après avoir tués une dizaine d'aigles, réduisant leur nombre à 15 et obligeant Ancalagon et Glaurung a monter dans les montagnes près des catapultes. Ancalagon aux prises avec deux aigles les vainquit et Glaurung usa de son feu pour en tuer autant. Les aigles n'étaient plus que 11 dont Thorondor, Gwaihir et Landroval.
Les archers humains criblèrent de flèches un autre aigle qui vint alors ...

//Au sujet des archers et des catapultes, passez nous d'abord sur le corps pour les assaillir et il vous faudrait éviter 10.000 flèches et 2 boules de feu plus nos griffes et nos crocs pour les atteindre//

Dans le ciel, Ancalagon usa de son feu pour rôtir deux aigles qui tentèrent de forcer le passage et puis refit tirer les catapultes dont les rocs s'écrasèrent une fois encore sur les hommes de Thirit, ce qui fut accompagné d'un roc bien visé d'Ancalagon sur une autre compagnie. Glaurung poursuivant la défense de la position, Ancalagon vint haut dans le ciel et piqua sur les cavaliers de Forlong, crachant une longue et ininterrompue flamme sur ceux-ci. L'effet fut immédiat, les chevaux se serrèrent et les 60.000 flèches qui vinrent s'abattre tuèrent 1156 cavaliers et leurs chevaux.
Lorsque de plus Ancalagon arracha de sa selle le capitaine des cavaliers et rejeta au beau milieu des hommes le cadavres déchiquetés et mutilé de celui-ci, les hommes reculèrent et devant leurs hésitations, d'autres flèches volèrent et les orcs et Uruk se ruèrent sur eux. Les javelins d'Eron lancèrent une autre volée de javelots qui eut un effet assez important et les derniers Uruks se ruant là dans la bataille avec les wargs tuèrent 5000 des cavaliers avant de tous mourir. Il restait moins de 5000 cavaliers à Forlong et les 10.000 arbalétriers Uruk, qui étaient les seuls de l'armée de Glaurung encore debout tirèrent leurs carreaux à bout portant, faisant un millier de morts. Lorsque les cavaliers voulurent reculer, Ancalagon les prit en étau et si Glaurung n'hurla pas au dragon Noir de les laisser survivre, bien qu'Ancalagon ne comprit pas pourquoi, ils serraient tous tombés en quelques minutes.
Il restait précisément 3850 cavaliers en selles et un millier de soldats ayant perdus leurs chevaux étaient achevés un peu partout. Ancalagon se plaça devant les hommes et sur l'ordre de Glaurung, prit Forlong que ses hommes, devenus fous et tremblotants, ne semblèrent pas avoir vu et faillirent l'écraser et amena celui-ci auprès de Glaurung et des catapultes.
Puis, le Noir Ancalagon se rua sur un autre aigle...

//Je vous ait demander d'accepter de pardonner le fait que Théoden ait prit mes troupes pour les utiliser contre ceux qui arrivaient. Il ne me reste pas d tout 5000 hommes dans ce cas mais 35 000. Ils étaient censés être en train de combattre le dragon Imaragon depuis le début et je ne sais pourquoi cela se fait qu'il aient passés de devant Fondcombe à charger avec les rohirrims --' sans que je n'ai rien fait, je me demande comment on a tué 50 000 cavaliers en une journée d'absence. (voir page précedante).
EDIT: Coimment se fait-il qu'on a tué plus des trois quarts de mes troupes alors que je n'ai pas pu me défendre? Non mais je commence vraiment à en avoir marre là.\\

Thorondor volait dans le ciel, perpétuant ses assauts repetés sur les orques. C'est alors qu'il vit les hommes de Forlong en détresse. Il piqua sur le sol en un battement d'ailes. Il fonça dans le tas, éparpillant avec ses serres le mur de bouclier. Evitant les lances et les flèches avec sa rapidité il remonta. Il repiqua vers le sol, mais cette fois sur Eron. Il fit tomber Eron sur le sol. Il attrapa deux hommes dans ses serres, remonta plus haut et les lâcha dans le vide. Aidés, de trois autres aigles, ils attrapèrent des numénoréens dans leur bec et les envoyèrent dans l'armée orque. L'aigle remonta vers le ciel. Il apella cette fois-ci une dizaine d'aigles. ils piquèrent sur les numénoréens noirs qui étaient déjà en déroute (je ne pense pas que tu reste quand tu te fais attaquer par 11 aigles) qui écrasèrent à eux tous une bonne centaine de guerriers. Ils remontèrent vers le ciel. Ils s'attaquèrent à un dragon, lui déchiquetant le poitrail. Deux tombèrent. Le dragon tomba de la colline et s'écrasa sur les ourouks-haïs qui avançaient vers Fondcombe. Les aigles remontèrent vers le ciel. Les derniers aigles piquèrent vers Ancalagon. Thorondor en tête, fit déchaîner les cieux. Des éclairs de foudre, dans la colère de la bête déchirèrent les forêts alentours; tuant que ce soit elfes, orques ou hommes. L'oiseau dans sa rapidité fit vaciller le dragon. Evitant des flammes, il repiqua vers son oeil. Il regarda les elfes qui tiraient des vagues de flèches sur les orques, tombants un par un sous des tirs incessants. Les elfes d'Elrond tiraient depuis les galeries, protégés par le roc. Thranduil découvrit le passage, aidé d'Elladan et ils descendirent vers le champ de bataille. Ils ressortirent. Des cris de douleurs, de joies et de rage resonaient dans la valée. De la foudre déchirait le sol, des vents tournoyaient, maudissant tout ce qui était maléfiques, des vents purs et transparents, n'emportant rien sur leur sillage. L'aigle avec ses serres sauta sur la têe du dragon, évitant sa morsure. Il enfonça ses serres dans ses yeux et sur son nez.

La route avait été longue, les soldats s'étaient bien reposés avan,t de prendre la route mais quelques uns étaient tout de même fatigués. Nous sommes arrivés lorsque Carok avait commencé son attaque, mes elfes ne se sont pas prononcés, attendant le meilleur moment pour apparaitre. Nous étions derrière les bois, à l'affut du moindre mouvement suspect ; une fois jugé bon, je m'avançais parmi mes soldats leur montrant une carte de la cité, des remparts et des alentours.

Voici, en faisant très attention à ce qu'on ne vous repère qu'au dernier moment, prenez vos hommes, partez des deux côtés de la ville en renfort, bloquez l'entrée après avoir laissé passer les archers dans la ville, qu'aucun orque et créature ennemie n'entre dans cette ville.
Vous, prenez les flans en vous divisant en deux, je veux le moins de pertes possible, le plus de stratégie, repoussez les troupes, repoussez les.

Les armées s'élancèrent, comme je l'avais ordonné, les ennemis parurent surpris lorsqu'une fois en place un cor sonna et les troupes apparurent immédiatement de tous côtés. J'entrais avec mes archers dans la ville recherchant mon capitaine, je crus voir en entrant Kir-Thelassis mais je préférais me concentrer d'abord sur la guerre qui se menait ici au lieu de m'interesser à mes vieilles connaissances. Je vis une organisation extrêmement bien tissée de la part des fameux mercenaires Gondoriens. Je vis un homme en train de régurgiter du sang, il était des mercenaires, je m'avançais vers lui,

Mercenaire ! Oh ! Mercenaire ! Dis moi quelle est la situation ?

Voyant qu'il crachait du sang et que sa figure en était éclaboussée, je mis ma main sur son dos. Une chaleur s'en dégagea,

Apportez moi ma trousse de soins, vite !

Je voulais beaucoup aider l'homme mais le temps pressait, je décidais donc après l'avoir laissé entre les mains de mes meilleurs guérrisseurs de passer à l'attaque. Je montais sur les remparts rapidement jetant tout de même un coup d'oeil en arrière. Je regardais comment so'rganisait la bataille, le camp adverse avait beaucoup de créatures magiques (dragons ) mais notre camp avait les aigles. Je me demandais surtout comment allait se prolonger cette bataille.
Ordonnant aux hommes devant la cité d'attaquer, ils partirent en avant, éclatant les rangs des orques.

//Euh en fait je me permet de te dire que tu as eu deux jours et que dans le jeu, 35.000 fantassins qui se prennent 50.000 flèches à la fois ça a vite fait de mourir ! Je pouvais pas attendre patiemment que tu te décides à écrire pour dire que tu me prenais à revers ! En plus tu as eu le temps largement je pense ! Je t'ai quand même sauvé ...//

Alors que les derniers aigles lancèrent des rocs, Glaurung sourit. Les aigles perdaient leur temps avec des rocs pour battra une dizaine d'Uruk au maximum par roc, Ancalagon et Glaurung intervinrent. Tandis que deux aigles arrachaient un roc, ils furent tués, l'un par les crocs, et l'autre par les flammes du dragon rampant et Ancalagon en tua deux lui aussi en vol, ce qui réduisait leur nombre à 5.
Ensuite, les orcs continuèrent d'assaillir les 4000 derniers hommes de Losarnach et deux volées de flèches suivies d'une charge de toutes les troupes présentent alors suffirent à faire tourner talons aux 2000 derniers hommes.
Ensuite, orcs et archers visèrent les 15.000 elfes de Celeborn.

Pendant ce temps, Glaurung vint près de Forlong et lui offrit le remède au poison qui s'infiltrait dans son corps à la suite de la blessure que le dragon lui avait donné. Enfin, il renvoya Forlong et celui-ci arriva sain et sauf à Fondcombe où il retrouva ses derniers soldats.

Ancalagon le Noir décida que maintenant que les hommes de Forlong étaient vaincus, il était temps pour les Rohirrims de subir le même sort.
Les 10 rocs des catapultes s'abattirent encore sur les lignes de Thirit dont les hommes durent se disperser sous le pilonnage de leurs positions par les machines de guerre de l'Isenguard. La seconde cible des catapultes fut les hommes de Celeborn et 8 des dix rocs s'écrasèrent sur les elfes. Les 2 autre dévièrent et tuèrent des orcs. Les protestations et jurons orcs furent nombreux et les coupables décapités. Les 10.000 archers de montagnes décochèrent eux aussi leurs flèches et les 50.000 orcs firent de même. Tandis que les elfes étaient acculés et ne tiendraient même plus 15 minutes dans cette situation, devait au plus vite se retirer si ils ne voulaient pas se faire massacrer.

Lorsqu'Ancalagon eut une idée brillante, il fit appel à Glaurung. Les deux dragons commencèrent à creuser une large tranchée dans le sol et à en arracher, pierre après pierre des rocs pour les lancer en contre-bas sur les cavaliers. Dès que les cavalies purent se retirer, les dragons cessèrent et recommencèrent plus loin. Deux boules de feu furent lancées, l'une au milieu des hommes de Rohan et l'autre sur le maréchal qui secondait Théoden. Puis les deux dragons dévalèrent comme la foudre les rochers et vinrent se jeter au milieu des chevaux qui une fois encore perdaient la tête. Les crocs d'Ancalagon furent meurtriers et il tua une bonne cinquantaine d'hommes du Rohan alors que l'autre dragon faisait de même. Ancalagon et Glaurung étaient deux fléaux au milieu des chevaux et des hommes apeurés et les traits des 50.000 orcs s'abattirent sur les cavaliers de Théoden qui, bien moins amrés que les hommes de Losarnach, virent 2000 des leurs périrent. Acculés et poussés par deux fois plus d'ennemis, ils ne pouvaient charger, d'autant que les deux dragons coupaient leurs lignes en deux, laissant ceux de devant sans soutient.