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[en fait, mon grade de Mordor va être changé, j'ai changé de perso donc, va voir ma fiche pour le grade]

Erylon eut un sourire très amusé, sadique même. Il était sur le sol, allongé de tout son long. Il riait. Sous les regards éberlués des gardes, il se releva.

- Joli coup. Tu me prends pour un novice? Ta forte carrure ne m'impressione... guère. Tu m'offusques Damdrond.

Il fit les cents pas, personne ne boufeait.

- Les orques de Gorgoroth, l'antre de la fille d'Ungoliant, les elfes de Vert-bois-le-grand, les nains, des hommes, des guerriers de Gondor et de Rohan. Tomber par ma main.

Il dit les quatre derniers mots avec autant de force que le plafond poussièreux vibra.

- Partez avant que la mort ne vous prenne. Vous ne me reconaissez pas? La mémoire des ivrognes de Bree est trop courte. Les noms "Faucheur", "Ôteur d'âmes", "Pas noir" ne vous disent rien?

Rien ne bougeait... Il scruta l'homme de ses yeux d'un gris profond, couvrant la totalité de son oeil. Mais Erylon ne portait pas la main à son épée, il aimait cette situation. Tourmenter avant de frapper...
Il se tourna vers Saresh, et reprit de son timbre nauséabond:

- Cela te déplait-il? Es-tu plus bête que tu en as l'air? Moi? Mordor? Suggestion interessante... Mais fausse de toute évidence. Qu'irais-je Lui dire si je le voyais? Que cette ville mérie d'être nettoyée?

Il ricana.
Il rangea son poignard qui gisait sur le sol. Les gardes ne bougeaient pas. Ses paroles ne semblaient pas entamer le visage de marbre des gardes. La plupart des mots qu'il prononçait n'avaient aucuns sens pour les gardes, ou si, peut-être bien que si, puisque le temps stagnait.

- Je n'aime pas attendre, et c'est ce que vous me faites faire. Dois-je quérir mon épée, où vous laisser partir?

Comme personne ne bougeait, il regarda les arcs bandés vers lui. Il n'y jeta qu'un bref coup d'oeil, attardé sur d'autres pensées. "Ce rustre d'Erylon!", "EMbarquez-le, cela fera un nuisible de moins dans la societé!". Il rit. Encore plus fort que tout à l'heure. Un rire alarmant, moqueur et sadique. Tourmenter le coeur de hommes présents lui plaisait. Il leur jeta un dernier regar malicieux. Il reparla alors:

- Ne reconaissez-vous pas la mort lorsqu'elle vous fait face, roitelets des campagnes? A présent, je vous sommes une dernière fois de vous en allez.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 190 Date d'inscription : 13/08/2007

Le capitaine fou de rage abattu son épée en direction d'Érylono elle frappa le sol cassant le bois il avait esquiver ? pendant se temps les autre garde chargait sur Athangorn et Fëagil qui semblait une menace pour les gardes même si i lne fesait rie ni létait quand même armer 2 foncère sur Jack son cadavre ne lui servi à rien car un des gardes avait une hache en un coup Jack échapa le mort le deuxième fonssa sur lui avec une grand eépée qui lui planta près de l'épaule... il eu le temps de se pousser mais la lame avait pénétrer de quelque centimêtre dans son corps.

-si sa continu on perdra se combat.. quel abruti.... (fait référence à ses hommes)

Il s'éloigna de quelque pas et les archers tirère des flèches sur Erylno... 3 fur esquiver et une fut planter alors dans l'estoma.Les autre garde fonssait sur Athangorn et Féagil pour être préssi deux pour chaqu'un.

La flèche ricocha sur son armure de bronze. La fabrication de flèches de Bree n'était pas la même que celle des nains... Il regarda avec mépris les gardes sauter sur lui.

- Bandes d'imbéciles... Je vous offre la vie, vous m'envoyez des flèches.

Il sortit son épée, et au même instant trancha la tête de celui qui s'approchait de lui. Son acolyte hésita. Il se ravissa et continua sa charge. Il lui donna un coup derrière le genou. Erylon se dirigea vers la porte, et en chemin trancha la tête du capitaine, qui se tenait maintenant mort sur le sol. Une flèche jaillit d'une fenêtre depuis l'extérieur, transperçant les deux autres gardes restants. Il s'élança au galop, sombre dans la nuit. On entendit au loin une porte qui se fracassait, sans doute celle d'Harry Chèvrefeuille.

Jack qui n'avait plus de cadavre sur lui mes plutot de garde ,recula lorsque les deux gardes eux s'avancèrent vers lui tout en souriant ,l'histoire de dire que lui il ne peut nuir à personne ,il s'accouda sur le contoire ,et tout en regardant les gardes dans les yeux en disant n'importe quoi ,il saissisa deux shop de bierre encore pleine .Et comme les garde avait l'aire d'ecouter attentionément les betises ,il brisa les shop sur les cranes des deux garde et seux ci s'évanouèrent .Mais tout en faisant l'idiot devant d'autre garde qui arrivèrent ,il les metta hors d'état de nuir .Puis apres ,il décida d'aider Athangorn et Feagil ,meme si ses deux la n'avait rien fait ,il avait pas mal de garde sur eux .Il regarda les tonneaux qui était suspendut en l'air ,puis il regarda les gardes ,et puis regarda le tonneaux une derniere fois ,avant qu'il ne les détachent .Le tonneau tomba à terre et Jack monta dessu .Montrons preuve d'un incroyable numero d'équilibriste ,il se dirigea vers les gardes qui était devant les deux personnes .Heu ne le voyèrent pas ,et Jack les ecrassa et eux s'évanouerent aussi .Il ne rester plus beaucoup de garde dans la salle .Apres cela il se rasaillit sur sa chaise et prit une shop de bierre l'histoire de dire qu'il n'avait rien fait .

Fëagil, voyant que les gardes lui fonçaient en sa direction, dit :

" Hey, mais je n'ai pas troublé l'ordre public !
Il s'agit de cet Erylno ! Vous faites erreur ! "

Après avoir dit cela, Fëagil quitta la taverne, appelant son ami Athangorn, innocent lui aussi, à venir le rejoindre.
Il déposa vite une bourse d'or dans les mains de l'aubergiste, en disant :

" Pour les dommages causés par ce troubleur d'ordre. "

Puis il quitta l'auberge du Poney Fringant, monta sur son cheval, et disparut au loin...

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