Retour aux sources

Ethanaël avait fini de vagabonder dans les alentours et oui...il était temps de retourner chez soi. Jucher sur son étalon noir, il regardait autour de lui, inspirant une énorme bouffé d'air, comme si celui de son pays n'était pas le même que dans le reste de la Terre du Milieu. Il avait quelque chose de spécial, un doux colorit et une odeur de souvenir étrange...de bons et de mauvais souvenirs comme chacun d'entre nous.
La monture éreintée par son long voyage et les nadeaux écumant fit bien vite comprendre à son cavalier qu'il lui était nécessaire de s'abreuver. En conséquence l'elfe noir s'arrêta au bord de la rivière Celon et le laissa boire en paix pendant qu'il s'asseyait sur une branche d'abre qu'il venait d'escalader. Il admirait la contrée d'où il était originaire appuyé dos a l'abre, il se laissa aller a la nostalgie...
Etrange que cela ne le prenait pas au delà des frontières de son pays, mais que voulez vous, l'esprit de quelqu'un est bien plus compliqué qu'il n'y parrait et Ethanaël faisait partie de ses êtres qu'il ne faut pas chercher à comprendre, parce que lui même ne se comprenait pas.
La preuve étant qu'il se sentait si bien chez lui, alors pourquoi se bornait-il a vagabonder? Justement, il ne savait pas

(Je joue ma soeur des personnages inventés)

Sans que l'elfe noir s'en appercoive, quelque chose se dirigeait vers lui, quelque chose de svelte et léger qui laisserait normalement parraitre que c'était une femme si celle-ci n'était pas totalement invisible aux yeux de ceux qui se trouvaient da sa position. Cette femme, c'était la soeur d'Eöl, princesse de Nan Elmoth qui n'avait pas réaparu depuis des années et qui s'était finalement décider à bouger unpeu. Toujours de son pas légé, elle s'arrêta devant l'arbre ou se trouvait Ethanaël. Son Cheval s'abreuvait toujours à l'eau de la rivière lorsque celle-ci leva les yeux vers le sujet de son frère.

-Dans les bois, perdu et à la peau comme les nôtres. Tu dois certainement être Ethanaël, le chef des armées de mon frère. Mais que me vaut si charmante rencontre en ces lieux?

L'elfe noire avait souvent cette mauvaise habitude d'avoir l'aire si poli quand en fait, elle ne l'était que très rârement sincèrement. Elle regardait toujours le général dans l'arbre en attendant de savoir ce que celui-ci comptait lui répondre.

(ok chef! ^^)

Ethanaël a demi dans ses rêveries n'avait rien entendu venir, il était bien trop occupé a écouté le murmure de l'eau et la chanson du vent dans les arbres...Quand la douce voix de la soeur de son souverain l'en fit sortir, il baissa les yeux vers elle.

- Je pourrais vous posez la même question princesse. Il y a fort longtemps que je ne vous avais vue marcher dans la contrée.

Il descendit de son arbre et par respect pour la soeur de son supérieur il s'inclina devant elle.

- Je reviens d'un bien long voyage de réflexion, peut être est ce là la raison de notre rencontre ici.

La femme afficha un regard amusé vers le général d'Eöl.

-Non pas tout à fait mon cher. On ne demande pas à une princesse ce qu'elle fait sur ces terres, elle a tout à fait le droit d'y être qu,en penssez-vous? Figurez-vous que j'avais quelques petites choses à faire qui m'empêchaient de venir me promener dans les bois d'Eöl: le bilan des morts qu'il a fait, ce qu'il a dépensé et tout ça. Il fait des dégâts mais ne les paient pas et ne s'en occupe pas. Je suis là pour faire le ménage après son passage que je dirais pratiquement. Au moin, je suis bien traitée.

Elle le regarda ensuite descendre de son arbre et s'incliner devant elle. Cela faisait si longtemps que personne du peuple ne l'avait fait, autre que les servantes qui venaient une fois de temps en temps dans sa chambre ou elle réglait les documents pour voir si elle allait bien. Elle finit par lui faire signe de "repos" et lui dit:

-Un voyage de réflexion vous dîtes? Mais de combien de temps dites-moi? Il me semble que sa fait longtemps que je n,ai pas entendu parler de vous. J'ai beau être resté longtemps dans mes appartements à régler ces maudits documents, mes servantes me ramenaient quand même les nouvelles du royaume, incluant celle des soldats de haute classe comme vous et jamais elle ne m'ont dit quoi que ce soit à votre sujet, à croire pratiquement que vous aviez déserté et qu'elles cherchaient à me le cacher, même si en ce moment, je ne suis pas en train de vous accuser de quoi que ce soit.

- Il est certains qu'il est de votre droit le plus stricte de marché quand bon vous semble dans les terres de votre frère et de faire ce qu'il vous plait. pardonneé ma maladresse le voyage ma rendu quelque peu incorrect envers les gens de hauts rangs, la solitude a joué en ma défaveur.

Sur qu'il n'avait pas été a sa place quand il lui avait dit ce qu'il avait dit, mails il avait écouté la princesse avec attention.

- Je ne le sais que trop, votre frère est impulsif et je crains qu'il n'y soit pour rien, mais j'admire le courage que vous avez de vous battre avec toute cette paperasse. Malgré le fait que vous soyez bien traitée, n'est il plus correct que ce soit un ministre qui se charge de ce genre de chose?

La réponse a la question il ne la connaissait évidement pas, lui et la politique, il s'occupait déjà de l'armée c'était bien assez que pour encore manifesté quelconque interêt pour la politique.

- Je suis partit il y a de cela deux ans, je n'avais point déserté j'avais même fait parvenir une lettre a votre cher frère lui expliquant les motifs de mon départ. Bien que je sois revenu fin de l'année dernière pour une courte période certes, juste le temps de mettre en ordre quelque papier et repartir. J'avais grand besoin de réfléchir à toutes sortes de choses, plus ou moins importante qui m'empechait de faire correctement mon travail, maintenant que c'est chose faites, je comptes bien rester quelque temps à Nan Elmoth mais je ne doute pas repartir que cela soit pour mon propre grès ou pour celui de votre frère qui sait

La femme esquisa un sourire et lui dit:

-Un ministre? Pas avec mon frère. Il est craint de plusieurs peuples mais ne souhaite quand même pas les attirer. Les ministres de Nan Elmoth ne savent pas tenir leur langue, je le sais, je les ai vu à l'oeuvre et ce même si la majeure partie du temps, ils ne s'en sortent pas à si bon compte. Ils vont d'abbord le dire aux autres ministres qui ne sont pas en charge de ce genre de eocuments, qui vont le dire à leur femmes, qui vont le dire au marché, qui vont le dire aux hommes dans les tavernes et je crois que vous voyez la suite...Nous elfes noirs sommes puissants à cause de notre magie. Mon frère est sans doute le plus fort de tous mais il n'est pas de taille à faire face à tellement d'hommes à la fois. Non il préfère que le nombre de morts reste secret et ainsi, il peut continuer ses opérations sans pour autant que la population ne se mette à quitter les bois pour tenter d'aller montrer leur puissance à travers le Beleriand et la Terre du Milieu. L'inconvénient avec nous les elfes noirs, c'est que nous sommes tout de même faciles à distinguer. Les autres peuples ont soit la taille réduite, les pieds velus, une énorme barbe mais de notre taille ou alors ils nous sont identiques jusqu'a certains points mais tous on un côté que nous n'avons pas: ils ont tous la peau blache. C'est en partie pour ca que Eöl limitait les activités du peuple. Nous sommes neutres, ce qui fait qu'ils peuvent attaquer dans les deux camps et si ceux-si se rendent compte que nous sommes responsable, nous pourrions être victimes d'une attaque que nous ne saurions repousser.

Elle fit une pause, le temps d'écouter Ethanaël.

-Soite, je ne puis vous empêcher de partir, car je n'en ai pas le pouvoir ni probablement la force. Je ne suis pas trop bonne combatante mais passons. Je tiens cependant à vous mettre en garde. Vous ferriez mieux de ne pas partir pour rien, je veux dire sans aucune raison qu'il jugerait bonne parce qu'il est de mauvaise humeur ces temps-ci et je ne sais pas pourquoi mais de toute manière, il n'aime pas vraiment ca voir son peuple partir sans une raison qu'il juge assez bonne.

- En effet je vois ce qu'il en retourne et je comprends son point de vue, même avec le peu de connaissance politique que j'ai. Je sais bien que nous ne saurions repousser une telle attaque puisque je me charge des plans d'attaque, je crois que votre frère a le sens des dangers et de la logique.Veuillez donc excusé la question du ministre mais étant donné ma non culture politique je ne pouvais savoir.

Il se frotta nerveusement la nuque.

- je ne sais que trop que nous sommes reconnaissable et cela m'est assez peu supportable, je me fais accoster comme un rien par d'autre personnes que je ne souhaites pas connaître. Ce qui hélàs m'horifie plus que tout son mes oreilles. Ne venez pas croire que j'ai honte d'être un elfe noir mais il est juste de préciser que je n'aime pas notre physionomie.

Il croisa les bras.

- Votre frère m'avait mis en garde contre cela, mais je ne savais pas qu'il était d'humeur tuante ces temps-ci. Le fait qu'il m'ai laissé partir autrefois venait de mes années de service durant lesquels je n'ai prit aucun congé. Mais dites moi, que c'est il passé pour qu'il soit de méchante humeur?

-Ah non, ne vous en faites pas, ces dangers ne sont quand même pas évident à deviner, puis surtout pas par ceux qui n'en ont pas l'habitude. Dans ce cas là, c'est un peu plus pardonnable. Mais en tout cas, pour ce que les gens disent de vous, moi je pense qu'ils ne savent pas à qui ils s'en prennent lorsqu'ils osent affirmer cela. Ils ne savent pas que leur peuple vis-à-vis du notre ne survivrais probablement qu'à peine si nous utilisions notre plein potentiel. Oui, il est possible qu'en ce moment, je donne l'impression d'être prétencieuse mais je mauds ces peuples qui s'en prennent à nous à cause de préjugés et selon moi, surtout si il s'agit d'hommes de Bree, ils ne devrait faire que tenir leur langue car ils ne sont pas aussi bien entrainés que le Gondor.

Elle baissa la tête, un sourire encore plus large sur les lèvres.

-Ah mais Eöl n'a jamais été de bonne humeur complètement. Il a toujours eu un sale caractère et ce même avec moi. Il n'aime aucun peuple, d'ou la raison pourquoi il s'en prend à chacun d'entre eux. Je suis sa soeur et pourtant, il ne semble pas plus me porter d'attention. il y a une chose que vous devez savoir au sujet de votre départ: c'est qu'il a longtemps hésité avant de vous laisser partir, la réponse à cela étant dans votre propre phrase. Eöl n'aime pas voir ses elfes se balader partout mais vous avez dit vous même avoir mérité ce congé tellement vous aviez travaillé et avec le temps, vous avez monté dans son estime je crois. Il a jugé qu'il pouvait vous faire confiance pour ne pas être un danger pour son peuple si vous deviez partir et il a pensé que vous étiez assez fort pour vous déffendre en cas de problèmes.

- Au contraire je ne vous trouves pas prétencieuse en quoique ce soit. Il est un fait que les elfes en générale on toujours été plus puissance que les simples humains et que si nous le voulions nous les écraserions comme de simple insectes, mais avec le temps la sagesse de certains on calmer cet esprit de concurrence, bien que je crois que certains chefs avisés des hommes aient toujours conscience de ce fossé entre nos races.

Il sourit à l'ententent des hommes de Bree.

- je fus fort déçu lorsque mes pas mon mener là bas, c'est hommes sont tout simplement pitoyable et pathétique, de gros lourdaux bavards et soiffards qui ne font que se venter, se remplir le ventre et le gosier en avalant chope après chope. Quel triste décadance que cette race...Ils agissent plus en paroles qu'en geste.

Ethanaël se pencha pour ramasser les rênes de son cheval pour eviter que celui ci ne décide d'aller faire un tour.

- Je crois que votre frère peut avoir confiance en moi, je ne me montres menaçant envers les autres peuples que s'il m'en donne l'ordre ou que je n'ai pas d'autres choix. Mes années militaires mon appris la discrétion et le silence, je peux évité d'être vu et entendu si je le veux, même si le don qui me fut conférer ne me permet pas tout ce que je souhaite. Jamais je ne trahirais mon souverain, pas plus que ma race et même si pour cela je devais moi meme me crever les yeux.

-Ils sont si pires que ca les hommes de Bree? Bien ma fois, il serait peut-être grand temps que je me décide à aller faire un tour mais en ce moment, je ne puis me le permettre. Mon frère s'est absenté pour une raison que je ne connais pas et si je m'en vais moi aussi, il n'y aura personne pour surveiller le peuple.

Elle attendit que celui-ci ai ramassé les rennes de son cheval et lui dit:

-Je suis contente de savoir qu'au moin il peut compter sur vous et je suis ravie de savoir que vous n'abusez pas des pouvoirs de notre race. Mes documents que j'ai visionné tout ces mois m'ont permis d'apprendre que nous avions eu un déserteur, un elfe noir du nom de Kaërm qui est parti sans laisser une quelconque notice à notre roi. Je ne vous demanderais pas d'aller le chercher, je pense que Eöl saura très bien quoi faire mais si jamais dans une qulconque aventure, vous veniez à parcourir le même chemin que celui-ci, vous lui direz qu'Eöl ne sera pas content d'apprendre son départ.

Elle regarda dans les bois d'ou provenait un étrange bruit qui ressemblait beaucoup au cri d'un animal sauvage. Elle demanda à Ethanaël:

-Dites-moi, loyal général, vous aimez les animaux?

- Il n'y pas pire vantards que les hommes de Bree. Mais il est juste que je conseil vivement d'un jour aller voir le monde qui entour Nan Elmoth, dès que votre frère vous en donnera la permission.

Il regarda la princesse

- et bien soit, s'il doit de nouveau m'arriver de quitter nos frontières et que je rencontre ce Kaërm, je lui ferrais savoir ce que vous venez de me dire. Moi même je n'aime pas les déserteur, mais je laisse a mon souverain le soin de savoir quels châtiments il veut leurs réserver.

Ethanaël tourna la tête a l'entente du bruit avant de reposer son regard sur la demoiselle.

- J'adore les animaux a condition que ceux -ci ne me soit pas hostile. Et vous?

-Mon frère élève des animaux sauvages dont il se sert parfois comme espions ou messagers. J'aimerais, vu votre loyauté et vos nombreuses années de services ainsi que vos excursions en dehors de nos frontières que vous...

Elle fit une pause et fit signe au général d'attendre. Elle s'aventura a travers les arbres et revint quelques minutes plus tard avec un loup attaché avec une corde qu'elle avait sur elle.

-Emmeniez un animal avec vous. Mon frère m'a confié quelques bêtes pour que j'en fasse ce que je veux. Je les adore, pour répondre à votre question mais j'aime encore mieux lorsqu'ils peuvent nous être utile à quelque chose.

Le loup, quelques minutes plus tôt totalement sauvage en caractère, ressemblait maintenant à un chien nouveau-né.

-Ne vous fiez pas aux apparences. Il a du s'échapper de l'élevage mais même si il est domestiqué, il peut vous être de grand secours pour une bataille. J'aimerais que vous le prenniez avec vous. Mais j'ai juste une condition à vous imposer. Vous devez le maintenir en vie le plus longtemps possible je vous prie. Même si nous n'avons parfois pas l'aire très sympathiques, nous accordons quand même beaucoup d'importance aux animaux. Vous pouvez faire ça pour moi? Ne vous en faites pas, il n'attaque pas ses maitres et il se nourrit de lui-même.

- J'ai grande difficulté à accepter pareil requête, mais venant de vous je ne puis refusez vu le grade auquel je suis attaché. Je vous promet que cette bête sera traité ern égal car entre loup je crois qu'on peut se comprendre.

il regarda l'animal que la princesse tenait

- Je crains fort que si l'un d'entre nous deux devait revenir seul ce serait plus lui que moi. J'ai défendu ma monture jusqu'a en être mortellement blessé autre fois. Et puis, pour ma part rien n'est plus pécieux qu'un animal en ce monde

-Je ne comprends pas vraiment ce qu'il y a de si difficile mais je ne suis pas vous, je ne penses pas que je pourrais comprendre de toute manière. Entre loups? Je serais bien curieuse de comprendre la signification de cette expression. En tout cas, vous l'avez maintenant, il est à vous. J'en ferrais part à mon frère si jamais je peux le revoir à temps. Je ne penses pas que sa devrais le dérranger mais il ne voudrais pas s'en rendre compte avant que je ne lui dises.

Elle retira la corde du cou de l'animal. Celui si secoua sa tête puis marcha d'un pas lent, sans grogner vers son nouveau maitre. Il renifla sa main puis hurla. Il alla ensuite vers le cheval et se mit à lui tourner autour sans pour autant montrer un quelconque signe d'agressivité à son égard.

-Si vous êtes capable de le déffendre aussi bien que vous avez déffendu votre cheval, il vous apprecira beaucoup mais désormais, vous n'aurez plus à combattre comme vous l'avez fait. Il ne semble pas sauvage avec vous ou avec votre cheval donc il devrait être un bon compagnon de route. Je suis contente de savoir que je l,ai confié à quelqun qui aime les animaux mais je ne tiens quand même pas à ce que vous mourriez pour le sauver. Eöl aime ses animaux mais il trouve quand même que ses soldats sont plus utiles.

- Ce que je veux dire par entre loup, c'est que j'ai toujours manifester les grands traits du caractères de ces animaux, on peu dire que si je devais être comparer a un animal c'est a eux.

Il regarda la jeune femme avant de regarder le loup et son cheval

- Logique que nous lui soyons plus utile non?

il sourit

- on combat pour lui et une armée d'homme n'est pas comparable a une armée de loup...mais même si cet animal est avec moi, je combattrais toujours de la même manière, la vieille habitude. Je vous remercie pour ce cadeau des plus singulier.

-Ah je vois...

La princesse ne comprenait pas tellement, certainement du au fait qu'elle ne le connaissait pas assez pour pouvoir faire une comparaison quelconque entre le général de son frère et le loup qu'elle venait de lui offrir. Sans tenir compte plus longtemps du sujet du loup et du général comparé, elle changea:

-Faites en bon usage, c'est tout ce que je vous demande. C'est vrai que je ne fais pas ce genre de cadeau à tout le monde et encore moin à quelqu'un qui ne partage pas notre sang. Ne comptez pas sur qui que ce soit d'autre pour le faire non plus seulement, j'ai conscience que c'est dangereu ce que vous faite et un loup peut plus facilement revenir jusqu'à nous en cas de danger qu'un cheval solitaire, encore moin si celui-ci vous considère comme un ami particulier. Il sera plutot tanté de rester au près de vous pour essayer de vous aider et surtout qu'un cheval avec une selle pourrais facilement se faire arreter. Quoi qu'il en soit, je vous souhaite bonne chance pour vos prochains voyage.

- Je ne peux que vous remercier une nouvelle fois votre altesse.

De nouveau le général s'inclina devant la dame très respectueux de celle-ci et de son rang.

- Quant a moi je vous souhaite également beaucoup de courage pour continuer a répondre a toute la paperasse dont vous vous chargez actuellement

(3 lignes complètes)

La princesse salua puis quitta le lieu ou elle venait de paser une bonne heure facile à discuter avec Ethanaël. Son chemin la ramena devant les portes du grand palais que son frère avait jadis fait construire pour l'ouverture de la ville qui acceuillerais finalement les elfes de d'autres couleure que celle qu'ils avaient pour habitude de voir. Comme le temps passait vite! Elle se souvenait encore de ses jours à Doriath. Ils semblaient être derrière elle de si peu pourtant. Elle entra dans le palais et constata que ses ouvrages avaient été terminés, qu'il n'y avait plus rien à faire à cet effet et qu'elle pouvait enfin prendre du bon temps au lieu de faire ce que le général avait classé de choses de ministre. Heureuse comme tout, elle quitta sa chambre mais soudain, l'image du loup lui revint en tête. Elle commença à se demander si elle avait bien fait de le lui confier. Il avait toutes ces années de services qui faisaient de lui une bonne personne pour ce genre de travail mais tout de même, elle se posait certaines questions...

Ethanaël était resté encore un moment assis sur l'herbe en compagnie de son cheval et de son nouveau camarade loup...Lorsqu'il se releva se fut pour remonter à cheval avec grace et souplesse ce qui caractèrisait depuis toujours la race des elfes. Il se tourna alors vers le loup et lui dit d'une voie clair.

Viens avec moi, nous tâcherons de nous occuper de toi avec amitié

il sourit et reprit la route de son ancienne demeure qu'il n'avait pas vu depuis près de deux ans. Lui sur son cheval et le loup qui le suivait, il se demandait toujours pourquoi la soeur de son seigneur le lui avait offert

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