Arrivée en hâte au siège du CMN

Fëagil, après avoir quitté en hâte l'auberge du Poney Fringant, à cheval, suivi d'Athangorn, arriva, après quelques temps, dans son domaine : Le fortin du CMN.
Il arriva devant un des gardes mercenaires, à qui il dit :

" Bien le Bonjour, mon ami, laisse-moi passer, j'ai une discussion à faire en privé dans mon logis. "

Le garde laissa alors entrer Fëagil dans le bastion.
Fëagil invita alors Athangorn à rentrer dans le petit camp, puis monta jusqu'à ses quartiers.
Là, il s'adressa à Athangorn :

" Bon, bienvenue dans mon camp principal, le siège du CMN, Comité des Mercenaires du Nord.
Ici, nous pourrons parler tranquillement sans reçevoir la visite des espions du Mordor. "

Erylno poursuivait sa route sur le chemin de l'Ouest. Il se rendait chez Bombadil, un vieil ami. Après avoir passé la nuit chez lui, il repartit avant l'aube; Il trottait avec son cheval, jusqu'à arriver au coeur de la forêt. Les arbres, si sauvages soient-ils ne lui inspirait guère de peur. Comparés à ceux de la forêt noire, ceux d'ici étaient de gentils tournesols. Il trouva une piste fraîche sur le sol. Il décida de la suivre; Il arriva à une sorte d'endroit déboisé. Plusieurs gardes bloquaient le passage. Il laissa son cheval aller où il le savait, et il grimpa à un arbre, légèrement. Après être passé comme une ombre à travers les gardes, il était tapi sur le sol, dans les hautes herbes, avançant doucement, s'accrocha à un des murs du bastion, et en jouant des pieds et des mains, arriva au sommet. Aucun garde n'y était. Il descendit dans une des trappes, et arriva bientôt à un petit arc. Il le traversa, entrant derrière Féägil comme une ombre. Il s'assit sur un tabouret, dans un recoin de la pièce. Il dit alors:

- Très joli endroit, bien gardé, mais pas autant que les bois de le Lorien, à qui la vigilance à failli. Mais je ne suis pas venu ici pour parler de la façon dont je suis arrivé. Vous me prenez pour un espion du Mordor et un rustre barbare.

Il ricana.

- Je dois dire que votre sens de l'observation vous a trahi. Qui irait espionner un pauvre bar, empli d'ivrognes? Le Mordor... J'y suis déjà allé, mais jamais je ne le servirais. Jamais je ne servirais quelqu'un. Outre pour de l'or. Sommes-nous si différents?

Fëagil observa le nouveau venu, un peu surpris par sa visite.
Il pensa alors : * Mais c'est pas possible, il va donc me suivre partout, celui-là ??? *

Puis il se tourna vers lui, et lui répondit :

" Simple précaution, un espion du Mordor peut se rendre n'importe où, car tous les endroits sont susceptibles de cacher des choses intéressantes.
Je me trompe ? "

Il réfléchit un instant, puis reprit :

" Peut-être que nous sommes assez proches, mais nos principes moraux nous séparent indiscutablement : Je n'irai pas tuer de pauvres ivrognes dans une taverne pour le plaisir de m'amuser, si vous voyez ce que je veux dire !
Si vous voulez intégrer le CMN, je peux à la limite vous faire une faveur, mais des conditions sont à remplir : Ici, nous servons les peuples alliés au Gondor et aux Elfes, et non les Mordoriens.
Cependant, nous sommes en mesure de refuser une aide si nous ne sommes pas assez bien payés... "

- Moi? Vous proposer une aide? J'y réfléchirais. Tuer des ivrognes... Quelle théorie interessante... M'amuser, Oui, c'est cela.
Je me liait d'amitié avec Celeborn, Elrond, le Roi-Sorcier d'Angmar, Daïn et Durïn que vous, vous serviez les seigneurs des hommes. La racaille de gondor ne m'inspire aucune envie d'aide. Je me bats pour le peuple que je désire, celui qui me donnes le plus d'avantages. Mon épée est imbibé du sang de toutes les races. Mais envers mes amis, et seulement eux et pas leur peuple je reste fidèle.

En vérité, il était difficile de comprendre les pensées du rodeur, car lui même ne se comprenait pas. En revanche, il avait une autre vision sur ce qu'était le monde que celles des autres... êtres.

- En vérité, je ne me suis jamais battu pour le Mordor, bien que j'ai des amis la bas. Les champs de bataille remplis de grandes armées ne m'attirent pas.

Athangorn arriva avec Feagil, son ami qu'il avait rencontré a l'Auberge du Poney Fringant. Ils discutaient confortablement jusqu'a ce que soudain, trois hommes débarquant dans l'auberge. Non seulement ils avaient interrompu la discution des deus Dunedains mais ils avaient massacrés la joie et l'harmonie qui règnait dans la pièce. Par la suite, Athangorn et Feagil s'avaient enfuient pour aller discuter dans le domaine de Feagil, le domaine du CMN. Mais les deux rôdeurs étaient suivi, par Erylno un des hommes qui avait débarqué dans l'auberge.

.......

Quelques minutes plustard, Athangorn regardait la pièce ou les Dunedains étaient logés. Tout était calme, mais Erylno débarqua une fois de plus déranger les rôdeurs. Athangorn n'avait pas beaucoup parler jusqu'ici mais cette fois il trouvait Erylno passablement .... bref c'est la qu'Athangorn prit parole...

- " Mais que vient tu faire ici? Nous aimerions avoir une discution plutôt comment dire? privé.

Athangorn était assit sur une chaise dès plus confortable et a la suite de ses paroles il reprit la parole et il c'était levé debout...

- " Que veut tu au juste? Te porter au CMN et l'obéir tout le reste de ta vie? Je te met en garde chère ami, nous ne sommes pas a cette vieille auberge ici. Alors est-ce-que vous me donneriez une réponse je vous prit?

Il se rassit sur sa chaise en regardant Erylno...

Fëagil se tourna alors vers ses deux interlocuteurs à la fois, dans l'espoir de partager une conversation à trois, finalement, voyant qu'Erylno persistait à suivre Fëagil.

" Mes amis, qu'aimeriez vous donc savoir ?
L'histoire du CMN ?
Si c'est cela, je peux vous compter cette fabuleuse légende [ enfin, j'en fais un peu trop là... ].
Mais sinon, nous pourrions nous présenter tous les trois à tour de rôle.
J'aimerais aussi connaître plus d'Erylno, qui m'a l'air assez particulier, ainsi que de vous, Athangorn, qui êtes un rôdeur Dunedain, comme je l'étais il y a un an. "

Erylno ne regarda pas le dunedain lui parler avec mépris. Il dit:

- Serais-ce sage de parler de sa vie, à deux inconnus? peut-être bien.
J'abandonnais mes parents vers l'âge de quinze ans, le second fils d'Arador, père d'Arathorn et sa femme Vendïa de Lamedon. Certains crétins me disent fils des étoiles, quelle imbécilité!
Ensuite, je chassais le vivant dans les terres sauvages, traquant hommes et bêtes, orques et elfe pour le simple plaisir et par ennui. Puis une route me fut permise. Grace aux Béornides, je puis passer Rubicorne sans grands dangers. Je rentrais en Lorien, je passais les sentinelles. Me présentant devant un Celeborn si surpris qu'il faillit s'étrangler!
En cadeau, il m'offrit ce poignard. - il jeta un coutelas sur la table -. Je m'en allais en Gondor et en Rohan, mais je n'y resta pas très longtemps. Je traversais Cirith Ungol, et me liait d'amitié avec le Roi-Sorcier d'Angmar, si on peut appeler cela comme ça. Je remontais vers le nord, retournais une vingtaine d'années en Lorien, puis reparti vers l'est. Mais cette fois, vers les pays nains. Je m'en allais ensuite en Forêt Noire, puis reparti vers l'ouest. La suite, vous la conaissez.

Il observa les deux hommes, accrochés à son récit. Il reparla alors, de sa voix mielleuse:

- Comment oses-tu me dire une chose pareille Dunedain? Obéir au CMN! Autant aller frapper sans arme devant la porte d'Orthanc, ce serait aussi périlleux. Jamais je ne me plierais devant quelqu'un, même si c'est le seigneur ténébreux.

Fëagil écouta Erylno parler, puis réfléchit un long instant. Il assistait en fait à sa plus longue réflexion en ce moment.
Il finit enfin par répondre :

" Nous parviendrons peut-être un jour à un accord, mon cher ami, tant qu'il respecte nos intérêts respectifs. "

Puis il se tourna vers Athangorn, à qui il dit :

" Je ne t'es pas encore présenté le lieu, voici mon bureau, c'est là que je signe les papiers les plus importants, et que je reçois les personnes importantes. "

Tidus arriva en hâte a son tour, accompagner comme d'habitude de la compagnie des loups, Uriel, Moncar, Dagon et... Dregen, son père... Il descendit de son cheval, et fit signe aux gardes de laisser passer les quatres autres. Il sortit sont épée, et la planta comme a son habitude dans le harnai de son cheval pour qu'il ne parte.

"Quel nouvelles de la CMN? J'ai cru apprendre par mes hommes qui viennent régulièrement par ici que deux nouvelles recrues voulaient se présenter... Super! J'ai besoin de fraiches recrues pour l'Angmar..."

Il s'approcha des deux personnes, et les regarda dans les yeux avant de sourrire...

"J'allait oublier les règles de politesse... Mon nom est Tidus Ancalimon! Capitaine de la compagnie des loups, chef de l'Alliance et seigneur de Dale... Mais ne vous en faites pas... Je suis seigneur, pas saigneur... Et toi Fëagil, a tu des nouvelles de mon frère?"

Erylno regarda le nouvel arrivant; Encore un de ces putrides seigneurs, pleins de pouvoir et d'hommes à leur commandement. Il disparut aussi doucement et rapidement qu'il était apparut. Il s'arma d'un cheval, et partit vers le sud. De ses yeux d'une couleur grise, il regardait le lointain. Les arbres défilaient autour de lui. le soleil lui caressait doucement le visage.
Le pays d'Eriador défilait. Des arbres tordus, des prairies vertes..; Le pays sauvage...

Tidus regarda Fëagil avec l'impression que ce serait la dernière fois. Il le regardait d'un air méfiant, en sachant qu'il n'aurrait rien a craindre. Il sourrit. Puis, avec le savoir qu'il devrait combattre et peut-être mourrir, il sortit de sont carquois une flèche rouge, avec une pointe en forme de fleur noire pointue. Il la tendit a Fëagil.

"Si je meurt mon ami, plante la dans mon coeur le jour de mon enterrement. Puis après, coupe la tige de bois pour le reste reste dans mon corp et ne sorte pas hors de moi. C'est...
- C'est la flèche de la rose noire. Dit le père de Tidus."

Tidus reprit son cheval, et partit en galoppant. Les autres le suivirent.

Fëagil regarda partir Tidus, en examinant la flèche de la rose noire.

*Hum, ainsi, voici la fameuse flèche, bon eh bien, qu'il en soit ainsi ...*

Fëagil était désormais seul avec Athangorn, à qui il dit :

" Bon, de quoi voulez-vous parler ? "

P'tit Nouveau Nombre de messages : 8 Date d'inscription : 07/03/2008

Alors que quelques hommes se fondaient à l'ombre des arbres de la Vieille Forêt, un vieillard drapé d'une longue cape grisâtre se faufila entre troncs et racines. Le nez pointé vers le sol, l'individu ne semblait ressentir le besoin de regarder devant lui, comme s'il connaissait chaque parcelle de terre sur lesquelles il posait les pieds. Un chapeau pointu d'une blancheur immaculée coincée sous son bras droit et sa main gauche cramponnée à un bâton d'une toute autre blancheur mystique, Gandalf ou encore Mithrandir dans le langage des Hommes, descendit par un long chemin de terre boueuse jusqu'à rejoindre l'orée d'une clairière dont il connaissait bien l'histoire. Un maigre sourire confondu dans sa barbe broussailleuse, il distingua très clairement plusieurs silhouettes derrière les derniers branchages de la forêt. Le temps lui était compté, aussi Gandalf ne prit soin de les énumérer, préférant s'avancer à découvert jusqu'à eux. Il savait qui se cachait dans cette forêt et quelle genre d'organisation y taillait ses plans. C'est d'ailleurs pourquoi il était ici, en ce jour. Pourquoi il était venu à la rencontre de Fëagil et de ses compagnons.

Après s'être incliné respectueusement devant le groupuscule d'hommes regroupé au milieu de la clairière, Gandalf leur dit:

« Salutation à vous, rôdeurs et dunedains du nord ! Qu'il fait bon de revoir les lignées des braves Hommes de Numénor réunit en si bel endroit. Je viens quérir l'attention du seigneur Fëagil. Qu'il vienne à moi, Gandalf le Blanc a à s'entretenir avec lui »

Fëagil, alors qu'il s'entretenait avec ses amis, aperçut le fameux magicien Gandalf arriver vers lui.

*Gandalf ? Que vient-il me demander ?*, se demanda-t-il...

Il se dirigea alors vers lui, l'air assez surpris, mais non tellement méfiant, puis, avec un large sourire, lui parla :

Bienvenue ici, Monseigneur Gandalf !
Je ne savais pas que le CMN vous était familier, apparemment, il l'est.
Quel bon vent vous amène ici ?

Un homme a cheval et a capuche arriva, il mangait, car il étais affamer, il arriva devant un homme et un magicien blanc, alors il les regarda tout les deux et il dit.

Mes ami, leur est grave au Gondor, Pélargir est attaquer par les orde de Roi Sorcier et mon Seigneur Arthor ne tieendras pas, si il na pas d'aide, aller vous nous aider? si il prend Pélargir, al prochaine ville seras Mians Tirith et elle ne survivras pas avec les dommage qu'elle a subit.

Il les regarda et il attendit.

Fëagil regarda le messager d'Arthor, et lui répondit :

" Combien votre seigneur Arthot me propose pour une aide venant de moi et de mes huits Dunedains surentraînés ? "

Le mercenaire Fëagil attendit la réponse, patiemment, d'Arthor.
S'il allait au front, il devrait laisser à plus tard son entretien avec Gandalf le Blanc...

Fëagil répondit au messager :

" Bon, mon ami, nous négocierons plus tard le montant que votre chef me versera.
L'heure est urgente ! "

Il se tourna alors vers Gandalf :

" Désolé de ne pouvoir m'entretenir avec vous, Gandalf, je vous contacterai plus tard.
Les affaires m'attendent en ce moment, elles sont très importantes. "

Puis, il hurla :

" Première Compagnie, mes amis, venez avec moi, pour la richesse, l'avarie, le butin, l'or, le confort et la gloire ! "

Ainsi partit Fëagil, chef du CMN, accompagné de ses huits amis mercenaires...

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