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P'tit Nouveau Nombre de messages : 132 Date d'inscription : 28/01/2007

Apres avoir fortifié les terres d'Edoras suite a leur dernière bataille l'armée naine était en route pour les montagnes bleues, seulement, Groin et 10 de ses vaillants guerriers étaient avec lui avaient prit une halte à la Moria, ils s'étaient arretés devant la porte, observant rapidement si il avait quelqu'un qui trainait dans les environs, puis Groin regarda dans la moria en marmonant

Je doute que se soit de la belle vie qui ne fait que nous attendre dedans la moria..

il regarda autour en disant

Ou est Thranduil encore?..

P'tit Nouveau Nombre de messages : 71 Date d'inscription : 18/07/2007

Thranduil apres avoir tourné des heures et des heures en rond dans sa forteresse, finit par recevoir une lettre venant de Groin, il fit venir lui aussi 10 archers puis se dirigea rapidement vers la Moria, ça lui ferait quelque chose a faire.. il se rendit sur les lieux, les Elfes avaient tous la tête recouverte puis Thranduil leur dit

Nous voila, nous avons un plan en particulier? ou on attrappe se qu'on veut et nous repartons?..

les Elfes avaient deja leurs arcs et la fleche a l'arc de prêtes, Thranduil regarda dans la porte pour voir si un Gobelin s'y trouvait puis il reprit la route a l'intérieur, utilisant en contournant les terrains les plus infestés de Gobelins

Passez inaperçut, et ne cherchez pas la bataille maitre nain, nos chances de survie à une attaque de miliers de Gobelins est tres mince

il continua sa route en s'engouffrant dans les tunels tirant une fleche sur chacun des gobelins qui osait etre sur leur passage pendant qu'ils traversaient la moria

Au fait c'est pour quel raison que nous sommes ici?

P'tit Nouveau Nombre de messages : 108 Date d'inscription : 14/08/2007

(eu... j'attendait quelqu'un pour entrer dans la moria mais vu que sa fais longtemps je voudrais venir avec vous)

Soudain un bruit semblant à un bruissement vint déranger la discussion 9 elfes d'ont un elfe noir et 8 de lothlorien et de Nevrast surgirent de nulle part...

-Bonjour au roi Tranduil (fait une petit révérence) je ne suis pas sur que vous vous souvenez de moi... mais bon nous nous sommes rencontrés il a très longtemps... je crois que vous aller chercher du Mitril... peut-être que 9 elfes de plus ne sont pas de trop.... je pourrais utiliser mes pouvoirs si nous nous faisons attaquer....

Il fit une courte pause et regarda les nains contents de voir que les elfes et les nains se tenaient quelque fois en compagnie.

- je ne cherche pas à me faire d'armure ou quoi que se sois je suis juste un peu gourmand de l'aventure....

P'tit Nouveau Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 01/03/2008

Molaelos, le capitaine de Myne'Ass attendit dans le couloir. Prostré dans un coin sombre, il patientait. Ses muscles commençaient à lui faire mal. De même que son nez commençait à le gratter. Mais son Maitre avait exigé qu'il accueille les nouveaux venus. Des elfes et des nains. Mais qu'est-ce qu'ils étaient bêtes. Ils avaient crus pouvoir entrer dans la Moria sans se faire voir, sans se faire sentir, ni se faire entendre. Le Maitre, comme tous les gobelins, avaient entendue les meuglements qui servaient de voix à ces intrus. Ils avaient tous sentis la nourriture qui était resté collées depuis de longues semaines aux barbes des nains.

Mais, sans que Molealos ne sache pourquoi, Myne'Ass avait décidé de parler aux dirigeants de cette troupe de guignols. Il voulait ... comment avait-il dit ? "Faire de la 'plomatie"

Une phrase capta l'attention de Molaelos. Une voix douce. Ce ne pouvait être qu'un elfe. Mais un elfe trop sûr de lui pour demander à ses compagnons de passer inaperçu alors que sa voix stridente résonnait dans les étroits couloirs.

Molaelos fit l'impossible pour se retenir d'aller chercher ses compatriotes pour rejeter ces intrus à coup de flèches.
Il attendit. L'un d'eux le verrait bientôt. Il attendit. Quand ils le verront, les discussions commenceront.

Edit Targon: tu sais que tu as aucun mot a dire sur leur façon d'écrire?

P'tit Nouveau Nombre de messages : 71 Date d'inscription : 18/07/2007

Thranduil n'attendit meme pas une reponce de Groin qu'il s'était deja dirrigé dans la Moria, dans les galeries Gobelins les Elfes se promenait dans un grand silence pour ne pas etre remarqué, du moin, le moin possible, juste cas temps qu'ils avaient été rattrapper par une deuxieme troupe d'Elfe, les Elfes de foret noir avait deja pointé leur arme sur la deuxieme troupe d'Elfe puis Thranduil regarda Drizzt parlé en temps que représentant des Elfes, a se qui semblait, ils cherchaient la meme chose que Thranduil et Groin, alors le Seigneur de foret noir, toujours sous sa capuche continua a marché apres avoir approuvé que Drizzt pouvait les suivres, il arriva dans un coulloir ou quelque Gobelin montait la garde, 3-4 semblerait a longue distance, en connaissant le comportement Gobelin, pendant qu'ils montaient la garde 5 fleches parti de l'ombre pour les achever, Thranduil s'assura qui en a pas d'autre en disant a Groin et Drizzt

Les Mines son enorme.. mais le Mithril est ou?..

P'tit Nouveau Nombre de messages : 108 Date d'inscription : 14/08/2007

- Selon ce que Kyra m'a dit après une longue lecture le Mithril se trouve près d'un grand gouffre il faudra marcher pendant au moins 2 jours... et déja les gobelins ne sont pas en activité .. du moins nous le pensons ils doivent dormir en ce moment mais si les nains qui ont l'habitude de faire du bruit - d'où vient l'expréssion un boucan de nains .. ils se réveilleront et ce sera.. la fin... je suppose qu'ils sont dans les 50 000 .... ou plus.... je propose de faire un campement et de faire des tours de gardes .. vous ne pouvez pas le savoir mais il fait déja nuit......

Il se tut et fit signe à tous et à toutes de se taire... tapis dans l'ombre un gobelin (Molaelos) Il dandit son arc et lacha sa flèche qui partit se planter dans le bras du gobelin il utilisa ses pouvoirs pour faire un globe noir. comme de l'ombre il le captura et l'attacha.

- maintenant nous pourrons savoir où passer sans se faire voir si il veut bien coopérer...... euh.. seigneur nain.. est que vous parlez Gobelin ?

[EDIT admin : laisse le temps au Gobelin de réagir sinon le RP est injuste]

(C'est deux par deux je crois les missions dans la Moria mais la, sa devrait aller.)

Alors que la plupart d'entre eux dormait(si c'est le cas)Eöl continuait d'avancer dans l'obscurité. Il était parti, en laissant une note à Legolas comme quoi il ne tarderait pas à revenir pour son mariage si il avait besoin de lui. Les bois de Nan Elmoth étaient constament sombres, c'est la raison pour laquelle le seigneur n'avait aucun mal à avancer dans la pénombre de la Moria. Il progressait lentement en prenant bien soin de ne rien toucher qui puisse alerter un quelconque ennemi de sa présence. C'est à ce moment qu'il vit une petite lueur, comme celle d'un feu au loin. Allumer un feu pouvait être vraiment dangereu, surtout pour ceux qui ne connaissaient pas l'endroit. Ils ne pouvaient pas savoir si la pièce était plus large que prévu et si des gobelins ne se cachaient pas dans les environs, attendant justement de voir des ennemis pour se cacher et trouver le bon moment pour les tuer. Seulement, crier comme un perdu pour les avertir de un, ne lui ressemblait pas et de deux, causerait probablement encor plus de tors.

*Ils ne doivent pas être si près que ça les gobelins*

Il finit tout près du feu, juste derrière la personne qui montait la garde tandis que les autres dormaient. Si il ne l'entendait pas, il ne servait donc logiquement à rien qu'il soit réveiller. Un ennemi pouvait facilement, bon peut-être pas les orques, mais pouvait s'en venir vers eux avec autant de douceur dans ses mouvements et il ne l'entendrait pas. Tranquilement, il glissa sa main sur la bouche de celui en charge du premier tour de garde pour l'empêcher d'eprimer sa surprise. Lorsqu'il se calma, Eöl se montra devant lui.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 108 Date d'inscription : 14/08/2007

(voir histoire...)

-PAPA! ... tu ma suivi.... je t'avais pourtant dis que je voulait vivre ma vie seul... mais bon quesque tu est venu faire ici... je ne veux pas être to ndirecteur de contience mais tu oublei que tu est roi.. si tu mort sous les flèches des gobelins ses le royaumes des drows qui s'éffond comme un chateau de carte....

De nouveau une luheur v'en se coller au mur.. des gobelins... surment pas... s'était la petit patrouilles de nains qui était parti en éclaireur.

(dsl aucune inspirtaion...)

Ancalìmë quitta Gondolin après la minuit, la veille du mitan de l'année. Elle envoyait ses troupes au sud, ayant l'ordre de voyager le plus lentement possible. Un mal entamait le Gondor, elle le ressentait?. Mais ce qu'il était et sa nature, elle ne le savait pas. Seulement une ombre lui voilait le coeur, et une profonde apréhension. Elle ne se rendrait pas au pays des Gondoriens directement, mais elle quitta au crépuscule de la première journée ses troupes, les laissant à la garde du héraut Elentaril. Elle alla se ravitailler en Lorien, saluant en même temps Haldir de la frontière. Elle remonta vers la vallée des Rigoles Sombres, laissant défiler les roches nues. Elle laissa à cet instant son cheval, le sommant de passer par Rubicorne et de la rejoindre par la porte ouest. Elle continua à pied. Elle rentra a dans les mines. Elle aperçut un feu.
Les raisons qui l'avait amenée ici étaient multiples. Il y avait de cela plusieurs asta (mois), son épée et sa lance faite d'un ancien mithril, arme forgée par Daïn Ier lui avaient été subtilisées. Elle n'avait pas prit cela au sérieux, mais elle désirait recouvrer cette éclat de beauté. Elle aperçut donc le campement et s'en approcha. Seul son éclat rayonait à côté du feu, mais il ne projetait pas de lumière.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 132 Date d'inscription : 28/01/2007

Groin qui était sur une roche a refaire sa hache, question qu'elle soit bien éguisé pour les futur combats qui les attendait dans la moria regarda Eol, hum.. que fesait-il ici lui?.. et Drizzt? semblerait que Thranduil ne porte pas vraiment attention a qui venait, temps pis, Groin resta tranquil en regarda les flames du feu de camps qu'ils s'étaient faite, en gardant une certaine concentration au cas ou quelqu'un se pointerait a l'improviste, mais il n'entendit pas la reine de Gondolin arrivé, il la regarda par contre, mais ne la voyait pas dans le noir, Groin retourna son regard sur les Elfes en général en disant

Ma fois, je serrais toujours le seul nain avec mes amis qui son avec moi pour se genre de situation

Il prit une gorgé d'eau de ça gourde en disant

Je vais prendredu repos, vous m'avertiré si on a un probleme

il se coucha en armure entre temps, la hache en main

(Drizzt, ton histoire ne spécifie pas que tu es mon fils et je vais faire ce que je peux avec mes pouvoirs mais je connais pas l'étandue de ceux d'Eöl)

Eöl exécuta un mouvement de main qui obligea l'autre elfe noire à se taire.

-Je ne t'ai pas suivis, je ne vois même pas pourquoi je le ferrai. Tu ne crois certainement pas au coincidences toi à ce que je vois.

Il chuchotait lorsqu'il parlait. Drizzt n'avait usé d'aucune discretion lorsqu'il avait vu Eöl. Peut-être avait-il même alerté l'ennemi.

-La prochaine fois que tu voudra me parler, tu va chuchoter de un et de deux, tu ne porteras pas d'accusations contre moi comme tu viens de le faire si tu ne tiens pas à ce que je me fache pour vrai cette fois-ci. Tu devrais savoir que je ne suis pas beau à voir. Si je suis ici, c,est parce que je suis invité au mariage de Legolas, enfin c'est ce que je suis porté à croire et qu'il manque beaucoup de déffense ce prince. Moi, j'ai mes pouvoirs pour me deffendre et cela me suffit amplement mais lui, si j'avais pas décidé d'être gentil avec lui, il serait mort à l'heure qu'il est.

Il remarqua Thranduil qui était également présent sur le site mais celui-ci dormait.

-Il devrait pas le prendre mal normalement, c'est pas sa faute si son fils n'a pas une bonne armure...

Ce fut le silence complet pendant un instant jusqu'à ce que Eöl remarque la présence d'une autre personne sur les lieux. Un pas léger, certainement celui d'une elfe. Il se retourna lorsque la reine fut assez proche et lui mit son poignard à la gorge:

-Tu fais quoi ici?

Elle n'avait pas de cheval, une chance d'ailleurs, ni d'homme qui la suivait.

-Une reine se balade seule dans les mines de la Moria...

Un chuchotait toujours. Malgré le fait qu'elle était épouse de Noldor, Eöl retira son arme de sa gorge.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 108 Date d'inscription : 14/08/2007

-Moi je vais dormir...

Il parti donc dans sa tente.Dans sa petit tente il équissait ses deux long sabres. encor couvert du sang des uruk d efondocmbre. l'odeur ne pouvait être nelever se qui l'énervait après une bataille.Mais il réfléchit d enouveaux.... la reine de gondolin ? quesqu'elle fais ici... ... un reine qui à le gout d el'aventure.. plutot rare.

Ancalìmë s'approchait du campement. Plusieurs personnes y étaient. Plusieurs elfes et quelques nains; Mais pire que tout. Des elfes à la peau noire. Des elfes noirs. Deux en fait. Et l'un d'eux, elle le reconnu. Vaguement peut-être. Mais en se rapprochant, il n'eut plus manière à douter. Le roi elfe lui mit un poignard sous le cou. Puis il le retira, demandant sans grande douceur ce qu'elle faisait là. Elle répondit d'une voix froide.

- Voilà qui est mieux. Ce que je "fais" ici, je ne crois pas que vous avez à le savoir. Et si je suis seule, il y a bien une raison...

Elle jeta un regard rapide à l'autre elfe noir qui s'endormait. Elle ressentit une certaine excitation émanant d'Eöl, comme si il se réjouissait du fait qu'elle soit sans garde, et sans monture. Mais cependant elle ne dit rien. La Moria... Une des merveilles du monde septentrional pour les nains. Non, La merveille. Mais pour les elfes, ce n'était qu'un lieu de terreur et de fourberie Elle ne toucha pas mot, et regarda encore plus profondément Eöl puis murmura pour elle:

- Nan Emloth... Vous en êtes le seigneur à ce que je crois. Sachez user d'un peu plus de respect, lorsque vous ne savez pas à qui vous parlez, car vous ne le savez surement pas.

Elle déposa son regard sur le nain qui affutait sa hache. Le roi Thranduil dormait. Le feu crépitait doucement, mais elle ne conseilla pas de l'éteindre. Justement, il était sage de le garder allumer. Se faire égorger dans son sommeil était d'autant plus probable, avec les créatures qui rôdaient seules, et même si tous étaient éveillés dans le noir, on ne verrait rien. L'obscurité enveloppait tout ce qu'il y avait autour d'eux. Des crânes gisaient sur le sol, sur des tas d'os brisés. La pierre froide, autrefois sculptée et brillante inspirait la terreur. Des gribouillis d'orques, qui souillaient les belles oeuvres de Durïn la répugnait. Une odeur de renfermé, de mort et d'humidité demeuraient dans la moiteur de l'air. Aucun bruit ne se faisait entendre, et même des chuchotements s'entendaient à des miles à la ronde. Une lieue devait les séparer d'une grande porte, menant à une autre salle qui menait à une autre. Ensuite, des galeries, des puits, des salles de piliers, des ponts et des escaliers. Voilà ce qui les attendaient. Outre les gobelins qui tiraient depuis les hautes galeries, on disait qu'une terreur sans nom rôdaient dans les profondeurs de Khazad Dum. Profondes sont les eaux du Keled Zaram qui les attendaient à la sortie. Des dizaines de milliers de gobelins avaient élu domicile dans les trous du plafond du sol, et des murs.
Un frisson lui parcouru le dos. Les mines de mithril. Voilà le but. Pour elle, il n'était pas pareil. Elle ne savait où se trouvait le "voleur", mais elle devrait faire face elle aux gobelins. Une flamme joyeuse s'enflamma dans son cœur à cette pensée. Sa grande vivacité la reprenait, comme si souvent elle le faisait ces derniers temps.
Elle se rappelait des balrogs, s'acharnant contre la porte de Gondolin. Elle se rappela des immondes créatures sur les champs de bataille.
Ses yeux gris s'illuminèrent dans le noir. Elle pouvait de nouveau entendre dans ce silence inquiétant le cors de Valinor, chantant dans le matin. Le bruit des vagues sur les rochers. La mer frappant contre la proue des navires.
Quelle n'avait pas été la beauté des mines de la Moria lorsqu'elle y entra dans les jours anciens, venant saluer le roi Durïn Ier.
L'or coulait des murs, les joyaux s'entassaient dans de grands coffres. Les murs étaient sculptés. Les nains creusaient profondément. Trop profondément.
Telle fut sa première vision des mines de la Moria. Tout cela était passé dans son esprit en une fraction de seconde. A cet instant, Eöl allait surement répondre.

-Bah, tu crois que c'est à cause que c'est toi? Ne me fais pas rire. Non sa n'a rien à voir. Tu ne me fais pas peur et je t'aurais tué, oh oui je l'aurais fait, si il n'y avait pas eu Thranduil et Groin dans les parages. Je sais qui tu es car je te connais, je connais ton mari et tes filles aussi. Si toi tu me connaissait le moindrement, tu saurais que j'éprouve une haine farouche envers vous, fichus Noldor et oui, je t'inclue la dedans car tu es devenu leur reine et que je n'aurais jamais eu un quelconque regret de mettre fin à ta misérable existence. La prochaine fois, tourne toi la langue avant de penser me faire une quelconque leçon de morale. J'ai sauvé la fille de Cirdan, le fils de Thranduil et Laesonif, alors toi, montre un peu plus de respect. Tu n'aurais jamais pu en faire autant. Oui je suis responsable de leur première blessure, enfin Legolas, pas Laesonif mais sache que je peux tout de même bénéficier de leur aide en cas de besoin. Myria par contre je n'étais responsable en rien de son état.

Il cracha sur le sol et s'avanca plus loin dans les cavernes. Finalement, il avait finit par se retrouver. Depuis les mois qu'il avait passé à Doriath, il n'avait pas démontré un quelconque signe d'aggresivité envers qui que ce soit et sa faisait du bien un peu de provocation une fois de temps en temps comme il venait de le faire. Il s'avanca dans l'une des cavités sans faire appel à une torche pour se diriger ou un quelconque faisau lumineu car sa vision lui permettait d'avancer dans les cavernes. Il n'attendrait pas les autres et partirait s'assurer lui-même que la voie était libre. Avant de disparaitre, il lui lança, toujours à voix basse:

-Avant de demander le respect à une personne qui, selon tes critères, ne te connais pas, applique donc cette leçon sur toi-même, tu en aurais rudement besoin.

Puis il disparu.

(Dans les quêtes, un administrateur doit lancer les offensives de la part des gobelins donc je fais mon travail.)

Les minutes passèrent, puis une heure sans que le mage noire ne revienne. Ce fut le silence dans la caverne de la Moria. Que le feu en braise et le bruit du petit bois craquant résonait faiblement dans se silence trop calme lorsque d'autres bruits se firent entendre. D'abbord peu nombreu, il commenca à un en avoir de plus en plus qui faisaient le tour des gens autour du petit feu. L'obscurité cachait les gobelins qui observaient maintenant et encerclaient le groupe de gens venus chercher ce que les gobelins avaient finis par s'approprier: le mithril des cavernes. Dans leur langue, celui qui aurait pu sembler être leur chef chuchota aux autres gobelins:

-Refermez le cercle sur eux...

Seul Eöl et Thranduil avaient su garder leur calme en ces lieux: l'un parce qu'il dormait sans ronfler et l'autre parce qu'il avait prit le bon soin de baisser sa voix lorsqu'il s'exprimaient. Les gobelins n'étaient assurément pas les êtres avec les meilleures oreiles, puisque c'était les elfes mais l'écho de leur chicane avait résoné dans les cavernes environantes dans la Moria.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 108 Date d'inscription : 14/08/2007

Drizzt se réveilal avec stupeur et se leva après avori entendit les gobelisn aprocher son oreille avait entendu leur pas.Il parti voir les maitres nain qui avait pas du entendre.il chuchota

-Groin au arme... les gobelins son la... peut être une vingtaine peut être 1000 peut être 100 000 ont ne sais pas...

Il mit la main sur ses deux sabres et rapidement tosu le monde était en formation (cercle dos à dos) Les elfs bandait leur arcs les nains fermait leru grande main sur leur hache. et Drizzt préparait à envoyer un sort d'ombre sur ses ennemi pour les aveuglers la ou il avait entendu la voix du chef.

-garder votre calme... se ne sont que des gobelins stupide mais nombreux.. garder votre calme...

Ancalìmë se retint se rire cristalinnement. Pour toute réponse, il y eut un sourire et un murmure:

- Noldo? Je ne crois pas. Je vous pardonne car je n'ait pas eut affaire beaucou ici. Ce que je fais ici, et qui je suis en réalité n'est pas une bonne chose à entendre pour tout coeur n'étant pas prompt à pareille révélation. Pas encore. Sans parler aucunement de vous. Maintenant, je ne crois pas que chuchoter en ce lieu soit d'un grand secours. Même un souffle se faire entendre à des lieux. Le dégout que vous portez à la race Noldo... Est.. Je le répète vous ne savez pas à qui vous parlez, et -elle sourit-
Me tuer? J'en serais fort amusée. Même pour vous, le choc vous briserait. Peut-être un jour vous le comprendriez.
Tiens. Nous ne sommes plus seuls. Ils arrivent!

Les elfes présent s'étaient levés, et même si les nains n'entendaient pareils sons, se levèrent brusquement. Quelques fractions de secondes plus tard, des ricanements et des cris aigus résonnèrent dans les mines. Des clapotements de pas bourrus s'entendirent autour d'eux. Des torches s'allumèrent, révelant des faces hideuses, puis ces lumières s'éteignaient.
Les nains affichaient des mines ébranlés. Le fléau des Durïn Les fléaux des peuples libres. Soudain, elle fut encline à se battre, et à être terriblement prompte à la colère. Une excitation lui parcourut le dos, et elle sortit d'un geste brusque son épée de son fourreau. La feu, qui s'éteignait peu à peu dans l'obscurité reprit de la vigueur et ses flammes montèrent jusqu'à six pieds de haut. Elle empoigna fortement sa lance, et relacha ses cheveux. Elle était vêtue d'une armure en argent, brillante dans le noir. Ses cheveux d'un blond pur et ses yeux (désormais bleux) se réfletaient dans les flammes. Elle parla alors, plus pour elle que pour quelqu'un d'autre. Bien qu'elle fut en ce moment euphorique et qu'ellle n'éprouvait aucune crainte.

- Aucun calme n'est à garder. Frappez fort; N'ayez pas pitié d'eux, il n'en auront aucune... Ils ne sont pas stupides. Ils sont même plus rusés que certains d'entre nous. N'ayez crainte.

Cela s'adressait plutôt aux nains, qui empoignant leur haches d'un air farouche avaient tout de même le teint livide. Elle regarda autour d'elle, tendit que le cercle se refermait. Elle jeta alors un regard plein de haine à un orque qui tira une flèche dans les flammes, peut-être pour se moquer de leur point de confiance. Des flèches jaillirent vers eux. Dans un bond, elle évita un rafale puis empoigna fortement son épée. L'éclat des flammes se reflétait en elle, d'une lumière étrangement.. argentée.
La dissuasion et l'intimidation étaient les meilleures armes qu'ils possédaient. Soudain, les gobelins s'élancèrent vers eux, trépignant de hargne. Elle en envoya un sur le sol, tandis qu'un tête retombait lourdement quelques mètres plus loin. Son épée teintée de noir luisait toujours. Elle envoya un coup de pommeau dans un nez de gobelin, puis tranperça un de ses ennemis. Elle reçut une grosse éraflure à l'épaule, tandis qu'un orque lui sautait dessus. Des cris suraigus, surement passant dans l'ultrason entouraient le combat.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 108 Date d'inscription : 14/08/2007

La batail était commencer déja Ancalimë combatait. Alors Drizzt fit de même.Il fonssa vers les gobelins et lanssa son sort aveuglant au mouin 5 d'entre eu qui courait partout. De ses deux sabres il entailla le chef pour lui trancher la tête ensuite.D'immece cri se fesait entendre dans les profondeur. les gobelins bien nombreux mkais leur équipement était déja en mauvaise état pas difficil d'en tuer un.Il reculla d'un bon pour éviter une lance qui érrafla ses cotes. Il hurla à Kyra de lansser quelque choses elle lanssa un (espèce) de fue d'artifice dasn les airs les gobelisn stupéfait recullait pendant un moment la lumière les énervait il charga de nouveau mais cette fosi si 2 flèches sortir des téenèbres une chance pour Drizzt il voyait dans le noir et avait vue ses archers prépare rleur tire il se rua sur un gobelins qui fonssait vers les nains et il lui enfonssa son épée dans les entrailles. un jet de sang noir tomba sur les nains.Il tourna sur lui même pour frappé de nouveau sur les cote d'un gobelins. le combat fesait rage les flèches des elfs fesait mouches sur les gobelins.Il fendit le crane d'un gobelins et il continua dans les ténèbres de la moria retenttir les coup d,épée de alnce et de hache.Dans les rang gobelins un troll des cavernes sorti armer d,un lourd gourdin. il aprochait d'Ancalimë.

Il ranga ses sabres et bandit son arc la flèche parti mais la flèches qu iavait déja servit s'écrassa comem un curdent sur la peau de pierre du troll.Il en prit une neuve et banda de nouveau et lacha la corde elel parti dans l'un de ses yeux celu isi s'écroula au sol avant de se relever en hurlant d erage.Il se retourna et un gobelins lui planta son sabre courbe dans l'épaule.

-AH! merde...

Il recula et son sang tomba au sol.

Déjà, le combat engagé entre ces créatures des profondeurs faisait rage. Combien leur ennemis étaient-ils? Une lueur rouge faisait vibrer ses yeux. Elle fit un bond en arrière, roula sur le côté s'éraflant le visage et envoya un de ses couteaux de jet dans la gorge d'un orque. Elle se releva, donnant un coup de pied à un gobelin qui courait, le faisant tomber par terre. le feu était de plus en plus haut, faisant reculer les gobelins aveugles à tout luminosité. Cet espoir de salut allait-il les sauver?
Elle savait que la bataille ne pouvait être gagnée et en était consciente. Elle fit tournoyer sa lance, esquivant un coup de cimeterre denté. Elle brisa un bouclier, sauta sur le côté, esquivant une flèche. Elle reçut une flèche dans l'épaule, faisant une entaille profond et restant plantée. Elle sentit un liquide chaud couler sur son bras.
Ne perdant pas de vigueur, elle fondit sur un gobelin,, et après une lutte de plusieurs minutes,parvint à l'achever. A chaque fois qu'un ennemi mourait, deux réapparaissaient. Des étincelles jaillissaient de toutes part. Elle ressentit un terrible tremblement, émanant du sol. elle essuya sa lèvre dégoulinante de sang rouge, puis tourna sa tête. Un grognement terrible se fit entendre, comme le fracas du destin. Il s'en pris à elle.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 108 Date d'inscription : 14/08/2007

Le troll était sur Ancalimë il allait lui brisser la nuque ou tosu le corps de son gourdin Drizzt savait quelle avait était prit au dépourvu et si il ne fesait rien elle allait mourir il planta l'un de ses sabre dans la peau noir d'un orque en la retirant il prit la lance du monstre et la lanca d'un coup sec. La lance prit son envole comme si elel conaissait sa sible elle se planta dans les cotes du troll qui tomba raid epar terre en hurlant de rage. Drizzt bondit sur la bête et lui planta ses deux sabres dans le cou.

-hum.. j'en voix plus de 30 dans le noir la bas...

La batail ne fiirait pas sans blessur Malcor ressu une flèches en pleine poitrine.Et Kyra tentait de le soigner mais il mouru sous ses larmes.Drizzt malgrer lui s'épuisait. Il frappait de toute ses forces et les gobelins bien nombreux venait apr vague de dix à quize.Les flèches elfqieu se plantait dans les ennemi et les hache des nains fendait les cranes des orcs.Drizzt du arrêter le combat pour soigner son hémoragi qui s ecalma il retomba dans la fouler de gobelins qui hurlait comme des fou.

Ancalìmë releva son sabre une nouvelle fois, et l'abaissa sur un gobelin; Elle était haletante, en sueur et incapable de faire un mouvement supplémentaire; Soudain, voyant que sa vie était plus que jamais menacée, elle bondit en avant et roula sur le sol, tandis qu'un bruit comparable à un tremblement de terre retentit. Un hurlement de douleur s'ensuivit, puis des bruits d'agonie. L'escarmouche était à demi repoussée. Des milliers d'autres viendraient, alertés par le vacarme. Là était leur seul instant de salut. Elle ramassa sa lance dans le sol, et la planta dans le ventre d'un ennemi. Elle hurla alors:

- Fuyez! Fuyez fous que vous êtes! Les épées ne sont d'aucune utilité ici!

Des tambours roulaient dans les profondeurs. Des gobelins tiraient, perchés dans des galeries aériennes. Elle poussa de son genou un gobelin qui tomba sur le sol, et épuisée, fit un bond en arrière. Le son des tambours s'emplifia. La mort les guettaient. Elle répeta ses mots, puis regarda autour d'elle. Dans une folle rage, brulant le peu de force qui lui restait, elle décapita un orque. Des centaines de gobelins surgissaient de derrière eux, les poussant vers l'intérieur des mines. Elle regarda en arrière, tandis que les tambours se faisaient proches maintenant. Y pretant une oreille attentive, elle put reconnaitre cinq paires de pas lourds, et des dizaines d'autres plus clapotant. La première flèche qui lui avait traversé l'épaule venait d'être rejointe par une seconde, qui vint se planter dans la partie supérieure de son bras. Une flèche nauséabonde, noire et surement empoisonnée. Elle regardait autour d'elle, ne bougeant plus. Les tambours venaient d'être stoppés, les gobelins reculaient. On hurlait des "ghâsh!" excités. Elle eut un mouvement de tête dépité vers le bas, puis releva son front. Elle rangea son épée dans on fourreau. Les cris aigus des gobelins s'entendaient, ricanant. Soudain, des flammes tombèrent du plafond; Non, pas des flammes. Des flèches enflammés! Elle recula doucement, évitant ainsi une rafale. Un soulagement! Mais un autre danger se présentait. Des flèches tombaient par dizaines. Elle n'aurait pas la force de courir jusqu'aux mines profondes, avec des créatures affolées aux trousses. Soudain, elle hurla à nouveau, cette fois dans sa langue:

- Drego! Drego! I naur! I naur uin amarthan! Drego pân!

Elle aurait pu paraitre méconaissable, mais même sous les blessures, elle était toujours d'une gracieuse beauté. Une éraflure à la jambe et au visage lui avait valu de nombreuses coulées de sang; Son épaule était transpercée de deux flèches. Ses mains étaient parsemées de coupure, ainsi que son visage et son avant-bras droit. Sa main était brulée par une flèche trop rapide. Soudain, la colère qu'elle avait gardée maintenue, pour éviter de blesser ses amis s'empara d'elle. Elle attrapa un morceau de bois enflammée, tandis que la flamme décupla par dix fois. Elle l'envoya vers la porte, où des gobelins s'approchait. les vermines, détestant par dessus tout la lumière et le feu, reculèrent malgré les insultes de leurs capitaines. Aucune mort, mais simplement du retard pour eux. Elle respira profondément, puis se mit à marcher vers la porte opposée. Tandis que les gobelins domptaient leur peur, une vague déferla dans la salle.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 108 Date d'inscription : 14/08/2007

-fermer la porte bon sens!

La porte fut fermer et baricader. La porte se fesait détruire il se placère en position les nains et Drizzt à l'avant avec Ancalië et Glorfindle et dérrière tous les elfs capable de tenir un arcs.Une lance perssa la porte et passa à un cheveux de se planter dans le ventre de Drizzt la porte tomba sur le sol et des dizaine d egobelins surgir les flèches des elfs tombère en rafale en tuant plusieur et les nains avec bravours comabtir.

-Ancalimë prend sa ses un anti-poison!

Il lanssa une fiole remplie d,un liquide gris.Ensuite il donna un puissant coup coupa la gorge de trois gobelins.De nouveau le bruit d'un hurlement de troll fut entendu mais de louin.Il fendit le crane d,un orc et le poussa d,un coup de pied.Les ennemis devenait trop nombreux ne se fatiguait pas mais les conpagnons si... Drizzt se rapella alors son premier combat contre son frère al ou il aurait pu le tuer.Il charga d enouveau donnant de scoup poussant les gobelins il hurlait des jurons au gobelins tous en les entaillant.La peur prit les gobelins qui était au premier rangs mais leur capitaine les fesait avancer.

-si quelqu'un à une idée qui la donne vite!

Il sneti la plus grand edouleur au dos un gobelins venait d elui planter sa hache dans le dos il tomba à jenou et lui pourfendit les entrailles. il tomba au sol a demi contien il frappait les jambes des gobelins il ne pouvais se lever son sang se répendait sur le sol crasseux de la moria.

-j'aurait du rester à Nna Elmoth.. amsi ques que je dit!

Il prit son arc et lache 2 flèches dans le cranes d'un gobelisn il rampa dérrière un moment il prit un morceaux de tissus venant de s atunique pour calmer l'hémoragi sur la tombe de Balin il lachait des flèches une à une touses fesant mouche il lacha de nouveau un sort aveuglant leur capitaine et les 4 première lignes qui hurlait en tombant au sol.l
'ombre les carbonisait il hurlait il ne fesait que sa hurler et tomber au sol.

-je peu faire un dome pendant 5 minute s anous donera du temps pour nous soigner.Ënos Tsrath

Les orcs tombère de plein fouet. comme si il avait rentrer dans un murs la porte était protéger apr un dome invisible i lfrappait dessus masi rien à faire amsi dommage se n'était que de courte durer.

-ramasser les morts et soigner les blesser prener toute les armes que vous trouverer.

(Drizzt, va falloire que tu te calmes sur tes pouvoirs toi.)

Eöl avait marché un bon moment même sans sa torche et avait atteint les mines de Mithril. Sans plus atteindre, il commenca sa tache de récolter le précieu métal. Il avait beau être un elfe, même noire, les bruits de la bataille plusieurs cavernes plus loin de parvenaient pas à atteindre ses oreilles. Un mauvait sort? Probablement pas. Eöl s'était tout de même pas mal éloigné. Il savait que les grandes voix et le feu de camp allait probablement allerter les gobelins et si c'était le cas, ca n'allait que leur apprendre à se comporter de ce genre de manière. Thranduil et Groin avaient peut-être une bonne raison pour s'être fait un feu mais Drizzt lui aurait du être capable de faire sans.

*Pauvres fous...*

Ce fu la seule pensée qu'il pu avoir alors qu'il terminait son ouvrage. Il en avait assez pour faire ce qu'il comptait faire avec. Ce fut à ce moment que les bruits commencaient à s'intensifier autour de lui. Il était seul dans ses mines et d'autres gobelins arriveraient sous peu selon ce que son ouie pouvait lui permettre d'entendre. Il se concentra et une fois qu'il eut tout ce dont il avait besoin, se ferma sur un bruit autre que celui qu'il voudrait entendre. Il pu ainsi percevoir la bataille qui faisait rage dans les galeries qu'il venait de quitter. Mais qu'attendaient-ils? Ils ne pouvaient certainement pas rester dans les environs. Jamais en tout cas, avec ce nombre d'ennemis à leur trousses, ils ne parviendraient à aller chercher leur Mithril. Eöl pouvait le prendre et aller les aider par après, mais quel gachis. Puis pour Ancalimë "madame je suis meilleure que tout le monde"? Certainement pas. Seul Legolas aurait pu le convaincre et à la limite Laesonif mais pas Thranduil sur ce coup-ci. Il prit le nécésaire pour Thranduil, Groin et Drizzt et en prit un peu pour Ancalimë, étrangement juste assez pour ce qu'elle comptait en faire puis rangea tout dans quelque chose qui l'empecherait de couler. Ensuite, il se mit finalement en route. Il prit quelques pierres qu'il disposa dans deux sceau de bois et les posa sur une pole de bois. Lorsqu'il arriva sur le lieu de la bataille, plusieurs torches gobelines éclairait suffisament les lieux pour permettre à Eöl de voir plus clairement dans les mines. Il remarqua ainsi l'armée de Gobelins prête à tuer tout ces imprudents qui avaient eu cette "brillante idée" de s'infiltrer dans la Moria. Soudain, une idée lui vint à l'esprit. La seule chose qui pouvait possiblement faire fuire une armée comme celle-ci, c'était le balrog. Evidemment, jamais il ne serait aller provoquer le monstre pour le faire venir jusqu'ici. Il était fou, sans doute, mais pas à ce point là. L'ouverture n'était pas assez grande par contre, pas ou il se trouvait. Il s'enfonca à nouveau dans les cavernes pour trouver celle qui se trouvait derrière un mur de la précédente.

*Que le spectacle commence...*

De ses pouvoirs, il parvint à créer un son semblable à celui que le Balrog produirait si il était dans les alntours. Il alluma ensuite un feu à l'aide de ses pouvoirs qu'il tenta de faire intensifier. Sans qu'il ne puisse le voir, les gobelins commencaient déjà à avoir peur. Seulement, il lui faudrait quelque chose d'autre de plus crédible que ça pour leur faire croire que le monstre était bel et bien présent en ces lieux, mais quoi? Si au moin, Legolas était là. Eöl aurait su à peu près quoi faire puisque Legolas avait déjà vu la créature lorsqu'il avait traversé la Moria et Eöl par contre non. Puis, une autre idée lui vint à l'esprit: Les cailloux! Mais pourquoi il les avait ramassés au départ, il ne le savait pas mais là, il pouvait sans doute leur faire croire, avec l'écho des cavernes et un peu de magie, que le Balrog avancait. Le stratagème fonctionnait assez bien, même mieux que ce qu'il aurait pu penser. Dans l'ouverture, on voyait clairement une lumière rougeatre qui semblait avancer de plus en plus. Il y avait le son, l'écho, tout était parfait pour faire tomber les gobelins dans ce stratagème. Ils finirent par s'enfuir mais Eöl resta caché pour produire le son.

Ancalìmë regarda la porte voler en éclat. Mais il se passa une chose, à laquelle personne ne s'attendait. Un bruit gigantesque, monstrueux et terrible retentit. Des pierres roulaient sur le sol. Des gobelins, pris au dépourvu s'enfuirent, laissant leurs armes sur le sol. Craignant plus le courroux du balrog que celui de leur capitaines. Certains orques, rassemblant leur courages s'avancèrent vers la porte. Mais ils furent vite dissuadés, lorsque des flammes jaillirent de nul part. Sur le fait, la princesse d'Aman fut stupéfaite, et anxieuse. Le bruit des balrogs, frappant contre la porte de Gondolin la belle n'était pas une chose oubliable. Les murs étaient tachés de sang noir, les cadavres s'empilaient. La compagnie profita du moment d'hésitation pour s'en aller. Mais les gobelins, dans des ricanements aigus et excités, empruntaient des galeries, ou passant par d'autres salles, les poursuivaient. Au bout de plusieurs dizaines de minutes de courses, elle s'arrêta, ne pouvant plus soutenir la douleur de ses blessures, et haletante, s'assit sur un rocher, la tête dans ses genoux. Les grands piliers de Cavenain s'étendaient au-dessus d'eux, tandis qu'un mince puit de lumière traversait la haute salle. Le calme semblait revenu, hormis les lointains roulement de tambours, étouffés dans le noir. Soudain, au-dessus d'elle, un gobelin sauta d'un pilier, pour s'accrocher à ses épaules et lui mordre la nuque. Hurlant de douleur et gesticulant, elle lui planta un coup de poignard dans la panse. Rejetant le cadavre sur le sol, elle se releva.

- Par la barbe d'Ulmo! Ils arrivent! Que la peste soit du coup roide des hommes! Mieux aurait valu qu'il aille au feu!

Sur ces paroles confuses pour certains, claires pour d'autres elle sorti son épée. Soupirant, elle regarda autour d'elle, pretant une oreille attentive vers le haut. Elle chuchota, plus pour elle même que pour les autres.

- Ils sont là, mais ils n'osent pas bouger. Mais... Où est Eöl?

Jetant un regard inquiet en arrière, elle marcha quelques pas. D'autres cris aigus retentirent, couvrant les tremblements du sol. Elle jeta un regard anxieux vers l'avant. Dans une expression horrifiée, elle prévint:

- Ils nous ont encerclés!

On entendit des fourmillement vers la porte vers laquelle ils allaient. Des dizaines de pas clapotant étaient étouffés dans le noir. es flèches sifflèrent, depuis le haut; Elle fit un bond pour e esquiver une, qui se planta dans un cadavre. Elle n'avait toujours pas pris le soin de retirer les deux flèches qui lui emcombraient l'épaule, ni d'user de la potion de Drizzt. Une lumière argentée brilla vers l'armée gobeline, puis elle rit, une rire clair et joyeux. Elle dit:

- Yé ! utúvienyes! Ai! *Il est ici! Reviens moi Elentari, reviens moi Sulimo! Reviens moi douce chaleur de l'été! A Lòrien en Aman, le soleil luira dans le ciel gris, et les arbres d'argent scintilleront sous les étoiles! Bonté d'Illùvatar! Aide-nous!

Un guerrier de forte carrure s'avança devant les rangs. Ce n'était pas des obelins squi s'avançaient. Ils avaient un visage d'homme, basané et farouche. Il avaient un corps trappu, et des membres épais. Ils portaient de lourdes masses d'armes, et des épées en acier brillant. L'un d'eux, plus grand et plus laid que les autres s'avança devant ses hommes, prenant une réelle expression de stupeur en voyant la compagnie La stupéfaction passa à la hargne, et la hargne à la peur. Ancalìmë envoya sa lance, qui fut esquivée, malheureusement par un bouclier. Elle empoigna fortement son épée. Dans un regard flamboyant, elle marcha de quelques pas.
La première raison de la peur de leurs ennemis, était due au fait que les bruits du balrog s'intensifiaient - tout du moins, c'était ce qu'ils pensaient -/ La seconde, était les visages haineux que jetaient les nains et les elfes, envers ceux qui pouvaient leur prendre la vie. Une troisième flèche, venant du haut, s'enfonça dans le haut de l'épaule d'Ancalìmë.
Elle gémit, mais ne prit pas compte de la douleur intense. Elle ressentit une nouvelle fois un liquide chaud couler sur son bras. Respirant profondément, elle trancha la tête d'un ennemi, puis le jeta au sol.
L'épée que portait le porte étendard n'était autre que la sienne, dérobée il y avait longtemps - pour un homme -. Une lutte sans merci s'engagea entre les deux personnes.
Les épées s'entrechoquaient, les chutes et les blessures s'enchainaient. Elle repoussa d'un coup de coude l'homme, puis lui envoya un coup de lame derrière le genou. Il tomba en arrière, tandis qu'une lance devait lui tranpercer le coeur. Elle arracha la maléfique bannière de sa lance, puis rangea son épée avec laquelle elle combattit pour prendre la sienne, faite de mithril, forgée dans la forge de Turklas. Elle regarda les autres s'enfuir, laissant leurs morts où ils étaient. Ellle dit à ses compagnons qu'il fallait se dépêcher, avant que la porte ne soit brisée. La compagnie s'élança dans le noir, courrant pour sa survie.

* - Hourra! Je l'ai trouvé! Ah, hélas!

Je vais faire avancer, j'ai beaucoup d'affaires à régler dans le monde extérieur...

Ancalìmë courrait avec ses compagnons. Le froid les engourdissait. Ils avaient les gobelins furieux sur les talons, avides de sang et de douleur. Hurlant comme des ouargues - Ancalìmë les soupçonnaient d'en avoir - ils dévalaient des escaliers. Ils pénétrèrent dans un vaste endroit vide, où l'on voyait des gouffres profonds et de fins escaliers.
Tout se passa très vite... Les tambours roulaient maintenant sur leurs flancs. Toujours ruisselante de sang, elle courrait. Son épée s'abattit plusieurs fois sur des gobelins insolites, pris au dépourvus. Un feu rougeoyait dans les portes cachées, illuminant par petits éclats les lieux. La sortie était proche. Elle s'était rendue bien souvent en Moria, du temps que celle-ci était debout. Elle ne trouvait toujours pas Eöl. Elle les mena à une porte. Dans le noir, elle remarqua à tâtons que le mur supérieur s'était éboulé.

- Quelle malchance! J’eus voulu ne jamais être entrée ici. Mais quand l'épée est tirée, il faut l'abattre. Essayons plus bas!

De son ouïe fine - et les elfes présent auront pu le remarquer -, elle comprit que malgré le fait que les gobelins s'élançaient derrière eux comme des chiens derrière un lapin, leurs flancs étaient silencieux. Un peu trop. En temps normal, ils auraient été encerclés de toutes parts. Peut-être qu'ils étaient trop hargneux pur y penser? En tous les cas, leur seule chance de salut venait de se montrer effondrée. Bien qu'au fond d'elle même, elle éprouvait une répugnance pour l'elfe noir, elle ne pouvait s'empêcher de s'inquiéter.
Leur détresse ne fut qu’à son comble que lorsque surgit devant eux une compagnie entière de gobelins en armure, qu’ils ne parvinrent qu’à contourner en sautant par-dessus un gouffre, de justesse.
Bientôt, la chance leur sourit. La pente descendait, et par endroit on apercevait des puits de lumière. Le pont! Elle l’aperçût soudain, à la lueur du matin, sortant d’un puit qu’ils venaient de découvrir. Mais son sourire ne fut que temporaire, lorsque leur route bifurqua vers la droite, au sens contraire. Les tambours se faisaient plus lointains. Soudain, la compagnie stoppa, à bout de forces. Ils se trouvaient à présent dans une maison des morts. Des hautes figures étaient taillées dans le mur, et en dessous d’elles, des tombes de granit étaient posées sur un socle de la même matière – à en croire les dires des nains. Elle dit alors :

- Hautains sont les hauts-reliefs qui ornent la salle de Kâzar Boudùm, mais l’étaient encore plus hélas leurs « prisonniers »… Allons, ne soyez pas tristes maîtres nains. Souvenez-vous des forges de Daïn et des salles d’Erebor!

L’ascension continua. Par un merveilleux hasard, une porte qui avait été obstruée par des roches se retrouva libre, après l’effondrement de ces dernières. Sous les éclats de joies, ils constatèrent que le pont était proche. Plus qu’un escalier! Ainsi, sous les traits ardents des gobelins cachés dans les galeries, ils franchirent le pont de Khazad Dum. Sans aucunes traces d’Eöl, ils parvinrent à franchir la porte. Les gobelins n’osèrent aller plus loin, sous le zénith du soleil. Une chance qu’il ne soit pas nuit noire! Ils érigèrent un campement là, tandis qu’Ancalìmë récupéra son brave cheval. Elle parti alors vivement vers le sud, après avoir fat miles révérences et salutations à ses compagnons.

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