Hitskin.com

En voilà une visite à laquelle je ne m'attendait pas. Je pensait que Kalim était bien en colère contre moi mais je ne pensait pas qu'elle reviendrait si vite. Je savais par contre que ce n'était pas pour moi. Je la vit se diriger vers les tables de nourriture et prendre un pain. Il n'y avait pas grand commerces d'ouverts aujourd'hui à cause de notre cérémonie. Je me suis dit que c'était le bon moment pour mettre les points sur les i et les barres sur les t. Je n'avait pas vraiment apprécié cette drôle de manière qu'elle avait eu de me parler. Je n'allait certainement pas l'engueuler, faut pas charier mais je voulais des explications. Je me suis donc levé et j'ai contourné la mêlée pour me diriger vers le côté inverse du buffet alors que Kalim avait la tête tournée vers nos invités. Je me positionna juste derrière elle même si la table bloquait mon chemin, les bras croisés, en attendant qu'elle se retourne et qu'elle me voie. Lorsqu'elle finit par s'exécuter, je lui dit:

-Vous m'avez joué d'une drôle de manière tout à l'heure mademoiselle.

Rien dans ma voix ne trahissait une quelconque intention. J'avais le ton neutre comme j'avais souvent eu pour habitude d'utiliser pendant que j'étais dans la communauté. Je contourna la table puis vint la rejoindre.

-Je tiens à ce qu'on s'explique vous et moi au sujet de ma soudaine disparition de votre famille. Je ne peux pas être à plusieurs endroits à la fois. Je comprends que ca doit faire étrange mais j'ai tout un peuple dont je dois m'occuper. Je suis désolé de vous avoir mis de côté comme je l'ai fait. Mais vous devez au moin savoir une chose. Avec moi, c'est ma famille qui passe en priorité mais les nobles et les paysans ont la même valeur à mes yeux. L'un n'a pas plus de privilèges à mes côtés que l'autre.

Quand elle se retourna et vu le prince derrière elle, si elle aurait pu elle aurait disparu sous la table, même sous le sol sous la table aurait été une meilleur idée, elle se sentait devenir toute rouge. Il s'adressa à elle, il avait un ton si neutre qu'elle n'y voyait ni joie ni colère et ça la déstabilisait un peu. Elle resta toujours en silence même après qu'il lui est adresser la parole. Il contourna la table et vu lui parler en face, elle s'en sentit encore plus gêner. Elle se sentait maintenant coupable de la manière dont elle lui avait adresser la parole, mais elle n'était pas habituer de faire attention à ses paroles qu'elle soit blessante ou non.

- Je suis désoler prince Legolas, se n'était pas un reproche...Je me suis mal expliquer, je voulais seulement dire que la raison que notre entrainement à l'arc s'est finit est que vous aviez surement beaucoup de travail...et que... vous deviez protéger. Je suis désoler excusez moi...

Elle mit son regard au sol pour ne pas croiser le sien. Elle se sentait honteuse.

[Bon, j'abrège parce que je suis fatiguée ]

Ancalìmë quitta Gondolin, accompagnée de son fils et de sa fille, ainsi que d son mari Gil Galad. Ils étaient accompagnés d'un régiment de cent soldats de la garde royale. Cressida arborait un sourire joyeux, tandis que son petite frère portait fièrement ses beaux habits, tissés par endroits de fils d'or. La compagnie avançait à bon train dans le Beleriand. Bientôt, ils parviendraient à la Terre du Milieu. beaucoup des affaires avaient lieu là bas, dans le Sud. Le mal s'y était déplacé, après la chute de Morgoth. Après mains périples, les terres du Gondor s'ouvrirent à eux. Ils le traversèrent puis parvinrent au Belfalas. Il fallait emprunter un bateau pour l'atteindre. Ils parvinrent ainsi au port, tandis que les soldats étaient restés renforcer les défenses de la cité remplie des seigneurs de tous les Âges. Le groupe e dix pénétra dans la ville, blanche comme l'aurore. Elle tapota l'encolure de Ravageur après avoir mis pied à terre puis le laissa à la garde des palefreniers elfes d'Edhellond.
Elle était vêtu de bleu nuit et de gris, dans une robe qui flottait doucement. Ses cheveux blonds étaient lâchés, mais ne bronchaient aux caprices du vent. Et au-dessus d'eux était posé un fin diadème, que peu de mortels ou d'immortels de la Terre du Milieu avaient vu. C'était là la couronne de la princesse d'Aman, brillante d'un éclat d'argent n'éblouissant pas, frappée finement de l'alphabet elfique, ornée de symboles divers. Mais de tout cela, sur le fin travail qui avait ici été fait, personne ne pu percevoir le reflet d'un oeil de jais, qui ne passa qu'un instant.
Ainsi fut l'arrivée des seigneurs de Gondolin, au joyeux mariage de Legolas Vertefeuille et de la reine Myria. Ancalìmë, qui depuis longtemps ne s'était pas allégée du poids infime de son épée, s'avança au milieu de tout ce monde.

(4 max pas 100)

Je leva un sourcil puis continua:

-Je ne veux pas vous parraitre insultant. Vous faites partie de mon peuple et ca ne serait pas bien vue de ma part mais vous devriez faire attention à vos paroles. Je ne vous en veut pas personnelemtn. Il est râre que je me fâche contre quelqu'un de mon camp mais il y a d'autres nobles qui ne sont pas aussi gentils que moi sur ce sujet et ne se gêneront pas pour vous le faire savoir. Mon père par exemple n'apprécie pas les paroles mal placés. Tout ce que je cherche à vous dire, c'est de faire attention.

Je remarqua soudainement un second groupe de gens arriver à la cérémonie. Quelle surprise ce fut pour moi, je pensait que nous étions complets mais apparament que je mje trompait puisqu'ils venaient d'arriver. à la bannière qu'ils portaient, je reconnus les insignes de la légendaire cité de Gondolin. Bien que cette soudaine venue n'était que trop étrange, je n'y porta pas outre mesure attention et reporta mon attention sur Kalim. Si les elfes nouveaux venus étaient de Gondloin, ils ne devaient pas être bien dangereux.

-Dites-moi, pour me faire pardonner de ma soudaine disparition comme je l'appele si amicalement, vous voudriez bien m'accorder cette danse? J'ai envoyé ma cavalière avec l'un de mes amis pour qu'il se sente moin seul et du coup, je n'ai personne. Qu'en dites-vous?

Kalim se sentit totalement gêner quand le prince finit le tout en voulant l'inviter à danser avec elle! Elle ne savait pas parfaitement danser, et en plus s'était un prince. Sa femme dansait avec un autre et lui voulait danser avec elle s'était gentil de sa part. Elle le regarda quelques instants, après tout... il était tellement gentil de lui pardonner sa mauvaise conduite aussi facilement que elle ne pouvait pas dire non. En plus il voulait se faire pardonner...

-J'accepte mon prince

Elle s'avança avec lui sur la piste de danse, prête à le suivre

Je pris doucement la main de Kalim et l'emmena sur la piste de danse sous le reggard intrigué des autres invités de notre cérémonie. J'aimait bien les voir comme ca, en train de se poser des questions sur mon attitude. Comme je n'agissait que très rârement comme un vrai membre de noblesse, il y avait de quoi se poser de vraies questions. Mais lorsqu'ils virent Myria sur la piste en train de danser avec Laesonif, ils ne se posèrent pas d'autres questions, jugeant la chose vraiment innécésaire. Ils se disaient probablement que nous savions tout les deux ce que nous faisions et qu,il n'y avait pas de quoi s'inquiéter et ils n'avaient pas tors. Je ne pense pas que ni elle ou moi aurions causé du tors à l'autre alors que nous n'étions même pas marié depuis vight-quatre heures. Je pris doucement l'elfe dans mes bras et la positionna puis nous commencâmes à danser, lentement pour commencer parce que je ne connaissait pas dutout son rythme et je voulais qu'elle s'habitue graduellement au mien, même si je n'allait pas vite. Je me pencha soudainement sur son épaule et lui demanda:

-Vous dansez souvent?

Question étrange?Peut-être mais je ne la demandais pas parce que je trouvais qu'elle dansait mal, car ce n'était pas le cas. J'étais même agréablement surpris par ses capacités. Non en fait je voulais simplement savoir sur quoi me baser.

Je discutais tranquillement avec Turgon dans un coin du jardin quand je me décidais enfin à venir offrir aux jeunes mariés leur dû.
Je m'avançais droite vers les jeunes gens, séparés, ayant des cavaliers différents à présent. La couronne que je portais était faite de feuilles enrobées dans de l'argent pur, fait des mains des elfes de Nevrast et qui portaient le secret de cette fabrication si particulière. En effet ce n'étaient pas de simples feuilles mais de rares et fines feuilles venant d'un arbre de mon jardin, les plus hautes branches en sont remplies constamment. Alors que Turgon offrit une magnifique lame elfique à Legolas sous un oeil attentif, je regardais la scène. Le forgeron qui avait fait cette épée qui était offerte au vaillant guerrier de la forêt Noire était un de nos amis. Un forgeron dont le secret de la fabrication des lames n'éxultant aucun autre forgeron était bien gardé. Et la lignée de ses pères qui étaient eux aussi forgerons était bien gardée et faisait la fierté de notre humble Nevrast.
L'épée était des plus légère, enfournée dans un fourreau qui allait tout aussi bien à son épée. La lame bien que fine était difficile à briser et elle était d'une beauté incroyable, des écritures elfiques y étaient gravées et visibles à chaud le plus souvent.

- Quiconque utilisera cette lame s'en trouvera protégé de tous les dangers, utilisez la bien, gardez la. Ce n'est pas une simple épée, c'est bien plus que cela. Ce sera comme un bouclier pour vous. Faites en bon usage mais traitez la avec attention sinon vous vous en trouverez bafoué.
A vous Dame Myria, cet arc fais d'un bois de if. Cet arc guidera vos flèches où qu'elles aillent et vous sera d'une aide imparable.
Ce sont des cadeaux qui certes, ne sont pas particulièrement bienvenus lors d'une telle cérémonie mais mon mari et moi même les avons fait confectionner en votre honneur par les mains de nos elfes de Nevrast. Agiles comme vous devez le savoir.
Je vous suis reconnaissante de nous avoir invité ma famille et moi même, sachez que Nevrast vous ouvrira ses portes avec honneur et plaisir.
A présent pardonnez moi mais j'ai quelques affaires à réglern je vais devoir vous quitter. Profitez bien de toutes ces années à venir, protégez vous et aimez vous, surtout soyez loyal l'un envers l'autre.

J'avais parlé ainsi en retenant Kalim du fait que je m'étais mise à ses côtés pour qu'elle ne se sente pas trop délaissée et en trop. Alors que Myria, je l'avais "attrappée du regard" ... Je ne voulais pas déranger les jeunes gens présents trop longtemps alors je repris.

- Que cette journée soit votre ... je ne vous dérangerais pas plus longtemps, si j'ai bein interprété les signes, de grandes affaires m'attendent à Nevrast, je suis malencontreusement obligée de vous quitter.
Votre cérémonie était parfaite et m'a fait remémorer mon propre mariage, je vous suis humblement reconnaissante et surtout n'oubliez pas ces paroles et ces voeux. Qu'ils vous conduisent dans une paix et une sincérité intérieure ...

Je faisais un petite révérence (en me penchant simplement en avant) aux personnes présentes et je m'en allais aussi simplement que j'étais venue, dans un court souffle de vent et ne laissant derrière moi que mes cadeaux aux jeunes mariés dans des fourreaux et des sacs de velours pour l'arc. Je m'en allais doucement vers le port, jetant un dernier coup d'oeil derrière moi et ensuite vers la fontaine où avait été Vyvial.

| HRP: Comme tu voudras Razz

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Ancalìmë regardait la foule danser, s'amuser, se parler... Elle demanda à Cressida de faire apporter son héraut. Finduilas arriva, portant un objet recouvert d'un tissu gris. Elle lui fit un signe de tête accompagné d'un sourire, puis elle s'en empara. L'héraut tenait aussi les armes de la reine, et il reparti rejoindre les festivités. Elle s'approcha du couple qui s'était un temps soit peu rejoint lorsqu'Elenwë leur avait fait don d'armes. Elle y alla, lorsque la reine de Nevrast s'éloigna. Elle fit le même dernier geste de la reine de Nevrast, puis parla d'une voix douce, à la fois joyeuse et profonde.

- Que les étoiles brillent éternellement sur vous, Legolas Vertefeuille, ainsi qu'à vous Myria. Je n'offrirais pas d'armes en ce jour heureux, car selon notre tradition, offrir une arme à un ami un jour de mariage est synonyme de litige. Ainsi, - elle enleva le tissu gris -, j'offre à vous le cor de Fëanor, qui le confectionna lui-même dans sa grande forge. Puisse vos ennemis trembler à ce son et vos amis l'acclamer. A vous dame Myria, - elle laissa se déplier le tissu -, je vous offre en présent une cape de notre fabrication. Seuls ceux ayant un coeur et des intentions pures pourront vous voir à l'intérieur, et la vision sera voilée à ceux qui désirent du mal de vous.

Elle salua de la tête les jeunes mariés, puis s'éloigna.

Kalim essayait de danser du mieux qu'elle pouvait en suivant les mouvements de Legolas, il menait la danse et elle le suivait. Elle savait que pendant une danse on devait regarder notre compagnon dans les yeux, mais elle n'y arrivait pas vraiment, elle regardait le sol pour empêcher l'incident d'écraser les pieds du prince. Heureusement Legolas ne sembla pas compliquer la danse et elle fut bien ainsi, après un moment elle apprit le rympte et se sentait beaucoup mieux et son corps était moins raide. Il se pencha et lui posa une question qui la rendit mal à l'aise un peu

- Vous dansez souvent?

Elle lui répondit calmement un peu rouge.

- Je crois bien que c'est la troisième fois dans ma vie que je suis sur un piste de danse prince Legolas.

Elle continua la danse et après un moment elle hésita beaucoup, mais elle finit par en parler.

-Tu sais quand tu venais t'entrainer à l'arc avec moi je me sentais vraiment bien, mon père n'a jamais prit le temps de m'apprendre à me battre de me donner des conseils, lui qui a tant vu, alors que toi oui, je n'étais pas ta fille ni ta nièce, tu ne me connaissais même pas et la pourtant c'est grâce à toi que je tire de l'arc aujourd'hui ... Je ne veux pas dire que je ne suis pas fière de l'avoir comme père, mais si j'aurais pu choisir mon père.

Elle eu un instant d'hésitation puis continua,

-Sa aurait été toi.

J'étais moi-même vraiment gêné à cause de la question que je venais de lui poser. Elle semblait vraiment indiscrète et j'avais peur qu'elle m'en veuille mais vu la manière dont elle me parlait, je n'avais pas à m'en faire dutout. Elle semblait même plus embarassée que moi. Je l'écouta ensuite parler de cet entrainement à l'arc que je lui donnait dans le passé et aux paroles qu'elle pronnonca ensuite, paroles qui créaèrent comme un déclic dans ma tête. Surpris par ce qu'elle venait de me dire, je me sépara d'elle mais je la tenait toujours pas les épaules. Mon regard plongea dans le sien et je lui demanda:

-Vous êtes sérieuse?

Mais comme elle semblait vraiment l'être, je sentis mon coeur battre deux fois plus vite et je la pris contre moi, inconsiament. Je ne savais pas trop quoi dire, pris un peu par la surprise de ces mots. Puis vint les reines Elenwë et Ancalimë qui vinrent nous offrir nos cadeaux de mariage. L'un était une épée que je trouvait fort splendide, et l'autre le cor de Fëanor(désolé, je suis inculte à ce sujet). Je les remercia toutes les deux et souhaita le bon voyage à la reine Elenwë qui me dit qu'elle aurait à partir tout de suite étant donné certains problèmes dont elle devait s'occuper. Maintenant, je savais qu'ils auraient deux couverts de moin à mettre sur la table puisqu'elle emmenait sa fille avec elle.

-J'adore les enfants et je suis certain que même si mes souvenirs sont flous dans ma mémoire, nous nous sommes assez bien entendus dans le passés que les gens auraient pratiquement pu dire que nous étions ce que nous sommes pas, mais que vous voudriez qu'on soit, vous me suivez?

J'afficha un large sourire. Paroles étranges? Ces derniers temps, c'était bien ma spécialité. Puis vint les deux reine Elenwë et Ancalimë avec les cadeaux qu'elles venaient nous donner à moi et à ma femme. L'une m'offrit une épée splendide que je trouva également fort jolie et l'autre m'offrit le cor de Fëanor. J'avais remarqué plus tôt que Maedhros était également présent en ces lieux. Je me demandais quelle serait sa réaction si il me voyait avec l'un des objets qui appartenait à sa famille.

-Merci à toutes les deux, ce sont des présents que j'apprécie beaucoup.

Puis la reine Elenwë me dit qu'elle devait partir. C'était bien dommage mais je comprenais. Si des choses allaient mal, je préférait que mes amis prennent soin de leur villes. Une fois qu'elles furent toutes les deux éloignés, je reporta mon attention sur Kalim.

-Est-ce que ca va?

Kalim fut quelques peu désemparer quand elle vu le prince cesser la danse, comme si il était vraiment surprit, mais il avait de quoi l'être, se n'étais pas juste une petite déclaration. Elle espérait ne pas lui avoir fait de mal, car en vérité s'était un très beau compliment être souhaiter comme père. Elle lui affichait un mignon petit sourire gêner de sa réaction, puis quand il l'a prit contre lui elle devenue complètement rouge vif. Il devait être très ému pour agir de la sorte. Elle entendit alors des gens venu parler au prince alors elle s'écarta gentiment pour leur laissé l'intimité dont ils avaient besoin, assez loin pour ne rien entendre, et assez proche pour ne pas sembler fuir. Elle les laissa discuter en paix et cette fois si elle ne partit pas, elle resta là a attendre, puis quand il eu finit de parler avec eux elle retourna près de lui lentement et il lui posa la question:

-Est-ce que ca va?

Elle lui répondit alors:

- Je vais très bien prince Legolas, j'espère que mes paroles n'était pas déplacer...

La danse s'acheva puis Laesonif vit les deux reines offrir leur cadeaux à Legolas et Myria. Le temps arrivait pour la cérémonie officielle mais il se rendit également compte que l'une des deux reines, soit Elenwë, devait partir. Laesonif remercia Myria de lui avoir accorder cette danse puis se dirigea du haut de l'estrade ou se trouvaient les musiciens. D'un signe de main, il leur fit signe d'arrêter leur musique et les invités comprirent que le roi souhaitait parler et se turent.

-Mesdames, messieurs, nous en sommes maintenant à la troisième partie de notre cérémonie...

Il parlait en langue commune pour s'assurer qu'au moin la moitié des gens sauraient le comprendre.

-Que les seigneurs qui ont des cadeaux à offrit à nos mariés s'avancent afin de leur faire don et ensuite, vous serez libres de partir ou de rester pour le dernier repas des organisateurs. Veuillez notez que si vous souhaitez partir ce soir, vous aurez un bateau à votre disposition mais si vous partez après le souper, vous n'aurez pas accès à un navire avant demain matin. Maintenant, allez-y...

Il céda la place à legolas et Myria pour qu'ils puissent recevoir leur biens.

Je remarqua quelque peu le malaise de Laesonif mais je n'y préta pas attention tellement. Ce n'était certainement pas pour être méchante mais il devait vraiment s'habituer au contacte féminin et si il cherchait toujours à fuir, sa ne l'aiderait pas. Il en fut ainsi jusqu'à ce que nous soyons interrompus par deux reines: Ancalimë et Elenwë qui venait nous offrir de magnifiques présents. De la part de la reine Elenwë, je recus un arc fait dans un bois magnifique. Le mien ne valait pratiquement plus rien tellement il avait été utilisé souvent alors celui-ci tombait vraiment à pique. Le second, de la reine Ancalimë fut une superbe cape que je ne me gêna pas pour enfiler tout de suite tellement je la trouvait belle aussi. Ca n'allait pas tellement avec ma robe de fiancailles mais ca ne faisait rien, qui a dit que je me devais de toujours être à mon meilleur en tout moment? Surtout que maintenant, la cérémonie principale était terminée et qu'avec toute la danse que j'avais fait, je ne ressemblait plus à ce cadeau des valar comme on m'avait qualifié au début de la journée. J'allais me remettre à danser avec Laesonif mais celui-ci c'était éloigné de moi pour annoncer la remise des présents des invités pour la célébration de notre mariage à Legolas et à moi. Je me suis donc dirigée vers le point indiqué après avoir confié mon arc à quelqu'un pour qu'il le range. Je ne trouvais pas ca tout à fait approprié en une telle occasion de porter ce genre d'objet avec sois.

Eöl n'avait pas dansé et n'avait pas mangé depuis qu'on avait commencé les festivité. Sa ne lui tentait pas de un, de deux il n'avait pas de cavalière puisque sa femme le haissait au plus haut point et de trois, il n'avait pas faim. Il s'était contenté de s'assurer également du bien-être de tout le monde en prennant bien soin de cacher sa nature elfe-noire. Une fois que Laesonif eut annoncé la véritable période de remise de présent, Eöl s'avanca et alla voir Legolas en premier.

-Je n'ai su te trouver autre chose que ce que j'ai en ce moment avec moi. Legolas, je t'offre cette armure de mithril que je suis allé récolté dans la Moria un peu avant ton mariage..

Il se tourna ensuite vers Myria, après avoir remis l'armure à Legolas puis lui dit:

-Quelle cadeau un elfe noire telle que moi peut offrir à une futur reine? Je ne suis que forgeron et mage noire. Mes donc se limitent à quelques tours uniquement. Stipule ton souhait et j'essaierais de te l'offrir.

Après quelques minutes d'attentes, il balaya l'aire de la main, non par manque de respect mais pour lui faire signe de laisser tomber. Eöl avait bien un cadeau pour elle, bien que celui-ci semblait un peu moin important que celui qu'il avait offert à Legolas. Il siffla et son harfang vint se poser près de lui. Il tenait entre ses serres un petit bout se métal qui ressemblait étrangement à un tube percé en son centre et avec deux trous d'une parfaite rondeur dans son contour.

-Ce que ca provoque, je te l'expliquerais mais pas devant tout ces gens, car j'aimerais qu'il reste secret dans la mesure du possible. Lorsque tout sera mis en place, tu comprendras l'importance de mon geste.

Puis il s'éloigna le plus loin possible des elfes noldor, race qu'il hairait même si il était maintenant allié avec Legolas puis retourna à la place qu'il occupait.

Je regardait mes invités non pas impatient. En fait, j'étais plutôt neutre. Tous ceux qui étaient venus m'avaient déjà offert un magnifique présent et je n'était pas le genre de personne matérialiste. Je vis soudainement Eöl s'avancer vers nous. Je ne m'attendais pas à ce que après que nous l'ayons mis à notre service, il soit prêt à nous offrir un quelconque présent mais ce qui me figea encore plus sur place, ce fut ce qu'il avait à m'offrir: une cote de mithril! Je ne pensait pas que quelqu'un me ferrais un jour cadeau d'un objet aussi précieu. Il me semblait en parfait état, donc neuve. Ce devait donc être sa qu'il était parti faire quelques jours avant notre mariage. Il me le confirma d'ailleurs avant que je n'ai pu lui demander.

-Je ne pensait pas que quelqu'un m'offrirait pareil cadeau, surtout pas toi Eöl. Je te remercie infiniment.

Je prit doucement la cote de maille et la posa sur un plateau qu'on avait mis à ma disposition puis j'attendais de voir ce qu'allait bien être le cadeau de Myria. Lorsqu'il lui dit qu'il n'avait rien de prévu, j'ignorait si c'était de la colère ou un certain malaise qui m'envahissait. Heureusement, il ne dura pas bien longtemps lorsque je le vis appeler son harfang à venir lui porter quelque chose.

*Un bout de métal?!*

Ce fut la seule pensée qui me soit parvenue à l'esprit. Heureusement que ca ne dura pas. J'en étais même rendu curieu de voir ce qui allait suivre pour son cadeau.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 99 Date d'inscription : 20/09/2006

Je fus également vraiment impressionnée par le cadeau que Eöl offrait à Legolas et on ne peut plus curieuse au sujet de celui que Myria allait recevoir mais si il ne voulait pas le montrer devant nous, c'est qu'il devait certainement avoir ses raisons et je n'allais certainement aller argumenter à ce sujet, surtout pas devant tout ces gens. Lorsque Eöl eut céder la place, je fus la prochaine à venir offrir mes voeux à la princesse Myria et au prince Legolas.

-Vous êtes tout deux déjà venu au Rohan donc je crois que vous savez ce qu'est notre spécialité ici chez nous. Myria, je vous offre un cheval des boisés et à vous Legolas, un cheval de la nuit.

C'était d'autres mots que j'utilisait pour dire que j'offrait un cheval brun à Myria et un cheval noir à Legolas. Quand mes derniers furent pronnoncé, je claqua des doigts et immédiatement, deux des gardes qui m'avaient accompagné firent écarter la foule pour laisser passer deux chevaux de couleur pure comme ce que j'avais décrit.

-Je sais que vos écuries comptent déjà beaucoup de ces bêtes mais celles-ci vous serviront tout autant, j'en suis certaine. Faites-y attention même si je sais que vous en êtes très bien capables...

Puis je m'éloigna alors que mes chevaux furent reconduits auprès de leur nouveaux maitres.

Je vint m'assoir tout près de mon mari et les cadeaux commencèrent à arriver vers nous. Eöl fut le premier à nous offrir quelque chose, soit une cote de mithril d'une valeur presque inestimable à Legolas et...un bout de métal pour moi. Je dois avouer qu'après avoir vu ce que Legolas avait recus, j'étais un peu décu mais je ne le resta pas longtemps lorsque Eöl me dit qu'il y avait une utilité toute spéciale à ce cadeau mais qu'il devrait me la dire en privé. J'avais maintenant très hâte. Je la déposa donc sur le plateau d'argent qu'on me tendait et je vis ensuite Eowyn venir vers nous. Son cadeau aussi me fit très plaisir puisque je devais avouer que j'adorait les chevaux. Même si mes écuries en étaient pleins, je ne pu que me réjouir de ce présent. C'est alors que nos montures nous furent apportés. La mienne était vraiment magnifique, tout comme celle de Legolas et ca faisait vraiment changement des montures que nous avions pour habitude de recevoir, c'est-à-dire des blanches ou des grises, couleurs visiblement très apprécier dans notre peuple. Je gratifia Eowyn d'un superbe sourrire et la remarcia d'un signe de tête.

-J'adore les chevaux et jamais je n'aurais au quelconque problème avec le fait d'en recevoir un, ne t'en fais pas mon amie..

(Comme Revan ne semble pas bouger beaucoup, je vais faire comme si il n'était pas là)

Tout le monde s'avanca pour aller voir les remises de présents au deux mariés. Cryldan ne s'y rendit pas, premièrement parce qu'il avait un poste à garder, deuxièmement parce qu'il détestait ce genre de chose et troisièmement parce que l'état de Vyvial l'attriistait. Il voulait savoir si elle allait bien et si il pouvait faire quelque chose. Il remarqua alors que tous semblaient se diriger vers le point ou ils remettaient les présents mais personne ne faisait attention à lui ou aux autres gardes. Il se dirigea alors dans la ruelle et s'approcha doucement de son amante. Après avoir vérifier dans les alentours si quelqu'un le regardait, il retira son casque. Le seul qu'il avait à craindre réèlement était Bellerophon mais celui-ci semblait vraiment trop occupé avec la cérémonie pour prêter attention à l'assassin.

-Je suis là...

Il essuya tendrement les larmes de son amante puis l'enbrassa doucement.

-Je ne peux pas rester à découvert trop longtemps, sinon je vais finir par me faire voir. Seulement ta soeur recoit en ce moment ses cadeaux et je suis certain que tu en as pour elle. N'y va pas trop tard ou tout sera terminé et les autres ne verrons pas les splendeurs que tu offres.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 388 Age : 31 Date d'inscription : 30/01/2007

Vyvial avait regardé la reine Elenwë s'éloigner sans dire un mot et le chat Revan partir sans se retourner. Ne désirant pas se joindre à la cérémonie tout de suite, elle resta assise sur le sol pavé de la ruelle dans laquelle elle se trouvait et écoutait les flots de la fontaine qui coulait non loin d'elle. Apaisante comme tout, elle avait suffit à l'empêcher de se remettre à pleurer et bien qu'humide, avait assécher les larmes qu'elle avait déjà versé. Vyvial ferma les yeux pour profiter un peu plus longtemps de se calme en plus que la cérémonie semblait s'être calmé lorsqu'elle entendit des pas venir dans sa direction. Elle ouvrit les yeux et quelle ne fut pas sa surprise en remarquant que le garde en question qui avait soudainement changé de position avec un autre venait maintenant en sa direction. Elle était figée par la peur. Et si il avait tout entendu et venait la chercher pour l'emmener devant sa soeur en la traitant de traitresse? Qu'allait-elle faire si elle perdait l'amour de la seule personne sur qui elle savait qu'elle pourrait toujours compter. Vyvial eut pour réflexe de sortir le petit poignard qu'elle avait attaché à sa taille lorsque le garde en question se mit à retirer son masque.

-Cryldan!

Avant qu'elle n'eut pu faire quoi que ce soit, l'assassin passa un doigt sur les larmes de joie qu'elle avait maintenant sur les joues et l'embrassa. Elle sentit alors tout ses membres se détendre et la musique habituelle imaginaire l'emmener jusqu'à ce que ses lèvres ses détachent des siennes. Il lui expliqua alors toute la situation et Vyvial prit un aire appeuré.

-Oh non, les cadeaux!

Elle en avait prévu, fort heureusement mais c'était certain que le principale de Legolas aurait déjà été donné: son épée tranchante. C'était pratiquement impossible que personne ne lui offre d'armes. Heureusement, elle avait une autre chose pour lui, bien que très petite mais il lui semblait que Legolas ne tenait pas compte de la grosseur du présent. Vyvial se leva mais n'avait pas trop envie de s'en aller. Maintenant qu'elle savait que son amant était sur les lieux, elle n'avait qu'une envie, celle de rester avec lui. Avant de partir, elle lui dit:

-J'espère que tu n'as pas fait de betises pour te procurer cette armure ou Elena ne va pas être contente de toi.

Elle lui sourit puis se rendit au pas de course au coeur de la cérémonie de Myria. Ils venaient de recevoir de magnifiques montures, probablement en provenance du Rohan. Vyvial fut le prochaine à s'avancer et elle remarqua l'arme qu'on venait de donner à Legolas.

-J'avais le même cadeau d'une certaine manière Legolas..

Elle lui donna son arme puis leur dit ensuite:

-Mais j'en avais une autre. Je suis passer le chercher il y a quelques temps et je l'avais prévu pour votre mariage.

Elle leur sortit les bagues Meleth qu'elle leur donna à chacun.

Non loin de Vyvial, une autre jeune fille attendait impatiemment de donner son présent aux nouveaux époux. Sasha avait poliment refusé de faire le voyage avec Elenwe et avait préféré se rendre à Edhellond par ses propres moyens. Toutefois rendue devant la ville elle avait eu énormément de difficultés pour entrer. Une rodeuse haradrime n’est habituellement pas la bienvenue dans un mariage princier elfique et les gardes avaient obstinément refusé de la laisser entrer même si elle leur montrait son invitation. Cela lui avait pris plusieurs heures pendent lesquelles elle prit soin de traiter les gardes de tous les noms, avant que Bellerophon, en charge de la sécurité viennent voir se qui se passait et la laisse finalement entrer lorsqu’il la reconnu.

La jeune fille, pour qui de toute façon la ponctualité n’avait jamais été le point fort, arriva juste un peu avant que les invités remettent leurs cadeaux. Son regard fit le tour des invités et elle fut attristée de n’en connaître presque aucun. Elle avança donc dans la grande cours. Beaucoup de regard curieux la dévisageait. Elle essaya de ne pas trop se faire remarquer mais c’était une mission impossible. La Haradrime avait décidée de sacrifier un peu de son confort habituel pour le mariage de son ami et portait une longe robe rouge sang a fine bretelle et au décolleté plongeant elle avait remonté ses cheveux noire qui était piqués d’épingle d’ambre. Elle s’était finalement résolue à ne pas porter d’armes, exception faites d’un petit poignard attaché contre sa cuisse, complètement invisible. Elle portait quelques bijoux discrets qui mettaient en valeur sa peau foncée et ses yeux. Elle avançait dignement, la tète haute, avec dans les yeux une étincelle qui ne s’éteignait jamais. Dans ce groupe d’elfes blanc et sage, elle semblait exotique et détonnait incroyablement.

Elle ignora les regards et attendit donc patiemment de pouvoirs s’approcher de Legolas et Myria pour remettre ses propres présents.

Un messager du Roi Théoden, bien que confus d'interrompre un mariage qui bat son plein s'avança dans la cité. Il avait été difficile d'y parvenir, mais c'était fait maintenant. Il repéra la fils-soeur Eowyn. Il s'approcha d'elle. Il lui fit une simple révérence pour pas atiré l'attention puis lui chuchota.

- Ma Dame, Théoden vous appelle pour que vous envoyez vos hommes à Edoras. Il pat en guerre, il n'a rien dit de plus. Tout le Rohan s'est vidé; Vous netes pas obligé de venir gérer l'intendance d'edoras, mais vos soldats seront très appréciés là bas.

Persone ne l'avait remarqué, il passait pour un simple garde d'Eowyn.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 258 Date d'inscription : 09/06/2007

Meril regarda tout le monde offrir leur cadeaux. Le sien n'était pas bien gros mais leur serait peut-être bien utile pour la prochaine fois, si un autre incident de ce genre devait ses produire. La reine avait fait demandé qu'on lui apporte d'autres feuilles de Celeborn, l'arbre duquel ils avaient pris les feuilles pour tenter de soigner Legolas et Laesonif et qui avait bien marché. Elle avait aussi fait venir Alcaron, l'un de ses plus magnifiques navires. Oh certe, Cirdan savait très bien les batires mais ce navire avait droit de passage à Valinor, ce qui leur accorderait le privilège de venir sur son île sacrée. Lorsque son tour vint pour offrir ses présents, elle déposa sur un autre plateau d'argent le sac de feuilles de Celeborn parfaitement bien rangé entre les autres objets qui avaient précédemment étés offerts aux enfants de roi.

-Legolas, Myria, ce sac, vous le reconnaissez. La quête pour aller chercher les feuilles de Celeborn a été longue, très longue et à cause de cela, je vous offre en ce moment, quelques unes des feuilles de notre magnifique arbre. Elles vous seront peut-être utiles plus tard et si un autre poison comme celui qui vous as frappé venait à être répandu à nouveau, vous pourrez le soigner.

Elle leur parla aussi de Alcaron et leur dit que le navire se trouvait actuellement au port de Brithombar ainsi que le navire de Cirdan qu'ils avaient emprunté pour se rendre sur l'île, réparé et prêt à reprendre les vagues en cas de besoin. Lorsqu'elle eut terminé ses explications, elle leur dit que ce cadeau était de la part de Tol Eressea et d'Orophin puis alla le rejoindre là ou elle l'avait laissé en attendant la fin de la remise des présents à legolas et Myria.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 195 Date d'inscription : 14/07/2007

Elena, dans les bras d'Izildur n'avait pas tout à fait suivit la soirée. Elle était trop absorbée par le froid mais néanmoin la touche réconfortante de l'armure qui recouvrait les bras de son mari. Elle s'était laissé bercer un peu trop longtemps, tellement qu'elle ne s'était pas rendue compte de cde qui se passait autour d'elle. Elle avait manqué le départ étrange de Vyvial vers la ruelle à fontaine et si Izildur n'avait pas été là pour les arrêter, elle aurait certainement continuer à danser même si il n'y avait plus de musique qui jouait. L'un après l'autre, les invités défilaient en donnait leur cadeaux aux seigneurs. Parmis eux, elle reconnu grace à sa couleure le seigneur Eöl de Nan Elmoth. Mais que pouvait-il bien faire ici? Et surtout pourquoi leur offrir un si gros cadeaux qu'une cote de Mithril? Surtout après ce qui s'était passé. Elle vit ensuite les autres offrir leur cadeaux qui devaient très certainement valoir une fortune à voir la pureté des chevaux, le navire spécialement venu de Tol Eressëa et ainsi de suite. Lorsqu'elle vit que la reine Meril avait terminé, elle se détacha des bras de son époux et se dirigea avec ses cadeaux vers ses amis.

-Mes chers amis, en ce jour, j'ai également un cadeau tout spécial à vous offrir. J'ai ouie dire que ma chère amie Myria était folle des jardins colorés et des animaux, tout comme doit certainement l'être le seigneur Legolas. Enfin, pour tout vous dire, votre cadeau est également un animal, mais venu tout droit de notre ile de numénor et qui vivra désormais dans vos jardins. Il saggit d'un oiseau aux couleurs magnifique et au chant bien aigue. Vous devriez apprécier vos balades un peu plus désormais.

Elle retira le voile qui couvrait la cage et à cet instant, un couple de ces oiseaux leur apparus. Ils semblaient en pleine bonne santé et l'un se mit même à les gratifier de leur chant pour le bonheur également des invités.

-Mais je ne vous offre pas seulement cela, mais aussi...

Elle dévoila ensuite une statuette d'une assez bonne grosseur représentant un dragon dans lequel un avait incruster une pierre précieuse qui devait valoir une fortune. Elle était dans sa gueule. Ses ailes étaient grandes ouvertes et il se tenait sur deux pattes, les bras sur le song du corps et la queu enroulée autour de ses jambes. Elle était faite de pierre blanche.

-Nous en avons d'autres mais pas ici. Elles vous seront directement importé chez vous.

Elle les salua puis regagna sa place auprès de son époux.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 99 Date d'inscription : 20/09/2006

Je ne comprennais pas le sens des mots de ce fameu garde qui vint me chercher. Mes hommes ne m'avaient guèere accompagné jusqu'ici, ils n'en avaient pas le droit de toute manièere. J'vais dis en présence de Theoden et de Aldor que je leur laissait tout le droit sur mes 50 000 et qu'ils resteraient dans la ville d'Edoras tant et aussi longtemps que le Rohan aurait besoin d'eux. Je ne me gêna pas pour le lui faire remarquer en espérant le plus possible que personne ne m'entendrait, ou le moin de gens que possible.

-Écoutez-moi, je n'ai aucun ordre à donner et je n'ai certainement pas l'intention de repartir pour Edoras, pas tout de suite en tout cas, c'est bien certain. Lorsque je suis partie, j'ai clairement dit en présence de Theoden et de Aldor que mes soldats resteraient dans la ville pour la déffendre puisque de toute manièere je n'avais même pas le droit de les faire venir ici. Vous direz èa mon oncle que mes soldats n'ont jamais quitté la ville, qu'ils la reconstuisaient probablement simplement sans armure. Maintenant, si vous le voulez-bien, je suis en pleine cérémonie.

Puis je lui fit signe de partir avant qu'il ne se fasse prendre pour l'un de mes gardes et qu'il soit forcé de rester. Je ne tenais pas èa ce qu'un autre vienne me dérranger pour me dire la même chose. Je retourna ensuite mon attention sur Legolas et Myria, mes amis en pleine cérémonie de remise de présents. Jusqu'èa maintenant, ce que les gens leur avaient offerts étaient vraiment remarquable et sa passait de tout, de la faune èa la flore et des armes aux bijoux. J'en étais émerveillé. oui mon mariage avait été tout aussi magnifique mais je ne détestais pas voir èa quoi devait ressembler celui des autres et jusqu'èa maintenant, celui-ci dépassait tout ceux que j'avais vu depuis le passage de la communauté èa Edcoras, sauf le mien.

J'étais bien surprise mais aussi bien heureuse de ce qu'on m'offrait. Ce que je veux dire par surprise, c'est que nos amis visaient toujours juste selon les capacités de ce que pouvait leur offrir leur pays. Par exemple, les oiseaux de l'Anor que moi et Legolas venions tout juste de recevoir ou encore les chevaux du Rohan, spécialité bien connue des gens de ce pays. Ils étaient parfaits, des magnifiques présents. Le plus beau, je ne saurais dire car comme je le pensait, ils m'émerveillaient tous mais celui que je trouvait le plus touchant était certainement celui de ma soeur. Elle pensait bien faire, et elle avait bien fait aussi mais elle se sous-estimait trop cette gentille elfe. Lorsqu'elle nous donna nos anneaux, j'enfila le mien sans perdre une seule seconde et la serra dans mes bras comme je l'ai toujours fait. Une boulle émotive se forma dans le fond de ma gorge et je lui chuchota à l'oreille:

-Ne t'en fais pas ma soeur adorée, ton ceau est vraiment superbe, autant que les autres

De sa part à elle, même un vieux morceau de tissu m'aurait fait plaisir. J'aimais tellement ma soeur que je ne me souciais pas des cadeaux qu'elle pouvait bien me faire, sauf si elle m'offrait du crottin, ce que je savais était impossible de sa part. Je la serra à nouveau dans mes bras avant de la laisser s'en aller avec les autres. Pour les cadeau d'Elena, je me vis afficher le plus large des sourrires émerveillés que je n'avais jamais fait. Elle ne mentait pas, ces oiseaux étaient de toute beauté et avaient unb chant aussi mélodieu qui aurait certainement trèes bien accompagné les mots si doux de la reine Melian. Puis sa stuette, elle était digne des plus grands artisans sculpteur de toute la Terre du Milieu. Je n'en revenait pas. Les elfes savaient faire toute sorte de choses avec leur mains mais je ne connaissait pas un tel talent chez les hommes. Pendant un instant, je crus que ce cadeau ne pouvait venir que d'un scupteur elfe et chez un tailleur de diamant Nain mais ce genre de chose n'était pas digne d'Elena alors j'effaca tout de suite cette possibilité de ma tête.

-Je ne sais que dire ma chère Elena. Ce sont tout deux de magnifiques cadeaux et je meurt de voir le résultat avec les autres dragons, ce soit être une véritable merveille, que dis-je!

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Jardins de la ville: Cérémonie de mariage