Parti de chasse

La tempête fesait rage, la brûme et la neige empêchaient de voire à trois mètres, et le froid était important, qu'il pouvait presque solitifier un lac en quelques minutes. Une silouhète blanche se mélangeant à ce décort de blanc s'accroupit sur des traces presque éffacées par le vent et la neige.

*Je te tiends, tu ne m'échappera pas !*

Cirus équipé de ses vetement de neige se relèva, et continua sa route à la poursuite de ces traces. Il poursuivait sa proie depuis quelques heures, afin d'avoir de quoi se nourrir pour son dinner. Après quelque centaines de mètres, il était entré dans une forèt, où le vent était moin important. Il vit son gibié droit devant lui sur cent mètre. Il s'accroupit bien discretement derrière un tronc renversé, puis prit son arc au dos, ainsi qu'une flèche fraichement aïguisée. Il visa sa cible attendant le bon moment pour tirer.

*Bien ne bouges plus...*
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Une heure plus tard, Dans une grotte à l'abris de la tempête, Cirus fesait cuir à la broche sur un feu de camp la viande tendre de sa dernière chasse. L'odeur était délicieuse, mais elle pouvait attirer nimporte quelle monstre à l'extérieur. Cirus trancha un bout de viande, et apprécia son repas. D'habitude, les elfes était plutôt tourné vers un régime végétal, mais Cirus avait prit ses habitudes. Après avoir appaisé sa faim, il éteigna le feu, et s'enroula dans sa cape dans un coin de la grotte, son arc en main, prêt à faire se reposer après deux jours sans dormir.

Un autre messager arriva pret ds montagne de fer, il monta la grand falaise qui menait a la ville et il entra dans la cité, il avança dans les rue de la ville jusqu'a voir Thirit, un homme qui a son avis dirigeait la ville a entendre les parole de celui-ci, alors il resta sur sa monture et il dit.

Mon ami, les heure sont sombre, le Gondor est attaquer, il tente une invasion sur Pélargir, le Roi-Sorcier, veux tuer tout ceux qui se trouverons sur son passage.

Cirus se sentait mal dès son réveil, il ne savait pas de quoi il s'agissait, mais en tout ca celà ne parraissait pas en bien, peut être à cause du repas, peut être un poison qu'il aurait ingurgité d'une façon qu'il ignore.
Il entendait autour de lui des gens parler de le tuer, ou de l'arrêter, mais il se sentait étrangement faible pour répondre. Il pensa donc ses réponses:

*Tuer un gibié royale ? Pour quelle autre raison que de se nourrir ?*

Des nains si c'est ce qu'il avait comprit, s'emparairent de lui, et le trainèrent à la sortit. Manque de chance, les nains n'était pas les meilleur confrères des elfes. C'était déjà partit du mauvais pied.

Cirus regarda le nain dans les yeux et reprit d'un ton neutre:

-J'avais faim et j'ignorais être sur vos terres alors désolé. Je pense que vous avez encore des centaine de Dain comme celui que j'ai chassé non ? Alors pourquoi en faire un plat.

Il ne répondait que par la logique des choses mais aussi dans le but de faire de la provocation, mais il risquait de s'attirer davantage d'ennuit de cette manière. Il n'en avait que faire, il en était habitué.

-Oh et merci pour la nourriture et la boisson, dinons que ca m'aiderais à faire passer le Dain.

Cirus allait remèttre le nain à sa place après cette remarque sur ses "oreilles pointus", mais il comprennait la situation du nain ainsi que celle de son peuple. Le nain s'apprêtait à le faire partir, mais Cirus lui fut une proposition assez "rare":

"Je comprends votre situation Noble Nain. Si je puis me permettre, je peux mettre mes services à votre disposition afin d'arranger mon érreur..."

Il laissa un instant de silence avant de reprendre:

"...Sauf biensur si vous tenez toujours à ce que je quitte vos terres dans l'immédiat"

Pour Cirus c'était peut être un moyen de bien commencer à s'entendre avec les premières personnes qu'il rencontrait sur sa route. Le faite qu'il s'agisse de Nains ne le gênait pas beaucoup. Il a toujour été différent pour sa propre race, alors il ne partageait pas les même points de vue.