Place les défences.

Imaragon arriva à Minas Morgul en vollant (bien sur.) il se pausa devant la cité et dit au orcs qu'il plaçait ces défences.

-Monter les catapultes sur les murs!

Il commencait à construire els catapulte i lavait amener du bois et il construire 5 catapultes très grosse.Il les mir sur les murs.Au dessus de la porte des mangamèle était disposer (Un cofre remplie de pierrre de feu. qu ise fait verssser sur les ennemis en bas)Les Uruks montère sur les remparts.15 000 avec d,immence pavois se plaçait devant la porte avec leur longue lance il ne voyait rien du combat mais aucun projectile ne pourait les touchers.15 000 Arbalétier était monter dans l'escalier secret pour lacher leur carreaux sur les flans.et 20 000 autres arbalétier était sur les remparts.Les orcs et uruks hurlait il attendait Glaurung et conpagnie.Il survollait les montagnes à la recherche de chaleur (Il à plusieur vision vision nocturne termique et normale.)Il serait alerter d el'attaque.

(Tu n'as pas quitté les Monts Cendrés, tu ne devrais pas être au courrant de l'attaque)

Cryldan arriva, sur son cheval volé naturellement. Il avait maintenant de l'argent pour s'en acheter un mais il trouvait la chose fort inutile puisqu'il ne craignait pas de tuer ces pauvres commercants ou ces pauvres hommes. Pour en revenir a sa route, Cryldan longeait le passage qui menait a Minas Morgul, sans aucun batement de coeur plus rapide, seulement l'idée dans la tête que quelqu'un qu'il ne voudrait pas rencontrer se trouvait sur les lieux. Il avancait donc, au pas, regardant a gauche et a droite comme un perdu bien qu'il ne l'etait pas. Il arriva finalement aux abbords de la cité et en vue de celle-ci. Il portait une longue cape noire qui lui couvrait les épaules et la tête mais son cheval lui était clairement visible.

*Bon, de retour parmis les sauvages.*

Il n'avait pas trop eu tors en fait, il y avait bien un dragon dans les parrages car celui-ci le survola sans pour autant faire attention a lui. Cryldan fit de meme et continua lui aussi son avancé jusqu'a ce qu'il arrive près de deux trolls qui semblaient garder l'entrée de la cité mort.

-Comment ca va les gars?

Il n'eut que grognements et menaces de morts a la masse levée en réponse. Un orque vint le trouver et pointa sa lance sur lui. Cryldan descendit du cheval et le regarda en plein dans les yeux.

-Ne me fais pas tes menaces de mort, je l'ai deja vue de près a de nombreuses reprises pour ne plus te craindre. Je t'enfoncerais volontier la lame de mon épée dans ta belle gueule si ce n'était pas que j'avais autre chose a faire. Ton maitre, ou tes maitres attendent ma visite et je ne penses pas qu'ils appreciraient la maniere dont tu me traites si ils apprenent ce que j'ai a leur dire.

L'orque le laissa passer puis Cryldan entra avec son cheval. Il trouva facilement le Roi-Sorcier ou Sauron et dit:

-On m'a fait venir a cair Andros il y a de cela peu de temps. Une armée est en marche vers les plaines, celle de Targon tandis qu'une autre se prépare dans les plaines du Pelennor...

Glaurung arriva enfin à Minas-Morgul ...

Alors qu'il était en chemin vers Barad-Dur, il croisa une gigantesque armée comme jamais il n'en avait vu avant cela. Les orcs devaient être des dizaines, pire même, des centaines de milliers. Il estimait en réalité leur nombre à un million. La terre tremblait partout sur leur passage et le sol était craquelé et martelé, plus rien n'était encore vivant, après leur passage.
Il apprit ainsi que c'est à Minas-Morgul qu'ils devaient se regrouper.
Glaurung envoya donc une missive à Ancalagon pour lui faire part de ceci.
Il parvint ainsi à l'avance des innombrables orcs de Sauron à l'ancienne forteresse du Gondor. Il aimait assez le lieu. Le marécage puant qui entourait ses murs remplis de cadavres d'orcs en putréfaction, reniflant la mort et la maladie, lui plaisait beaucoup. L'odeur de mort se rapprochait presque de celle qu'il dégageait en respirant.
C'est ainsi par ailleurs qu'il fit poster ses orcs sur les murs. Pas moins de 30.000 archers et 20.000 lanciers. Par ailleurs, il vint lui même poser ses catapultes derrière les remparts de sorte qu'elles puissent tirer par dessus, tournées vers le pont. Ainsi, 10 boulets partiraient chaque fois vers le seul endroit par lequel pourraient passer les troupes du bien pour assiéger la cité. Glaurung vint en personne prêt de Sauron et Cryldan.
Il ne vit pas tout d'abord celui-ci et s'adressa à Sauron.

"Comme lors de mon retour je vous avais dit que je continuerais à servir le mal et la destruction sans être votre serviteur, j'ai pris la décision de venir vous aider. Et les miens me suivent, rassurez-vous."

Puis voyant Cryldan, il hurla sur celui-ci et se tourna vers Sauron.

"Que fait-il ici ? C'est ignoble traître s'est battu contre moi lorsque j'ai attaque Fondcombe ! Comme est-ce acceptable qu'il soit ici ?"

-Maitre... Maitre... Maitre -s'étouffe- ils sont la... les armer des peuples libres... ils sont la!

L'orc s'aprocha encor et dit.

-Que devons-nous faire ???

L'orc fatigué par ça longue cours dans al cté s'acroupit en regardant Sauron.

-Ces idiot ne pourons pas nous batre ah! ah! ah! ici rêgne la nuit et les ténèbres!

(Imaragon, c'est trois lignes completes et Glaurung, j'ai clairement dit que tu ne m'avais pas remarqué dans la bataille a Fondcombe)

Cryldan regarda quelques orques autour et lui dis:

-Le rohan, soit la totalité des soldats de Theoden arrivent ainsi que ceux du soldat Arthor et la moitié de ceux d'Eomer. Il y a les soldats de Faramir et ceux des rois Ancalime et Gil-Galad de Gondolin. Ce ne sont pas que quelques petites poussières qui viennent contre vous mais quelque chose forcemment capable de faire trembler la terre sous ses pas. J'ai horreur de le dire, mais préparer vos déffenses correctement, car si la porte tombe, vous subirez de lourds dommages. Et si je ne me trompe pas, il y a aussi des aigles en route.

Il regarda ensuite Glaurung arriver, sans même la moindre trace de peur dans ses yeux.

-La prochaine fois, tu te tourneras la langue avant de parler cracheur de feu. Je n'ai pas été à Fondcombe depuis bien longtemps, je me demande comment j'aurais pu venir me battre contre toi. Par ailleurs, même les orques savent que je tue dans les deux camps. Je m'attaque a ceux qui me barrent la route et si c'est un orque, bien c'est un orque. De toute manière, ils le font entre eux de un et de deux ces monstres peuvent se multiplier bien plus vite que les gens de l'autre camp. Je ne vois pas pourquoi tu fais une si grande scène pour si peu, sans compter le fait que je suis seul, je n'aurais pas pu faire tellement de dommages a tes précieux soldats de toute manière. Et pour terminer, je viens vous apporter de l'information qui pourrait peut-être s'avéré très utile pour vous et voila comment tu me remercies. Charmant de ta part.

Puis comme si ce n'était pas assez, l'autre dragon arriva.

*Dieu du ciel, une autre bébitte...*

Il s'abstint de le dire à haute voix mais il le trouvait vraiment idiot. D'abbord il panique et ensuite il se leve et proclame qu'il n'a rien a craindre.