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P'tit Nouveau Nombre de messages : 99 Date d'inscription : 20/09/2006

Eowyn et ces hommes ne purent aller bien loin avant que chacun ne soit fatigués. Ler chevaux n'avaient en fait ete capable de faire que les 50 kilometres qui les separaient de la grande cité de Dol Amroth. Eowyn etait deja venue en ces lieux a maintes reprises mais a chaques fois, elle se trouvait toujours enchantée par la splendeur des murs et l'ingeniosité des batisseurs de la grande cité de Dol Amroth. Bien qu'elle n'etait pas la capitale, la cité aurait bien tout les atouts pour le devenir. Eowyn et ces hommes traversarent le grand portail qui devait faire au moin une dizaine de fois leur taille et s'aventurerent dans les rues de la grande ville pour se trouver une auberge. A ce stade, ils auraient peut-etre ete mieux de ne pas quitter la ville de Edhellond puisqu'ils ne sont pas vraiment plus avancés a ce moment qu'ils ne l'etaient il y a une heure a peu pres. Ils se trouverent finalement un lieux pour se reposer. Il s'agissait d'une auberge d'assez bon gout ou les gens ne semblaient pas venir uniquement pour boire et se tapper dessus comme le faisaient plusieurs humains de Bree. Eowyn monta dans sa chambre tandis que ces hommes prenaient place dans la leure. Une fois que leurs effets furent tous installés, elle leur donna un point de rendez-vous:

-Soyez de retour demain matin au plus tard a cinq heures. Nous n'avons pas de temps a perdre.

Puis sortit avec une cape sur le dos dans la nuit fraiche de la cité gondorienne. Il ne semblait pas avoir beaucoup de gens en ces lieux probablement aussi a cause de la guerre qui avait lieux a Minas Morgul. Quelques heures plus tot, l'un des messagers de son oncle Theoden l'avait avertis a ce sujet mais Eowyn ne manifestait pas le desir de se rendre tout de suite a grande vitesse a Edoras pour pouvoir aller les aider. En fait, elle voulait prendre un peu de temps. les soldats savaient tres bien comment se deffendre et n'avaient nuellement besoin d'elle en particulier pour savoir que si ils sont attaqués, qu'ils doivent reagir. Elle continua donc a marcher, silencieuse comme tout...

Pris d'un mal du pays, mais dans l'autre sens, je me suis mis en route vers Dol Amroth depuis les Havres Gris pour aller voir un peu le monde que je n'avais jamais visité et avec un peu de chance, trouver une piste au sujet de mes freres perdus. La cité m'ouvrit gentilment ses portes et je passa en saluant au passage les quelques gardes encore debouts a cette heure ci. Nous etions pratiquement au beau milieu de la nuit apres tout. je posa mes yeux sur les quelques nuages d'iombragements qui planaient dans le ciel et couvraient certaine etoiles sous leur passage. il y aurait certainement un orage sous peu. J'ai fait ensuite trotter mon cheval pour me trouver un endroit pour passer la nuit. J'ai trouvé une auberge moi aussi mais je n'avais pas les moyens de m'en payer une comme celle que Eowyn avait pris. je me suis donc retrouver dans une auberge ou les gens aimaient mieux se tapper dessus plutot que de payer leur billet pour les littres d'alcool qu'ils avaient du ingurgiter.

*Bon sang que les humains peuvent etre etranges quelques fois.*

J'avais bien lieux de parler, moi qui partageait une moitié humaine avec eux. je me suis donc dirigé vers ma chambre et j'y ai mis mes affaires mais je n'avais pas pour autant l'intenmtion de rester bien longtemps. je n'avais meme pas confiance envers le teneur des lieux. Le fait qu'il me vole quelque chose ne m'etonerais pas, voila la raison pour laquelle je ne lui ai laissé que quelques affaires sans importance et que j'ai gardé ma bourse avec moi. Je suis sorti sur la rue et je suis pratiquement tombé nez a nez avec la princesse Eowyn du Rohan, que je ne connaissais pas mais j'afficha tout de meme mes bonnes manieres, tenu de le faire.

-Je vous demande pardon, j'aurais du regarder ou j'allais.

J'ai relever les yeux pour voir le visage de la jeune femme. Il etait vraiment magnifique mais je n'etais pas du genre a faire la cour a toutes les femmes que je croisais. J'attendis donc sa reaction et de savoir si j'allais ou non me le faire reprocher comme je me le faisait parfois faire lorsque j'etais avec les miens..

P'tit Nouveau Nombre de messages : 99 Date d'inscription : 20/09/2006

(Je retourne au je)

Je marchais deja depuis un bon moment, fixant d'un aire perdu le paysage de ville qui s'étandait devant moi jusqu'à ce que mes yeux soient egalement attirés vers les nuages d'un orage possible. Je ne voulais pas de cette salle température pour partir demain, d'autant plus que j'avais tout un voyage a faire pour me rendre chez moi a Edoras. Sans doute que si il pleuvait ici, il n'allait pas forcemment pleuvoir ou je voulais aller mais quand meme. C'est donc en regardant ces nuages qui me mettaient de plus en plus de mauvaise humeur que je foca pratiquement dans un homme. Au premier coup d'oeil, je crus que c'était Legolas mais après mure regards, je me suis rendue compte que j'avais le doit dans l'oeil. Il lui ressemblait seulement de visage mais le reste du corps etait bien différent d'autant plus que Legolas avait encore bien des choses a faire avant de repartir d'Edhellond, dont le souper qui risquait de se terminer tard. À ma grande surprise, mon interlocuteur s'inclina devant moi. Bien sure j'étais une princesse mais quand même, en ces circonstances, disons que je ne m'y attendais pas. Je l'ai regardé, rougissant petit à petit lorsque son regard est revenu dans le mien.

-Ce n'est rien, je n'ai pas plus faite attention.

Je me suis secoué la tête pour tenter de me sortir de ma stupeur. J'avais vue des sosis d'Haldir dans le corps de Bellerophon mais là, pas la peine d'en faire un plat parce que je croisais un sosie de Legolas. Je l'ai regardé plus attentivement et j'ai également regardé d'ou il sortait. Avec ses habits bien trops riches, il ne pouvait pas être calssé parmis les membres de la basse société, alors que faisait-il à sortir d'une auberge aussi miteuse que celle d'ou il venait? Je ne me risqua cependant pas à le lui demander, de peur de poser une question indiscrête. Cependant, je ne fus pas en mesure de m'empêcher de lui montrer mon embaras face à tout ceci.

La jeune femme me dis que tout allait bien, ce qui en quelque sorte me soulagea parce que même si je n'aimais pas toujours être plaisant, je n'étais pas pour autant du genre à vouloir faire du mal aux autres. Je vis qu'elle regardait à quelque part et qu'elle me regardait ensuite. Je regarda dans la même direction qu'elle et je vis à ce moment que son regard était dirigé vers l'auberge miteuse de laquelle je venais et que ensuite il était dirigé vers mes vpetements. Je devina tout de suite ce qu'elle se demandait, surtout avec son embaras qu'elle n'essayait visiblement pas de me cacher et je me risqua à lui dire:

-Je ne suis pas un voleur, ces habits, je me les ai suis payés, ne vous en faites pas, seulement je suis partit à toute hâte de chez moi et je n'ai pas pris une seule des bourses d'or que j'ai toujours habituellement avec moi, ce qui fais que je me paye ce dont je suis en mesure de me payer. J'espère que je suis parvenu à vous éclaircir sur ce point.

Je fixa une nouvelle fois le ciel puis fit comme un sursaut.

-Mais j'y penses, nous ne nous sommes pas encore présentés. Je suis Blynvan, chevalier des Havres Gris et membre de la noblesse de Doriath.

Je pris la main d'Eowyn et je lui déposa un gentil baiser dessus, comme j'avais pour habitude de faire avec les autres femmes comme elle que je rencontrais. Les habits qu'elle portait me rappelaient étrangement ceux du Rohan, des hommes que j'avais vue alors qu'ils étaient en visite dans les Havres Gris, royaume que je protégeait.

-Et vous?, Lui demandais-je avec le même être tout à fait sympathique. Je n'ai pas pour habitude de faire ca avec les gens que je connais, heureusement car je trouvais ce genre de petites ceremonies bien trop longues.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 99 Date d'inscription : 20/09/2006

J'ai rougis comme jamais encore je ne l'avais fais lorsqu'il devina la raison de mon embaras. Je me suis ensuite rendue compte que je n,avais même pas essayer de le lui cacher et qu'il devait bien rire même si il ne me le montra pas. Bon sang que j'aurais tout donné pour disparaitre à ce moment là.

-Heum... je vous demande pardon, mais avouer que quelque chose comme ca, c'est tout de même assez rare. Je ne pensais pas, comme vous etiez si bien habillé et tout, que vous n'auriez pas assez d'argent sur vous, cela va s'en dire, pour vous payer une auberge comme la mienne. Mais maintenant je comprends pourquoi. Je suis vraiment désolé que cette conversation aie vraiment eu lieu mais...

Il m'interrompis pour me dire qu'ils ne s'était pas encore présenté et il y remédia tout de suite en lui disant qu'il se nommait Blynvan, nom que je ne trouvais d'ailleurs pas si mal. Il me demanda ensuite le mien. Voila donc pourquoi il avait refuser de m'appeler par mon prénom tout ce temps, c'était parce qu'il ne le connaissait pas. J'ai donc baissé les yeux et je lui ai dit:

-Je me nomme Eowyn. Je suis la fille de Eomund et Theodwyn du Rohan, la soeur du Maréchal Eomer et la nièce du roi Theoden. Je suis également membre de noblesse à ce que vous pouvez constater.

Je repris donc entièrement mon sérieu et je le regarda même si j'avais toujours un petit sourrire gentil en coin juste pour lui pour qu'il ne pense pas que je me sentais mal. J'avais horreur que les gens aient cette impression

-Ce n'est pas grave, je suis toujours content d'éclaircir les gens sur certaines choses, ne vous en faites pas, demain au plus tard je devrais avoir oublier, je ne suis pas rancunier.

Puis je la regarda, le regard tout à fait neutre mais elle semblait de bien bonne humeur malgré ce qui venait de se passer, quoi que personnelement, je ne pensais pas qu'il y ai vraiment lieux de se tirer les cheveux à cause de ce malheureu incident. Je regarda un autre petit restaurant qui montait plus haut dans la ville mais qui offrirait certainement une belle vue et une bonne occasion de discuter. Si je voulait accomplir ma mission, je devais me trouver des alliés qui seraient le plus possibles capable de me renseigner à ce sujet. Je lui ai donc demandé:

-Je suis tout à fait enchanté de vous connaitre dame Eowyn et tout honoré de faire la rencontre d'une princesse comme vous. C'est une description bien précise que vous m'avez donné. Cependant, j'ai remarqué votre petite troupe lorsque je suis arrivé et je me demandais, puisque je ne penses pas que vous ayez vraiment eu le temps de vous restaurer, si cela vous plairait que nous ayons manger vous et moi à la taverne qui dommine la hauteur juste là..

Je lui pointa une taverne ou quelques flambeau brulaient encore, comme si elle était toujours ouverte, ce qui devait certainement être le cas. Je n'ai pas tout à fait attendu se réponse et je me suis dirigé vers ces lieux pour me rendre compte ensuite qu,elle me suivait, forte heureusement car je ne me serais pas senti vraiment à l'aise de m'y rendre seul. Je fis préparer une table pour nous deux et nous pumes nous assoire. Je lui ai ensuite demandé:

-Pour quels raisons êtes-vous à Dol Amroth vous? Si je puis me le permettre..

« Et au premier regard, ils s’aimèrent… et patati et patata… mais leurs destins devaient les séparer… et tralala. »

Fit une jeune fille, encapuchonné de velours pourpre, qui, assise sur un muret, de loin avait regardé la scène le nez plongé dans l’écriture.

Charlotte avait le don de mettre non : le pied dans le plat, mais les : deux et ceci en sautant à pied joint pour être certaine d’éclabousser tout le monde, car cela était plus amusant à ses yeux.

Il faut dire, que là, elle était déçue.
Arrivée un jour avant la Princesse guerrière du Rohan et ses guerriers; Charlotte, en voyant les étendards de celle-ci passer la porte de la ville, avait retardé son départ et suivit discrètement Eowyn. Et voici qu’à la place d’une aventure épique, forte en rebondissements et combat , elle n’avait à se mettre sous la dent qu’une amourette... A croire qu’elle avait déjà oublié Faramir !!
Pourtant, dans les récit qu’elle avait lu, Eowyn finissait avec Faramir ? A croire que le couple n’avait pas tenue… encore un potin de cours à rapporter à sa mère qui en était fort friande !

Malgré cela, elle décida de prendre scrupuleusement des notes dans son carnet de voyage, car un fait était constant, au travers des ouvrages qu’elle avait consulté : les histoires d’amour finissent mal, en générale.
A partir de là, il y avait plusieurs solution pour qu’une idylle parte vers le cauchemar :
1, l’un des tourtereaux mourrait en guerre et l’autre dépérissait de désespoir
2, plus intéressant, l’un était kidnappé, de préférence la femme et l’homme menait une quête pour la sauver.
3, l’amour était à sens-unique. Etrangement, c’était souvent l’homme qui n’aimait pas la femme.
Donc, pour le bien de son carnet de route, il fallait qu’elle note cet événement là, même si elle ne le trouvait pas passionnant. C’était entre autre pour cela que machinalement, en écrivant, cet acerbe commentaire était sortie de sa bouche: Et au premier regard, ils s’aimèrent… et patati et patata… mais leurs destin devaient les séparer… et tralala.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 99 Date d'inscription : 20/09/2006

-J'ai toujours eu pour habitude de me presenter ainsi, surtout avec des gens qui ne me connaissent pas. Je suis egalement toute enchantée de faire votre rencontre a vous aussi.

Je sentis soudainement que quelque chose nous suivais alors que nous nous dirigions vers la petite place que Blynvan avait désigné. A ce propos, il n'avait pas attendu ma réponse avant de tout de suite m'y entrainer, ce que je trouvais d'ailleurs fort etrange mais de toute maniere ma réponse allait etre positive alors je n'en fis pas grand cas. Pour en revenir a cette personne que je sentais nous suivre, je n'en fis pas non plus grand cas, car je ne pensais pas que si elle etait du mal, elle passerait vraiment la porte qui separait l'interieur et l'exterieur Pour répondre a la question qu'il venait de me poser, je lui dit:

-Je reviens actuellement d'un mariage dans la ville voisine. C'est pour ca que je ne portes pas mes habits habituelles, meme si je ne penses pas que vous ne m'ayez deja vue vetue comme d'habitude. C'était celui de deux de mes amis: le prince Legolas et la princesse Myria. Je suis certaine que vous en avez entendue parler tellement ils sont populaires ces deux la. C'etait une si belle ceremonie, je n'en reviens pas par contre qu'ils l'aient fas la. peut-etre que sa avait un rapport avec la blessure de leur ami qui les as marier...Et vous, que venez-vous faire au sujte a Dol Amroth?

Cet homme m'intriguait beaucoup. J'avais vraiment envie de savoir pourquoi il etait ici, surtout qu'il m'avait dit qu'il n'avait pas ammener tellement d'argent, donc il ne comptait pas rester ou alors il avait une mission quelconque qui lui interdissait de se charger outre mesure. Le regard de l'autre personne commencait a me procurer l'impression de deux trous dans le dos et je ne pouvais pas dire que je trouvais cette situation fort confortable. Je me suis penchée vers l'homme et je lui ai chuchotter tres bas pour m'assurer que seul lui et moi allions entendre:

-Ne regardez pas tout de suite, mais je penses que les murs ont des oreilles.

Tout ce que je pouvais esperer maintenant, c'etait qu'il comprenne ce que je voulais dire par la.

L’oreille des murs avait fait demi-tour.
Visiblement, un couple se formait sous ses yeux et tant que ceux-ci n’était pas en péril ou en scène de ménage, il n’y avait rien à en tirer de palpitant.
Pour ce qui était de la reproduction des humanoïdes, bien que n’ayant jamais pratiqué, elle en connaissait déjà un rayon, grâce à certains parchemins trouvé chez les soldats isolés et dont on disait qu’ils n’étaient pas de son âge. Donc, voir un duo batifoler ne l’intéressait pas. Encore si le duo avait été des Orcs, oui… il y avait de quoi écrire dessus… mais là… de simples humanoïdes…

Charlotte avait donc fait demi-tour, pensant sincèrement à rencontrer Eowyn pour lui poser un tas de question dont elle fesait déjà la liste. Mais elle le ferait quand elle serait sur qu’elle ne la dérangerait pas pendant son repos du guerrier. Et à première vu, la Princesse Rohan avait une conception bien masculine du repos du guerrier, a savoir : trouver un amant.

Entre temps, alors que Charlotte marchait pour regagner son auberge, son carnet ouvert et crayon posé sur ses lèvres, Truk était revenue. Un faucon se posa sur l’épaule de la jeune fille songeuse et celle-ci remercia intérieurement l’épaisseur de sa cape qui la protégeait des serres de l’animal. Truk venait de chasser, en ville les rats étaient juteux et bien gras, il n’allait pas rater une telle occasion de se remplir la panse. Il tenta à plusieurs reprise d’attraper le crayon de charbon pour attirer une attention qui ne lui était nullement accordé, car Charlotte réfléchissait à comment…

Je l'ecouta tranquilement parler, bien interessé a ses histoires. Un mariage a Edhellond, et de Myria et Legolas..

-Ne vous en faites pas, Legolas a un nom qui est si souvent pronnoncé qu'il ne serait pas etonnant qu'il soit litteralement une legende. Quand a Myria, elle aussi tres connue, elle est ma reine. Je suis un chevalier de son royaume et son pere a fait mon adoubement donc n'ayez crainte, ils ne me sont pas inconnus. Puis je suis ici parce que je suis a la recherche de deux personnes et que je tentes tant bien que mal de me trouver des pistes pour les retrouver. C'est la que je suis tomber sur vous..

Puis la jeune femme me parla des oreilles des murs. Je fis comme elle me le dis et je ne dis rien pendant un moment jusqu'a temps que je me leve de ma chaise, lui fasse signe que j'en avait pour deux petites minutes, et que je me lance a la poursuite de la jeune fille que j'avais vu quitter la taverne quelques secondes apres que Eowyn m'aie dit ca. Je ne la suivais pas de pres, cela allait bien de soit car j'avais recu ce qu'il me fallais pour pouvoir passer innapercu. Je me suis donc de plus en plus avancer pres d'elle jusqu'a ce que je contourne un batiment et que elle, trop prises par ses pensées et l'oiseau perché sur son epaule, ne se rende pas compte de ma venue jusqu'a ce que je me plante devant elle et qu'elle me fonce dedans. Avant qu'elle n'ai pu faire quoi que ce soit, je l'attrappa par le bras, faisant ainsi fuir son oiseau qui serait tomber de toute maniere sous l'instabilité et que je lui mettes le couteau que j'avais d'accroché a la taille a la gorge.

-Vous trouvez que notre conversation etait interessante?

Je serais le bras si fort qu'elle pouvais facilement se le casser si elle decidait de se debattre. J'avais horreur de bien des choses mais qu'on m'espionne, c'etait encore pire. Mon visage le temoignait bien d'ailleur.

Pas spécialement intéressante, sinon, je ne me serais pas éclipsée.

Fit la jeune fille, de sa voix fluette et douce, avec un aplomb qui aurait fait pâlir la cape d’un Nazgul.

Mais à présent que je suis menacée, cela devient fort plus passionnant. Bien que… remarquez, menacer une adolescente qui n’est même pas armée avec une dague et en la surprenant ce n’est point un grand exploit….

Les yeux verts qui jusque là n’avaient pas quitté le calepin remontèrent vers ceux de son interlocuteur pour le fixer de dessous le bord de sa capuche. Elle était immobile, avec la crainte de se faire trancher net dans sa conversation, mais par la même, Charlotte trouvait cela très excitant.

Entre nous, ai-je vraiment la tête d’une dangereuse espionne ?

Intérieurement, elle se disait que c’était peut-être ça le secret des espions, avoir des têtes de Charlotte. Et cela expliquerait pourquoi elle avait aussi échoué dans cette profession, car elle était persuadé qu’il fallait, pour être un redoutable espion, s’affubler de noir et de gadgets en tout genre… Qui d’ailleurs pesaient un poids considérable car rappelons, la miniaturisation n’était pas le point fort de la technologie de l’Arthedain.

Plus haut, Truck s’était posé sur un toit en regardant d’un œil curieux la scène. Dodelinant de la tête, il décida de se gratter le bec avec une patte… décidément ce faucon avait un grand défaut, celui de se prendre pour un perroquet.

Au fait, je vous souhaite la bonne nuité. Même si vous voulez m’occire, la politesse n’est pas à exclure de nos échanges verbaux.

Je garda la pointe de mon arme sur le cou de la jeune fille, même si elle venait de dire qu'elle trouvait que là n'était pas un grand exploit de ma part. Je ne cherchais pas à prouver quoi que ce soit à qui que ce soit moi, je voulais simplement savoir pourquoi elle m'espionnait.

-Je n'ai rien à vous prouver, ni un exploit, ni quoi que ce soit d'autre. Je cherches simplement à savoir pourquoi vous nous écoutiez alors que Eowyn et moi ne parlions que des raisons qui nous avaient poussés à venir à Dol Amroth.

Puis elle me posa la question au sujet de sa tête d'espionne. Qu'est-ce que je pouvais bien lui répondre? Oui? Je ne penses pas, elle n'en avait effectivement pas la tête mais rien n'empêchait que je ne me fiais jamais sur les apparences pour me faire une opinion sur quelqu'un, parce qu'il y avait tellement de traitres de nos jours que je ne voulais pas risquer qu'un beau visage ne soit en fait que traitre.

-Oui et non, vous n'avez pas la tête mais j'ai connu des traitres qui avaient les mêmes habitudes que vous et je ne me suis pas gêner pour les tuer. Alors dites-moi ce qui me permettrais vraiment de croire que vous êtes si différents qu'eux? En tout premier lieu, vous ne faites pas le moindrement attention à ce que je dis et vous fixez votre journal et ensuite vous ne semblez pas stressé par ce que je vien de faire alors que d'un simple mouvement de poignet, je pourrais vous retirer la vie.

Cependant sa dernière phrase me fis complètement lacher prise de sur elle. Elle venait de me souhaiter bonne nuit alors que j'avais la lame à sa gorge et que j'aurais pu la tuer, tout comme je venais de la lui faire remarquer. Je ne savais pas quoi dire, elle avait voulu être polis avec moi, mais je ne pouvais pas vraiment lui rendre cette faveure. Je me contenta de la regarder de manière très étrange...

Un sourire commençait à naître sur les lèvres de l’enfantine femme. Le genre de sourire d’extase que seul une annonce dramatique, comme: ta famille a été massacré et même le petit chat nommé minouche fut piétiné par le cheval d'un Nazgul, aurait pu peut-être défaire.

J’ai l’air d’une espionne ?!

Charlotte faisait partie des rares personnes qui arrivait à aligner un point d’exclamation et un d’interrogation dans la même phrase.

J’ai VRAIMENT l’air d’une Espionne !!?

Elle manqua de sautiller sur place, mais la poigne qui encerclait son bras lui évita de faire cette erreur qui aurait était fatale pour sa gorge.

Charlotte était aux anges, elle était enfin quelque chose ! Une espionne !!

Il fallait qu’elle se tienne à ce rôle à présent et elle tenta de le faire en sortant une traditionnelle phrase bateau de tout les espions, avec un air mystérieux si… mystérieux qu’il en devint ridicule :
Hum… il faudrait savoir combien vous êtes prêt à débourser pour savoir ce que je faisais ici…

| Je joue MJ, le temps de te déblquer Wink

|

Après avoir traversé les mille faux périls de la Terre du Milieu, le nain Firïn entra dans une taverne d'une cité d'une belle apparence, seulement, il y avait la puanteur elfique à plein nez. Une hache à la ceinture, il entra dans le bâtiment en bois blanc. Ça sentait la galenas à plein nez, et on pouvait penser qu'un serveur maladroit avait fait déverser un tonneau complet depuis la cave. N'empêche, il devait y en avoir beaucoup des tonneaux pour remplir un étage complet. A moins que ce ne soit des clients pompets qui avaient renversé leur breuvage. En tous cas, il fit attention à ne pas marcher dans une flaque brunâtre. Il s'installa près du comptoir. Il commença à raconter à son voisin comment il avait tué un ouargue avec des ailes en Rhùn, et comment il était venu à bout du Guetteur de l'Eau de la Moria en utilisant des cailloux. Non sans avoir consommé beaucoup au préalable. Il vit alors que deux chevaliers jumaux avaient pris sous leur dague deux demoiselles jumelles elles aussi, ayant aperçu cette image par la fenêtre de l'auberge. Il n'hésita pas, à sauter au bas de son siège qui tomba sur le sol, et roula entre les jambes d'un serveur qui tomba à la renverse, dans une flaque de l'alcool qu'il portait.
Il poussa un cri de guerre, et sorti par la porte en hurlant:

- Bar -hips- ouk Kha-zazad Khaz... Khazad aî... aî menu! On f'pas d'mal aux gent' d'moisel's!

Il fit un vol plané en trébuchant sur un caillou, et dans son vol, entraina la jambe de l'homme. Tout deux firent un roulé-boulé sur deux mètres, puis il commença à lui donner des coups du manche de sa hache dans la tête. Enfin, c'était ce qu'il croyait, puisqu'il frappait frénétiquement dans le ventre du l'homme.

(Il me semblait que Legolas avait dit que je repassait ce soir? Evil or Very Mad

)

-J'ai jamais dis que vous aviez l'aire d'une espionne, j'ai juste dis que je ne me fiais pas aux apparences puisqu'elles sont parfois trompeuses. Je n'ai pas d'argent à débourser pour toi, puisque je n'en ai même pas assez pour me payer et une bonne auberge et quelque chose à manger en plus.

Je regarda le nain courrir vers moi mais je l'esquiva au moment ou il croyait m'avoir attrapé en sautant. Il était visiblement bourré puisqu'il commenca à frapper le sol avec son manche de hache comme si j'étais encore là. Je regarda la jeune fille, puis le nain et encore la jeune fille. Je lui dit ensuite d'un ton ironique:

-Allez retrouver votre fiancé avant qu'il ne se mette à frapper sur toutes ces pauvres pierres.

Puis je la lâcha et m'éloigna.

-Mais si je vous reprends à nous espionner, que ce soit Eowyn, moi ou qui que ce soit d'autre, soyez certaine que je ne me contenterais pas de mettre simplement mon couteau à votre gorge, mais vous ne l'aurez plus votre gorge.

Puis je me remit à marcher vers l'endroit où j'avais laissé Eowyn quelques minutes plus tôt pour aller voir Chanelle. Je m'assoya à ses côtés et lui dis:

-Je suis vraiment désolé pour ce petit contretemps gente dame, une jeune fille cherchait à voir de quoi nous parlions. Je ne penses pas que ce soit vraiment de la plus grande discrètion mais j'ai horreur qu'un écoute mes conversations lorsqu'elles ne sont pas destinés à cette personne en particulier.

Oui, il l’avait dit, mais Anca a cru bien faire…. Et n’a pas du lire… lol )

Je n’aurai plus de gorge répéta-t-elle mentalement en trouvant cette expression stupide.
Elle regarda le nain, d’un œil curieux et décida de suivre les sages conseils que son grand-père aurait prodigué si il fut là en cet instant : Parles pas aux gens ivres.

Elle se dégagea donc de la rue pour revenir vers l’auberge où Blynvan croyait avoir retrouvé sa tranquillité en compagnie d’Eowyn.
D’un pas léger, sans aucune gêne, elle se posta accolé à leur table pour déclarer, l’index levé :

-Excusez moi de nouveau monsieur « je suis pas assez riche » mais quand vous me dites : je ne me contenterais pas de mettre simplement mon couteau à votre gorge, mais vous ne l'aurez plus votre gorge.
Vous ne pouvez pas dire cela car tout simplement votre phrase est fausse. J’aurais toujours ma gorge, mais tranché. De plus même pas en décapitée, car la dague n’est pas l’outil adéquate pour trancher la colonne vertébrale. A la rigueur vous pouvez m’arracher la trachée. Mais là, il faudrait planter la dague ici.

Fit-elle en montrant un point de sa gorge pale comme l’albâtre.

… et la retirer d’un coup sec en avant tout en utilisant son plat de la lame et non son tranchant. Voilà… c’est tout…

Je vous laisse bonsoir.. ho, encore une chose : J’aurai aimé pouvoir vous parler Dame Eowyn, j’ai tellement entendu d’histoire fantastique à votre sujet ! Mais monsieur me l’interdit. Je crois qu’il essaye de vous séduire.
Cette fois-ci, c’est bon, j’y vais.

Et faisant demi-tour, elle s’en repartie en bon petit chaperon pourpre qu’elle était.

| C'est comme ça qu'on remercie quand on débloques quelqu'un? J'ai vu le message, mais qu'est-ce qui m'empêchait de le faire dis-moi? |

Le nain vit alors l'elfe disparaitre. D'abord il cru qu'il s'était évaporé. Mais il vu bien vite qu'il s'était enfui en laissant la dame rousse. Puis celle-ci aussi était partie. Vexé, il devint rouge et hurla:

- Reviens nigaud! Les haches des nains sont à tes trousses et elles vont te découper!

Puis il se dit que ce n'était pas la meilleure manière de le faire revenir, et il retourna à la taverne. La même odeur était stagnante, et il s'approcha du comptoir en commandant une pinte de bière. Il continua à discuter de fariboles avec son voisin autochtone.

Je ne porta pas attention a sa remarque qui devait certainement etre faite dans le but de se moquer de moi. Non, tout a fait normal, je lui dit:

-Ou alors il me suffit de couper a chaque extremiter pour vous decapiter et pour separer le reste de peau de votre corps afin de me retrouver avec trois morceau. Maintenant, disparaissez avant que je ne me fache pour vrai.

Seulement, je fus bien loin d'apprecier sa remarque. En fait, elle me faisait bouilloner de colere a l'interieur mais je n'etais pas fou. Je l'aurais en fait été si je lui avait montrer ce que je ressentait face a ces paroles. J'attendis a la place qu'elle s'en aille avant de dire a Eowyn:

-C'est mal de tuer les gens dans ces circonstances. Je la reprendrais la prochaine fois, peut-etre et n'allez pas croire en ces paroles. Un membre de la cour ne peut-il pas etre de grande gentillesse envers les dames comme vous sans se faire accuser de tentative de seduction? Par ailleurs, je suis au courrant que votre coeur est deja pris, par un homme noble a ce qu'il parrait. Je n'ai pas l'intention de tenter quoi que ce soit avec vous, pas dans le sens qu'elle l'entends en tout cas, c'est bien certain.

Je regarda ensuite la porte de la taverne se fermer après le départ de Chanelle.

-Pourvue que je ne la recroise pas avant un bon moment, j'ai besoin de travailler sans avoir sans cesse l'impression d'etre suivit...

Le souhait de Blyvan fut entendu par Dame Destinée qui lui accorda le départ de Charlotte.

La demoiselle d’Eketta avait ouie dire que les routes de nuits étaient fort mal famée. Elle ne compter donc pas rater l’occasion de voir de près une attaque de brigand, une troupe d’orc où mieux encore : un Nazgul !
L’inconsciente enfant oubliant qu’elle serait sûrement la première victime de ses « souhaitables » rencontre, décida donc à se mettre en route de nuit pour une destination qu’elle-même encore ignorait et qu’en toute naïveté, elle nommait : l’Aventure.
Ainsi partit Charlotte, montée sur l’ancien destrier de guerre piqué à son grand-père qui tout deux étaient bien trop vieux pour la faire encore.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 99 Date d'inscription : 20/09/2006

J'avais pris bien d'autres verres en attendant que Blynvan revienne mais ils n'avaient pas d'alcool mais plutôt de l'eau comme contenu. Je ne tenais pas à me saouler tout de suite d'autant plus que je ne pouvais pas voyager avec la tête qui me donnerait l'impression qu'elle pouvait exploser à tout moment comme elle m'en donnait l'impression présentement. Finmalement, Blynvan revint vers moi, à ma grande joie car je ne pouvais nier le fait que je commencais à m'ennuyer en regardant les gens partir petit à petit pour gagner leur lit bien douillet. Il vint s'assoir à côté de moi et une autre fille le suivait mais elle ne venait pas se joindre à nous. Non en fait, elle venait plutôt rappeler une quelconque mauvaise manière de parler de Blynvan qui me fit sourrire.

-Ne vous fachez pas pour si peu voyons, elle ne vous ferra pas plus de mal que ca. Ce n'est qu'une enfant, bon en apparence en tout cas. Calmez-vous. Mais j'ai de bonnes nouvelles pour vous mon cher. Tandis que j'y penses, je sais que vous n'essayez pas de me séduire, car je vous crois bien meilleur que les hommes qui essaient de séduire les femmes des autres. Mais tout de même, j'ai pensé à quelque chose concernant votre mission. Vous disiez chercher deux frère si je ne m'abuse. Eh bien il s'adonerait que les seigneurs Legolas et Laesonif auraient par le passé pris soins de deux autres demi-elfes qui auraient été abandonnés en Lorien. Commencez par eux, ils pourrons sans doute vous aider.

Je lui souris, croyant que j'avais enfin trouvé une piste pour lui.

-J'ai toujours eu cette facheuse tendance à me mettre en rogne pour rien quelques fois mais son allure comme elle avait m'a mis en colère et je ne sais pas comment mais je me sens mieux, ne vous en faites pas.

Puis j'écouta ses paroles qui venaient peut-être de me donner la clef qui me manquait:

-D'autres chevaliers? Abandonnés? En Lorien? Mais ma chère Eowyn, je crois que vous venez tout juste de me donner la clef de ce que je cherchais!

Il n'y avait pas de mot pour dire à quel point j'étais finalement heureux d'avoir trouvé une piste vers mes frères. Depuis le temps que j'en cherchais une! Mais en plus, apparament qu'ils viendraient tout deux de forêts, ou plutôt de royaumes elfiques! C'était une si drôle de coincidence. En même temps, j'eut un choc de savoir qu'ils avaient été adoptés par des seigneurs. Si c'était bel et bien eux, je ne pouvais plus compter sur mes doigts le nombre de similitudes que nous avions tout les trois, c'était étrange mais super.

-J'irais voir à cela demain, parce que je penses que ce soir, il est un peu tard, mais merci gente dame, merci énormement de m'être venu en aide comme vous venez de le faire. Je cherches un moyen de racheter mes parents au près d'eux mais il faut d'abbord que je les trouves...

P'tit Nouveau Nombre de messages : 99 Date d'inscription : 20/09/2006

-Je vous dis ca mais je ne suis pas moi-meme au courrant de tout et chacun des details de cette histoire. Je sais seulement que les deux chevaliers qui semblent si pres des seigneurs ne sont pas de leur famille mais qu'ils ont ete pris en charge par eux..

Mais il avait raison, il se faisait tard et j'aurais a partir tot moi demain, puisque je devais retourner chez moi et je ne savais pas si Theoden savait ou j'etais et si il etait meme revenu chez nous vivant ou mort au combat qu'on m'avait annoncer et auquel il devait participer.

-Ce fut un plaisir de faire votre rencontre et j'espere vivement que j'ai pu vous donner une bonne piste. Je vous ai dit que je ne savais rien de cette histoire, mais en fait, je suis certaine de ce que je dis lorsque je vous dis que ces deux hommes ne connaissent pas leur parents biologiques, qu'ils ont ete trouvé en Lorien et que tous les deux se sont cotoyés pendant un bon moment sans savoir qui ils etaient vraiment. Faites attention cependant. Bien que je ne connais pas trop bien ces deux hommes, je sais que de leur parler de leur parents biologiques, c'est dangereux car ils leur en veulent de les avoir abandonnés alors qu'ils auraient tres bien pu mourrir tout les deux dans l'hiver de Lorien.

Deux demi elfes abndonnes dans las Lorien. Pour la premiere fois, j'avais vraiment une piste pour trouver mes freres abandonnés. Je n'osait cependant montrer ma joie davent la princesse Rohirrims. Mais elle me mit en garde contre les deux demi-elfes. Elle disait que le sujet de leur parents biologiques était un sujet sensible qui etait preferable de ne pas aborder avec eux.

-Je ne sais comment vous remercier princesse. C'est une telle avancée que je fais grace a vous. Je ferrais attention a mes paroles mais si je veux que ma quete touche a sa fin, je n'ai d'autres choix que de leur en parler. Si ils veulent ou non me suivre, c'est quelque chose qui les regarde eux et uniquement eux, je ne puis faire quoi que ce soit en ce sens. Merci encore mais la nuit est tard et j'ai cru comprendre que vous deviez vous rendre chez vous le plus tot possible. Je ne vous retiendrais donc pas et je m'en vais immediatement. Merci et bonne nuit a vous.

Puis je me leva, paya pour nos deux repas et me dirigea vers mon auberge miteuse. Sous le regard intriguer des deux tenants de la place, je leur fit une simple salutation. Ils avaient du aller fouiller dans ma chambre et etre decu de ne rien y trouver pour leur compte. Il ne me manquait aucun de mes effets, fort heureusement pour eux, ou aucun dont je ne pouvais pas me passer. Je m'endormis mais le lendemain, je partir le plus vite possible vers la ville elfique d'Edhellond.

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Un repos apres la ceremonie