En attente d'Aragas

Contrairement aux autres, j'avais sauté de ma monture sur un groupe de gobelins à mon arrivé. Je combattais au sol, c'était plus efficace. Ma lance tournoyais autour de moi, tranchant les gorges des gobelins à porté. Je pris ma lance au milieu de sorte à faire chuter les gobelins qui allais à ma rencontre. j'envoya ma lance qui transperça 2 ennemis et sortie Durendil. Bouclier main gauche je pare et frappe. Les coups sont simples, précis et expéditif.

7!8!9!10!

Les gobelins me voyant à pied, me préférais au autres et leurs monture meurtrière. C'est pourquoi, les morts étais plus nombreux.

Ces monstres sortirent alors leurs arc et commencèrent à faire feu. Je stoppe les tirent et coure au milieu des archers.

11!12!13!14! A MOI LA BIERE!

Je rejoingna Aragas pour l'épauler.

Ne perd pas ton temps en duel! Expédie moi ça le plus vite possible. Il n'y a que comme ça qu'on peut tué le plus avant de mourir.Même si ce n'est pas aujourd'hui.

Ah maudite rouille, tu ne me battras pas, fils des plaines !!

Némésis compris tout de suite que les morts n'étaient pas assez nombreux.
Il tenta de faire une percé à travers les gobelins, mais ces anciennes blessures, sous l'effet des chocs à répétition, se réouvrirent. Le sang coulait le long de ses flancs, n'en pouvant plus, ma monture trébucha et tomba sur le coté. Je sautais de ma selle avant de me retrouver écrasé sous le poids de mon ami.
Ma haine était palpable. Les gobelins les plus proches virent mes articulations blanchirent sous l'effet de la colère. Je serrais tellement fort ma hache que ma main devint douloureuse. Mais je n'en avais cure, un voile rouge passa devant ma yeux. Le combat fut d'une rare violence. Je m'acharnais sur les cadavres. Les morts ne se comptaient plus. Ma monture ferma les yeux, je pâlis et perdis tout contrôle de moi-même. J'étais devenu un ouragan d'acier. Quand les ennemis préférèrent aller combattre mes amis, je rejoignis ma monture et pansais ses blessures.

Tes blessures ne sont pas graves, heureusement pour eux...

les bandages mis, je me mis à compter les morts qui étaient autour de moi, 20,21,...,25; plus les 8 au début du combat, cela élevait mon score à 33.... raisonnable. J'entendais au loin Aldor marmonner dans sa barbe:

... maudits gobelins, 34,35,36 !!!

Ces paroles me firent sourire, il avait l'esprit et la force des nains....

Aragas cracha un caillot de sang. Elle se tourna brusquement vers Aldor. Elle ouvrit la bouche pour parler, puis la referma. Son visage se détendit.
-Oui. Je viens d'en faire les frais! J'y penserais la prochaine fois.
La jeune gradé se dirigea vers Egrin.
-Ses blessures ne sont pas trop importantes? Tu veux de l'aide pour le soigner? proposa-t-elle en s'accroupissant près de Némésis. Elle posa sa main sur l'épaule de la bête. Elle la sentait frémir sous ce contact. Aragas entendait Aldor comptait . Elle sourit. A ce moment précis, elle se dit que jamais elle ne pourrais l'égaler.

Mais cette pensée fut vite chasser. Aragas se rendit compte que son cheval n'était pas là. Inquiète, elle se leva précipitamment, et se dirigea vers les collines, afin d'avoir une vue globale. Elle aperçut son cheval à l'opposer du champ de bataille. IL marchait la t^te basse, en trainant les jambes.
la jeune femme modula un long sifflement, et descendit en courant pour aller rejoindre sa monture.

Elle le rejoignit après une course effréné. Il semblait abattus. Elle vit alors deux carreaux plantés dans la cuisse de son cheval. Aragas l'arrêta, le fit se coucher après lui avoir enlever la selle.


Une heure plus tard, Aragas se releva. Ses mains et ses vêtements étaient tachés de sang, mais sa monture souffrait moins. Elle avait, fort heureusement, dans les fontes de sa selle, pensait à prendre du fil et une aiguille, ainsi que du linge propre pour soigner.

Une heure après encore, Hegel, son cheval, réussit à se lever. Aragas posa sa main sur le garrot du cheval, et ils retournèrent tout deux, doucement mais surement, vers le lieu ou se trouvaient les amis de Aragas.

HRP ( Aldor, mon cousin est en plein déménagement si tu n'as pas vu dans "absences", il est désolé, sa ligne n'étant pas encore installée, donc soit on attend qu'il revienne soit on continue le Rp.. voilà donc )

HRP : oki non j'avais pas fais attention. Ben on as qu'à l'attendre pour continuer, quoique dans le dernier post c'était avec toi que je parlais. Comme tu veux.

Le combat continuait. Les gobelins étaient de moins en moins nombreux et la plus part commençait à fuire. Je profitais de l'occasion pour tester de nouvelle technique de combat. Un troll ayant faim avais entendu le vacarme et s'était approché.

Je me dirige vers lui. Esquivant ces attaques, je parvint à découvrir une breche dans sa défense. Deux frappes puissantes suivit d'une série de frappe avec la pointe de mon sabre à une vitesse presque surhumaine avant de finir par la frappe puissante toujours avec la pointe, me suffisait pour tuer se troll qui sous la force de ma dernière frappe tomba en arrière sans que j'ai eu à bouger.

Mes Amis la fin est venue. 37!38!39!40!41!42!

Ma monture se sentait mieux. Je la laissais, en arrière et repartis au combat. Les gobelins dans leur panique, laissaient tomber leur armes et partaient en se bousculant, ce qui les rendaient encore plus vulnérable. Ma folie meurtrière était passée mais mon envie de vengeance persistait. Je pris ma hache de combat, la fit tournoyer et la lancais à l'horizontale sur les gobelins en fuite. Les pauvres créatures en eurent les jambes sectionnées. Ma hache telle une tornade fit une trouée dans les rangs ennemis. Le combat touchait à sa fin. J'entendis au loi le long cris d'agonie d'un troll, puis la harangue d'Aldor. Je n'avais tué que 35 gobelins au grand maximum, la blessure de Nemesis m'ayant fais perdre du temps.

C'est bien fiston je crois que tu as gagné ton tonneau. Allons finissons-les et rentrons.

Les gobelins étaient maintenant mort et le combat pris fin. Je laissais le reste à Aragas.

Mon pauvre Egrin. Je te laisserai une choppe par générosité. AhAHAHAH!

Je m'assoie sur le corps du troll pour me reposé un peu et...

OOOOOOOHHHHHHHH BANNAAAAANNE!

Je regarde derrière moi et découvre une flèche mal placer dans mon corps.

Mes compagnons se mirent à rires mais Egrin était entrain de se rouler par terre plier en deux.

Sa fait mal, j'ai pas honte de le dire. On pourrait me debarasser de cette flèche?

Hm je ne sais pas j'hésite franchement.... Buahhhaaahhhhaaa j'ai jamais rien vu d'aussi drôle depuis que mon oncle s'était fais tomber un bout de fer chauffé à blanc dans le pantalon .... Ohohhhhooooooooo kof kof kooorf.

Je fus pris d'une violente toux due à ma nuit à la belle étoile avec ma monture.

Kof , maudite kof rouille, rentrons je suis congelé, je crois qu'un bon grog sera meilleurs qu'une bière. Mais d'abord il faut t'enlever cette flèche.

Je dis cette dernière phrase avec un grand sourire.

Bon mets toi sur le ventre, je vais mettre de l'alcool nain sur la plaie pour désinfecter, ensuite j'enlèverais la pointe d'acier et je te ferais un pansement.

Aragas venait d'entrer de nouveau dans le camps des gobelins, quand elle entendit un cri inhumain. Elle lâcha les rênes de son cheval et se mit à courir en direction du cri. quand elle arriva sur les lieux, elle entendit un rire ponctué par une vilaine toux et la voix d'Aldor qui semblait en mauvaise posture. Il se tenait le derrière en l'air, et Egrin ne trouvait rien d'autre à faire que de se rouler par terre en rigolant comme un tordu.

Elle entendit Egrin dire: "Bon mets toi sur le ventre, je vais mettre de l'alcool nain sur la plaie pour désinfecter, ensuite j'enlèverais la pointe d'acier et je te ferais un pansement."

Aragas remonta ses manches et courut vers Aldor. Elle s'interposa entre Egrin qui s'approchait avec un poignard.
-Je pense que le mieux, ce serait d'inciser afin de retirer proprement la pointe de la flèche. Et faudra le recoudre après. J'ai ce qu'il faut. Qu'en pense tu?

Aragas se retenait à grand peine d'éclater de rire en voyant la tête d'Aldor, qui semblait vouloir disparaitre dasn un trou de souris.

Pff recoudre, c'est bien une méthode de femme ça... reviens ici Aldor ça sera vite terminé, allons viens ici mon garçon ne part pas !!!!

Le rire me repris mais ma vilaine toux me rappela à l'ordre.

Bien alors je te laisse t'en occuper, mais ça aurait été plus rapide à ma manière... Tu es sûre que tu ne veux pas que je le fasse. Qu'en penses-tu Aldor, qui préfères-tu ?

Je posais cette question, le sourire jusqu'aux oreilles, connaissant d'avance la réponse. Il pourra retenir une leçon de cette malencontreuse position: partir au combat sans se soucier de ses arrière pourrait lui être fatal.

Je me sentais nul, surtout quand aragas proposa de s'occuper de moi. j'entendis la question d'Egrin.

Pour le moment, je voudrai avoir ce tonneau de bière sous la tête pour pouvoir la plonger dedans afin d'oublier ce passage déplaisant et m'anestésier. Faites comme bon vous semble. C'est pas demain la veille que vous aurez l'occasion de revoir mon fondement! Nemesis a beau prendre des flèches au même endroit, ça ne vous fait pas rire. Et bien sur quand c'est moi personne ne WAAAAAAAAAAAAAAAAIIIIIIIIIIII!!!!

Egrïn arracha sauvagement la flèche pour me faire taire et en même temps assouvir son plaisir de me voir souffrir.

Si vous raccomptez cette bataille à vos descendants ou au camp, jurez moi que vous ne leur racontez pas ce passage!!!!

Aragas venait de sortir son fil quand Egrin arracha la flèche de l'arrière train de Aldor. Elle ne put s'empêcher d'éclater de rire en entendant le hurlement. Son fou rire passé, elle lança à Egrin:
-Amène l'alcool stp mon chou. et toi Aldor, ne bouge pas sinon ça fera ENCORE plus mal!!!!

Elle s'agenouilla près de son capitaine, inspira profondément et retrouva son sérieux. D'un geste professionnel elle enfila le fil dans le chat de l'aiguille et recousit Aldor rapidement.

-Ben voilà une affaire terminé. Et ça me fera un truc à raconter à la garnison ! ajouta-t-elle avec un sourire malicieux.

Voici l'alcool, fais attention de ne pas t'en mettre sur les doigts ça brûle un peu.

Je tendis une fiole à Aragas, puis je regardais Aldor avec un grand sourire.

Ne t'inquiète pas ni le camps ni mes descendants n'en entendront parler, par contre je peux t'assurer qu'on va bien rire à la mine pendant plusieurs décennies encore. Allons ne fais pas cette tête déconfite, je plaisante, et comme a dit un jour un certain ménestrel : la misère des amis n'est pas plus amusante que la vue d'un jardin dont la flore est mourante... Mais j'ai jamais compris ce que ça voulait dire....

Je me grattais pensivement la barbe ne remarquant pas le fou rire qu'essayais de dissimuler Aldor et Aragas.

C'est pas un barde qui disait ça ? Dans ce cas voici ce qu'a dit l'aventurier qui l'accompagnais : J'ai envie de me pendre! Même les grands chefs ont pris des flèches mal placé. C'est seulement que personne n'en a parlé afin d'héviter qu'il perde son charisme. Vous imaginez Theoden à ma place, qu'aurais vous ressentis d'être sous ces ordres tout en sachant cet évènement. Et surtout, combien de temps vous laisserai-t-il en vie?

Le message était clair, je priais pour qu'ils comprennent l'envergure d'une telle nouvelle auprès des hommes.

Plus de charisme, plus d'obéissance, et la mort assuré au combat.

Mais je ne dit pas que cela ne fera pas un bon souvenir à parler autour d'une bière dans quelque temps. Remarquer, on a bien besoin de rire de temps en temps dans une guerre.

Aragas écouta les sois disant dires du barde et de l'aventurier.
-Ok chef, je dirai rien! en revanche, pour la bière, je dis pas non. Pas vrai Egrin?

Elle sauta en selle, et attendit patiemment que ses compagnons se mettent en route.
Aragas fit marcher sa monture jusqu'à Némésis. Elle mit pied a terre et s'accroupit près de Némésis. La bête grogna doucement, puis ferma les yeux quand Aragas la caressa.
-Bon, tu vois, je te fais pas de mal, lui dit elle d'une voix douce.
Elle remonta a cheval et laissa son cheval brouter en attendant Aldor et Egrin.

Allons morveux, allons à la taverne. Je crois que pour moi ce sera un bon grog bien chaud, il faut que je réchauffe mes vieux os.

J'évitais le regard et la lame d'Aldor et couru vers ma monture. A mon arrivé, elle se leva, le regard pétillant.

Et non mon ami la bataille est terminée. J'ai déjà pris aujourd'hui trop de risques. Après un entrainement approprié, nous pourront aller au combat l'esprit en paix et la hache et le marteau en feu !!!
D'ailleurs mes chères ami et amie, il me faudra votre aide pour m'entrainer.

J'entrevis un regard malicieux entre les deux militaires.

Mais je vous préviens c'est moi qui commanderait !!!!!!