La reflexion de Suladen fût troublé par un serviteur. Celui-ci s'inclinats bien bas avant de prendre la paroles et de dire:

-Seigneur, une trentaine d'elfes attendent aux portes de la ville. A ce que l'on a comprit ils veulent proposer un pacte de paix, ou la mort
-Bien, répondit Suladen, fait les venir ici, et désarmes-les.

Le serviteur partis à la hate. Suladen regardat un de ses capitaine et fit un hochements de têtes quasi imperceptible. Le capitaine sortit lui aussi de la salle pour revenir accompagnez d'une vingtaine d'hommes, tandis qu'aux balcons des archers arrivaient et, bien que leurs arcs ne soit pas bandé, leurs flèche étaient encoché et dégoulinait de poisons. Suladen ne savait pas si il allaient simplements tué tous les elfes ou en laissé un pour qu'il ramène les têtes de ses anciens camarades.

Petit effronté l'harad ne se vouera jamais à la cause des vermines peuples libre.Discution diplomatique ou pas ,Arda sera quand même à Sauron ,quoi qu'il en soit .Alors voila .Je vais procédé comme cela est tempis pour vous pour la suite .Si le prince du Harad accepte ce qui m'étonnerais je partirais donner la nouvelle à mon maître .Et en cas contraire se qui risque d'arriver ,je voue tue et j'apporterais mon même vos têtes à votre reine .Donc je vous laisse terminé ,mais préparé vous .Je ne suis jamais loin .Pas de geste brusque .



Sur c'est mots Khâmul parti un peu plus loin pour attendre la réponse de Suladen ,le prince du harad .Et Khâmul attend la réponse impatiament pour pour faire se qu'il à dit qu'il ferait au elfes .

Pendant que le diplomate parlait, l'arriver du nazgul, et l'échange entre ses deux derniers, Suladen avait murement réfléchis. Apres les dernieres paroles de l'elfe, Suladen se levat brusquement et dit d'une voix forte, autoritaires, et pleine de colère:

-Comment osez-vous! Comment osez-vous me menacé, dans mon pays, dans ma ville, dans mon palais! Peu, fit-il plein de dédain, Vous-vous croyez forts avec vos "immense armée de Noldor", mais apparament vous n'avez pas bien regardez la ville quand vous êtes arrivez. L'armée du Roi-Sorcier campe ici! Trois cent mille orques. Mais même sans eux la victoire m'est assuré: Il y a dix-mille hommes dans le proche-harad, dix-mille ici, dix-mille dans le Nâfarat, dix-mille dans l'extrême Harad plus leur Mumakils, et entre ces trois régions se trouve au moins soixante-mille haradrims pret à la guerre.

Il fit une pause puis reprit la parole.

-Connaisez-vous le dicton:" les actes sont plus éloquent que les paroles"? Et bien avec ce dicton j'en déduis que vous me craigniez, vous les elfes. Si vous ne me craigniez pas, vous auriez attaqué. Néenmoins, je suis pret à parlez de pactes de paix, mais ceulement avec votre reine. Et pour m'assurer qu'elle viendrat tu resteras ici, dit-il en désignent celui qui avait prit la parole, Bien partez rapporté les nouvelles à votre reine.

(hrp : Je sais, j’aurai du me contenter d faire le lecteur, mais devant une telle profusion de Nazguls, c’est trop tentant ! )

La porte vola littéralement en éclat(heu nan, ça fait gros pg ça) souvrit brutalement en claquant, laissant place à 5 individus, pas très grands, à la peau noire et aux yeux rougeoyants, armés de yatagan et de usrievs.
Des Variags du Khand.

Le meneur semblait un peu plus grand que les autres et franchement plus costaud. Avec un rire jubilatoire, il s’exclama :

-Ah ah ! Voyez comme Umbar est facilement tombée : nous voilà déjà à la salle du trône !

Il pointa sa lance en direction de Suladen :

-Arthor ! Ton déguisement de Haradrim ne me leurre pas ! Ta fin est proche !

L’un des Variags se pencha vers le chef pour dire :

-Seigneur Ûvatha, je crains que nous ne soyons pas à Umbar, mais à Cathal, et le seigneur que vous pointez est bien le Prince Suladen.
-T’es sur ?
-Euh… oui !
-Pourquoi tu ne m’a pas prévenu plus tôt ? Je ne me serait pas tapé la honte devant tout le monde ! Fit le Nazgul en saisissant son garde à la gorge.
-Argl ! Parce… que… dès qu’on vous… contredit… vous nous… affrontez… en duel !… Ca fait… mal… à force !
-Pourtant y’a des Elfes, ici ! fit-il en le lâchant.
-Comment le savez-vous ? Vous ne regardiez pas dans leur direction. Demanda l’homme en se massant le cou.
-Il y a des ours, donc il y a des Elfes !

Oui, selon la logique Ûvathienne, tout ce qui n’était pas logique était obligatoirement Elfique.

Mais que faisait le Seigneur des Variags ici ?
Petit flash-back :

Avec sa troupe, le grand Ûvatha suivait sans coup férir la trace de l’impertinent Roi de Nùmenor afin de… « lui asséner une juste et saine correction dans le respect des convenances diplomatiques »… bref, ça, c’est du Dwarien (langage couramment utilisé par Dwar). Traduit en Variag, ça donnerait : «afin de lui péter sa sale petite tronche de prétentieux à 2 anneaux de cuivre ! »
Soudain, Ûvatha s’arrêta :

-Nous ne sommes pas loin d’Umbar, nous allons y aller pour aider Yrris à finir le travail !
-Euh… Nous sommes loin d’Umbar !
-Quoi ? Tu doutes de mon sens de l’orientation ?
-Euh… non, Seigneur ! Mais…
-Alors, allons-y ! C’est par là !
-Aïe ! Mais, Seigneur, nous ne sommes que 5, nous n’allons pas attaquer une armée, même malade.
-Ecarlate l’a fortement affaiblie à seulement 12 Variags. Et moi, je suis un Nazgul ! Doutes-tu de ma force ?
-Non Seigneur !

Douter de la force d’Ûvatha, c’était se prendre un coup de poing à vous en décrocher la mâchoire, tout Variag connaissait ce point et évitait de prendre des risques inutiles.



Voilà pourquoi Ûvatha, grâce à son légendaire sens de l’orientation (le plus minable des Terres du Milieu sauf dans le Khand), était ici, lance pointée sur Suladen, ne sachant pas trop quoi faire dans une ville qui n’était pas celle qu’il visait et dont les soldats l'avaient laissé passé car il était un allié... même si il tenait des propos bizzares au sujet d'une certaine Umbar mais ça devait être l'âge.

-Je crains que nous soyons loin d’Umbar, maintenant. Fit l’homme
-Où est Umbar ? Demanda le Nazgul.
-Loin au Nord-Est, Seigneur !
-Au Nord-Est ??? Fit Ûvatha en pointant la direction de sa lance.
-Vous pointez le Sud-Sud-Est, Monseigneur… Acheva le Variag, entre désespoir et abandon : hors du Khand, Ûvatha était la dernière personne à utiliser comme guide, sauf si on voulait faire une attaque surprise dans une ville pas du tout préparée même en lisant ses rps.

(HJ: Ûvatha tu peut nous expliquer ce que sont des yatagan)

Suladen écoutait le Roi-Sorcier et le messager des noldor parlé, quand la porte s'ouvrit brusquement l'aissant place a cinq Variags de Khand.

-Ah ah ! Voyez comme Umbar est facilement tombée : nous voilà déjà à la salle du trône ! dit celui qui semblait être leur chef, Arthor ! Ton déguisement de Haradrim ne me leurre pas ! Ta fin est proche !

Suladen de savait pas trop quoi faire. Cet homme venait de le confondre avec l'allier de son père adoptif. Il confirmat ce que disait le garde à sont sujet. Puis les deux Variags parlèrent de la position d'Umbar.

-Je peux vous fournir une carte si vous voulez, lui proposa Suladen comprenant qu'il sagissait de quelqu'un d'important.

Soudain un serviteur sortit du mur derrière Suladen. Oui de derrière le mur, il y avait une porte dérobé. Le serviteur s'approchat et lui dit asser bas pour que seul Suladen l'entende:

-Umbar est devenue neutre, Le gouverneur nous invite a y construire une ambassade.
-Bien, je vais m'occuper de sa, lui répondit le prince. Messieurs! annoncat-il d'une voie forte, cette discution diplomatique est à présent terminer. Le Harad refuse le pacte de paix des Noldors et reste fidèle au Mordor. Je dois maintenant m'occuper d'affaires importantes.

Puis il partis avec son serviteur par la porte dérobé utiliser précédament.

Ûvatha observa les Elfes partir puis se détourna de ces êtres qui n'avaient, à ses yeux, que la valeur de leur scalp.
Pour lui, le comportement du Prince était aux limites de l'admissible envers sa personne.
A une vitesse surprenante pour un homme trapu, il rattrapa Suladen derrière ladite porte dérobée, écartant sans ménagement, ni effort, le serviteur.

Vous êtes donc le jeune Prince d'Harad.
Le fait que nous soyions des alliés ne vous dispense pas d'un minimum de respect.

Seigneur Ûvatha... ? interpela l'un des 2 Variags, celui qui avait été choisi pour ses talents de diplomatie et son sens de l'orientation plus que pour sa capacité à combattre.

Quoi? répondit le Nazgul très énervé.

Peu de gens savent... à propos de... votre résurrection quelque peu... altérée de manière manifeste et... visible.

Ce n'est pas une raison valable! Maintenant, il suffit: tu parles trop et tu tentes de m'embrouiller avec ton langage savant. Finit le Seigneur des Variags, dardant un regard peu engageant à Suladen.