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Peut de temps après avoir remarqué la volley de flèche partant du Chateau en dirrection d'IDrahil, deux hommes sortie, ou peut-être trois, bref les deux hommes, en temps que seigneur était sortie en armure, ne sachant pas trop comment se présentait la situation, et ils sortient au même moment que Kerwin venait de quitter Cair Andros, le seigneur des lieux regarda son fils faire en marmonant a Imrahil

Tu sais se qu'il c'est passé?..

Il observa Héro partir au loin avant de tourné son regard sur Glorfindel et compagnie, il fit signe a Targrid sur le toit de gardé l'oeill pendant que lui et son frère s'avanca en regardant Idrahil au sol

J'igniore se qu'il c'est passé, et j'apprécirais quond me dise...

Il observa Ker-Dûnaphil, Écarlate et Varsha, sachant déjà qui était ou dans les titres de la terre du milieu il demanda à Écarlate

J'imagine que vous ete le gouverneur d'Umbar?... qui souhaite nous voir, moi et mon frère?

Il resta tranquil en observant Varsha et Ker-Dûnaphil par après sans rien dire.. en attendant d'avoir une réponse d'Écarlate, naturellement la garde trainait un peut plus loin au cas ou Idrahil essayerait de jouer un nouveau tour de loup Garou

____________________________________________________________

Idrahil

Idrahil écouta les paroles d'Ecarlate sans rien dire, il observa Kerwin quelque instant, il parlait de son épée?.. pourtant, personne n'était suposé savoir la raison pour laquelle il cherchait son arme.. mais bon.. il resta silencieusement assit au sol pendant quond lui retirait les flèches qu'il portait sur son dos, Glorfindel avait protegé son petit neveux fils, appellons sa comme vous voudrez(pas sur du nom ) et Ecarlate lui avait fait ces menaces, le seigneur du nord lui répondit

Bien entendu Gouverneur, je resterais sage..

Il observa Kerwin partir de derrière Glorfindel pour remonté en celle et partir de la forteresse... la première réaction de l'homme loup était surpris, pourquoi il partait?.. suivit d'un mouton qui se sépare du troupeau ne pouvait survivre seul dans la nature... il le traquerait plus tard.. puis Targon apparu, génial, son heure de gloire était terminé...mais au moin il n'était pas conscient de se qu'il venait de faire..c'était déjà un début

Imrahil avait même pas eu de réponse venant de son frère au sujet de ce qu'il se passait à l'Exterieur... mais bon, s'était sûrment à son habitude, alors il le suivait, armé de la deuxième épée de Targon(en conséquence ) de Mithril pour sortir de la forteresse, l'homme en armure lourde de Dol Amroth descendit les marches de la forteresse pour ce dirriger vers l'Endroit ou était Glorfindel, Idrahil, Ecarlate Cha et Ker-Dûnaphil... il continua de marché et se rendit vite compte qu'il avait une autre personne... qui semblait bien...sanglanté?..mais bon, il arriva avec Targon dans le ''cercle'' de personnes et son frère parlait, Imrahil avait gardé le silence juste cas temps qu'il vit du coin de l'oeil Kerwin, sur héro partir de Cair Andros..génial il se retourna vers Targon qui demandait des explications, Imrahil lui dit

Je vais aller le voir..

Il s'excusa d'un bref signe de tête envers les autres personnes présentes, le gouverneur d'Umbar pour être précis.. pour lui, le reste n'était que des gardes du corps, bref il se dirigea a la course vers l'écurie pour y monté son destrier et essayer de rattraper Kerwin, et empêché qu'il y a des prédateurs à ses trousses, pendant que Glorfindel lui venait de réaliser le départ de KErwin, mais Targon arrivé alors il lui répondit a la demande du Seigneur de Cair Andros

Pour rien vous cachez, Kerwin a brutalisé votre oncle, qui ne semble que paralysé par les flèches...?

Il Observa rapidement le dos d'Idrahil... les flèches semblaient avoir juste eu un effet de paralysé.. rien de plus... il garda un aire non certain envers l'oncle de Targon en disant

Et disons que vos invités lui on fait savoir...que ce n'était pas la meilleure idée de frapper un être blessé...

« Quand vous demandez : qu’est-ce il s’est passé, dois-je tout résumer depuis la création de Cair-Andros ? »

Demanda la femme rousse, aux habits d’homme, avec une pointe d’Humour.

« Ou seulement expliquer les 15 dernières minutes ? »

Toujours aux côtés d’un Idrahil, croisé oursin de mer, entrain de se faire dépiauter de ses flèches, le gouverneur se releva en tendant une main pour serrer celle de Targon, ne lui laissant pas vraiment le choix.

« Je suis ravit de voir que quelqu’un m’appelle le Gouverneur et non la gouverneuse ou gouvernante ou que sais-je encore.
J’ignore si je dois vous voir, vous ou votre frère, car vous ne vous être pas présenté. Mais j’présume que vous êtes Targon ? Vous avez un air de ressemblance avec votre oncle. »

Continua-t-elle avec un sourire malicieux mais nullement méchant.

Ecarlate avait élevé le mensonge en art.
Elle mêlait habilement la vérité aux inventions ce qui rendait ces mensonges plus que véridique et surtout indétectable.
En direct de Mensonge-land, voici les explications d’Ecarlate.

« Avec Varsha, venant d’Umbar pour des raisons personnelles, j’avais ouie dire que vous aviez une soigneuse compétente, donc, je désirais la consulter au sujet d’une blessure disgracieuse qui me gène. »

Fit-elle, en soulevant la mèche, occultant une partie de son visage, et montrant la cicatrice en croix que lui avait fait un certain Mortifillius.

« Entre temps, sur la route, je croisais Idrahil.
Nous nous connaissons et j’ai la chance d’être en bon terme avec lui, ce qui m’aide pour garder la neutralité envers le Mordor et ses sbires.
Il me conta qu’il devait retourner dans le nord, nous décidâmes de faire une partie de la route ensemble.

Arrivé à Cair Andros, je vis la ville en fête et je fis, je l’admet, une erreurs en convainquant le seigneur Idrahil de nous accompagner dans la cité pour un peu s’amuser et surtout profiter d’un repos avant qu’il ne continue sa route.
Je lui devais bien cela, il nous avait escorté jusque là, nous évitant pas mal d’embûches.

Idrahil, vous le connaissez, têtue comme il est, voulu entrer par ses propres moyens et non sous la protection d’Umbar.
Sûrement voulait-il défier la sécurité de la ville, en prouvant qu’il était plus fort que vous en infiltration… Ha, l’orgueil masculin….
Pour ma part, je suis entrée en cachant mon identité, venant ici pour me faire soigner, je ne voulais pas vous rencontrer si peu préparé et dans cet état de fatigue.
Les voyages, ont a beau dire que ça détend mais en fait, c’est crevant.

Malheureusement, quand nous retrouvâmes votre oncle, il avait subtiliser une armure dans les réserve et je vis cela d’un mauvais œil.
Varsha, mon garde du corps Variag ne parlant par correctement la langue, compris qu’il fallait rosser Idrahil… ce qu’il fit. C’est sur ces faits que le seigneur…….. »

Elle venait enfin de se tourner vers Glorfindel et vit, enfin, qu’il était un elfe.

« …. Elfe…..ATCHAAAAAA»

La réaction fut immédiate et son allergie lui reprit en une secousse, déclanchant la douleur à son bras gauche dans lequel une flèche était toujours plantée.

« IIIAaarrrgh. »

Sous ce pic de douleur fulgurant, Ecarlate en tomba à genoux, s’étreignant le bras, dans la flaque de sang que sa blessure et celles d’Idrahil avait formée.
Elle n’était pas Lycanthrope et n’avait pas la résistance physique de ceux-ci, d’ailleurs, à cette instant, elle le regrettait…

Targon garda les bras croisé en regarda le Gouverneur d'Umbar, elle était contente de voir que le seigneur de Cair Andros l'avait appeller Gouverneur, bref il l'écouta parlé puis quand elle lui avait demandé si elle devait demandé depuis la création de Cair Andros Targon répondit

Non, j'ai pas mal d'archive, si je tien a savoir tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout tout l'Histoire de Cair Andros, j'irrais voir moi même..

Puis elle lui demanda si c'était bien Targon, d'une poigner de main il répondit

Et oui, je suis Targon, Seigneur de Cair andros et d'Anfalas, Frère d'Imrahil, l'homme qui vien de partir après Kerwin

Puis elle commenca un résumé de la fête, parlant de se qui s'était passé avant que Kerwin ne parte de Cair Andros, l'ennuis est qu'elle avait arrêté au moment ou Varsha avait décidé de ''Rosser'' Idrahil, elle s'était mise a faire tout sorte de bruit en regardant Glorfindel, Targon regarda Glorfindel, Ecarlate, Ecarlate, Glorfindel

*Mais il n'a rien fait.. pourquoi réagit-elle de la sorte?..*

Targon baissa la tête en regardant Ecarlate tombé a genou, il soupira en disant aux gardes autour

Aller me chercher la troupe à l'infirmerie..

deux gardes partir aussitot, puis Targon tourna la tête vers Ecarlate en demandant

Gouverneur, puis-je vous demandez la raison de votre comportement envers mon ami?

Il regarda Glorfindel par la suite pour conclure

En passant, elle souhaite nous rencontrez, un Seigneur de plus ne nuira personne..

Spoiler:

Targon avait prononcé le la formule magique permettant de remettre en forme tout blessé détestant la simple idée de se faire soigner. Se relevant avec panache elle déclara d'une voix claire :

Des infirmiers, mais pourquoi faire? Je vais beaucoup mieux!

Alors qu'Ecarlate faisait la comédie de la femme qui n'a besoin de personne (surtout pas des infirmiers), Ker-Dûnaphil s'avança afin de continuer lui même le récit des récents évènements :

Cela fait, Idrahil n'apprécia guère les manières du variag, qui en plus ne répondit pas à son désir d'explication. Aussi, se transforma-t-il en loup-garou afin de signifier son vif mécontentement au Variag. Comme vous vous en doutez, la réaction de vos archers fut... Rapide, et cela donna l'opportunité au gouverneur d'Umbar de neutraliser Idrahil.
Et c'est alors qu'arriva le prince Kerwin en terrain conquis, et donna un coup de pied très hors de circonstances à son oncle, à terre et percé de 21 flèches. Comportement que nous avons vivement condamné, à notre grand tort, car je pressent que nous allons maintenant hériter du mauvais rôle dans cette histoire.

Terminant son récit, il donna un petit coup précis derrière la tête d'Ecarlate afin de l'assomer en douceur. Il était inutile de rajouter le mal de crâne au mal de bras. La rattrapant délicatement (ce qui n'aurait pas manqué de l'enrager si Ecarlate avait été consciente), il la pris dans ses bras en prenant soin de ne pas réveiller la douleur de son bras.

Bien, faisons le point. C'est une jeune femme à la peau blanche, pâle à l'origine je dirais, et de grande taille c'est donc une Beornide.
Elle est capable de calmer un loup-garou, et ses yeux vert émeraudes se teintent d'une légère nuance de jaune. Ce qui veut dire qu'elle appartient à la lignée des mogs.
Elle à voulut faire croire à tous qu'elle était en pleine forme, alors que vous aviez à peine déclaré que vous envoyiez chercher des médecins. Elle n'aime donc pas qu'on la soigne.
Pour finir, elle voyage avec un variag. Ils sont xénophobe et leur société est matriarcale. Elle a donc leur respect grâce à sa force de caractère, digne d'une matrone de ce peuple.
Si vous voulez garder vos médecins en un seul morceau, la seule manière de lui prodiguer des soins décents est de l'assomer. Quelqu'un à une objection? Je peux la réveiller dans ce cas.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 46 Date d'inscription : 22/07/2008

Puis, une voix.

"'Je crois bien que t'as oublié une dernière petite chose, mon coco. C'est une Mogiau. Et si on assome une Mogiau, on se met la moitié du pays a dos."

D'un mouvement subtilement équilibré entre grace et violence gratuite, comprenez "juste assez de grace pour viser juste et assez de violence gratuite pour assomer un cheval", l'homme envoya sa botte voler directement sur l'arrière train de Ker-Dunaphil dans un mouvement dit du " Deviens ma seripillère personelle".

Derrière le chevalier surpris se tenait une silhouette a la fois famillière et inconue. Un tricorne. De longs cheveux roux. Une redingote piratesque volant au vent. Des traits légèrement androgynes. Du charisme. Sauf que lui, c'etait un homme. De deux mètres, accessoirement.... Jhosua offrit un grand sourire à l'assistance, fier de son entrée en scène réussie. Car un vrai pirate se doit de faire un coup d'eclat a chacune de ses entrées et sorties.

Depuis plusieurs minutes, Jhosua avait attendu patiamment, caché dans la foule, le moment d'entrer en scène pour passer le bonjour a sa cousine. Mais avouez que niveau classe, on peut pas se contenter d'un "Oh, salut cousine, ca va d'puis l'temps?"! Il faut de la réplique culte, de la surprise, de l'eclatant! Et c'est la raison pour laquelle les gens comme Jhosua ne disent pas souvent bonjour.

Un coup du hasard que de venir a Cair Andros et d'y trouver une cousine, me direz vous? Et bien non. C'etait bel et bien fait courant chez les Mogiau. Alors Jhosua n'avait pas tellement été surpris de voir une chevelure rousse dans la foule. Mais celle d'Yrris... Ca c'etait une autre paire de manches. Ses cheveux lui firent souffrir quelques instants en souvenir du "bon vieux temps"...

Le sourire narquois du pirate des bacs a sable, du Jack Sparrow du plancher des vaches continua de narguer l'assistance entière avant qu'il ne jette un oeil sur Ecarlate. Sa mine se déconfit un instant avant qu'il n'eclate d'un grand rire sonore de rattrapage de connerie en rigolent parce que personne ne t'en veux après puisqu'en fait c'etait qu'une blague ou tout du moins une méprise stupide que tout le monde peut faire.

"Mouais, l'est mal en point dites moi... En fait je crois que t'as bien fait
de l'assomer. Envoyez la se faire remettre debout avant qu'elle ne se réveille tout compte fait. Et, euh... Désolé?"

Mode Modo ON

Bon, je me la joue cool, vu que beaucoup redoutent mon "mode Modo ON"

Joshua a fait un post ici sans passer par la porte d'entrée. Or, les entrées sont controlées.
Je ne vais pas te demander de supprimer ce post, Joshua, vu qu'il est bien construit et pas assimilable à du PG.
Cependant:
Il faudrait que Targon ou Kerwin passe pour dire si les gardes acceptent qu'il rentre en Cair Andros.
Si c'est bon, aucun problème, on garde le post, mais si l'un ou l'autre (le premier) dit que les gardes ne te laissent pas rentrer, il faudra supprimer ton post et faire un post pour rentrer en ville.

Voilou. Targon et Kerwin, je vous attend.

Mode Modo OFF.

(hrp: je ne prends pas en compte l'intervention de Jhosua, car je ne sais pas si il a le droit d'être là Wink

)

Charlotte eut un petit sourire en regardant le colis, décidément, la journée devenait amusante.

« Si je puis me permettre, messeigneurs, je crains que vous ne collectionnez assidûment les embûches diplomatique. »
Fit une petite voix aigue qui s’élevé d’une silhouette féminine que beaucoup avait oublié.

Charlotte avait été à nouveau ignorée, sauf que cette fois ci, elle savais en tirer un avantage.
Avant de parler et cela sans se faire remarque, donc avec une démarche naturelle, la gamine était allé ramasser l’épée d’Idrahil toujours emballée dans la cape de fourrure du Gouverneur de Nouvelle-Umbar. Et à présent, tenant le lourd colis dans ses bras comme une enfant le ferait avec une poupée joufflue, elle avait parlé de diplomatie et de fautes.

Targon observa Glorfindel quelque instant, puis KEr qui lui racontait le reste de l'histoire, kerwin donné un coup de pied à un homme part terre?.. sa lui ressemble pas... mais bon, s'était peut-être pour cela qu'il était parti de Cair Andros avec Imrahil a ses trousses, mais bon, il se contenta de répondre

Bien, merci de ce bref résumé de la situation, Imrahil est probablement avec Kerwin a l'heure présente...

Il reprit le silence quand il le vit assomer Ecarlate... euh... d'accord?.. et lui dire que la meilleure façon de la soigner était de simplement l'assomer, le seigneur de Cair Andros haussa les épaules en disant

Bah, je vous laisse la soigner, histoire de ne pas avoir une brochette de médecin au lieu d'avoir quelque médecin..

Suite de quoi une botte arriva dans l'arrière train de Ker-Dûnaphil...hum? Targon tourna le regard et vit une autre personne a cheveux roux dans la ville.. en faite, et des gardes arrivé en courant don un qui était arrivé accoté de Targon en disant

Mon Seigneur!, l'homme n'a pas passé par la porte d'entré!.. ou du moin, ne c'est pas fait fouiller!...

Quelque soldat entoura l'autre Mogiau puis Targon demanda

Monsieurs, veuillez vidé vos poches...je vous pris

Il recula légèrement la tête vers Glorfindel, en lui sortant en Elfique

Le Variag et mon oncle irront dans la maison de guérison, pourais-tu faire en sorte que tien ne tourne mal pendant qu'ils se font soigné?

Il retourna la tête vers le nouvelle arrivant qui se trouvait encerclé de 3 gardes et targon un peut plus loin

L’elfique était une langue que Charlotte pratiquait parfaitement, aussi, quand elle entendit que le Variag et le Lycanthrope allait dans une hospice pour se faire soigner, elle demanda tout naturellement en elfique et en tirant par à-coups la cape de Targon, pour qu’enfin il daigne faire attention à elle :

« Excusez moi, mais pourrai-je savoir ce que vous comptez faire du Gouverneur ? Ou ira-t-elle pour se faire soigner ?»

Charlotte avait des transactions en cours avec Ecarlate, et l’enfant ne comptais pas lâcher l’affaire si facilement surtout quand il était question de livres.

« De plus, on vous a mal conté toute l’histoire, mais je suis certaine que le Seigneur de Glorfindel se fera un devoir de tout vous dire à ce sujet. »

En attendant une hypothétique réponse, Charlotte analysait la situation en murmurant et comptant sur ses doigts.
Les mensonges répétés d’Ecarlate n’aidant en rien, elle se retrouvait à essayer de dénouer des liens de parenté bien complexe.

« Donc, Lui est de la famille du Gouverneur d’Umbar qui est l’ex épouse du roi de nùmenor et la fiancée du Seigneur Idrahil. »

Pour Charlotte, quand une femme embrassait un homme, surtout en loup-garou, c’est qu’ils étaient amoureux ou au moins fiancée.
Certains principes de contes de fée restaient encrés dans les gènes Charlotien.

«Puis Kerwin est le fils du seigneur Targon qui est le frère du seigneur Imrahil, est le neveux du Seigneur Idrahil. »

Se tournant vers l’elfe. Elle conclut :

« Vous devez vous sentir bien seul au milieu de cette réunion de famille. »

Le Roi Gondorien observa le Mogiau sans rien dire, il analysa en attendant se qu'il venait de dire, un Mogiau?... alors Ecarlate était Ecarlate Mogiau?.. fait pas trop de sence comme nom mais bon.. il senti par la suite une pression sur la cap noir qu'il portait fièrement sur son dos, c'était Cha, une nouvelle personne dans la ville qui venait lui demander se qu'il ferait du Gouverneur, Targon lui répondit encore une fois dans la merveilleuse langue des elfes

Votre Camarade en pointant Ker-Dûnaphil sait quoi faire pour que la Gouverneur se sente mieu, je le laisse s'occuper d'elle pendant que nous nous chargons de l'intru..

Il tourna la tête vers les gardes qui avait encerclé le nouvelle arrivant, qui avait aucunement passé par la porte de Cair Andros, il semblerait puis il leva la main dans les airs, fessant 5 signes avant de la baisser, signe pour Targrid qui se trouvait plus loin avant d'entendre Cha demandé une question a Glorfindel, il eu un sourir amusé vue qu'il connaissait la réponse de l'Elfe et il savait qu'il ne courait aucun dangé à dire la vérité alors il lui dit en Elfique encore une fois

Tu peux lui dire, tu es quand même capable de te défendre.. si jamais sa tourne mal...

Il retourna la tête vers l'mogiau sans rien dire, en attendant qu'il face un mouvement ou qu'il laisse la garde le fouiller

P'tit Nouveau Nombre de messages : 277 Date d'inscription : 20/08/2006

Glorfindel observa la scène sans rien dire, il se tenait à l'Extrème gauche a l'arrivée de Targon, puis KEr avait donné une version des fais plutôt véridique, c'était Ecarlate qui avait dit un paquet de niaiserie..selon lui, bref il ferait un rapport à Targon plus tard.. pour l'instant Targon venait de lui dire de dire à la garde d'apporter Idrahil et le Variag dans les chambres d'infirmerie de Cair Andros et c'était ce qu'il venait de faire, 8 gardes arriva pour lever et déplacé les blessées pendant que Ker se mangeait une botte dans l'derrière...Glorfindel tourna la tête aussi vite qu'il entendit Targon parlé.. un autre Mogiau? son combien ma fois?.. se disait Glorfindel, mais bon, cela n'importait peut, temps qu'il accepte de se faire fouiller et c'était la raison pour laquel le seigneur de Nargothrond se trouvait encore sur les lieux de l'Accident avec le Loup Garou..mais bon, après quelque instant il entendit la petit fille lui demander comment il se sentait face à la réunion de famille qui avait lieu, Mogiau avec Mogiau...frère et soeur? Kerwin, Imrahil, Targon et Idrahil tous dans même famille...alors en Elfique il répondit

Mon lien...

Targon lui fit signe que c'était correcte après tout, alors l'être continua

Je suis de la famille de Targon, donc la solitude n'est pas capable de s'emparer de moi, vue que je suis avec ma déscendance..

Il fit une bref pause en observant l'homme roux qui se trouvait devant eux..question d'y avoir une certaine sécurité si jamais il décidait de refuser la fouille

Spoiler:

« Êtes-vous l’ancêtre de tous ? »

Demanda Charlotte en désignant tout les protagonistes, les Mogiaux compris.
Puis, elle retira par petit coup la cape du Seigneur Targon.

« Je vous présente mes excuses d’encore vous importuner, mais … Je crains que son Altesse de Nùmenor est seulement affirmé qu’il fallait assommer le Gouverneur avant de la soigner, sinon, elle ne se laisserai pas faire. »

Déclara-t-elle sur d’elle.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 46 Date d'inscription : 22/07/2008

Spoiler:

Avant même d'avoir compris ce qui lui arrivait, Jhosua se vit encerclé par une ribambelle de gardes en tous genres. On le somma de vider ses poches. Il s'en vit ennuyé. Ca n'est pas comme ca que ca se passe, normalement, il aurait du y avoir une corde, un lustre ou tout du moins un de ses hommes postés sur les remparts avec une arbalète pour qu'il puisse s'en tirer en beauté. Mais rien.

Le grand homme jeta un oeil a gauche, un oeil a droite, et d'un mouvement aussi sec que brutal, il attrapa sa sacoche, la retourna avec la dextérité du lapin sauvage coursé par un aigle et laissa tout son fratras tomber sur le sol.

Parmi les affaires en désordre, rien de très angereux ni de très particulier. Car le grand pirate Jhosua n'etait pas fou au point d'oublier de ne pas prendre d'armes en ville, enfin.
Dans le petit tas de bidules, les gardes purent trouver deux pipes, du tabac, deux miches de pain, du papier, de l'encre, une bouse de piecettes, des tranches de viande séchée dans du papier, des bouts de ficelle ainsi que divers bout de tissus et, meme si Jhosua ne l'aurait jamais admis, du fil et une aiguille.

Avec un grand sourire narquois envers les gardes, le grand homme parut soudain reprendre sa terrible aisance avec de ramasser son fratras. Il avait gagné.

"Mes Amis, bénissez le jour ou vous avez faille attraper le capitaine Jhosua Mogiau."

Mais en lieu et place d'une acrobatie impressionnante et d'une ribambelle de combats de cape et d'epée, Jhosua se laissa tranquillement fouiller. Il n'avait strictement rien de dangereux sur lui et par voie de fait, ne pouvait etre arrêté. C'etait Bigbill qui avait emporté tout le matos. Et qui, bien sur, l'avait amené a l'interieur avec suffisament de subtilité pour que personne n'ose s'approcher a moins de cinq pas de lui.

Après la fouille au corps, Jhosua retourna auprès de sa cousine au bois dormant, enfin, au bois évanoui, pour s'enquir de la situation. Les liens familiaux mogiauétant ce qu'ils sont, il n'aurait pu se permettre de l'oublier.

" Euh, la petite a raison, chef, vaut mieux la laisser assomée pendant les soins. Et l'attacher solidement au lit avant qu'elle ne se réveille. Si je m'souviens bien, elle aime les medecins a peu près autant que les elfes. Sans vouloir vous offenser, bien sur, m'sieur oreilles pointues."

Ker-Dûnaphil lança un regard noir au Mogiau qui venait de commettre un crime de lèse majesté. Oh, certes, il venait d'assommer quelqu'un de sa famille, mais ça n'était pas une excuse, seulement une circonstance atténuante. Il ne releva pas, toutefois, tout de suite, car il avait d'autre soucis en tête.

Il soupira. Son instinct lui disait qu'il y avait quelque chose qui clochait dans toute cette histoire. En regardant Ecarlate, qu'il tenait dans ses bras, il compris. On lui avait dit de s'occuper lui même du gouverneur d'Umbar, à croire qu'elle était coupable de tout le remue ménage dans cette ville, pour ne pas avoir droit aux maisons de guérisons. On pourrais arguer le fait que ses blessures n'étaient que "légère". Oui mais... Contrairement à ce que l'on pensais, une flèche dans le bras pouvait être une blessure grave pour peu que celle-ci ne soit pas bien soignée. Moui. Décidément, l'idée de rester ici devenait moins séduisante.

Distinguant son écuyer cleptomane, Ker-Dûnaphil le regarda brièvement avant de lui faire un petit signe d'une de ses mains, tout en tenant Ecarlate. Il n'était pas parfaitement exécuté, mais c'était suffisant : il signifiait de se retirer.

Tant pis pour mon vieux couteau, songea Ker-Dûnaphil, ce n'est pas comme si j'y tenais. Par contre pour le variag... Il est tout de même mal en point. Hum... Bien, je sais quoi faire.

Quelque secondes plus tard arrivèrent les hommes de Ker-Dûnaphil. Arkahil jeta un regard plutôt inquiet aux blessés, quoiqu'Idrahil s'en sortirait de toute façon.

-Erlandûr, prenez le variag et Idrahil avec vous. Nous rentrons au campement. J'espère que tu as de quoi soigner nos blessés!

-Toujours seigneur, toujours, comme tout bon soigneur de guerre.

-Bien. Messieurs! Ce n'est pas que je renie votre hospitalité, mais je préfère me retirer avec les blessés qui m'accompagnent. Ne vous inquiétez pas, j'ai des hommes compétents avec moi qui pourront les soigner!
De plus, compte tenu des circonstances, je crois que je vais différer ma visite. Tout comme, à mon avis, celle du gouverneur d'Umbar.

Se tournant avec Charlotte il déclara :

-Vous pouvez nous accompagner si vous le désirez. J'apprécierais votre compagnie pour le voyage, et ma fois, vous m'avez semblé aussi outré que le gouverneur et moi même quant à l'ambiance qui règne dans cette ville.

Se tournant vers Joshua, il lui dit :

Je ne vous empêche pas de nous suivre, car le gouverneur est de votre famille, mais je ne vous y invite pas.

Et ainsi, Ker-Dûnaphil avait fait le tour des personnes qui, pensait-il, allait vouloir l'accompagner, ou du moins partir de cette cité... Les hommes de Ker-Dûnaphil saisir donc des mains des hommes de la garde de la cité Idrahil et Varsha. Ce dernier bénéficierais d'une moins bonne guérison que par les médecins de la ville, toutefois étant variag, il était résistant.
Ker-Dûnaphil, accompagné de ses hommes, retourna donc au campement afin de soigner ses blessés lui même. En fait, il lui tardait même de retrouver le campement. Il n'aimait pas ses incursions sans Mabeinz, surtout dans une ville frisant la paranoïa.

Suite : https://terredumillieurp.editboard.com/cair-andros-f64/un-campement-sur-la-rive-t3528.htm (où seront soignés les blessés avant la suite du voyage^^)

Spoiler:

Charlotte ne se fit pas prier pour suivre le convois.
Guidant sa monture à la suite de la petite troupe, elle emboîta le pas avec toujours dans ses bras l’épée d’Idrahil qu’une cape cachait.
Le Gouverneur lui avait proposé un échange alléchant, des connaissance contre une lame. Pour qui savait s’en servir, les connaissances étaient la plus dangereuses des armes. Ce fut donc avec une impression d’arnaquer Ecarlate que Charlotte sortait de la ville, heureuse dans son fort intérieur de n’avoir plus à revoir un certain individu.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 46 Date d'inscription : 22/07/2008

Jhosua offrit un grand sourire a son intelocuteur le chevalier.

"Tant mieux, j'aime être indésirable."

Il avait bien envie de faire une grande surprise a sa cousine "preferée", mais il pensa a ses hommes en villes qui étaient occupés a festoyer sans aucune garde ni aucune surveillance. Il redouta soudain que Bigbill ne pête un cable ou que Karpatt ne reprenne ses mauvais habitudes, mais il décida avec la satisfaction de saloper le travail des autres que la ville avait bien besoin d'un petit bordel de temps en temps. Il regretta de ne pas récuperer son sabre, au cas où, juste pour s'assurer de sa seule tranquilité personelle, mais il se souvint d'une phrase ancestrale et proverbiale dans la langue haradrim qui disait, en substance, "si ton couteau imprecis est cassé, ton pied vise bien."

Il se mit a la suite du petit convoi en direction de la sortie de la ville.

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