Un nain en Harad?

Comme souvent depuis le retour au calme qui avait suivit la période de trouble ayant agité l'Empire Haradrims Suladen se trouvait dans la salle du trône de Cathal, sa capitale. Il aimait se réfugier dans l'ombre et la fraicheur de ce lieu qui devenait un havre de paix l'orsqu'il était seul, les courtisans et autres noble chassé dans d'autre salle du palais. Là il degustait un plat de dattes, ou un verre de vin, tout en fumant le narguilé confortablement installé dans un coin, sur un énorme pouf en face d'une table basse.
Vêtus d'une ample djellaba noire et coifé d'un cheich de la même teinte Suladen était présentement en train de finir une bouteille de vin. Il avait récament réformer le pays, et voulais maintenant créé une civilisation. Il voulais dévellopper les arts, la musique, mais bien peu de gens acceptait de venir jusqu'à Cathal... Il lui fallait aussi une nouvelle armure, ainsi que des armes. Sa djellaba rouge et or en imposait au peuple, mais il lui fallait aussi promouvoir les symbole guerrier pour inspirer le respect de ce dernier, ainsi que celui de ses vassaux.
Ses réflexions furent dérangé par des cris. Il y reconnaissait une voix, celle de Jilaâd, un de ses capitaine envoyé récament en patrouille. Peu de temps après celui-ci se présentat à la salle du trône. Il s'inclina devant Suladen qui, d'un geste, le fit se relever.

-Empereur, nous avons capturé un nain qui furetait dans le désert, non loin des nos carrières. Il dit être à la recherche de minerais. J'ai jugé bon de l'amené jusqu'à vous.
-Tu as bien fait, lui répondit Suladen, fait le venir.

Jilaâd salua avant de se retiré pendant que Suladen s'installait sur le trône.

J'exprimais ma colère par le cri, on me trainais dans un palais, ils étaient trois et lorsque je m'arrêtais enfin, c'était pour entendre que je pouvais entré je ne sais où... Je me débâtais tandis que l'on recommençaient a me trainer a travers les couloir.

On m'avais pris mon marteau et je le voyais souillé dans les mains d'un des hommes. La rage montait en moi, de plus en plus et cela devais se ressentir car je me débattais de plus en plus fort.

On finit part me jeter dans une étrange salle où un homme, sans doute un roi, était assis et me regardait. Les hommes c'était agenouillé. Je regardais le souillant qui osait toucher mon maillet.

- Khazâd ai-mênu!!

...fis-je lorsque mon poing se cala dans sa figure, puis reprenant mon maillet...

- Baruk Khazâd !

... lorsque le pommeau de celui ci vien se loger dans le ventre de l'homme maintenant étendu. Ces amis c'était relevé et tenter de m'arrêter, je leur grognais dessus comme un animal fauve. les menaçant de mon cher Mojlnir.

Le nain était colérique et impulsif. Il tenait à son marteau aussi. Un nain en somme, comme le disait les histoires. Suladen sourit un bref instant. L'instant fut bref, le nain avait assomer un de ses soldats. Il fit un geste de la main en regardant un serviteur. Il partit et quasiment aussitôt un cohorte d'une dizaines de gardes en armures d'argent et tuniques rouge entrèrent dans la salle. Armé de lance et de cimeterre et protégé par un bouclier de bois renforcer de fer. Ils se mirent en positions autour du nain, lance pointé vers lui mais à distance respectable tout de même. Espérant que le nain était calmé Suladen prit la parole.

-Et bien? Que faisiez-vous sur mes terres maître nain? Ne me mentais pas, vous y perdriez énormément comparé a ce que vous pourriez gagner...

Suladen jouait sur l'avidité légendaire des nains pour le calmé, mais il espérais aussi obtenir ses services. Quoi de mieux qu'un équipement forgé par un nain? Le seul hic est qu'il fallait que le nain soit forgeron. Mais bon, généralement quelqu'un qui cherchait du minerais seul en était un.
Suladen fit un signe à des serviteurs qui approchèrent la table basse et le narguilé pendant que d'autre apportait de quoi mangé.

-Alors maître nain, qu'elle est votre profession? dit-il en tirant sur le narguilé.

Une pointe vint chatouiller mon dos et je regardais sont porteur avec des yeux de balrog en colère. Je me tournais alors vers le roi, il avait parlais que je pouvais gagner gros, c'était intéressant...

- Je suis forger... TOI TU ME TOUCHE AVEC SA, ET TU VERRA TES ENTRAILLES! Je disait donc... Je suis forgeron, si je suis venu ici, c'est pour trouver certain... NON MAIS TU VA M'ÉCOUTER OUI? ... Certain minerai... Mais, dites moi plutôt, que cherchais vous à me demander mes compétences?

Je regardais les armes pointer vers moi, je pris entre deux doigt la pointe d'une lance et j'en observais la composition, au vu de cela, je voyais a peut près se que l'on allais me demander... par pure politesse, je le laissais répondre... même si je sentais la question venir... Roi ou non, on ne me fait pas sa, à moi.

Suladen recracha un énorme nuage de fumé. Décidément ce nain étais d'un tempérament colérique. Il regarda intensément le garde s'amusant a piquer le nain. Ce ragerd lui signifiait de s'arrêter immédiatement, ce que fit le garde, un peu honteux.
Le nain était donc ainsi un forgeron. Parfait! Il pourrait, pour ne pas dire devrait, forger de nouvelle armes pour l'Empereur. Considérant le tempérament du nain Suladen décidat de jouer la diplomatie. Il déviat de la question poser par le nain graçe à une autre.

-Avez vous faim? J'ai ici un plat de dattes, mais je peux faire apporter autre chose si vous le voulez. A moins que vous ayez soif! Nous avons de la bière dans les sous-sol du palais.
Mais je vous en prie asseyez-vous! dit-il en faisant signe a des serviteurs d'amener un pouf en face de lui et en les congédiant, ainsi que les gardes.

Suladen avait en effet compris que le nain serat plus tranquilles seul avec lui.

Je regardais les gardes partir et ranger leur joujou tribaux. Je m'affalais sur le pouf, chose inhabituelle car inconnu... C'était mou et étrange, on n'en sentais pas le fond - il n'y en avait pas - c'était assez confortable, même si je préférais les chaise droite de pierre de kazad-dum...

-De la bière! Votre pays est beau mais il fait chaud!

L'empereur claqua dans ses mains, et un serviteur sorti pour revenir un peut plus tard, un tonnelet et un sorte de pinte dans les mains... La bière, si j'ose a peine l'appeler comme sa, fraiche, certes, mais sont gout n'était pas bon, loin de la. Pas assez prononcé, comme timide, ou coupé a l'eau, je la fini tout de moment, avec un grognement comme seul remerciement. Je pris le tonnelet de bière et le posais près de moi, soulignant a mon hôte que sont larbin me dérangeais. Une fois l'esclave parti, une nouvelle bière avalé, j'entrais dans le vif du sujet.

- Bon... j'imagine que vous ne voulais pas juste boire avec moi.

Il ouvrit la bouche pour repondre mais je levai la main

- Je veut les minerais dont j'ai besoin en plus de ceux que je recherche et un tribut en or et en argent égal a la moitié de mon poids pour refaire votre équipement que je qualifierai de "tribal". Ah, j'oubliais, je veut aussi plusieurs serviteur tant que je serais ici. c'est a dire le temps qu'il faudra pour votre commande.

Un lourd silence tendu s'installa dans la salle, les serviteur n'en revenais pas, je demandais des chose qu'il n'avait qu'a peine rêvé j'imagine.

- Je peut aussi vous faire une proposition. Peut-être plus avantageuse.

Suladen sourit, ce nain était perspicace. Il avait aussi de l'autorité. Seul feu Suladon, son père, et son maître avait put faire taire Suladen aussi facilement. L'Empereur se penchat pour piocher dans le plat de dattes pour en prendre une, qu'il porta à sa bouche. Dans le même temps qu'ils étaient allé chercher la bière pour le nain ilms avient ramenés une bouteille de vin pour Suladen. celui-ci en but de longue gorgé, faisant tourné le liquide rouge dans sa coupe et observant les ondulations. Il était pensif, étudiant la proposition du nain.

-Vous êtes cher, maître nain, fit-il finalement en baissant la tête vers lui.

Il se leva et descendit de son trône, s'approchant du nain jusqu'à être à porter de bras de lui.

-Je ne pense pas que l'on puisse faire de bonne négociation sans savoir à qui l'on parle. Je suis Suladen des Sulanides, Empereur du Harad et des Haradrims et Prince de Cathal, la cité où nous somme actuellement.

Il marquat une pause le temps que l'autre ce présente.

-Comme je le disais vous êtes cher mais vous avez raison, j'ai besoin d'un nouvel équipement. Dites-moi votre autre proposition, je jugerais laquelle est la plus avantageuse et je choisirais.

Je lui sourit, assez heureux, ma vie nomade prendrais peut être fin.

- Tout d'abord, appelez moi Quintescence, et je suis un forgeron de Kazad-dum. J'imagine que vous en avait entendu parler.

Je pris une nouvelle pinte de bière.
- Mon prix se justifie par cela, nous somme les meilleurs forgerons que la terre du milieux est porté.

Je bus ma pinte sans gout d'une traite.

- Ma proposition est la suivante: Vous m'hébergez ici même, en me fournissant un atelier pour mon travail, une faveur a chaque servissent qu'il soit militaire ou artisanal, et vous m'intégrez a votre cour, en d'autre terme, vous m'offrez l'immunité. Mes faveur seront je pense souvent des minerais, j'ai un but, et ses faveur m'aideront sans doute a l'atteindre.

Je me levé pour m'approcher de l'empereur et lui tendais une main sur

- Marché conclut?

Un travail simple, qui ne devrai pas prendre énormément de temps. Seul les détailles serais plus long, sans doute... Je m'affalai alors a nouveau sur mon pouf. Sortant une pipe et du tabac, je me mit a fumer, tout en réfléchissant, a cette commande... Incomplète?

- Vous ne voulez pas d'arme? et... ai-je un délai a respecter?

J'éteignis ma pipe, puis je le regardais plus sérieusement, les délai étaient des "tue-travaille"

Le nain soulevait un léger problème. En effet dans son enthousiasme Suladen avait oublier de demander son arme. Il réfléchis sur la question des délais. Pour le moment il voulait conserver la paix fragile s'étant établis dans le Harad avant d'unir ses hommes contre le gondor. Mais une invasion a grande échelle du gondor nécessitait du temps pour la préparé, et ce temps il l'avait. Il tirat sur son narguilé avant de recracher un petit nuage.

-Non, vous n'avez aucun délais. Je voudrais aussi un cimeterre, faite les un peu plus grand que la normal. Je veux aussi que l'ouroboros du Harad et le croissant pointant vers le haut figure un maximum sur l'armure. Vous êtes libre pour le reste des décorations.

Un serviteur vint parler à l'oreille de Suladen. Celui-ci l'écouta attentivement avant de le congédier.

-Bien, on vous a trouvé un atelier, il se situe juste a la sortie du centre-ville. Mes serviteurs sont en ce moment même entrain d'y installer le matériels dont vous aurez besoins et de tout réajuster, l'Empereur hésitat un instant, il ne voulait pas froissé sont forgeron, a vôtre taille, sans vouloir vous vexé. Le tout sera près demin, et les métaux y seront. Maintenant Marakin va vous conduir a vos appartement. Vous devriez d'ailleurs changer vos vêtements, ils sont peu adapter au climat.

Quintescence partit, précéder de Marakin.

HRP: dans ta forge tu as deux enclumes, plusieurs marteaux de différentes tailles, une paires de gants inifugé et un baril d'eau.