Quand Fëanor fut sortit de sa méditation, il sentit que tout bougeait autour de lui, son envie de tuer c'était calmer,mais très peut. il sortit donc pour voir ce qu'il se passait. Quand il fut dehors il remarque que le bateau voguait à très bonne allure, et que la ville de l'autre soir n'était plus qu'un souvenir. Il s'approcha du commandent et lui demanda d'une voix rauque:
"Ou est on?"
le capitaine lui répondit sans le regarder:
"En Ithilien du sud, et à cette allure, nous arriverons dans quelques heures en vue de la mer, et en fin d'après midi, nous l'aurons rejoints."
Fëanor lutta contre une furieuse envie de lui transpercer le corps de son épée pour lui apprendre à le regarder quand il parlait.
Fëanor se retourna et repartit dans sa cabine. Bien qu'il n'ai pas fin, surtout pour l'occuper, il mangea un bout. Il passa toute la journée à ne rien faire dans sa cabine, et comme l'avait dit le capitaine, ils arrivèrent à la mer vers cinq heure du soir. Fëanor, sortit de sa cabine quand il entendit le capitaine crier sur un de ces hommes:
"Maintenant nous sommes sur la mer, une seul fausse manœuvre et je te fait jeter par dessus bord."
Ces paroles le fit sourirent, mais pas un sourire de joie, un sourire sadique, comme il aurai voulu tuer quelqu'un sur le moment, mais le temps n'était pas encore venu. Bientôt, bientôt du sang s'écoulera.
Fëanor regarda l'horizon, et vit la mer, elle était grande et majestueuse. La dernière fois qu'il avait vogué dessus, c'était pour faire couler le sang de ses ennemis, et maintenant qu'il reprend la mer, c'est aussi pour faire couler le sang. Deux heures plus tard, le soleil commença à se coucher, Fëanor, préférant la nuit au jour, décida de rester dehors pour toute la nuit. Il faisait tiède, mais fort vent froid la rendait froide. Le bateau avançait plus vite que prévus, ils seraient arrivé dans quatre jours toute au plus. Il resta ainsi toute la nuit, debout à regarder la mer et à ce laisser balancer par les flots. Quand le matin arriva, il ne bougea pas de sa place pour autant, ils étaient arrivé au bord d'un désert que le bateau longeait depuis peux.