Hrp : Mais pourquoi c’est toujours moi qui tape les rps d’ouverture ??? T’aurais pu t’y coller kerduna !!

Après une baignade forcé dans la rivière*, servant de frontière entre le pays de Bree et la comté, offerte gracieusement par la compagnie Saharley-tourisma, cet saleté de cheval se calma. Il s’ébroua, profitant pour mouiller une seconde fois ses passagers, et s’éloigna de la dite rivière* dans un petit trop élégant de parade.
Lui luisant et propre, passant avec grâce et noblesse devant le père maggot, regardant le spectacle appuyé sur sa fourche, et ses passagers, boueux et dégoulinant, ayant triste mine détrempé sur cet sale bête qui s’était venger.

• « Il est susceptible… faut éviter se genre de commentaire avec lui…. »

Se contenta de dire Yrris, en tordant les coins de sa redingote pour tenter d’y chasser l’humidité.

* Rivière dont je ne me rappelle plus le nom, donc, je la nommerai : la rivière.

HRP : c'est vrai. La prochaine fois, et celle d'après je m'y colle! (et pour les fois suivantes on verra bien^^).

Derrière le cheval d'Ecarlate venait d'arriver celui de Ker-Dûnaphil. Si le cheval était fier de lui son cavalier, lui, en revanche, avait l'air de contenir sa fureur. Enfin il en aurait l'air s'il n'était pas couvert de boue des pied jusqu'à la tête, de suite de l'impétuosité de Mabeinz, qui, n'ayant pas l'habitude de telle chevauchées, s'était permis quelques fantaisies.

Le seigneur était détrempé jusqu'aux os et il venait de rattraper, en une chevauchée, toutes les visites chez les visagistes qu'il n'avait par ailleurs jamais fréquenté. A tel point qu'il avait dû faire les derniers kilomètres du trajets complètement a l'aveuglette. Se débarrassant de la boue d'une de ses mains d'un geste sec, il la passa sur son visage, ce qui découvrit un sourire forcé et une leur meurtrière, après qu'il eut plus soigneusement dégagé ses paupières.

Messire le nain, je vous présente Saharley, fit-il d'un ton sarcastique. J'espère que votre baptême s'est bien passé.

Puis, ne supportant plus de porter son vêtement mouillé, il enleva manteau et chemise, découvrant un torse puissamment musclé où les muscles saillaient sous la peau, et les essora à côté de lui, prenant l'exemple d'Ecarlate. Puis il les étendit sur la croupe de Mabeinz, en guise de première punition. Le cheval de Nùmenor, luisant de sueur, eut la sagesse de ne pas broncher, sentant l'humeur massacrante de son cavalier, et comprenant trop bien qu'il en était la cause.

Le fier destrier jugea que, malgré tout, cette petite chevauchée l'avait détendue. Cela avait été particulièrement agréable. Et il avait trouvé de nouvelles astuces pour manœuvrer dans des terrains difficiles.

Le premier qui ose dire qu'il préfèrera dormir ailleurs que dans une auberge ce soir, je m'arrangerais pour que les hémorroïdes soit le cadet de ses soucis,

Fit le numénoréen noir d'un ton acide qui aurait pu graver d'exquises dentelles dans une plaque d'acier forgée par les nains.

Jamais, non jamais un nains n'avait été plus humilié que Fröy l'était en cet instant. Juste après la traversée mouvementée de la rivière Brandevin*, ce trouvait une végétation luxuriante de ronces et d'ajonc épineux... et c'est justement la que notre nain s'était fait désarçonné par cette saleté de canasson.

Pas encore tout a fait lucide, Fröy ne se rendit compte que quelques instants après sa chute, qu'il avait atterrit la tête la première dans un buisson de ronces et que seul ses petite jambes dépassaient encore du dit buisson...

Messire le nain, je vous présente Saharley, j'espère que votre baptême s'est bien passé.

Incapable de ce contenir plus longtemps, Fröy fit la seule chose qu'il était capable de faire dans cette situation : Gueuler très fort en battant des pieds.

- Barzûl !!! Hwatum il skilfz gerdûmn ? Ëta !!!! Narho ûdim etal os isû vond !!!!!!! Narho ûdim etal os formvn mendûnost brakn, az Saharley, hrestvog dûr grimstnzhadn !!!! Az jurgenvren qathrid né dômar oen etal*.... s'écriât Fröy qui ne put s'empêcher de s'exprimer en langage nain tant sa fureur était grande....


*Y me semble que c'est ce nom la...
*Nan je ferrait pas la traduction ^^

D'un autre côté je n'ai pas envie d'y passer la nuit. Calmez vous et je vous lâche doucement sur le sol. Continuez à vous énerver et vous allez découvrir qu'on peut mordre la poussière au premier degré.

- Par les seins de Gonnad !!! Je préfère encore bouffer des caillasses que de remonter sur cette saleté !!!! La prochaine fois j'me paye un poney !!! C'est tout aussi stupide mais au moins on tombe de moins haut !!!

Puis voyant qu'il était toujours suspendu par les pied il s'adressât a son porteur :

Hé dit donc le nudiste ? Sa te dirait pas un peut d'me lâcher la grappe ? C'est pas que la position du manche a balais me déplaise mais j'commence a avoir le sang qui m'remonte au cerveau...

"Poc"

Poc ? Eh oui, quand la tête d'un nain rencontre le sol sa fait mal mais sa fait aussi poc. On peut par contre se demander qui du sol ou du nain a eu le plus mal...

- Aouch ! Pimprennouille !!

Bon ben c'est pas le sol.

- Pour une fois qu'il monte au cerveau profitez en pour réfléchir

- Ha bon, il a un cerveau ?

- Un peu qu'il en a un... sinon comment il aurait fait pour éteindre vot' foutue incendie a la taverne et par la même occasion évité que vous ayez a dédommager le patron ?

Se detournant de la conversation, Fröy se rendit compte que la bouteille sensée être accroché a sa ceinture ne s'y trouvait plus. Constatant qu'elle gisait a quelques mètres a peine, il entreprit d'aller la récupérer, puis revint vers les deux grandes courges en sirotant sa bibine.

- Pour la piaule on a qu'a aller voir Fredegar Bolger, j'ai entendu dire qu'il offrait le gîte et le couvert aux voyageurs du moment qu'il sont pas trop regardant sur la pitance.

hrp : je pique le tour de Froÿ, alors je vais éviter de faire un trop long message^^ Sinon quand il aura posté et si tout le monde est d'accord, je posterais le premier message à l'auberge/Taverne/lieuouondort


Ker-Dûnaphil eut un grand sourire. Et s'efforça de reluquer plus discrètement les dis nibards. Il faut dire que pour lui, mater n'était pas insultant. Car le nùménoréen était amoureux de la beauté sous toutes ses formes, particulièrement. La seule chose qui l'empêcherait d'admirer les formes d'une jolie femme, serait sa mort. A lui. Ou a la jolie femme, il ne sera pas dis que Ker-Dûnaphil est nécrophile! Ou alors seulement après une ou deux minutes après la mort mais pas plus. Bref! Il y a des mineurs ici, et je ne fais pas allusion aux nains. Passons.

J'ajouterais à cela que vous aviez une chance sur deux d'enflammer vos... Gaz, et ainsi de carboniser toute la taverne en plus de subir un retour de flamme assez désagréable.

Puis il répondit à Ecarlate en la regardant dans les yeux (NON j'ai dis les yeux! Là, c'est mieux) :

Malheureusement, si, vous le savez. Pour me faire pardonner je vous dois une faveur. Et je vous paierais les commodités,

fit-il, se sentant d'une humeur étrangement généreuse. Il devait sans doute couver une maladie bizarre. Une tisane à l'athelas lui ferais le plus grand bien ce soir, avant de dormir.

*Hrps : suis ok pour te laisser le premier post au dodo-room*




C'est incroyable ce qu'un regard peut faire en quelques instants. Alors que Fröy s'apprêtait a lancer un regard noire a un certaine rouquine, le dit regard, ce changeât instantanément en un regard surpris... Il est en effet de notoriété public que les yeux des nains sont placés (certains diront : idéalement) a la hauteur d'une poitrine humaine. Hors donc, notre Kazad, ne put répliquer quand ses yeux rencontrèrent, non pas ceux d'Ecarlate, mais plutôt ses "nibards".

D'abord incrédule Fröy se surprit tout de même a penser que sa ne valait pas une poitrine naine, mais qu'il noterait tout de même un bon 6/10.

Ce donnant une claque sur le front, Fröy rassemblât ses affaires avant de poursuivre :

- Bon ben si c'est bon, on y vas ! Mais en chanson !!

- De l’or, des femmes et d'la bière, nom de Dieu !
Un accordéon pour valser tant qu'on veut.
Du rhum, des femmes, c'est ça qui rend heureux.
Que’ Morgoth nous emporte, on a rien trouvé d'mieux.

Hé ho cap'tain ! Fait briller tes galons.
Et reste bien caché ; quand on s’bat pour ton nom.
Nous c'est not'peine qui nous coule sur le front.
Alors, tient bien les raines, tu connais la chanson.

De l’or des femmes et d'la bière, nom de Dieu!
Un accordéon pour valser tant qu'on veut.
Du rhum, des femmes, c'est ça qui rend heureux.
Que’ Morgoth nous emporte, on a rien trouvé d'mieux.

Sa fait une paye qu'on a pas but une bière.
Et même une paye qu'on s’est pas fait une naine.
Tant pis pour celle qui s'pointera la première.
J'lui démonte la pass'relle, la cale, la dunette arrière.

De l’or, des femmes et d'la bière, nom de Dieu !
Un accordéon pour valser tant qu'on veut.
Du rhum, des femmes, c'est ça qui rend heureux.
Que Morgoth nous emporte, on a rien trouvé d'mieux.

Tout est gravé quelque part sur ma peau
j’en ait plein sur les bras ; une histoire pour l’bistrot.
Blessures de guerre, culs d'bouteilles, coups d'couteaux.
Tant qu'y aura des comptoirs, on aura des héros.

De l’or, des femmes et d'la bière, nom de Dieu !
Un accordéon pour valser tant qu'on veut.
Du rhum, des femmes, c'est ça qui rend heureux.
Que Morgoth nous emporte, on a rien trouvé d'mieux.

Trois milles du cap, c'est les foies, c'est les glandes.
Quand t'as l'coeur qui dérape et les tripes qui fermentent.
J'essaie d'penser, aux filles qui s'impatientent.
Pas aux gob'lins qui couinent ; entre deux coup de hache

De l’or, des femmes et d'la bière, nom de Dieu !
Un accordéon pour valser tant qu'on veut.
Du rhum, des femmes, c'est ça qui rend heureux.
Que Morgoth nous emporte, on a rien trouvé d'mieux.

De l’or, des femmes et d'la bière, nom de Dieu !
Un accordéon pour valser tant qu'on veut.
Du rhum, des femmes, c'est ça qui rend heureux.
Que Morgoth nous emporte, on a rien trouvé d'mieux

Nous nous approchâmes des individus et quand j'ai vu les individus j'ai compris que j'avais oublier le (e) a individu(e)s car l'un d'entre eux était une rouquine toute mouillé, l'autre une espèce d'homme-nudiste ou un truck dans le genre, et l'autre un nain légèrement griffé par des ronce.

et je poussa quelques paroles aux voyageurs : Bonjour voyageurs , que faites vous tout trempé a coté d'un lac froid comme un glaçon? dis-je en souriant aux inconu(e)s

je ne m'étonna pas qu'ils me regardèrent avec peur car j'était couvert de sang de gobelins j'était aussi tout poussiéreux (et tout naineux)

Modo :

Attention Halggir!

Citation :

je ne m'étonna pas qu'ils me regardèrent avec peur car j'était couvert de sang de gobelins j'était aussi tout poussiéreux (et tout naineux)

Ça ne va pas du tout! On ne décide pas des réactions des autres pour eux! Ensuite, mais c'est moins grave, si tu relis le message que j'ai posté en haut de la page, mon personnage s'est rhabillé

Enfin bon, l'autre problème c'est que je ne peux en l'état pas répondre à ton message, il faut que tu le modifie, par rapport à ce que j'ai cité. Mais, vu que l'on est sensé être déjà parti pour l'auberge (je suis coupable, j'ai trainé pour poster -Ecarlate, confirme moi que c'est bon pour toi aussi au fait ), je te propose simplement de réécrire un RP pour te joindre à nous, directement à l'auberge (que je posterais dès que j'ai la réponse d'Ecar' ^^ )