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Cair Andros, une cité prospère d'un empire prospère. C'était en effet ce qu'elle était avant, et ce qu'elle est toujours. Toutefois il y manque quelque chose, la famille royale. Maintenant dirigé par un Intendant, la cité se porte économiquement et militairement bien, il en va de soit. Mais qu'en est-il du peuple ? Ce peuple sans qui la cité n'est rien. L'Intendant n'est pas désagréable, très loin de celui qu'avait connu Minas Tirith et le Gondor il y a de cela longtemps, et il était bien ami avec Targon, jadis. Mais un Intendant, c'est un intendant, et il est dit et connu que le peuple préfère un souverain stable, et de sang royale.

Cela faisait un bon moment que Kerwin était revenu, malgré ce 5 ans d'absence, mais le peuple n'en était pas encore mis au courant, seulement les hauts dignitaires du château. Il était revenu dans l'ombre, le visage camouflé sous une capuche, à la grande surprise des gardes qui prirent du temps à le reconnaitre, sceptique de le voir encore vivant.

Les habitants de la cité bien peuplé qu'était Cair Andros furent mis au courant d'une annonce officielle de l'Intendance qui allait bientôt paraître, du grand balcon. Ce grand balcon, de béton solide, n'était accessible que par le château, et donnait accès directement à la grande place publique. Curieux et avides de rumeurs à discuter, la majorité, voir la totalité, du peuple.

Intendant Rivory: - Peuple de Cair Andros ! Une grande nouvelle m'est parvenu, une bonne nouvelle pour notre cité comme pour notre pays, et comme pour ma propre personne. En effet...

Il marqua une longue pause, tandis que quelques chuchottements se faisaient entendre dans cette foule majoritairement silencieuse, les gens se questionnait, mais sans grande intrigue. Surement une annonce économique, ou diplomatique, se disaient-ils.

- Je cède mon pouvoir... à..

Cette fois l'intérêt fut grandement suscité, un nouvel intendant peut-être ? Qui serais-ce donc ! La surprise s'exclama de façon commune dans une inspiration bruyante de la population, et les commères se mirent rapidement à raconter tout ce qu'ils pensaient. Ce, jusqu'à ce que le silence retombe, tous curieux, le regard levé vers l'intendant Rivory.

- Votre prince ! En toute légitimité ! Kerwin, fils de Targon !

Et c'est un jeune homme tout armuré d'un mithril brillant qui fit pas, lentement, sur le grand balcon du château. La foule s'exclama, certains n'y croyaient pas, d'autres étaient heureux, certaines rares personnes offusqués. Évidemment, on ne peut plaire à tous. Tout ce brouhaha par le peuple s'intensifiait alors de plus en plus, tandis que Kerwin patientait que le silence revienne. Un sourire en coin bien ancré sur ses lèvres tandis qu'il regardait ce qui fut toujours le peuple qu'il chérissait.

- J'ignore si je mérite votre respect de façon légitime, j'ignore si je mérite ce titre, pour vous avouer. Mais mon sang est de celui qui règne sur L'Harithilien et l'Ithilien..

Il marqua ensuite une courte pause. Bien sur, il s'était gardé de dire en plus l'Anfalas, puisque ce n'était pas au peuple de l'Anfalas qu'il s'adressait, bien entendu. Puis, avant qu'il ne reprenne parole, un homme de forte carrure, et de forte voix aussi, prit la prole, s'écriant alors presque. Irrespectueux, oui, mais cela était compréhensible pour le jeune Kerwin qui ne s'en vit point offusqué.

- Pourquoi t'es parti, et qu'tu reviens aujourd'hui !?!?

Le jeune prince passa une main dans ses cheveux, bien lentement, son sourire n'était point disparu. Un sourire que beaucoup lui connaissait d'ailleurs. Il posa son regard vers où lui semblait être l'homme dans cette masse, maintenant complètement silencieuse.

- Je ne me sentais pas digne d'être votre prince, pour tout avouer. Mais j'ai réalisé beaucoup de chose durant mes périples, j'ai grandi, j'ai vécu. Et maintenant j'ai réalisé que c'est le jour où je suis parti que j'ai perdu ma dignité. Mais ne vous en faites pas, aujourd'hui devant vous, ne se tiens pas un indigne, loin de là. Il se tient devant un Prince honorable, qui fera de Cair Andros la cité doré qu'elle fut autrefois, qui redorera le blason de ma, que dis-je, de Notre cité !

Un silence s'en suivit, et ce ne fut pas les typiques applaudissements émus qui s'en suivirent. Mais le hurlement d'un homme fier dans un "Ouais!!!" tandis qu'il levait son bras en l'air, suivit de plusieurs autres, puis, de toute la foule en entier. Peut-être que certains n'étaient point ravis du retour du prince, mais il avait su au moins les motiver, ne serais-ce qu'en ce jour. Une fois le silence retombé, de nouveau, Kerwin prit la parole.

- Et devant vous, je nomme l'Intendant Rivory, qui à donné corps et âmes pour notre nation, conseillé suprême de la cour royale. Ou en d'autres mots, mon conseiller personnel.

Il salua le peuple en levant sa main, et même si les coutumes ne le voulait point, il inclina la tête vers le peuple. Ensuite de quoi, il retourna à ses appartements, où on le mit au courant des différentes situations politique, des avancés du mordor, de la situation économique et culturel. Bref, où il se remit à jour à Cair Andros, si l'on peut dire cela ainsi. Le prince était de retour, encore une fois, espérons que cela dur.

Il y avait un certain moment qu'il était revenu dans sa cité natale, sa cité de pouvoir. Il avait laissé ses conseillers s'occuper des diverses choses, ne voulant pas déstabilisé les citoyens, et il savait que ces personnes étaient bien plus à jour que lui. Mais il y remédiait tout de même assez bien, peu à peu.

- Les effets de Sa Majesté sont prêt.

Le jeune prince, maintenant roi, quand on y repense... malgré qu'il croyait encore son père en vie, et donc il préférait se dire prince. Où en étais-je ? Ah oui. Donc, le jeune prince esquissa un mince sourire à l'appelation qu'un garde impériale fit mention vers lui. Il posa une main sur l'épaule du garde et prononça ces quelques mots.

- Vous savez.. Vous n'êtes pas tenus de ces marques de politesse envers la noblesse, à mon égard. Je demande simplement un respect sincère, rien de plus. ... Nous partirons d'ici quelques jours, vous serez du voyage ?

- Oui mon Seigneur.

Kerwin ne put s'empêcher de sourire à nouveau d'un très mince sourire en coin. Il tourna donc les talons après avoir hôché la tête vers le soldat impérial. Il marcha un instant dans les couloirs du château sans vraiment savoir ce qu'il voulait vraiment faire de cette soirée, et ses pas le menèrent d'eux mêmes dans la salle d'entrainement. Il ne s'entraina toutefois pas, puisqu'à cette heure, elle était vide, si ce n'est que les mannequins de bois, et cet objet... Cet objet tout particulier qui était accroché au mur dans un cadre de vitre. C'était l'épée de bois, la première, et la seule, épée de bois avec laquelle le prince c'était entraîné durant de longues années de sa vie. Contre le meilleur combattant que le Gondor ait connu, si ce n'est les terres du millieu... Du moins, dans ces dernières années, seulement. L'hybride, (car si vous l'ignoriez, Kerwin à bel et bien du sang Dunedain, Numénorien, et elfique!) continua donc sa route dans les vastes couloirs du château jusqu'à ce que la fatigue le gagne et qu'il daigne allez dormir dans un lit si confortable, après avoir passé tant de temps à dormir dans des camps improvisés, ou dans diverses auberges.

Pendant que le jeune prince en charge du château de Cair Andros et de tous le royaume de son père discutait avec ses sujets dans le château en temps que telle.. un garde était venu le voir d'un pas presser. En fait il s'agissait d'une recrue de l'armé de Cair Andros qui tenta de passer par delà la garde du château. Mais pas politique de grade. Étant donnée qu'il ne s'agissait pas d'un soldat de la garde royale.. il n'avait pas accès.. quel tristesse.. m'enfin.. le jeune homme cependant percistait en disant qu'il avait une urgence. Qu'il devait voir a tous prit le jeune prince des lieux. Avant que se soit trop tard

Garde: Mon seigneur. Une recrue du royaume désir vous parlez. Selon ses dire se serait urgent.

Avait sortie le garde a Kerwin avant que la recrue était finalement de retour (Suite au refus de passage pour rentré dans le chateau) La recrue en question a la suite d'un autre garde tenait un homme. Surement de visage familier a Kerwin ou peut-être pas.. tous dépend s'il connaissait le frère du Général de Cair Andros. Hador.. cependant l'homme n'était pas en super forme.. le garde qui avait demander a Kerwin s'il souhaitait voir la recrue s'écarta rapidement du chemin pour laisser place aux deux soldat avec le Général blesser..

Hador: Kerwin... il... il faut que je te parles...

Dit-il avec difficulté.. il était encore armuré autre fois en argent.. mais maintenant plus rouge et noir que d'autre chose.. avec naturellement deux a trois flèche dans le dos. Il avait refusé qu'un médecin s'occupe de lui pour transmettre son message au plus vite.. ce qui semblait pas mal suicidaire selon certain. Mais têtue comme ce qu'il était il avait même prit asser d'énergie pour assomer un médecin.. surtout qu'il savait qu'il en avait pas long a vivre maintenant..

Le lendemain, après une bonne nuit de sommeil bien confortable dans son énorme lit. Le jeune prince prit un bon déjeuner, conservant son regard sur le ciel bleuté éclairé par un soleil de feu. La journée était magnifique. Il quitta sa robe de chambre pour ensuite s'habiller plus convenablement; une souple chemise blanche et bleu foncée, muni d'un doublet noir. Des pantalons ample d'un bleu noir qui s'harmonisait parfaitement avec la chemise, des bottes de cuir solidement lassés. Une cape de velours bleu, aux côtés munis de belles fourrures. Il allait mettre son foulard quand un garde Impérial vint le voir pour lui signaler qu'une recrue de l'Armée désirait le voir pour une urgence. Il demanda donc qu'on le fasse quérir d'entrer, bien évidemment. Puis, il arqua bien haut l'un de ses sourcils en voyant le général qui accompagnait ladite recrue.

Après cinq années de temps, il était difficile de bien reconnaitre les visages, mais quand ils nous étaient familiers, ils le restaient. C'est donc ainsi que le jeune prince crut, et avec raison, connaitre le général qui lui adressait donc la parole. En entendant sa voix il le replaça assez rapidement.

- Hador... ? Sirop de Keltor ! Allez chercher des soigneurs, sur-le-champ ! Qu'est-ce qu'il y a, parle..

Passant d'un ton incertain quand il prononça son nom, pour suivre ensuite d'une voix autoritaire quand il demanda d'aller chercher des soigneurs. Et c'est une intonation inquiète qui lui demanda de parler. Les soigneurs, tant qu'à eux, ne prirent pas trop de temps à arriver, ils arrivèrent pendant que le général parlait...

Et comme de raison le Prince de Cair Andros avait décidé de faire la même chose que tous les personnes en voyant Hador arrivé. Cependant Hador savait qu'il en avait pas pour longtemps.. alors un médecin?.. soigneur?... seigneur! sa ne servait absolument a rien.. quand Kerwin lui demanda de parler Hador demanda a la recrue de le déposer a terre.. laissant parraitre clairement les trois flèches qu'il avait dans le dos. Il prit place par terre péniblement en disant a voie basse

Hador: Laissez faire les soigneurs mon seigneur. Mon temps est désormait compter..

Dit-il en prenant deux a trois respirations.. question de maintenir l'énergie qu'il avait pour délivré le message. Il continua en disant

Hador: Vous savez... que l'alliance que votre grand père a crée... dans ses jeunes années.. est partie en guerre contre le rival de votre père dans le nord.. il y a 5 ans.. n'es-ce pas?

Demanda-t-il.. décidément le frère de Targrid avait toujours le tour pour tourner autour du pot aux mauvais moment.. m'enfin.. il reprit en disant

Hador: Je viens vous annoncé.. que nous avons échouer.. Idrahil sans est sortie vivant.. et nous avons subit de lourde dommage.. assoyer vous.. sa risque de vous faire un choc..

Ouais.. en plus de tourner austour du pot monsieur avait le problème de devoir annoncé les pertes.. il reprit donc en disant

Hador: Nous n'étions pas prêt... du moins.. pas comme nous l'aurions souhaitez.. votre grand oncle est un adversaire très redoutable.. et sans doute le pire qu'il y a maintenant sur la terre du milieux.. dans nos combat.. nous avons pas été en mesure de maintenir les seigneurs Elfe.. dans le genre de Glorfindel et Thranduil.. en vie... ainsi que Froin et Groin... ont tomber au combat..

Qui aime dire les pertes.. il ne commença pas tous de suite pour parler des gondoriens tomber.. surtout que sa flèche dans le dos semblait éprouver une douleur atroce.. le laissant gémir de douleur..

Les soigneurs maintenant prêt à tenter de sauver le général regardèrent le seigneur des lieux. Dans leur regard se lisait l'interrogation, ils voulaient savoir s'ils devaient le soigner en dépit de ce que Hador avait dit, c'est-à-dire de le laisser faire. Kerwin fit un simple geste de la tête, la secouant, de façon négative. Il avait compris qu'Hador allait mourir et qu'il était déjà trop tard pour le sauver, tout comme le général, il l'acceptait. Il resta silencieux tout au long des dires d'Hador, il ne désirait pas couper la parole à un mourrant... Il affirma qu'il se souvenait bel et bien de l'organisation qu'Adrahil avait créer, l'union des peuples libres, même que le jeune prince en avait fait partit, et que théoriquement il en faisait encore parti. Toutefois, il était visible qu'il ignorait qu'ils étaient partit en guerre. À ce moment son regard se plissa quelques peu, déformant un peu les traits de son visage, il appréhendait la suite. Son regard s'assombrit lorsqu'il entendit qu'ils avaient échoués.

Le prince déposa un genou au sol, pour se mettre à la hauteur du général, aussi au sol, lorsque ce dernier lui dit de s'assoir. Il affichait un air grave lorsqu'il apprit la mort de Glorfindel et des autres. Glorfindel était son ancêtre, un membre de la famille, même si la plupart des gens l'ignoraient. Il remarqua bien vite qu'aucun Gondorien n'avait été mentionné, et malgré lui il prononça ensuite bien bas:

- Et Targon... ?

Décidément Kerwin mettait les choses de plus en plus difficile pour le Général. Dans le sens qu'il n'avait pas vraiment envis de lui annoncé qu'il avait aucune traitre d'idée de ce qui était arrivé aux Gondoriens.. puisque lui même ne le savait pas.. du moins.. il avait demander pour Targon ce qui était naturellement l'information qu'il n'avait pas.. cependant il savait ce qui était arrivé aux autres

Hador: Ton père... je ne serai te dire ce qui lui arrive... puisque je ne sais même pas moi même s'il est encore vivant.. cependant.. mon seigneur de Linhir est présentement aux montagnes bleu.. avec votre Général.. ainsi que le seigneur de Belfalas.. j'ai été envoyer ici.. pour te donner les informations nessesaire sur cette croisade contre Idrahil...

La douleur s'intensifia.. surtout que Hador désirait se coucher sur le dos pour mourir en paix.. cependant les flèches l'énarvait.. il en détâcha une de son dos.. pour continuer l'information

Hador: Tous n'est pas vint.. On a appris ce qui fait en sorte que Idrahil est aussi fort..

Pour Kerwin.. le Général était visiblement en mauvaise état.. et surtout que la peau de ce dernier devenait de plus en plus blanche, la flèche que se dernier s'était arracher du dos était aussi étrange.. et sentait drôlement mauvaise.. et pour méler a l'inconnu celle ci était mauve au lieux de grise

Hador: J'ai été envoyer ici pour vous dire l'énigme contre votre grand oncle.. seulement il l'a su et a fait en sorte que je n'arrive pas en un seul morceau a Cair Andros.. d'où la raison de la flèche empoisonner.. mais en bref.. votre grand oncle n'est pas duable de la lame humaine.. ou avec de l'argent.. étant donnée qu'il a accomplie un pacte avec l'autre monde..

Il tentait toujours de contenir ses force questions d'être capable de donner l'information au complet a Kerwin avant de mourir.. il prenait son souffle a plusieurs reprise et relativement bruyament étalement.. le monde du château s'était également rassemblé afin de former un cercle et voir ce qui arrivait a Hador..

La bouche légèrement ouverte, il avalait carrément chaque mots prononcés par le mourrant. Il fit un bref signe de tête vers deux gardes qui comprirent assez rapidement, puisque le signe fut fait lorsqu'Hador eut dit que le seigneur de Linhir était aux montagnes bleus avec d'autres. Ainsi, les deux gardes impériaux partirent chercher l'armure de Kerwin. Puis lorsqu'il vit la flèche empoisonnés, il ne manqua pas de se dire qu'il était mieux de ne pas recevoir aucune flèches. Puis lorsque le général mentionna au prince que des informations avaient été détenus. Le regard du jeune prince s'illumina, il gardait aussi espoir que son père soit encore en vie. Il resta très attentif aux dires du Général, sachant qu'il allait bientôt mourir. Les soigneurs se rapprochèrent donc quand ils virent qu'il voulait enlever les flèches dans son dos, et c'est avec précation qu'ils le firent. Posant un baume anti-douleur sur les plaies. C'est appelé anti-douleur mais ça ne fait que la diminuer, elle est encore présente, mais on la ressens un peu moins.

- Quel sorte de lame peut donc mettre fin à ses jours ?

Le prince savait bien qu'Idrahil était un loup-garou, il l'avait déjà vu se transformer devant ses yeux et combattre Targon, juste avant qu'il combatte un nazgûl et rencontre une femme particulière, ce fut toute une journée, ce moment, pour tout dire. Le mithril était la sorte de lame à laquelle Kerwin pensait, mais il ne voulait pas interrompre le mourrant, il le laissa donc continuer, posant sa question de façon bien audible pour celui qui agonisait lentement.

Décidément l'état de Hador s'empirait.. et il ne s'était pas aider en se retirant la flèche de dans le dos. Bien au contraire il devait avoir empiré la situation puisqu'il commença a crasher du sang sur le sol.. mais plus en quantité industrielle si vous voyez le genre.. il était dans les pires états qu'ils soit.. après avoir donner l'information sur les deux blesser aux montagnes bleus. Kerwin demanda quel sorte de lame devait tuer Idrahil... Hador hésita un instant en répondant

Hador: Je l'ignore hélas.. chose certaine.. le métal ne lui fait aucun effet... l'argent ne lui fais aucun effet... le Mithril.. les lames de votre père... a simplement fait en sorte de le chatouiller.. peut-être trouveriez vous la réponse a cet énigme, Kerwin.. fils de Targon.. mais de ce que votre père a fait mention.. nous n'avons rien pour l'éliminer en se moment..

Et c'est a se moment qu'il commença a taper des clous. dans le sens qu'il était vraiment sur le point de mourir.. lui laissant moins d'une minute a vivre.. il poursuivit en disant

Hador: Dite mes adieux a mon frère... ce..ce fus un grand honneur.. d'avoir travailler avec vo...

Même pas été capable de terminer la phrase que le Général de Linhir s'était éffrondré au sol.. mort.. deux gardes royal s'approcha pour prendre le corps du Général en demandant a Kerwin ce qu'il souhaitait en faire. Et quel serait ses intention par la suite.

Kerwin avait cessé de respirer et écoutait les derniers propos que le général allait tenir de sa vie. La foule tout autour en faisait de même, seul la voix d'Hador venait briser le silence maintenant béant dans le château. Deux jeunes gardes étaient arrivés avec l'armure et les armes en mithril du prince, mais les deux individus patientaient au seuil de la porte, eux aussi à l'écoute d'Hador. Lorsque le Général laissa souffler son dernier soupir, Kerwin prit une grande inspiration et fermit les paupières de l'homme d'un geste de main. Puis, alors que le silence règna un bon moment dans la salle, le fils de Targon souffla quelques mots, plus pour lui-même qu'autre chose.

- Moi aussi, mon ami, moi aussi... Ta mort ne sera pas en vaine, ainsi que celle de tout ceux qui sont tombés contre lui. Non, je les vangerai.

Il se redressa tranquillement, conservant son visage sur le défunt qui gisait maintenant au sol. Puis, tandis que les deux gardes approchèrent pour mettre l'armure à Kerwin après un signe de tête de ce dernier, ce même dernier mentionna des mots à l'intention des serviteurs et gens présents.

Que l'on lui offre des funérailles de héros, et informez-en sa famille aussi.

Puis, une fois son armure revêtit, il mit la cape du blason de Cair Andros, et se dirigea vers sa chambre personnel. De laquelle il rédigea une missive très rapidement, une écriture soignée mais la rapidité à laquel elle avait été écrite était visible de par les traits de plume qui dépassaient. Il déposa le parchemin enroulé dans les pattes d'un pigeon voyageur, et celui-ci s'envola pour les montagnes bleus.

Kerwin, tant qu'à lui, attendait patiemment le retour du pigeon avec l'espérence d'une missive retour. Aussi, il attendait le retour des éclaireurs et leur rapport qu'il ferait quérir au général. L'heure était bientôt arrivé au retour des éclaireurs pour en envoyer d'autres, à chaque demi journée c'était ainsi. Il ne restait plus qu'à attendre.

Kerwin avait visiblement affronter pire que la mort d'un général, ou d'un ami, il avait même affronté celle de sa propre mère, et jusqu'à tout récemment, il pensait que c'en était ainsi pour son père aussi. Ainsi, la mort d'Hador ne l'affectait pas beaucoup, mais il respectait beaucoup ce qu'il avait fait pour lui et le Gondor, et c'était un homme bien. Mais il était mort, et on ne pouvait rien y changer, seul les faibles se plaignent.

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