Nom: Arazael Netza'h
Race: semi-elfe
Peuple: Sinda
Age: 60 ans
Sexe: Masculin
Fils de: Oui, j'ai un pere et une mere... Le tyran et la catin, de la Fontaine, vous connaissez?
Caractéristiques morales: Enjouer, il aime chanter au bruit des cris, rieur, farceur, malgres sont mechant masque et ses habit noir, il a un caractere d'ange... déchu... Seul ceux qui le connaisse savent qui il est reelement, de quel matiere il est fait. Tailler dans le marbre noir et froid de la soufrance, Netza'h triomphe de part les flot de sang en cru sous la lune contre la folie qui, bien que distante, reste presente.
Caractéristiques physiques: Il domine de part ses 2 metre de haut les table de torture. Sa tenu de toile et d'os, de fer et de sang, est composer d'une robe noir alluminer de rouge, a manche courte decouvrant des bras musculeux. La cuirasse de fer noir placer au dessu d'une peau de serpent, tailler a la maniere des os. les cotes noir sayante de celle si souligne des epaulette et un corselet de meme matiere. A ses bras, des brassard de cuir et d'os blanchi, purement estetique, domine des gantelet-vertebres noires. Un grand casque de fer noir representant un crane, herisser de pointe rejointe par leur membrane de fer. Le casque est integrale et des voiles blanc cache ses long cheveux de jais. dans les oeilet du casque nous pouvons apercevoire des yeux bleu de glace, fenetre de l'ame, dit-ons? Lorsqu'il enleve sont masque et sont armure, c'est pour decouvrire les trait fins de sont visage et les cicatrices invisible de sont corps. Ses long cheveux noir, tombant en cascades, sont aussi noir, peut etre, que sont ame.
Titre: Archi-Duc et Grand Connétable de l'Ordre du Crâne d'Umbar
Amoureux: Pas encore
Pays: Umbar
Armes: Il utilise des stilleto, et il peut se battre avec une hache, si la necessité sans fait sentir.
Histoire:
"A la claire fontaine
S'en allant promener
J'ai trouver l'eau si belle
Que je mi suis saigner..."
Je tappais a l'aide d'os sur les barreaux de la cage, des os humains... La providence avait crue bon de me metre en cage. La providence? Mon pere. Grand bucherons, decoupeur de tronc sanglant, violeur, tueur, depeceur, faucheur... Il s'amusais bien avec moi, le salaud... il avait toujour hate que de revenir a la charge, il va, il vient... Moi attacher j'hurle, je ne sais plus si c'etait de douleur ou de plaisir mais dieu que ce sont etait magnifique... Cette sensation de sang qui coule le long du corps... Ce sentiment de liberté procuré par un os reduit en miette... La douce chaleur des flammes sous mes pied... Et ce concert... Do, Do, Si, La, La, Do...
J'était un batard, ma mere, une elfe, violé puis pousser a bout par les hommes de mon pere et par mon pere lui meme, est mort en couche. Me donnant naissance, a moi, mi elfe mi homme. Je n'avait jamais vu le soleil autrement que par la porte de mon monde. Et en quelque sorte, j'etait une bestiole rampante, que l'on fait souffrir. Je ne sus pas tout de suite que mon tortionnaire était mon pere, son boulot était fascinant, si haut en couleur, si tangible, un metier qui fait vibrer t'es tripes.
D'un coup de dent argneux dans ma main, sur mes murs noir de sang seché, je m'adonnais aux arts enfantins : Peinture avec les doigt. Les autres prisonnier, de tout age, m'evité comme la peste, j'etait d'apres eux, etrange. Je me choisisais un nom en ecoutant les cris de mes partenaire. Comme la larve que j'était, je rempais dans ma folie. Mais comme toute larve, je devint vite papillon, et a l'heure habituel du concert, ce ne fut pas les cris des habituer que nous entendirent dans cette opera. Je fit tomber le jôllié en lui foncant dans la jambe, un craquement sinistre se fit entendre et je me mit a tourner autour de lui en sautillant, guilleret.
"Vois sur ton chemin,
Soldat oublier
Ecorché..."
Je m'emparré de l'épée et je me mit a cheval sur le torse de lhomme, bloquant ses main de mes jambes. Puis je decouper de fine tranche de peau sur sont visage, puis de chaire. Il n'avait plus de force pour se debattre et ses larmes mellé a sont sang firent mieu glisser ma lame sur ses chaire... Lorsque je puis gratter l'os de l'interressé, je fit...
"Sent au coeur de la nuit...
ma lame ensanglanté..."
La lame s'abbatit sur l'ennemi qui se rendis dans un rale grave.
Doooo...
Bien vite, mon tortionnaire ne fit comme sauté les echellons, toujour pris pour l'animal, j'etait maintenant je lion de l'arene, condamnant les esclaves... Et mes cris laisserent places aux rires et au chants.
Un jour, le soleil m'eblouit plus qu'a l'accoutumé, les murs tombais autour de moi et mes pied nu pur sentir l'herbe et la rosée, mes narines changerent de décors aussi, je passais de sang caillé a bois poncé, pierre seche et autre petit parfum qui pour les autres etait invisible mais qui pour moi était toujour un decouverte. Je ne m'attardais pas dessus, je courrais pour fuir la guerre, mon tortionnaire etait sans doute mort, et ses gens aussi, je ne m'en souciait plus. Je finis par herer dans un desert, et des haradrims finirent par me tomber dessus, je retrouver encore une fois mon monde : une cage. Mais ce monde pourtant similaire de nom etait bien different, il etait eclairé et les barraux n'etait pas sombre et froid comme le neuvieme cercle de l'enfer. Je ne compris rien des mots etranges que ses hommes prononcer mais bientot nous apercume apres route de terre battue et dune sabloneuse, une grande ville. Je me rendis dans un etrange endroit où s'echanger differente chose qui m'etait tout aussi inconnu. Des passant venais me regarder, pire : il m'oscuplter. Je restais des jours et des nuits, dormant avec de drole d'etre... comme les rats qu'on mangeaient en prison, en plus gros et moins puant, peut etre. La nuit néanmoins je continuais ma peinture. Chaque matin, c'etait toujour la meme chose neanmoins lorsque l'un des hommes voyais mon sang et mes mains il hurlait des phrases que maintenant je cromprend : "Tu t'abime!"
Hors, un jour, un grand homme vint et mosculpta, il était different des autres lui, il s'attarda sur moi, bien que je ne comprenait pas pourquoi. Tout pris un sens lorsque l'homme donna une bourse cliquetante de pieces a mon esclavagiste. Il m'emmena ensuite dans une sorte de temple, completement glauque, nous avancions, éclairaient par des flambeaux rouges, dans un corridor tapisser de noir. Soudain il se tourna vers moi et me fit d'une voix monotone, comme las :
- Comprends-tu ce que je dis?
- Oui. lui repondit-je
- Qui t'as apprit à parler?
- Père, ecouter torture pour ami et appris.
- Par le slip kangourou d'Eru... Je sens poindre une migraine...
- Pas comprendre.
- Tais-toi. Ne sais-tu donc pas parler correctement? Que sais-tu faire d'autre que d'insulter l'Adunaïc en le parlant?
- Connaitre quelque chansons et savoir faire joli dessin...
- Ton nom?
- Arazael Netza'h
Kennotcha, c'etait sont nom, pris sur lui de m'apprendre bien des chose plus ou moins utile. Il m'appris les lettres, les chiffres, la musique, bref, il m'appris vite tout se que j'avait perdu jusqu'alors. C'etait il y a trop longtemps pour que je me rapelle en details les cours, mais je me rapeller surtout les colere qu'il lui arrivais de piquer de temps a autre... Tres vites, je me mit a refaire couler le sang. Kennotcha avait remarqué mes dessins, je crois... On envoyait des humains vers moi et il m'incombait la tache de leur ouvrire le ventre, de trifouiller leur viscere et ainsi que le Grand Melkor soit heureux. Je resumais le sacrifice a sa, a cette epoque. L'odeur des viscere couper, des ventre éventré, des organes desorganisés, me rapella des souvenir amusant et souvant je sifflait ou je marmonnais une chanson tout en étant a l'oeuvre. Et que de cri delectable... Des partitions nouvelle se créaient dans ma tete, des partitions de cris, de partitions de gemissement, des partitions de douleurs. Je montais les echellons a mon rythme, mais tout de meme rapidement. Je fut rapidement le maitre sacrificateur. Pour la gloire de Melkor.
Nous avons demenager quelque années apres, a Umbar, ma ville natal. Labas, je sortis des ordres, bien qu'encore tres pieux. Au fils des années, la larve devint papillon de douleur, et je fini par emergé de l'océan de l'anonymat. J'ai fini a la tete de l'ordre du crane, l'ordre des bourreaux et tortionnaire d'Umbar, accedant ainsi au privilege et titre de noblesse qui m'etait predestiné.
Expérience: Torture, maitre de la professions, sans doute, bien sur, il sait tuer, mais il est bien moins douer pour se fait...
Camp: Neutre
Personnes que votre personnage connait:
Ker-Dunaphil>>>Ami
Arendil>>> Ami
Sha'>>> Amie
Kennotcha>>>Prescepteur
Varsha>>>Connaissance/ami avec un sale caractere
Dwar>>>Connaissance
Comment vous avez connu le forum: Par Suladen
Niveau de RP: J'ai un niveau moyen, et encore...
Avez-vous lu les règlements? *Silence* Il n'y a aucun doute à avoir sur le fait que je les ai lu ou non, car ce n'est pas dans ma nature de ne pas respecter les règles.