Cirdan d'abord surpris, s'inclina respectueusement dès qu'il entendit le nom de Legolas. Il accepta la nourriture et partit, furtivement vers les portes de secours.

-Comment ce fait-il que le seigneur Legolas soit si inquiet pour fermer les portes ?

Hj : Une question : où ce trouve le code Rp du forum, car je ne sais pas quel est le code pour la pensée.

(je comprends pas ta questions vraiment. Si tu veux savoir si il y a un code speciale pour les paroles, je n'en aie pas instaurer un)

-Bonne chance pour vous rendre a votre point.

Quand Cirdan arriva dans la cité, des gardes se depecherent d'aller fermer les portes pour eviter une intrusion. Ils lui demandèrent:

-Est ce que vous avez été suivits par quelqun ou quelque chose? Si oui, pouvez vous nous en informer tout de suite?

Hj: c'est pas grave, je vais faire avec, merci

-Je ne crois pas avoir été suivi... si n'est qu'une ombre, a plusieurs dizaine de lieu d'ici. Je l'ai semé assez vite, ou alors ma vue me trompe.

Il réfléchit et demanda :

-Savez vous si Turgon Faelivrin est ici, c'est un guerrier qui est normalement chargé de garder le Palais ?

Hj : Si c'est pas trop demandé, pourrais-tu m'annoncer son décès ? S'il te plaît ?

(Pas de problème)

-Nous sommes navrés de vous annoncer sa. Nous savons que ce Turgon faisait partie des membres de votre famille mais nous avons subis des attaques récement donc il a du venir déffendre. Turgon Faelivrin est mort il y a quelques semaines tué dans une attaque de Dol Guldur. Nous sommes désolé pour cette perte.

Il envoya des elfes a la chasse pour verifier si il avait été suivit.

(désolé mais je dois faire la matrix avec mon prof, c'est pour sa que c'est long)

Hj : Merci.

-M..mort ?! J..je vois, je me doutais de quelque chose... hum... bien, j'y vais, merci...

Il avait beau être triste cette nouvelle ne le désespérait pas, il se senti honoré, c'était comme si on lui avait confié l'honneur de sa famille. D'un revers de manche il sécha ses larmes, il marcha d'abord, releva la tête puis s'élança dans la cité...

*Bon, il ne reste plus que moi, mais comme vous le disiez si bien père : c'est la vie !*