Rescousse

Maintenant Laesonif assez battus, il le rapporta au cachot avec ses soldats. Avec? Non pas du tout. ils ne mirent dans une cellule differente de celle de ses soldats afin qu'ils ne l'aident pas. Puis Eöl arriva a la suite de ses soldats et regarda les chevaliers.

-Alors comment sa faite de ne pas pouvoir secourir celui pour qui on a preter allegeance?

Puis, sourire malin aux levres, il quitta les lieux, laissant Laesonif et ses soldats dans l'obscurité des lieux.

Aveugle et n,ayant pratiquement plus de forces, Laesonif ne pu bouger mais pouvais simplement parler, et encore... Son cas devenait de plus en plus urgent mais toute personne pouvant l'aider était de l'autre coté du corridor, a attendre qu'on les aide d'eux même. il n'était même pas sure si ils savaient qu'il était la. Il attendais, dans le noir, a savoir si il s'en sortirais vivant si oui dans quel état?

P'tit Nouveau Nombre de messages : 304 Date d'inscription : 04/04/2007

Bellerophon arriova, couché sur le sol, au pieds d'une petite colline. Personne ne pouvais le voir de la facon dont il était. Il regardait la tour de garde, ne sachant pas comment la traverser sans se faire voir. puis, a sa plus grande surprise, Eöl en sorti par une des portes. Il osa s'en approcher unpeu une fois que Eöl serait éloigné puis regarda si il n'y avait pas des gardes. étrangement, il n'y en avait pas. C'était peut-être un piège mais sa, il n'avais pas vraiment le temps de s'en soucier. Il s'en alla de nouveau vers son cheval et se changea comme quand il était a Fondcombe afin que sa grosse armure ne le gene pas. Puis il s'en retourna près de la porte. Après s'etre assurer que personne ne le regardais et etre sure que personne ne pourrais l'entendre, il prit une inspiration avant d'ouvrir la porte. Le couloir vers le bas était sombre mais avec l'obscurité des endroits que Bellerophon avait eu l'occasion de visiter, ses yeux s'habituèrent vite a l'ombre de l'endroit. Apres avoir été sur qu'il n'y avait plus de marches apres celle qu'il avait mit le pieds dessus, il commenca a marcher a travers ce qui devait etre des donjons. Il regarda dans certaines cages sans voir personne d'Edhellond, seulement des orcs qui avaient eu l'imprudence d'affronter les lieux du sinistre Eöl. Eux par contre ne le remarquerent pas. Il continua ainsi sa marche silencieuse au cas ou quelqun entrerais, ce qui se passa. Un garde entra dans les cachots et descendit dans le corridor. Bellerophon eut tout juste le temps de se cacher sans se faire voir du garde. Une fois qu'il eut terminer sa ronde, il s'en retourna en haut. C'était moin une. Bellerophon sorti de sa cachette puis continua sa marche. Au bout d'un certain temps, il ne savait plus si c'etait de l'horreur ou de la joie qu'il ressentit. Il arriva en vue de la cellule des Chevaliers! Quel miracle! Seulement, il fut degouter de la facon dont il les retrouva: Maigres et malades. Ils ne s'en sortiraient pas si il ne faisait rien. Bellerophon regarda unpeu autour puis prit son épée avec laquelle il cassa la serrure. Il entra dans la prison et alla voir un des chevaliers a savoir comment il allait. Ce dernier le reconnu tout de suite.

-Bellerophon!

Bellerophon lui mit la main sur la bouche avant qu'il ne continue.

-Silence ou alors je vais me faire prendre.

Les autres chevaliers tournerent la tete vers Bellerophon mais tous garderent silence.

-Je suis deja en pleine infraction de ce que Legolas m'a demander. Je ne devrais pas etre ici mais maintenant que j'y suis, autant vaut mieux que j'essaie de vous faire tous sortir.

Les chevaliers regarderent Bellerophon d'un air interrogateur.

-Comment allez-vous faire cela? Ils nous surveillent et si Eöl se rends compte que Laesonif a ete repris, il nous pourchassera et avec ses pouvoirs, qui sait ce qu'il pourrais faire.

Bellerophon le regarda avec une lueur d'espoir dans les yeux.

-Ou est Laesonif? Je vais le trouver. Vous allez vous preparer, peut importe si vous avez la force ou pas pendant que je vais aller le trouver. On vas vous sortir de la, ne vous en faites pas.

Il laissa les chevaliers et essaya de trouver Laesonif. Il le trouva dans une cage plus loin. A sa vue, Bellerophon poussa un cri d'horreur. Comment on avait pu le transformer ainsi? C'était immonde. Il essaya tout de meme de casser la serrure et avec unpeu plus de traficotement que les autres, il y parvint. Des lors, il alla directement dans la cage et alla prendre Laesonif dans ses bras.

-Non...comment c'est possible qu'ils te traitent de la sorte...mon frere...

Par le fait qu'ils avaient tout deux eu Legolas comme Educateur, il avait fini par le prendre pour un grand frere.

-Je vais te sortir de la...

Les chevaliers miraculeusement deja prets ettaient arriver dans l'encadrement de la porte et furent desoler de l'etat dans lequelle leur roi etait rendu.

Laesonif essayait de dormir unpeu quand il entendit la porte du cachot s'ouvrir. Il se dit qu'ils venaient peut etre le chercher mais quand il se rendi compte que la porte avait ete ouverte et fermer seulement trois fois, il se dit que quelqun devait etre encore la. Malheureusement , a cause de son etat, il ne pouvais plus bouger. Quand il entendit le nom de Legolas et la voix de Bellerophon, son coeur it tout un bon. Il avait enfin l'aide pour ses soldats qu'il avait souhaiter de tout son coeur. Quand Bellerophon vint le prendre dans ses bras, il ne le reconnus pas tout de suite mais avec son"Mon frere", il ne pouvais pas se tromper siur qui il etait.

-J'aide pas le bon camp d'apres le roi, je merite ce chatiment.

Puis quand il dit qu'il allait le sortir de la, Laesonif eut soudain peur.

-Non, il n'en est pas question. Avec moi, vous ne vous en sortirez pas. ils ont de rapides cavaliers et ils vous rattraperaient bien vite. Eöl m'a dit ne pas avoir d'importance pour les chevaliers, il les laissera partir. En plus que son but est que Legolas vienne. Allez vous en et laissez mes chevaliers dans Edhellond en sécurité. ils auront la chance de revoir les splendeurs de notre cité. Admirez les en souvenir de moi.

Il donna une poussé legerte car il manquait deja beaucoup de forces a Bellerophon.

-Vas-t-en Bellerophon, c'est un ordre. Soignes les et dit a Legolas qu'il a toujours ete comme un second pere et un ami tres cher.Prends soin des autres. Tu as ete comme un frere pour moi, tu sais ce que tu pourrais dire aux autres que je n'ai pas dit.

Il glissa un colier dans les main de Bellerophon.

-Donne lui-il vas savoir ce que c'est.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 304 Date d'inscription : 04/04/2007

Bellerophon prit le colier des mains de Laesonif alors qu'il lui tendait.

-Je ne peux pas non plus te laisser ici. De quoi je vais avoir l'air devant Legolas? Il va deja me tuer parce que je suis entrer dans la forteresse et que j'ai sorti tes Chevaliers, encore faut-il que j'y parvienne. Puis il vas savoir que Eol sait qu'il n'a plus les chevaliers, il vas s'attendre a ce que tu te fasses plus torturer.

Il remarqua par la suite que Laesonif avait deja perdu la vue.

-C'est pas vrai, je peux pas te laisser la dans cet etat.

Il realisa aussi qu'il n'avait plus le choix. Laesonif ne semblait pas disposer a le suivre.

-Et je fais quoi maintenant?

-Eol ne monte pas la garde dans les environs ou tu es passer et dans les ecuries, il y en a tres peu. Les chevaliers devront se battre car ils prendront cela comme une revolte. Toi, il ne faut en aucun cas qu'ils te voient ou alors il sauront que Legolas est derriere les attentats et la je courerais un grave danger. Les ecuries sont a proximiter. Fermes les barreaux de ma cage et allez-vous en. C'est la nuit donc vous avez une meilleure chance de vous en sortir. Les gardes on beau etre des elfes de la nuit, ils ne sont pas aussi forts qu'ils en ont l'aire. Faites siffler les chevaux et ils devraient etre en mesure de s'en sortir. par la suite, quittez tout de suite le Beleriand. Si eol a la mince intention de vous suivre, il ne quittera pas les terres. Allez maintenant.

Laesonif se poussa pour retomber sur le sol.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 304 Date d'inscription : 04/04/2007

Bellerophon regarda Laesonif, decus de son comportement mais il n'avais pas le choix d'agire ainsi. pas sans aucun regret, il fit ce que Laesonif lui avait ordonner puis ordonna la retraite des soldats. Ils durent tuer un garde qui allait entrer pour s'en sortir mais ce dernier n'eut pas le temps de voir Bellerophon. Ils allerent dans les ecuries et prirent leurs chevaux. Bellerophon monta avec l'un d'entre eux car son cheval etait trop loin pour qu'il coure a la place.

-On vas a Doriath, vous vous ferrez soigner la bas.

Les chevaliers menerent Belleropphon a son cheval. il se remit dans ses habits habituels et monta puis ils s'en allerent a la quatrieme vitesse, quitant Nan Elmoth. Une fois dehors, Bellerophon se retourna vers Nan Elmoth.

-Croyez-vous en votre seigneur?

Les chevaliers se retournerent vers lui.

-Si nous y croyions mais nous ne savons pas exactement pourquoi il a fait sa.

Bellerophon fit marcher unpeu son cheval.

-Pour vous sauver. jamais un seul roi n'aurais fait ce que lui a fait. nous ne le laisserons pas mourrir la, ne vous en faites pas. Pour ma part, je vous laisse aux soins de Doriath et je vais avertir Legolas tout de suite.

Puis ils partirent vers Doriath, blesses et malades de ce qu'ils avaient vecus.

Il avait beau ne rien voir, il savait tout de meme ce que Bellerophon et ces hommes étaient en train de faire et ce, il l'appreciait plus qu'il ne pourrais jamais le montrer. Il attendit donc d'entendre le bruit de la porte qu'il s'ouvrirait et se fermerais quand Bellerophon et les chevaliers quitteraient l'endroit, ce qui ne tarda pas a arriver. Il resta donc allonger dans le sable, dans le silence et attendant que Eöl vienne constater ce qui s'etait passer. Au moin maintenant, il n'aurais plus attendre de savoir ce qui se passerait avec eux.

Eöl vint le lendemain de la venue de Bellerophon dans les cachots. Il vit en entrant que son garde avait été massacré, ce qui lui mit tout de suite la puce a l'oreil sur une quelconque attaque qui aurais eu lieu durant la nuit. Il entra alors dans les cachots et constata la cellule des chevaliers vide. Il resta neutre durant un moment et se mit en colere par la suite. Il alla voir si laesonif se trouvait la et, a sa grande surprise, il y etait.

-Les chevaliers partent mais le roi reste.

C'etait la possibilité de la disparition de Laesonif qui avait mit Eöl en colere mais quand il vit qu'il se trouvait encote la, il se calma sur le coup. Le but etait bien que Legolas vienne le chercher non? Alors si les chevaliers avaient pu sortir, il savait que Legolas ne tarderais pas.

-Tes chevaliers ne sont pas aussi loyaux que tu ne le croyais n'est ce pas?

Il ignorais tout de comment ils avaient pu sortir de la prison sans se faire prendre mais tout cela ne lui importais peu.

Laesonif écouta les propos d'Eöl sans vraiment y porter grande attention comme il devrais peut être le faire. L'espoire en lui venait totalement de renaitre. Bellerophon avait pu secourrir ses soldats et peut être qu'il pourrais aller porter sa position a Legolas. Néanmoin il était content pour ses chevaliers et Bellerophon et il était aussi heureux que Eöl n'aie pas pu les avoirs d'après le fait qu'il ne semblait pas au courrant de ce qui c'était passé.

-Et bien peut être que ta garde n'était pas aussi bonne que tu le croyait si ils ont pu t'échapper.

-Oh mais ma garde est bien meilleure que tu ne le croies. je n'accorde aucune importance a tes chevaliers. Je les aurait tous tués maintenant si ils ne s'etaient pas sauvés avant. Mais je n'en voit plus l'interet en ce moment. Mon but etait bel et bien que Legolas accede jusqu'a moi non? Et si tes chevaliers te sont loyaux, ils irons dire a Legolas ou tu te trouves crapule. Maintenant si tu veux bien m'excuser, j'ai du travail qui m'attends.

Eöl cracha sur Laesonif puis remonta pour s'en aller dans ses quartiers.

Laesonif ne porta pas plus attention que cela aux commentaires de Eöl mais il ne fut pas deplus d'apprendre qu'il avait quitter les lieux. Malgré sa vision tres faible, il essaya de retrouver la flute que Meliëna lui avait confier avant de partir pour Doriath ou essayer d'y aller disons le. Il prit le coffret de l'instrument maintenant couvert de la poussiere des lieux et l'ouvrit doucement en essayant de ne pas faire trop de bruit. Il la monta a l'aveuglette et porta l'instument a sa bouche. Il n'etait pas le meilleur mais les nautions que sa soeur lui avait donner avant lui permattais de créer un son merveilleux. Il se mit a jouer et étrangement, les notes purent se rendre loin, tres loin, depassant les terres du Beleriand.

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