| La Forteresse Blanche |

P'tit Nouveau Nombre de messages : 116 Age : 37 Date d'inscription : 14/08/2007

By Deviant.Art

C'est dans cette grande forteresse que vit Cirdan et c'est également là qu'il reçoit ses invités. C'est une forteresse battit à partir de la même roche blanche qui a servit à construire le port. Elle est ornée d'une végétation luxurieuse et de plusieurs fontaines d'eau cristalline. Dans la tour centrale se trouve la Grande Salle, à partir de laquelle on peut observer une vue fantastique sur la mer et le port des Havres Gris. Cirdan n'y possède aucun trône car il ne s'est jamais revendiqué plus grand qu'un autre être de ce monde. Aussi reçoit-il ses invités sur un fauteuil identique à celui sur lequel s'assit son invité.

Soyez les bienvenues en cette terre bien heureuse, ami et invité de Cirdan.

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P'tit Nouveau Nombre de messages : 116 Age : 37 Date d'inscription : 14/08/2007

Portes de Mithlond

Après être revenu de son long périple par delà les côtes de l'ouest, Cìrdan abandonna sa monture, Ethiël, aux garçons d'écurie. Il marcha ensuite vers les hautes tours de sa forteresse. Son pas était lent et souple comme celui d'un homme qui puiserait plaisir à revisiter les allées de sa cité. Sur son passage, les elfes se courbaient pour le saluer humblement et Cìrdan y répondait toujours par un sourire accompagné d'un hochement de tête. Plus il s'approchait de sa demeure, et plus ses cheveux soyeux se balançaient de long en large, ballottés par un vent venu de la mer. Dans son regard brûlait une lueur vivace. Une lueur qui rappelait le bonheur des Teleri, quand Ossë vint à eux sur les côtes du Bélériand. Bien évidemment, ce bonheur ne pouvait encore être enrayé par les tristes nouvelles du monde qu'il avait laissé, il y avait de ça quelques lunes. Car de grands troubles étaient sujets à des guerres et des batailles aussi bien dans le sud que plus loin à l'est des Monts Brumeux. Certaines d'entre elles, voyaient même sa lignée combattre sans qu'il en fût au courant. Le temps viendrait pourtant, où Cìrdan serait mis au courant.

En attendant cette heure funeste, le roi s'engouffra dans son palais et erra pendant longtemps dans ses couloirs. A chaque pas, il portait son regard vers la mer qui se dévoilait au travers des grandes arches qui faisaient office de mur et de fenêtre. Parfois même, il s'arrêtait et se rapprochait de ces dernières pour finalement sortir sa tête en dehors des murs de la forteresse. Puis inlassablement, il reprenait sa marche et saluait les gens de la Cour qui pouvait bien se tenir sur son chemin. Enfin, Cìrdan arriva au croisement de deux couloirs et là il reçut les nobles salutations de son bras droit, si on pouvait le considérer comme tel car le roi n' avait guère le besoin d'en posséder un.

- Mon seigneur, quelle joie de vous revoir. Nous nous inquiétions tant de votre si longue absence. Comment vont nos frères de Forlond ? Et quelles sont les nouvelles de la mer ?

D'une voix calme et paisible, Cìrdan répondit:

- Mon absence fut longue mais cela ne t'a guère servis à assoupir ton hâtivement, à ce que je remarque. Mais ma foi, je puis te répondre, car il fait déjà bien longtemps que nous n'avons plus converser tous deux.

Aussitôt dit, que le roi indiqua le chemin qu'il allait prendre à son second d'un bras tendu. Alors celui-ci entrepris une marche à sa hauteur afin que leur discussion soit sertie d'une longue ballade à travers couloirs et jardins. Leurs voix s'élevèrent et longtemps, très longtemps, ils conversèrent.

Portes de Mithlond

P'tit Nouveau Nombre de messages : 116 Age : 37 Date d'inscription : 14/08/2007

Portes de Mithlond

Après une longue marche dans les rues de la cité, Cìrdan et ses invités entrèrent dans la grande forteresse blanche des Havres Gris, demeure du Charpentier à ses heures perdues. Lentement, celui-ci se glissa à travers un dédale presque interminable de couloirs tous renfermant des richesses toujours plus somptueuses. Enfin le groupe arriva dans la grande salle d'audience où un trône de bois siégeait face à un autre identique. Le marbre bleu du sol reflétait le moindre rayon de lumière et c'est tout naturellement que Cìrdan invita ses compagnons à entrer les premiers avant qu'il referme lui-même les portes derrière ses pas, une fois que trois autres sièges identiques furent apportés et déposer aux côtés des autres. Ainsi, Cìrdan vint s'assoire sur son trône et invita ses invités à s'installer face à lui, sur les quatre trônes qui se tenaient devant le sien.

Le regard perçant et le visage parfaitement détendu, il demanda à l'ensemble du groupe:

- Soyez les bienvenue dans la salle d'audience des Havres Gris. Je vous avouerai être flatté de votre venu à tous en ces terres, toutefois en ces temps douteux, une question semble persister dans mon esprit. Quels évènements ont bien put entraînés un tel périple jusqu'ici ? La Forêt Noire se trouve à des miles d'ici et même si j'en serai extrêmement heureux, je ne crois pas que votre visite soit une simple visite de courtoisie. Aussi, j'attend que vous m'expliquiez une telle fatigue dans vos regards et le peu de lumière qui brille pour l'heure dans vos cœurs.

Silencieusement, Cìrdan s'adossa confortablement contre le dossier de son trône et attendit que l'un d'entre eux lui répondent.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 388 Age : 31 Date d'inscription : 30/01/2007

Suivant les autres a travers les corridors qu'elle connaissait bien, Vyvial garda le silence tout le long du trajet. Bien qu'elle était accoutumée a la salle d'audience, elle la trouvait resplendissante peu importe le nombre de fois qu'elle y venait. Vyvial regarda les autres présents puis choisis de parler a Cirdan la premiere pour que les histoires ne se mélangent pas.

-Père, la raison qu'ils sont ici, je crois que c'est a eux de vous la dire. Tout ce que je peux expliquer c'est que je ne faisait pas parti du groupe d'origine. Comme la fin de ma mésaventure m'a conduit a Edoras et que leur groupe passait dans la capitale rohirrim, ils m'ont ramassé avec eux et ils sont venus me reconduire ici avec vous.

Puis Vyvial se souvint tout d'un coup de la personne qui l'avais enlevée. Il mentionnaient ensemble sans arrêt le nom de Bellerophon.

-Et dans mon aventure, la personne qui m'a capturé cherchait une personne, un homme, ou devrais-je dire un demi-elfe, chevalier de Forêt Noire et en ce moment émissaire de Legolas. Bellerophon, est ce qu'un certain Cryldan de dirais quelque chose?

P'tit Nouveau Nombre de messages : 304 Date d'inscription : 04/04/2007

Bellerophon après avoir manger ce qu'on lui avait offert, suivait tout ceux qui furent invités dans la salle du palais puis s'assoya sur une des chaises que Cirdan avait fait venir pour eux. Il écouta tout ce que Cirdan leur dit puis ensuite ce que Vyvial avait a dire, tout ce qu'elle avait a dire... Effectivement, Bellerophon connaissait bien la personne a qui elle faisait allusion, c'était un de ses anciens élèves a qui il enseignait.

-Oui je le connais mais il ne devais pas être mort? On m'avais annoncer que la caravane avec laquelle il voyageait avait été attaqué et que la plupart avaient étés massacrés.

Il regarda ensuite Cirdan puis a nouveau Vyvial.

-Nous allons parler de sa plustard je crois parce que je ne crois pas que ce soit exactement notre plus grande priorité en ce moment.

Puis il garda le silence en attendant de voir si Sasha ou Legolas allaient finir par placer un mot dans l'histoire.

Une fois sur la chaise, je n'avais pas changer d'aire. J'avais toujours l'aire triste et puis j'ecouta Vyvial parler de sa mésaventure. J'avais raison dans le fond, elle n'avait pas été honnête avec moi. Mais qui serais-je pour lui faire la morale a ce sujet. Si Cirdan avait juger que ce n'etait pas grand cas, je n'avais aucune raison de me facher, surtout que de ma part, sa aurais été tres mal vue. je resta donc sur ma chaise avec l'air neutre que j'avais prit l'habitude d'avoir ces derniers temps mais je n'avais pas envie de dire un seul mot sur la raison qui me poussait a partir de chez moi. Je savais que ce n'etait pas vraiment poli pour Cirdan mais j'avais le coeur qui me levait et la gorge qui me serrait au point de m'étouffer a la simple pensée de ce qui m'attendais et de ce que j'avais deja traversé.

-Bellerophon ou Sasha, vous parlerez pour moi. Je ne puis rester et entendre les prochaines paroles au sujet des raisons de ma venue. Vous viendrez me retrouver une fois chose faite.

Puis sur mes dernieres paroles, je me leva de la chaise qu'on m'avais assigner et puis je remit ma cape. je salua tout le monde d'un seul salut, puis en fit un particulier a Cirdan puis je sorti de la salle, la cape verte que je portait flottant suite a moi puis me dirigea le plus loin que j'aurais pu aller pour ne pas avaoir a entendre un seul mot de ce qui allait se dire prochainement dans la salle que je venait de quitter.

L'ombre ayant auparavent passer par le portail de la ville en coup de vent arriva vers l'entrée du palais de Cirdan. Les portes fermés, il eut plus de difficultés avant de passer. Il s'arreta devant les gardes puis ces derniers s'avancant pour essayer de l'attraper, l'ombre leur glissa des doigts puis se projeta assez fort contre la porte pour l'ouvrire, n'etant pas barré mais assez fort tout de même pour le sonner unpeu. Une fois le portail du palais ouvert, il se faufilla a l'interieur. Il était maintenant bien evident qu'il serait plus facile a voir mais il devait trouver Legolas avant toute chose, ce qu'il entreprit de faire. Il traversa les couloirs de la place forte, les gardes en moin grand état d'alerte puis arriva finalement en vue de Legolas. Il arriva directement devant lui et se mit a grogner et a montrer les dents. Puis il se tourna le cou et arracha la missive de son seigneur Eöl. Il alla la donner en main propre a Legolas puis s'eloigna de lui.

"On traine a ce que je vois. Oui, je sais que tu sais je suis qui car je suis au courrant pour la fuite des soldats. Si j'etais a ta place, j'accelererais le pas pour venir me rejoindre car ton ami se meurt entre mes mains et que je ne peux pas le maintenir en vie trop longtemps encore. Comment je t'ai trouver? Simple question je dirais. J'ai des hommes qui suivent la progression depuis que tu as recus le message de la capture de ton ami. J'en aie meme qui surveillent encore a Forêt Noire. Je peux te dire une bonne nouvelle et une plus mauvaise. Premierement, la bataille qui devait avoir lieu et qui devait meme te retenir si Thranduil n'etait pas revenu a temps est terminée et vous avez gagner et ensuite, si j'etais toi, je demanderais des nouvelles de ta bien aimée. Comme tu sais je suis qui, je ne prendrais meme pas la peine de signer en plus que je crois que mon messager est deja assez significatif de qui je suis."

Je regardais dehors, a travers les fenetres découpés dans la pierre blanche du palais quand j'entendit soudainement des cris de peur de certains elfes. Il faut dire aussi qu'ils n'avaient pas aucune raison de crier. Une panthere dans les couloirs du palais! Comment elle aurais bien pu entrer? C'était un mystère pour moi mais ce qui l'était encore plus était le fait qu'elle était arrivée devant moi, personnelement et s'était mise a grogner. Comme je ne savais pas trop comment interpreter ca, je ne bougea pas car je n'avais pas mon arc et mes fleches avec moi et qu'alors je courrait un plus grand risque que je n'avais pas besoin en ce moment. Après un certain moment, elle arracha un mot qu'elle portait au cou et vint me l'apporter. Rien qu'avec ce geste la, je pouvais tout de suite deviner de qui il provenait, ce message que je deroulait tranquilement et nerveusement, inquiet de son contenu. Et apparament, j'avais des raisons d'être inquiet. Je tomba a genou et ne fit plus attention a l'animal qui se trouvait juste devant moi et qui pouvait m'attaquer a tout moment. J'urla presque a plein poumons pour etre sur de me faire entendre.

-BELLEROPHON!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Evidemment que Bellerophon serait celui que j'appelerais mais le fait que Eöl savait des choses que j'ignorais au sujet de Myria eut pour effet de me rendre pratiquement malade. Je ravalait ma salive sans arret et j'avais de la difficulté a respirer. Myria allait mal? Mais je ne pouvais pas retourner en Rhovanion, je ne pouvais pas la revoir. J'esperait qu'au moin lui saurais quoi faire.

-Lis sa!

Je lui tendit ensuite la lettre.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 304 Date d'inscription : 04/04/2007

Quand vint le tour de Legolas de placer son mot sur la raison de leur venue, je ne fut pas surpris de le voir refuser de parler en son nom. Je le savais dans le fond que ce ne serait pas facile pour lui. Je regardait Cirdan ainsi que les autres membres se trouvant dans la salle et puis j'en deduisit qu'ils ne parleraient pas. Comme je voyais que je devrais le faire, j'allais commencer mais la voix de Legolas m'interrompis. Je me leva rapidement et me précipita a l'extérieur pour trouver Legolas. Quelle ne fut pas ma surprise en voyant le fauve devant lui. En tout premier lieu, je pensait qu'il l'avait attaquer car je ne voyait pas le visage de Legolas et il était a genoux au sol. Puis lorsque je pu voir les machoires et les dents de l'animal, elles n'étaient pas couvertes de sang. Je prit finalement le message que me tendait mon supperieur et je me mit a le lire.

-C'est certain qu'il a de l'experience.

Puis je decida de relire les deux parties ou Eöl faisait mention de Laesonif et Myria et compris tout de suite ce qui avait mit Legolas dans cet état.

-Nous n'avons plus le temps d'attendre Legolas. Tu dois te rendre a Nan Elmoth au plus vite. Je crois que nous devrons même sauter des endroits ou nous avions prévus de nous rendre au départ, ou alors rester moin longtemps. En ce qui concerne Myria, je crois que ce n'est pas le temps que tu te mettes des idées noires dans la tête. Je vais écrire a Foret Noire pour leur demander ce qui se passe avec elle, et je vais le faire une fois que tu sera parti. Tu ne peux pas t'embrouiller la tête avec sa. Ou alors nous demanderons a quelqun des Havres Gris de le faire pour nous.

Moi aussi j'etais unpeu perdu maintenant.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 116 Age : 37 Date d'inscription : 14/08/2007

HJ: Quelle surprise en me levant ce matin, non mais ho ça va là Eöl ? Tu sais les Havres Gris c'est pas DisneyWorld ou Nan Elmoth on y rentre pas comme bon te semble jusque pas ce que tu es une ombre même Sauron pourrait pas y entrer sans faire tomber les portes. Qui plus est, je l'ai déjà dis et c'est mentionné dans les portes de Mithlond mais les portes sont en fait une tour alors c'est quoi ce bond de 20 mètres pour passer par au-dessus de quoi au juste ? Je suis vraiment très très très très faché, la moindre des choses aurait été d'envoyer un mp au milieu de faire courir une ombre dans la nuit ( alors que dans notre topic il fait absolument pas nuit en plus, je dirais même que la journée s'est levé depuis quelques heures ). C'est vraiment n'importe quoi et ça ne me plait absolument pas, eille il y a 100.000 gardes aux Havres Gris tu y circules comment ? Tu peux me dire ? Et la forteresse blanche ne s'appelle pas la FORTERESSE pour rien ... si tu sais faire usage de la magie, j'incarne Cìrdan, je crois qu'au niveau de la magie il y en a assez à Mithlond pour ne pas voir des ombres bondirent tous les jours par dessus les murailles, enfin je retiens le coup, on verra comment tu prendras une pareille incursion chez toi avec une "ombre" :HJ

Cìrdan écouta les dires de sa fille et fit immédiatement quérir un garde, et pas n'importe lequel, son second plus précisément, à qui il glissa une série de paroles en elfique au propos du nom qu'elle avait au préalable mentionné. Le second acquiesça d'un hochement de tête et se décala légèrement en arrière du trône du roi. Cirdan attendit qu'on lui apporta la réponse qu'il attendait mais il assista au départ précipité de Legolas qui, de ce qu'il comprenait, se défilait silencieusement pour ne pas avoir à parler de ce qui le tourmentait. Inquiet, Cirdan le suivit du regard et le referma quand le prince Legolas eut fermé les portes derrière lui. Pendant un très long instant, le roi de Lindon ne dit plus rien, attendant peut-être que ses invités réussiraient à répondre à ses nombreuses interrogations. Mais celles-ci ne vinrent pas et au contraire laissèrent place à de nouvelles questions quand le prince cria le nom de son émissaire à en faire résonner tous les murs de la forteresse. Cìrdan se leva à son tour et suivit les pas de Bellerophon jusqu'à apercevoir le corps recroquevillé sur le sol de Legolas. Avec attention, le premier des Teleri écouta le discours du chevalier noir, tel qui se surnommait, et se vit répondre aux nombreuses questions qui le hantaient. Ainsi, Legolas avait quitté la Forêt Noire dans le regret pour Nan Elmoth. La voix douce et claire, Cìrdan parla:

- Legolas Vertefeuille, ainsi tu te rends à Nan Elmoth pour un but qui m'échappe totalement. Tu as abandonné ta compagne et ton peuple en guerre pour te rendre dans cette forêt aussi sombre que la nuit. Qui peut bien y être pour que tu ais fait pareille folie, je ne le sais pas encore mais tu devras me le dire de ta bouche, personne ne pourra parler pour toi. Tu as été un membre de la communauté de l'Anneau et tu as connu maintes batailles, je ne peux le croire que tu crains de me parler ainsi, cela suffit. Tes amis ne peuvent parler en ton nom devant moi, toi seul est responsable de tes actes, alors relève-toi et fait face au chemin que tu as toi-même dressé devant toi. Dit-moi tout mon fils, n'oubli aucun détail car cette affaire semble plus sombre encore que les bois où tu désires te rendre.

Après quoi, Cìrdan caressa Narya sous le pan de sa cape, à l'abris des regards et demanda à ce que la flamme qui brûlait dans le coeur de Legolas soit de nouveau raviver.

- Tu ne feras pas une dizaine de pas à Nan Elmoth que tu seras fait prisonnier par les elfes noirs, Legolas Vertefeuille. Ne te rend pas là-bas, c'est un piège.. si tu es fait prisonnier, ça sera au tour de ton père d'agir déraisonnement. Le Bélériand n'est pas une région où tu es le mieux venu qu'ici. Eöl, le roi de ces contrées, se répugne des Noldor mais je n'en suis pas un. Laisse-moi chevaucher vers lui et parlementer au nom du but que tu vises. Je possède 100.000 elfes ici et 150.000 dans le restant de mes terres. Je serai prêt à écouter le roi qui répondra à mon appel et tenterait d'arracher ce que tu lui veux par la voie de la diplomatie. Quant à toi, tes pas ne peuvent te conduire là-bas car j'apprend avec effroi, que ma fille aînée souffre de grands maux.. je ne sais pas quoi en penser mais ton départ de la Forêt Noire a sûrement précipité ses évènements. Bonne ou mauvaise soit cette décision, selon qui la regarde, ta place est auprès de ta compagne et de ton peuple à moins qu'ils n'aient le mérite d'avoir autant d'amour que ce que tu comptes allez chercher à Nan Elmoth. Je suis Cìrdan ne l'oubli pas, et j'ai maintes manière de persuasion en ma possession, dit-moi tout et j'irai endosser le danger pour toi à Nan Elmoth.

Cìrdan se tût enfin, en attendant que Legolas lui réponde.

(HJ: Je suis vraiment désolé Cirdan mais sa faisait deux jours que j'attendais et j'avais demander a Eöl de me debuguer mais je suis encore une fois vraiment desoler que sa t'aie mis en colère. Sa arrivera plus, promis. En passant, j'avais dit dans mon post que j'arrivais au coucher de soleil. Je ne penses pas que nous ayons deja passer toute la nuit. Ne te faches pas après Eöl, tout est ma faute et je me sens mal. Neutral

)

Bien que sa ne me plaisait pas de faire ce que j'allais faire, je ne pu me retenir. Je me ferrais certe même detester pour cela. J'avais la colere qui avais monté face aux paroles de Cirdan. Je me leva et m'adressa directement a lui.

-Vous croyez vraiment que j'ai le choix?! Vous pensez que sa me plait?! Non pas plus que vous. Je doit partir, laisser ma famille pour aller chercher quelqun dans les terres de Nan Elmoth qui compte plus a mes yeux que mon titre et ce que je possède! Oui je veux retourner voir Myria mais je ne peux pas! Je ne peux plus faire marche arriere, ou il va tuer mon ami.

Je m'ecroula assis sur le sol, complètement abbatus.

-Je suis vraiment désolé Cìrdan, je crois que les mots m'ont completement échappés. Je ne souhaitais pas que sa arrive de cette facon, mais c'est arrivé. Je dois y aller, moi, sinon il va le tuer si il voit quelqun d'autre essayer de venir. C'est la seule option que j'ai.

Je leva le regard vers Bellerophon et Vyvial qui venaient peut etre de sortir en même temps que son père.

-Je devrais peut être expliquer tout depuis le début... Il y a quelques mois, j'ai recus sur le terrain d'entrainement ou se trouvais mon fils, une étrange visite je dois dire. En effet, un cheval, terrifié avec une lettre accroché a son cou et la selle couverte de sang. Le message provenait d'Eöl mais dans ce temps la, nous ne le savions pas. Il me disait que j'etais soumis a une chasse au trésor pour essayer de retrouver mon ami. Peut-être, surment même vous savez de qui il s'aggit...

Rien que de dire son nom, sa allait me rendre malade, et je le savais mais visiblement, en regardant Cìrdan, je savais que je n'aurais pas le choix.

-Le roi d'Edhellond, Laesonif... J'avais envoyer Bellerophon essayer de retracer sa position et les recherches l'ont conduit a Nan Elmoth. Il m'est revenu avec cette position et je suis parti la veille de la bataille qui a eu lieu. Puis je me retrouve ici en ce moment. Ce qu'il veut, je sais que vous ne serrez pas d'accord mais il veut mes terres, celles de Laesonif et...les vôtres, en fait plus la partie de Myria. Mais il ne les aura pas. Pourquoi pas, je crois que je ne le dirais pas ou sa va etre pire. Vous ne pouvez pas user de diplomatie. Dès qu'il verra une autre personne que moi dans la forteresse, je perds mon ami tout de suite. Si jamais je devais partir et retourner chez moi, je ne pourrais plus l'aider et je m'en voudrais pour le reste de mes jours. Apprendre que Myria serais a l'article de la mort serais une chose qui me ralentirais et m'empecherais de partir d'ici, je le sais. Sa peut vous sembler cruel de votre point de vue car après tout, c'est votre fille mais je ne puis repartir et ce même si je le souhaitais du fond du coeur. C'est un combat entre moi et Eöl, pas entre lui et vous puis nous ne serions pas plus avancés si quelque chose tournait mal pour vous.

Puis je décida de répondre a sa première question.

-Qui est Laesonif pour moi? La même chose que je pourrais ressentir pour Bellerophon car tout les deux sont très précieux pour moi. J'ai passé deux cent ans de ma vie a ses cotés avant qu'il ne prenne le trône d'un endroit qu'on appelais le paradis des elfes. Il a été ma première expérience de père malgré le fait qu'il avait deja le sien. Puis il m'a plus donner l'impression d'être parent que je n'en aie l'impression avec les enfants que j'ai en ce moment, autre que Bellerophon.Je suis désolé mais cette affaire le concerne lui, moi et Eöl. Je ne veux pas que d'autres peuples viennent se joindre a une bataille qui pourrais leur coter trop chère. Pas que je juge que nous sommes incompétents mais il a surment plus d'un tour dans son sac et les elfes noirs sont en avantage dans le noir puisqu'ils y vivent a longueur d'année.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 116 Age : 37 Date d'inscription : 14/08/2007

Cìrdan regarda le jeune prince de la Forêt Noire se lever d'un seul bond et sa furie se déverser comme un flot continu dans ses oreilles. Comme à son habitude, le roi de Lindon resta de marbre et humble devant ces paroles. La peur était le seul sentiment qui tenaillait le cœur de Legolas, à la plus grande peine de Cìrdan, bien qu'il ne le montra pas. Avec la plus grande écoute possible, Cìrdan écouta le récit qui lui fut fait et abaissa son regard en comprenant que c'était le roi Laesonif, la seule et unique source de sa quête et de sa colère. Ainsi, Eöl l'avait emprisonné pour revendiquer des terres qui ne lui appartenaient pas. Cìrdan avait beau détesté la lignée de Faënor, il eut soudain une haine plus grande encore envers le souverain des elfes noirs. La tête légèrement baissée, ses cheveux voletant au moindre souffle du vent marin, Cìrdan réfléchit durant un long instant. Dans son esprit défila les divers possibilités qui s'offraient à lui en cette heure délicate. Comme le disait si bien Legolas, ce combat ne regardait que lui, le roi Laesonif, et Eöl, il ne serait donc d'aucun secours à Cirdan d'agir avec le bon sens que tous lui connaissaient. Pivotant alors sur ses talons pour regarder en direction de la salle d'audience, il croisa le regard de sa fille et prit une profonde inspiration. Myria était en danger, et si pour une quelconque raison que ce soit, Legolas ne pouvait la rejoindre alors ce serait lui qui irait à sa place.

Se tournant alors vers son second, Cìrdan proclama d'une voix douce mais emplis d'une assurance qu'on avait depuis longtemps plus entendu.

- Réunissez 50.000 soldats dans les plus brefs délais, j'irai les conduire dans la Forêt Noire afin d'en renforcer les frontières en attendant le retour de leur prince ou de leur roi, selon qui pourra revenir le premier. Apportez-moi mon armure ainsi que Leithia et Gruitha. Je veux également que toutes les soigneuses des Havres Gris se tiennent prêtes à porter secours aux blessés que nous y rencontrerons. Qu'elles apportent tout leur matériel et que les vivres soient retirés des réserves pour ce long voyage.

En réponse, le garde de Mithlond hocha de la tête et se précipita en dehors de la forteresse pour mettre en oeuvre les ordres de son roi. Ce-dernier lui, le regarda s'évanouir au bout du couloir quand il se tourna de nouveau vers ses invités, et plus particulièrement vers Legolas pour ajouter ceci:

- Tu as fait ton choix, Legolas Vertefeuille, fils de Thranduil, je n'ai en aucun cas le droit de m'y opposer. Aussi, je te souhaite grand courage dans la quête qui t'attend, aussi ardue soit-elle. J'irai pendant ce temps conduire mes armées dans la cité de ton père afin qu'elle soit fortifié et que vos frontières restes libres le temps qu'il en faudra à ton retour. Part l'esprit libre, j'irai moi même m'occuper de ma fille puisque tu ne le peux.

Cìrdan s'avança alors jusqu'à Legolas et glissa un minuscule petit objet dans la paume de sa main qu'il referma à l'aide de la sienne. Il approcha ensuite ses lèvres de son oreille droite pour lui murmurer ces quelques mots :

- Je te confie cet anneau.. je crois que tu le connais assez bien pour connaître son pouvoir.. il t'éclairera le cœur et l'âme dans l'obscurité la plus totale et te permettra de garder espoir en tout temps. Garde-le, le temps de ton escapade et ramène-le moi quand tout ceci sera terminé. Tu auras plus besoin de lui que moi..

Puis il se recula de quelques pas quand deux autres garde de la cité firent irruption avec les épées jumelles et l'armure de leur souverain sur leur avant-bras tendus. Cìrdan leur fit un signe du regard afin que tous deux ne s'attardent en ce lieu et qu'ils se joignent à la salle d'audience pour y déposer ses effets. Il se tourna ensuite une dernière fois vers Legolas et lui dit:

- Part à présent, car le temps est ce qu'il te manque le plus.

Enfin, sans ajouter le moindre mot de plus, le plus sage des rois elfes s'engouffra dans la salle d'audience et vint se rassoire sur son trône pour y réfléchir un moment.

Je me leva, encore unpeu perdu. Je me sentais tellement mal encore des paroles que j'avais dit a Cirdan. Je glissa l'anneau qu'il m'avais donner a mon doigt puis regarda les personnes avec qui je voyageais maintenant. Il fallais bien que je me relève alors c'est ce que je fis et je me rendit ensuite vers Vyvial.

-Je crois maintenant que c'est ici que nos routes se séparent. Prends soin de ta famille, et de ton père. Tu vas me manquer.

Puis je donna une caresse a Vyvial et puis nous nous dirigames vers les écuries reprendre nos montures. Au galop, nous nous rendions vers les portes de la ville puis je me retourna encore, quittant pour un long moment les terres elfiques de la terre du milieu connue. Je laissa mes compagnons me devancer et une fois sur le haut d'une colline dans les environs ou l'ont pouvais encore voir les Havres Gris, je prononca dans un murmure a Cìrdan et Vyvial:

-Merci...Merci Beaucoup...

Puis je regarda l'anneau que Cìrdan m'avais confier et je fit repartir mon cheval au galop, l'esprit maintenant troublé par une éventuelle maladie de Myria.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 388 Age : 31 Date d'inscription : 30/01/2007

Vyvial regardait Legolas partir a cheval avec Bellerophon et Sasha les larmes aux yeux. Malgré le cadeau de Cirdan, elle ne pouvais s'empêcher d'être inquiète pour lui. Mais elle se réjouissait d'avoir pu le voir au moin un petit moment avant qu'il ne parte sauver Laesonif. Le coeur encore en peine, elle se dirigea dans la salle ou se trouvais Cirdan. Elle ne le dérangea pas car elle voyait bien qu'il pensait en ce moment. Après un moment, elle brisa le silence, espérant ne pas le faire sursauter.

-Père...j'attends de savoir ce que vous attendez de moi concernant votre voyage et la santé de ma soeur Myria.

Puis elle alla s'assoire sur le siège qu'elle occupait avant que Legolas ne se fasse envoyer un messager et attendit que son père réponde.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 116 Age : 37 Date d'inscription : 14/08/2007

En entendant la voix de sa fille, Cìrdan sortit brusquement de ses pensées et releva lentement son regard vers celui de sa chair avant de lui adresser un sourire bienveillant. Délicatement, il se leva de son trône et s'approcha assez prêt d'elle pour prendre ses mains dans les siennes. Pendant une courte minute, il les observa et les caressa des siennes, comme s'il cherchait à y retrouver une sensation depuis longtemps perdue. Quand il l'eut ressentit, Cìrdan agrandit son sourire et dit à sa fille:

- Je me souviens encore du jour où j'ai caressé pour la première fois tes mains. A l'époque elle n'était pas plus grande que le disque du soleil surplombant notre ciel. Mais voilà qu'aujourd'hui tu es devenu femme et que ses mains ont bien grandis et se sont naturellement adoucis.

Il relâcha alors les mains de sa fille et ajouta:

- Je n'attends rien de toi si ce n'est que tu te comportes aussi naturellement que possible. Je suis ton père mais je n'ai plus autorité sur tes agissements, tu voles de tes propres ailes depuis bien longtemps. Aussi, si tu souhaites m'accompagner jusqu'à la Forêt Noire, j'accepterai ta présence avec une grande joie. Si tu désires que tes pas te conduisent en d'autres lieux ou même qu'ils restent liés en ce lieu, toi seule peut en décider. Quoi que tu décideras, je l'accepterai ma si belle fille.

Sur ces paroles, Cìrdan lui sourit encore un peu plus et se tourna vers un garde afin de lui faire savoir qu'il désirait des feuilles de la vieille forêt de Forlindon dans les plus brefs délais, ainsi qu'un mortier et de l'eau des sources du Golf de la Lune. Le garde acquiesça et réapparut une dizaine de minutes plus tard avec tout ce que son roi lui avait demandé, en main. Le remerciant d'un hochement de tête et d'un sourire, Cìrdan lui demanda ensuite de bien vouloir se retirer de la salle d'audience et de donner l'ordre à quiconque de ne pas y entrer tant qu'il ne réouvrirait lui-même les portes. Le garde acquiesça de nouveau et se retira en silence, fermant les immenses portes de la salle d'audience derrière lui. Cìrdan, lui, porta les feuilles de la vieille forêt de Forlindon dans un bol en granite qu'il écrasa ensuite avec le mortier. Quand il arriva à une sorte de bouilli verdâtre et visqueuse, il prit le pichet contenant l'eau de source et la fit couler au compte goutte ce qui eut pour effet de rendre la pâte plus fluide et aussi blanche que la neige. Une fois qu'elle fut à la convenance de Cìrdan, il prit le bol et s'approcha de sa fille en lui demandant de bien vouloir tendre ses avant-bras blessés.

Puis lentement, il appliqua la pommade inodore sur les cicatrices qui tailladaient les avant-bras de sa jeune fille.

- C'est ta mère qui m'a apprise à confectionner cette pommade cicatrisante. Elle était douée pour bien des choses mais encore plus pour les soins. J'espère que les connaissances qu'elle m'a transmise me suffiront à aider ta soeur, une fois rendu à son chevet.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 388 Age : 31 Date d'inscription : 30/01/2007

-Peut être que je ferrais mieux de rester en arrièere si quelqun décidais de nous attaquer. De cette manière, je pourrais vous avertir plus vite et nous subirions moin de dommages. Aussi longtemps que vous vivrez, vous aurez toujours autorité sur moi. C'était une chose qui ne me plaisait pas quand j'étais plus jeune mais maintenant, je me réjouis de ceci.

Elle lui présenta ses avants-bras tels qu'il lui demandait.

-Je l'espère aussi père mais sinon, vous pouvez la ramener, peut etre que sa lui ferrais du bien de revoir son pays un moment le temps que cette période passe si son poid sur un de nos chevaux n'est pas de trop. Mais père, si maman était forte en médecine, comment a-t-elle pu finir de cette façon?

P'tit Nouveau Nombre de messages : 116 Age : 37 Date d'inscription : 14/08/2007

Cìrdan regarda sa fille et lui adressa un sourire satisfait à l'écoute de ses premières paroles. Elle était peut-être encore un peu jeune dans la vieille race elfique mais elle avait déjà acquis la maturité d'un age plus avancé que le sien. Elle pensait déjà comme une future reine et Cìrdan puisa une grande satisfaction de cela. Quand il eut terminé d'incorporé la pommade aux cicatrices de sa fille, le roi reposa le bol sur son plateau et se lava les mains avec l'eau qu'il restait dans le pichet quand la question que lui posa sa fille, lui fit presque perdre le contrôle de l'objet. Par mégarde, il renversa quelques gorgées d'eau sur le marbre de la salle. En temps que père, il s'attendait à toutes les questions du monde, mais celle-ci semblait le foudroyer plus qu'une quelconque autre question. Montrant toujours le dos à sa fille, Cìrdan releva son regard vers l'horizon de la mer, comme s'il pouvait y apercevoir les rivages des terres immortelles. Car c'est là-bas que résidait sa femme désormais, prêt de Mandos, sûrement entrain de l'attendre. A cette pensée, le cœur de Cìrdan se fendit en deux de douleur. Le roi dût alors prendre appuis sur ses deux bras pour soutenir tout le poids de sa peine. Bien évidemment, étant de dos, il ne montra rien à sa fille et au bout de quelques minutes lourdes d'un silence pesant, il se retourna et lui répondit aussi calment qu'à l'accoutumé:

- Ta mère savait guérir tous les maux du monde, même ceux que les plantes et les herbes ne pouvaient alléger. De son vivant, elle a sauvé de nombreuses vies... de nombreuses sauf la sienne. Elle savait vous protéger, tes sœurs et toi, de la maladie ainsi que moi mais à trop s'occuper des gens qui l'entouraient et qu'elles chérissaient, comme moi aujourd'hui envers toi et tes sœurs, elle a oublié de s'occuper d'elle.. la maladie l'a prise rapidement et elle est partit comme elle m'était apparut, dans un vague halo de lumière. Souviens-toi de ça ma fille.. il y a du bon a toujours vouloir sauvegarder les siens mais n'oubli jamais ta propre personne au détriment des autres.. non jamais..

Cìrdan adressa un bref sourire à sa fille, comme un message d'amour d'un père à sa fille depuis trop longtemps demeuré dans son cœur. Il se dirigea alors vers la table où se tenait son armure d'argent et ses épées jumelles puis dans un silence presque religieux, il recouvrit ses vêtements d'un bleu marin de cette taule argenté coiffée ici et là de quelques plumes notamment aux avant-bras et sur son épaulière gauche. Il déplia ensuite la longue cape noirâtre qui se trouvait en dessous de son armure et la remplaça à la place de celle qu'il portait jusqu'à maintenant. Sur sa poitrine, il la fit tenir avec un médaillon si brillant et si scintillant que l'on aurait crut qu'il s'agissait d'un Silmaril alors que c'était en réalité une pierre des fonds des océans qui lui avait été ramené par Ulmo, le jour où il était devenu le roi d'Eglarest et de Brithombar. Enfin pour terminer, Cìrdan empoigna ses deux épées jumelles et en contempla longuement les lames avant de les rentrer dans les fourreaux qui se trouvaient être dans le dos de Cìrdan, à hauteur de sa taille.

D'un geste de bras, il repoussa sa cape et dissimula ainsi la vue de ses deux épées dont la légende avait voulut qu'elles participent au plus grandes guerres qu'il fut sur la terre du milieu et en Bélériand. Le regard doux et paternel, il se tourna finalement vers sa fille et lui dit:

- Gardes soigneusement les Havres Gris, ma fille, comme un trésor que tu ne saurais léguer à personne. Si je le peux, et si elle l'accepte, je ramènerai ta sœur ici afin qu'elle puisse se revitaliser loin des guerres et de la peur. Veille sur ton peuple ma fille car il est autant le mien que le tien.

Il s'approcha ensuite de sa fille et prit son visage délicatement entre ses deux mains avant qu'il ne dépose un doux baiser sur son front en guise d'adieu. Plongeant ensuite son regard dans le siens, il lui fit un sourire rassurant et se dirigea lentement vers la sortie.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 388 Age : 31 Date d'inscription : 30/01/2007

Vyvial regarda son père, triste et ne sachant pas quoi faire. Bien qu'elle ne pouvais pas voir l'expression sur son visage, elle pouvais savoir que sa question l'avais troublé vu le degat qu'il avait fait avec l'eau et le fait qu'il avais du soudainement prendre appuis.

-Je vous demande pardons père, ma question était vraiment trop déplacée. Je veillerais sur les terres tel que j'ai dit que j'allais faire, ne vous en faites pas, vous serrez avertis des que je verrais les fumés des torches des orques. Ramenez ma soeur, c'est tout ce que j'aimerais en ce moment. Au revoir et partez sans crainte.

Sur ce, elle se leva du siège puis se dirigea vers la porte de la salle ou elle regarda dans le couloir son père qui venait a l'instant de quitter les lieux, dans un murmure, elle pronnonca:

-Je vous aime père...

Avec son ouie extraordinaire, elle se doutais bien qu'il entendrais ses paroles mais elle ne s'en souciait pas. Une fois que lui aussi avait disparu de sa vue, Vyvial se retrouvait maintenant seule de la famille aux Havres Gris, pour le moment simplement dans la salle. Elle regarda unpeu aux alentours et elle prit un linge posé sur la table avec lequelle elle essuya l'eau tombé sur le sol. Puis elle le mit en place et quitta la salle elle aussi.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 388 Age : 31 Date d'inscription : 30/01/2007

Suite post de Myria

À son retour d'Elostirion, Vyvial fut tout de suite alertée sur l'état de santé de sa soeur et du fait qu'elle était déjà rendue aux Havres Gris. Elle remonta en selle le temps de se rendre directement au palais puis une fois devant les portes, elle descendit de sa monture et se dirigea dans la chambre de sa soeur. Avec joie, elle constata qu'elle allait toujours bien et que rien de trop grave ne l'avait encore frappé. Elle alla ensuite a son chevet pour voir son état de santé de plus près.

-Myria...

Elle prit la main de sa soeur.

Les membres encore unpeu engourdis par le voyage éprouvant, elle regarda sa soeur au travers de ses yeux entre-ouverts par la fatigue et lui fit un magnifique sourrir réconfortant.

-Je vais bien pour le moment et je suis contente que tu aille bien toit aussi ma petite puce. Je me demandais tout le temps ou tu étais lorsque nous n'avions pas eu de nouvelles de ta part depuis plusieurs jours. Tu m'envoie ravie de te savoir en sécurité ici au Havres Gris. Je suis au courrant de tout ce qui s'est passé au sujet de Legolas et je suis aussi au courrante que tu as eu la chance de le voir ici depuis qu'il est partis de Forêt Noire. Comment vat-il?

Les gens commencaient a apporter de la nourriture pour Myria. Elle saisit un morceau de pain qu'elle déchira et qu'elle commenca a manger.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 388 Age : 31 Date d'inscription : 30/01/2007

Vyvial souria a sa soeur, tenant toujours sa main dans la sienne.

-Cela fait maintenant plusieurs jours que je ne l'ai revue ma soeur mais lorsque je pouvais le voir, il était triste et s'ennutait beaucoup de toi. Lorsqu'il reviendra, il sera l'homme le plus heureux du monde en te voyant.

Lorsqu'elle pu voir que sa soeur se nourissait toujours comme avant, elle constata qu'elle allait de mieux en mieux mais une rechute était toujours possible. Elle ne devait donc pas placer trop d'espoire encore.

-Et comment vont ceux à Forêt Noire, la bataille n'a pas fait trop de ravages?

-Non pas grand chose en fait. Disons qu'ils ont étés largement surpassés en nombre par les soldats qui sont venus en renforts et nous n'entendrons plus trop parler d'eux, leur chef maintenant dans les prisons de Thranduil.

Myria posa le morceau de pain sur une table et prit un gobelet remplis d'eau qu'elle avala d'un trait. Elle le posa ensuite de nouveau sur la table et regarda sa soeur en serant la douce main qu'elle avait placer dans la sienne.

-Je voudrais dormir maintenant. Ce n'est pas que je ne veux pas te voir mais Legolas voulait que je prenne soin de moi et je voudrais pas que ce que j'ai en ce moment m'empêche de le revoir si il gagnait son combat contre Eöl.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 388 Age : 31 Date d'inscription : 30/01/2007

-Oh...euh...oui c'est certain...

Elle se leva et embrassa sa soeur sur la joue puis quitta la chambre. Elle alla plus loin dans le couloir et s'assoya contre le pur sur le plancher et se mit a pleurer. Pourquoi est-ce qu'ils devaient endurer tellement de souffrances? Elle n'était pas la plus impliqué dans cette histoire mais devait certainement elle aussi souffrir comme les autres. Elle ne connaissait pas beaucoup Laesonif mais l'avait croiser a quelques reprises, assez pour comprendre ce que Legolas pouvait partiellement ressentir. Mais elle doutais que quelqun d'autre qu,elle ou Legolas pouvait avoir la même peine face a la maladie de sa soeur. Certe Cirdan aussi était très proche mais Vyvial, lorsqu'elle était plus jeune, n'avait jamais réussis a faire confiance a qui que ce soit d'autre sauf sa soeur.

-*Je veux que tu t'en sortes, Myria...*

Plusieurs jours avaient passés depuis que Myria était arrivée et son état s'aggravait de jours en jours. Elle respirait fortement lorsqu'elle fut prise de convulsions. Son corps se mit a s'agiter et elle toussait beaucoup et très fort. Sa fièvre avait monté et elle n'avait rien manger depuis plusieurs que sa soeur était venue. Les médecins accourrurent seulement pour la voir cracher du sang sur le sol de la chambre, Ils firent ce qu'ils purent et ce ne fut qu'après deux heures a se battre pour qu'elle reste coucher et a lui faire avaler un liquide pour hydrater sa gorge qu'ils parvirent finalement à la faire dormir. Son temps était compter...

P'tit Nouveau Nombre de messages : 60 Date d'inscription : 29/04/2007

Près d'un ans c'étais écoulé depuis la dernière fois que Nessesa étais se montrait le visage en public, cela fesait un ans des 3 mois que Nessesa étais en Exil, dans le fond des bois dans les contré humaines. Sa longue robe blanche étais devenu quel que peu, déchirer a certain endroit et a les extrémiters, les déchirures se fesait plus fréquante. Sa longue cape bleu foncé ,avec son capuchon qui lui cachait encore le visage, étais en peu plus mal en point que sa robe, elle étais déchirer plus d'une fois et plus fréquament que ne l'étais sa robe. Avec un long soupire, Nessesa avait réussi a passer a traver les nombreux gardes après qu'elle ne c'est montré le visage, devinant alors que celle qui se trouvait devant eux étais Dame Nessesa.

d'un pas rapide, la détendrice d'un savoir surprenant, fit éruption dans la chambre de sa soeur, où sa soeur étais dans un lit et semblait ètre mal en point. Avec un long soupire réconfortant, Nessesa, avec son capuchon cachant toujours son visage, marcha alors lentement ,avec son bâton de métal avec le crystal au bout, vers une chaise où elle s'assit près de sa soeur

-Je pense vous avoir déja vue dans un meilleur état... La dernière fois que je vous ait vu, vous étiez en pleine forme et vous partiez en guerre... J'epère vous vous souvenez de moi Myria.

cachant toujours son visage, la soeur de Nessesa, Myria, ne pouvait pas vraiment voir qui étais l'interlocutrice dans la chaise, et surment elle ne se souvenait pas d'elle. d'un mouvement très gracieux, Nessesa déposa son bâton sur un coin de la chambre pour reporter son attention sur sa soeur.

» Regarde du haut de la forteresse
» Attaque sur la forteresse de thranduil.
» Prepare des armement pour la forteresse.