Enfermés

La charette arriva devant Barad-Dur. On prit par les mains et les pieds l'homme. On le mit sur une épaumle d'ourouk qui le porta. Il monta les escaliers, longs et infinis. Il montait, montait, montait...

- Krark!

Un orc avait interpellé l'ourouk.

- Dégage, petit vermisseau.

Il se retourna, marcha quelque pas, lorsque l'orque lui saisit l'épaule.

- Je vais couper ta sale vilaine petite tête de rat!

Il sortit son cimmeterrre et mlui trancha la tête. Il posa l'homme dans un cachot, le scella, prit la clé dans sa sacoche et repartit.

Quand l'orc fut asser louin il partit a rire.

-[/b]Il ne mon même pas désarmer la bande d'orc pf..des novice

Saresh prit son épée elfique dans son sac et la pouinta vers les barreaux il attendit de petit bruit dérrière lui et vus une famille hobit.

-quand je briserais les bareaux suiver moi s'en faire de bruit.[b]

Saresh donna un coup et cassa 5 bareaux mais la lame telement dur et telement légèrte ne fit aucun bruit il poussa les barreaux casser pour se faire un passage il passa et laissa passer chaque hobit il déssendais dans les escalier ont voyais des cadavre uruk et orc mais pas beaucoup des ombres sur le murs montait Saresh poussa les hobit contre le mur pour ne pas qui sois attaquer un orc montait avec des ration pourri Saresh lui trancha la gorge et le traina il prit s'est vetement et les vêtement des cadavre dans haut tous était bien déguisée tous avais sorti il était devant la porte noir il ordonna d'ouvrir sous les ordres de une patroille devais partir il ouvrir la porte et laissère passer la famille et Saresh il montère dans les dune de sable tous prèt pour se cacher dérrière il attendait Kir qui avais du comprendre ques qui s'est passer

Kir-Thelassis, depuis deux jours maintenant voyageait seule, en solitaire à son habitude à dos de cheval ... Les cheveux dorés, les oreilles pointues sur le qui-vive pour le moindre bruit suspect. Elle voyageait avec discrétion sur ces Terres qu’elle caractérisait d’hostiles c’est pour cela qu’elle mit beaucoup de temps à arriver à Barad-Dûr, elle frémissait, la jeune guerrière allait à nouveau se trouver face à un Nazgûl et elle pensait déjà à sa technique pour pouvoir se défaire du monstre sans égratignures trop importantes. Elle n’était pas inquiète, pas pour soi non ! Surement pas pour soi … elle se remémorait les visages de ses amis, celui d’un elfe en particulier, elle ne avait le sourire aux lèvres. Les yeux malicieux, les joues rosies et le nez tout froid elle allait de l’avant, Kir caressait son cheval et se reposait beaucoup, elle avait eu peu de temps ces derniers jours pour dormir et elle savait qu’il fallait qu’elle soit au meilleur de ses capacités physiques pour pouvoir affronter avec intelligence et constance ce fichu Nazgûl.

L’aube s’était levée depuis quelques heures déjà et notre guerrière n’avait fait aucune halte depuis huit heures, rien de grave, elle préférait voyager pendant la nuit noire, les nuages s’épaississaient au fur et à mesure qu’elle s’approchait de Barad-Dûr … son ventre se nouait … il faisait éternellement sombre dans ce pays. Elle était au meilleur de sa forme, comme pour la Porte Noire sachant qu’elle ne tarderait pas à arriver, elle mit sa cape et sa capuche de façon à ce que personne ne la reconnaisse, ni elle-même ni sa race qui pourrait la trahir. Elle descendit de son cheval et le renvoya attendre plus loin pendant qu’elle irait faire un petit tour vers la porte menant à Barad-Dûr.

Elle était là, face à la porte encore une fois dans les ténèbres et face à une muraille tout aussi noire que celle où elle était de cela à peine quelques heures. Après avoir prit une profonde inspiration, elle cria aux créatures maléfiques de l’autre côté :

Une famille hobbit est prisonnière chez vous … je souhaite la récupérer sans effusion de sang … où est donc le Nazgûl les ayant emprisonnés ?!

La guerrière elfe savait que les créatures auxquelles elle avait affaire n’étaient pas diplomates et surement qu’elle ne lui délivrerait pas sans compromis les hobbits. Elle se tenait debout, dans l’ombre de sa cape, un sourire pendu aux lèvres.

Un brit de morceaux de barreau tombant dans l'escalier alerta des orques.

- Espèce de bouseux! Vous ne l'avez pas désarmé!
Attrapez le moi!

Une volée de flèches piqua sur Saresh. Trois le touchèrent au ventre, et il s'écroula sur le sol. Les hobbits furent mit dans un autre cachot. On fit boire un dégoutant breuvage à Saresh.

- Pauvre idiot! Soignez-le et retirez lui tout ce qu'il a! Mettez le nu et jetez-le dans le cachot.

L'ourouk ajouta.

- Les biens vont aux patrons.

Un petit orque lui jeta un regard mauvais mais n'ajouta rien et exécuta les ordres.

***************************************

L'orque la regrda d'un air mauvais et dit:

- Alors sorcière, si tes semi-hommes te sont si chers, pourquoi ne donerait-tu pas ta peau pour eux?

Il ricana.

- Allons donc, c'est vrai, tu n'est pas beaucoup comestible. J'ai quelque chose qui te fera... Plaisir

Il sorti un sac et le jeta aux jambes de son cheval. Un objet rond sortit et roula, c'était la tête du petit Faramir.

- Alors, qu'as-tu a proposer? De l'or? Non. IIl nous faudrait quelque chose qui ferait tellemen plaisir aux patrons...

Saresh riait en regardant ses blessures trente minutes plus tard elle étaient regénérées il se fit un petit pagne avec des morceaux de tissus qu'il y avait dans le cachot il volait souvent des orcs montés en se battant quelques fois. Quand aucun bruit ne survint il se retourna et cracha une petit pièce de métal qui finissait en pique il traça le contour d'une brique et l'enleva il fit de même pour plusieurs brique quand un orc arrivais dans la salle il prit un petit cadre moisi surement un artiste qui fut mit au cachot a un moment il enleva la dernière brique et tomba dans une autre cellule la famille hobbit était la il les prit et revenu dans l'autre cellul un orec arriva et bouchebée les regarda et dit.

orc: est-que vous êtes un magicien!

Saresh se retint de rire et n'eut pour réponse

-oui, et si tu me fais sortir d'ici tu recevra tout ce que tu veux or,art,épée,tu peux me demander de faire disparaitre ton pire ennemi et tout ce que tu voudras seulement a toi si tu me laisses partir.

l'orc bête comme un ane était très intéressé par l'offre de Saresh il ouvrit la porte et les laissa passer il prit ses objets personnels et partit. Saresh et la famille hobbit descendait jusqua ce qu'ils arrivent a la sortie il voyait un orc et Kir qui parlaient. Saresh regarda l'orc qui avait un grand sourire de convoitise.

orc:alors je veut être immortel

-si je comprend bien tu ne veux plus jamais souffrir

L'orc fit signe que oui avec la tête avec un grand sourire.

-comme tu veux

Saresh le lanca en bas sur un uruk-hai il lui trancha la tête en hurlant sa rage de l'autre coté les orc avait vu un de leur frere mourir ils foncaient sur les uruk et une bagarre générale ouvrit ses portes Saresh lanca la lance dans le corps de l'orc qui parlait a Kir et descendit il arriva devant Kir avec la famille hobbit et dit.

-je t'expliquerais plus tard la il faut galoper. Attend!

Saresh siffla un bon coup et un cheval sortit du cachot Saresh monta dessus et prit 5 Hobbits pour le voyage déja que Kir était une elfe et qu'elle était légère comme un plume le cheval ne sentirait que les hobbits alors il laissa le reste a Kir il galopait vers la porte.

-Facile d'entrer mais difficile de sortir du mordor

La porte Noire se ferma, les deux gonds produirent un grondement puissant. Les orques avaient été obligés de les laisser passer, ordre de Grashnak. Le général et conseiller du Mordor arriva, descendant d'un escalier.

- Quelle heureuse rencontre... Les fugitifs de Barad-Dur! Croyez-vous pouvoir aller plus loin? Vous avez commis une grande bêtise en voulant secourir ces semi-homme!

Il jeta un œil sur les hobbits qui tremblaient.

- Donnez-nous les semi-hommes.

Kir-Thelassis toujours cachée sous sa cape se présenta au travers des deux "hommes". La famille hobbit se cacha derrière l'homme qui les avait sauvé, Kir-Thelassis avait placé sa main pour qu'il ne la dépasse pas, elle voulut lui parler à travers sa pensée mais elle avait oublié que ce n'était qu'un Dunedain et non pas un elfe, elle essaya quand même.
*Laisse moi faire, pas de bavure sinon on est mal, on est en terre ennemie*

Tssk ! (elle hocha la tête regardant l'orque qui ne pouvait déceler son visage bien caché) On ne me donne pas d'ordres, si vous voulez les hobbits il faut d'abord me passer dessus.

L'orque sembla vainement s'étonner des paroles de l'elfe, il avait tout une armée et des dizaines d'orques qui travaillaient de son côté ce n'était surement pas une femme qui allait le faire reculer. Kir-Thelassis sourit, elle savait très bien que ce qu'elle venait de dire était absurde du point de vue de son interlocuteur.

Cette famille va partir avec mon ami et moi et vous nous laisserez partir parce que vous ne voulez pas d'ennuis avec les Nazgûls ni avec vos supérieurs.

Elle tenait une bourse d'or dans ses mains et la faisait tournoyer au-dessus de l'orque.

Je te donne ça mon ami et tu nous laisse partir sans nous suivre d'accord ?

Kir se mordit la lèvre, elle risquait gros, très gros, surtout de la part d'une créature sur sa terre et qui lui dit qu'il n'allait pas accepter et les poursuivre quand même ?! de toute façon elle savait qu'ils gagneraient un peu de terrain s'il les laissait partir. Le temps commençait à se tourmenter, les nuages devinrent de plus en plus noir, la pluie n'allait pas tarder à tomber, à bon escient ! L'elfe adorait la pluie, le vent commença à monter doucement puis des rafales arrivèrent assez rapidement.

[Bon, vous me le dite si je vous dérange à m'incruster XD]

Relkeïm, par un temps si rude, eu l'ordre d'aller voir les nouveaux détenus de Barad-Dûr, ordre donné par le Roi-Sorcier lui-même pour tenter de leurs soutirer quelques informations. Relkeïm vit que les nuages se faisaient de plus en plus menaçant, plus gros, plus noirs, plus interressant. Il marcha à grande vitesse vers la salle où l'on détenait les prisonniers des batailles. Tout le monde s'inclinait presque quand il passait, c'est tout à fais normal, vu qu'il est le général de l'armée. Relkeïm arriva donc dans la salle aux cellules et il scruta la scène qui se déroulait. Une femme tendait une bourse remplis de pieces à en croire le bruit qu'elle produisait. Il était arrivé juste à temps pour empêcher une grave erreure de la part de l'orque. Il se postula devant la cellule des détenus et il les fixa avec des yeux à faire frémire n'importe qui. Ses yeux rouges flammes étaient vraiment menaçant. Puis il se décida à parler de sa voix caverneuse et froide:
"Donnez-moi...cette...bourse..."
Fit-il sur un ton ferme.

// c'est bon mais en fait on n'est pas prisonniers, moi je suis dehors devant les portes et tout le monde m'a rejoint Razz

//

Kir-Thelassis retira très vite, par simple réflexe, sa main du dessus de la tête de l'orque. Elle était plus grande que l'orque, légèrement plus petite que Saresh mais largement plus basse que l'homme qui venait d'apparaitre. Kir-Thelassis le regarda et émit un petit ricanement, il ne savait pas à qui il avait affaire ce gars là ...

Alors ça jeune homme ... jamais. Cette bourse est à moi ... j'en fais ce qui me plait. Dis moi plutôt où est ton maitre ... ou bien, non, en fait ce n'est pas la peine de l'appeler, nous nous en allions !

L'elfe sentait le danger, ce n'était pas un simple orque sous une brique de métal, non, ce devait probablement être un des hommes emporté si facilement par ses ennemis ... La guerrière sentit la lourdeur soudaine de l'air cependant rafraichie par les bourrasques qui se faisaient de plus en plus fortes. Elle n'avait pas peur ça ! non ! elle se questionnait sur la signification de cet atmosphère qui s'épaississait, elle qui adorait voir le temps changer n'en était pas franchement rassurée, elle espérait que cela jouerait en sa faveur. Elle se retourna et commença à installer les hobbits sur son cheval ainsi que sur celui de Saresh surveillant du coin de l'oeil les hommes. Des yeux rouges, une voix caverneuse ... cela lui rappelait irrémédiablement quelqu'un ... D'une façon ou d'une autre il n'avait pas intérêt à l'énerver ... c'était une elfe digne de ce nom mais pour l'instant, qu'en savait-il réellement ?!

[Ah ok désolé, mais ça change pas grand chose à ce que j'ai écrit XD]

Relkeïm regarda autours de lui. Il vit les petits insectes monter sur la bête à crinière, il ne broncha pas, de toute façon il savait qu'ils allaient vite descendre. Puis il reposa son regard si lugubre sur ceux de la petite elfe, qui avait de la répartie:
"Ne soyez...pas si familière...avec moi....sale petite...elfe primitive..."
Une atmosphère de mort s'installa aussitôt autour des personnes qui se trouvaient ici. Relkeïm eu comme une respiration pour tousser qui résonna longuement, ce bruit faisait froid dans le dos, tout comme sa voix. Puis il regarda ensuite les petits hobbits et il leur dit avec un certain sadisme dans sa voix caverneuse:
"Vous,...votre Comté...je vais la...rayer de la...Terre du Milieu,...pauvre petites...bêtes..."
Ses yeux devinrent encore plus hardent.

Saresh depuis tout a leur avait rester silencieux mais quand il vollais quel qu,un se prendre pour Sauron sa le métait hors de lui il dit d'une voie remplie de rage et de haine ont vollais une luheur jaune dans ses yeux avant de parler il montrat ses crocs a l'homme.

-aller la détruire se n'est pas mon probleme de toute facon je vous trouve asser lache attaquer des semi-hommes avec une immence armée dorc vraiment...et en quoi la famille vous es utile hum.......

Saresh n'était pas dhumeur l'eau commencais a tomber sur tous les personnes autour il fesait nuit seul l'éclair donnais un peut de visibiliter et a cause de sa ont voyais étrangement tous le monde au ralenti a chaque éclair.

Grashnak rit:

- Je me fiche de ton or, sorcière!

Il se rapprocha d'elle.

- Si tu ne veux pas me les donner, ils seront prit par la force!
ORQUES! CAPTUREZ LES SEMIS HOMMES!

Une grosse troupe d'orques tira dans le poitrail du cheval qui se cabra et mourut. Le hobbits et l'elfe tombèrent à terre. On ramassa les hobbits comme une plume et Grashnak dit à Saresh:

- Parles-moi sur un autre ton, espèce de sale Dunnedain empoté.

On jeta les hobbits sur des cavaliers ouargues, qui attendirent, postés près de Grashnak.

- Emmenez la sorcière et le rodeur voir Sauron, leur châtiment sera exemplaire. Dites-lui que c'est une friandise venue de Grashnak.

Les ouargues partirent en galopant.
Les orques se jetèrent sur Saresh et Kir. APrès 10 minutes de combat acharné, ils parvirent à maitriser les deux acolytes épuisés e à les conduire à Barad-Dur.

Code:: hrp: il pleut pas en mordor
Relkeim tu peux venir

Relkeïm regarda la scène, il n'en avait pas manqué une miette. Il vit le cheval se faire tuer par ces orques et les hobbits furent emmenés par des cavaliers Ouargues, les petits hommes allaient passer une mauvaise fin de leur vie. Puis Relkeïm regarda l'orque qui était très certainnement un capitaine au moins, vu les ordres qu'il avait donné aux soldats avec hardeur. Relkeïm posa la main sur l'épaule du haut-gradé orque:
"On s'en...occupe tous...les deux..."
Il fit le même sorte de bruit que tout à l'heure, mais avec plus de force. Il s'approcha lentement de l'homme...si...prétentieux à son goût. Relkeïm se baissa pour mettre sa tête non-loin de celle de l'autre homme:
"Ne soit...pas si...prétentieux...sale...petit homme...primitif..."
A ce moment-là, une des fosses où les gobelins travaillaient avec acharnement cracha de la lave, l'une des bêtes avait dû surement faire une bêtise.

Kir-Thelassis était de nature à ne pas se laisser faire, elle détestait les ordres et souvent elle s'était amenée à ... C'en était trop, elle éclata.

Alors toi .... on ne me traite pas de sorcière espèce de crétin.

Ses yeux fulminaient de rage, elle dut se calmer rapidement de peur de voir les conséquences hatives de son énervement. L'elfe s'approcha de Relkeïm par derrière, lui aussi s'énervait, mais lui appartenait au camp ennemi, leur colère n'était pas tout à fait pareille mais elle sentait ... elle sentait tout ! Elle était dangeureusement proche de son ennemi et elle lui glissa à l'oreille en se mettant sur la pointe des pieds

Tu vois très cher, je traite les gens comme je veux, mais je les traite gentiment contrairement à toi. Relâche cette famille à moins que tu ne veuille gouter à ma colère, oh ! évidemment tu riques de ne pas beaucoup rire ... Quand à la comté si tu la rases, tu risques de ne pas aimer les conséquences.

Elle s'éloigna rapidement du jeune homme, elle regrettait la mort du cheval qui lui avait tant servit, elle en avait même les larmes aux yeux, qu'elle sécha rapidement. Elle entendit les paroles de Relkeïm à l'adresse de Saresh, elle revint sur la discussion avec avidité

Alors tu vois bonhomme, ce n'est pas un homme primitif, regarde plutôt la différence entre l'orque et cet homme.

Elle regarda son interlocuteur de travers en scrutant sa stature puis en hochant la tête.

Non, personne enfin aucun de tes hommes ni toi ne peut égaler c't'homme là. Tu vois lui au moins il n'a pas peur de se montrer alors que toi tu te caches derrière ton casque, une armure ... es-tu si hideux que tu as peur de te montrer ?

Kir-Thelassis jouait avec le feu, elle se condamnait presque, mais elle avait plus d'un tour dans son sac. Elle recommençait le même shéma qu'elle avait réussi à construire avec le Nazgûl qu'elle avait rencontré auparavant, elle se fichait complètement de ce qu'elle provoquait, elle savait parfaitement jouer les naivez innocentes et son plan reposait là-dessus. *Que peuvent-ils bien faire des elfes qu'ils capturent ?* La guerrière s'amusa à répondre à cette question en attendant une réaction fulminante du camp adverse.

Relkeïm sentit le soufle si désagréable de la sale petite elfe dans son oreil droite. Lors de la dernière parole de la femme il lanssa dans un éclaire de rage sa main sur le coup de l'elfe. Puis, lui serrant la coup, il la souleva à au moins 10 centimètres du sol. Il approcha le petit insecte à quelques centimètres de son visage et il dit avec sa voix toujours si caverneuse:
"Tu vois...petit insecte...sous ce casque...ce cache...ta...mort"
Il serra de plus en plus fort le cou de l'elfe la soulevant de plus en plus haut. Il y mettait toute sa puissance, on aurais dit qu'il voulait exploser la cervelle de la femme. Puis, Relkeïm envoya l'elfe insignifiant sur l'homme qui était posté là. Ensuite il alla vers l'orque qui avait regardait la scène sans broncher:
"Tuons-les...maintenant..."

Quand il vue Kir se faire lever de la sorte par l,homme sombre une rage sorti de lui imcontrolable quand il lanca Kir dans la direction de Saresh il l'atrapa en la dépossant au sol il sorti de son sac deux potion bleu et les donna a Kir pour soigner son cheval il jeta son sac au sol et d'une vitesse folle il arriva devant Relkeim il le souleva en hurlant sa fureur et le lanca dans un tas d,orcses yeux était jaune d,une luminosité immence un orc avec une lanca s'aprocha de lui il lui cassa le cou avec ses main il fonca vers le groupe d'archer orc et les découpa rapidement a coup de griffe et de sabre il dit d,une voie remplie de haine.

-lES PORTE DU MORDOR SOUVRIRONS DE GÉ OU DE FORCE....

Code:: hrp: vous étiez censé être ligotés, capturés et en direction de Barad Dur mais bon...
Heu saresh, si tu tue un groupe d'archers, tu te fait tailladé par les épées des 100 000 orques qui stationnnent ici, alors tient toi à careeaux.
Tines voilà ta bobo XD

Grashnak observa la scène sans y prendre garde. Relkeim ferait ce qu'il fvoudra avec l'elfe. Il regarda l'homme s'enerver. Il n'eut même pas à donner do'rdre qu'il fut déjà bien amoché par des poings, des dagues et des pierres. Grashnak repoussa les orques et se tint devant Saresh. Il lui trancha un doigt ce qui lui fit lacher tout ce qu'il tenait dans ses mains. L'épée tomba au sol. Grashnak Ramassa TOUTES ses armes et revérifia une trentaine de fois. Un troll saisi Saresh par les épaules et le jeta dans une cage pour le moment. Cet insolent allait être conduit à Sauron.

- Orques! L'heure est venue! Nous allons partir en campagne afin d'éliminer ces rats de semis-hommes! Leur pays sera taché de leur sang!

Un cor résona. Grasnhak voulait d'abord assister à l'entretien. Il regarda l'elfe se débattre contre Relkeim. Il rit.

- Les elfes, les hommes, les nains et les semi-hommes!

Il se mit en hauteur sur un rocher et commença en hurlant:

- Orques du Mordor! Un jour, l'Ouest tombera et nous serons les maîtres u monde! Vous ne craindrez plus la racaille du Gondor et la sorcellerie des elfes! Brisons le crane des nains et fendons les semi-hommes! Il seront hachés dans nos fours, et découpés dans nos scieries!

Il dit ensuite:

- Alors Battez vous!!!!!

[Edit Elenwë : évitez le contrôle des autres, après c'est normal qu'ils s'échappent par des manières bizarres, m'enfin, c'pas grave mais faites gaffe quand même]

Tandis qu'elle se faisait laminer et ligoter par des orques, Kir-Thelassis ne lâcha pas Relkeim des yeux, elle le narguait de son regard et un petit sourire lui pendait aux lèvres. Elle avait une légère égratinure sur la joue et sa lèvre supérieure droite saignait, elle attendait silencieuse ...

Je sais trop de choses importantes pour que vous m'abbatiez, j'ai tout dit, tout à Saresh. Nous sommes les seuls à avoir des informations censées être top secrètes mais évidemment, je ne vous empêche pas de nous tuer, ni nous, ni la famille hobbit.

Elle suivait du regard Saresh, qui avait lui aussi un regard demandeur, elle lui lança un clin d'oeil en essayant de trouver un solution pour le sortir de sa fichue cage. Elle aimait bien le voir déchainer, cela la faisait beaucoup rire, parce qu'il lui rappelait des connaissances vagues et lointaines mais qui lui faisaient beaucoup de bien. Soudain elle sentit son souffle se couper, la respiration haletante, quelqu'un avait ouvert son livre ... Elle avait la tête qui tournait et les yeux qui tournaient au rouge, sa chevelure devint noire, et ses paumettes plus blanches que jamais. Elle soupira, sa vie ne tenait qu'à un fil, elle se sentit tellement faible, tellement fatiguée ... Elle regarda Saresh désespérée, en hochant la tête.

Désolée, désolée ... ne laisse pas la comté ... tomber sous ... leur emprise.
Une erreur ... monumentale ... vient d'être commise ...

Elle rigola puis s'évanouit. Laissant des larmes couler sur ses joues froides.

Relkeïm se releva de sur les orques où l'avait envoyé l'homme insignifiant. Puis il regarda Grashnak entrer dans son discours puis il lui dit avec sa voix caverneuse:
"Je...vous...accompagnerez...vers la terre...des petits bons...à rien..."
Il eu un petit rire sinistre, un rire sadique que l'on n'aimerait pas entendre plusieurs fois à la suite. Puis il vit que la sote d'elfe était devenue d'une couleure bizarre et s'était évanouie. Il marcha vers elle d'un pas lent et lourd en faisant son bruit qu'il avait émis plutôt et en bousculant les orques qui étaient autour de l'elfe. Les créatures n'osaient rien dire lorsque Relkeïm les bousculaient. Le général pris l'elfe par les cheveux et il la souleva à quelques centimètres du sol. Il l'éxamina, puis il dit avec une voix ombreuse:
"Emmenez-la...et...torturez-la...jusqu'à...ce qu'elle...avoue son...soit-disant...secret..."
Relkeïm lança la petite elfe aux orques, qui la prirent à trois pour la porter.

Saresh était blesser au doigt il n,était pas totalement coupé il enleva ses botte et prit les dernières goute de potion sur son doigt qui commecais a sicatrisser d,une vapeur bleu qui le fesait soufrir il cassa la bouteil et observa Kir sévanouir il mit la main sur les barreaux moissi en commenca a les tordre un orc s'aprocha il lui tordi le coup mais avec le grand nombre 'orc le métrissaire.

-Sauron....une vieille conaissance j'chui foutu sourtout que je ne peu pas survivre a une vissite de mais ancienne conaissance.

Grashnak ordonna qu'ils soit emmener à Barad Dur (merci de créér un post spécial pour l'entretien).

Il dit à ses orques:

- Prenez vos armes! Allons!

Il ordonna qu'on ouvre la porte.Un grondement de tonnere retentit. Les 30 000 sortirent avec Relkeim et Grashnak. La porte se refermit. Les 70 000 restant escortèrent Saresh et Kir. Maintenant, cela allait être sur le terran dela Comté que tout allait se jouer pour le destin des semis-hommes. Il regarda en arrière. Le courroux de Sauron grandissait depuis la défaite à Minas Tirith. Le conseiller de Sauron remonta le fleuve Anduin, passa par Rubicorne, traversa le pays sauvage et à 200 miles au sud de la Comté.

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