Le terrier : Repère de la Compagnie Noire [RP réservé]

L'elfe avait eu soudain un pressentiment, et laissant ses coéquipiers dans ses arrières, leur laissant aussi la gamine, Kir se précipita dans le camp. Son coeur battait à toute allure ... que se passait-il donc ? Elle le savait, elle le sentait mais elle ne savait pas comment est-ce qu'il fallait l'interpréter.
Un coup en avant, un coup en arrière, quelque chose n'allait pas ... Si les mercenaires n'avaient pas vu la jeune femme au loin arriver au galop et s'ils n'avaient pas ouvert la grille en vitesse, Kir aurait très bien pu défoncer la grille qui lui barrait le chemin.
Ce qui devait arriver arriva, elle déboula au centre de la place, Saresh avait mis la lame sur le cou de son fils ... son coeur s'arrêta net. Les deux personnes qu'elle aimait le plus au monde ... Sa voix s'éleva comme de nulle part, aucun des mercenaires n'avaient jamais entendu la jeune femme parler ainsi, elle était toujours en train de parler soit au capitaine soit à Artahrys, et ce pendant peu de temps, sa voix ne s'était jamais faite entendre aussi clairement.

- Arrête ! Ne fais pas d'erreur Saresh ! C'est mon fils que tu as entre les mains, je ne supporterais pas le voir mort, maintenant que je l'ai vu et que je l'ai enfin rencontré. Sa mort ne me consolerais jamais.

Elle s'avança tremblante, vers Saresh, cela faisait si longtemps qu'elle ne l'avait pas vu ! Il semblait avoir les traits tirés et être relativement nerveux mais cela n'était qu'une impression. L'elfe avait maintenant gagné du terrain et était à la hauteur du dunedain, elle sourit, le regarda dans les yeux, avec douceur et tranquillité, elle prit la main de Saresh dans laquelle était la lame et la poussa loin du cou de son enfant. Finalement elle se jeta dans les bras de Saresh.

- Contente de te revoir même si le temps et le moral n'y est pas. Fais attention, j'ai bien peur que cette cohue ne t'attires des ennuis.

Elle présenta finalement Artahrys au dunedain et se demandait si les cris allaient attirer l'attention de Thirit, surement dans sa tente entrain de se reposer, on disait que le départ serait relativement proche ...

-Si je comprend bien ses ton fils que tu ne conaissait pas avant ... à ben! ses étonnant , Mais sérieusement il faudrait trouver un autre endroit pour discuter car eu.. si il à un mercenaire qui me voix je suis mort ... en faite non .. mais bon je suis quand même Saresh Hidden! -rit un peu- je vais quand même te raconter quelque choses...Quand il mon relansser dehors je suis revenu sur les reste de l'Ouest j'ai retrouver l'épée que tu m'avait offert dans les décombre mais mon arc était fendu en deux dans les décombre... et je n'est pas retrouver amis dague mais bon je poursuis. .j'ai suivi à la trace Thirit jusqu'a se que toute les trace se perde dans une for^^et j'ai envoyer des éclaireur partout et je suis aller à Cair Andros faire quelque recherche sur Thirit et j'ai trouve rse parchemin que j,ai eu.. dison voller au Archive tien.

Il lui tendit un petit parchemin avec des écriture en gondorien .

/j'était sur le champs de batail mon alier Anthérios combatait durment à fin de repoussser les ennemi Unolas mon capitaine sauta sur le dos de Sauron et se fesait repousser au sol violament je vue Tama connaissence de mon cousin Andarion il se fesait capturer par des orcs... et un autre elf d'ont j'ignore le nom se fesait trainer dans une cage je bondit de ma monture et charger sur les orcs qui le prenait je fut repousser il me hurla: Je sais que les chance son mince mais si tu conais kir Thelassis dis lui que je l'aime! et je fut assomé par des orcs et sauver par mon compagnons/

-lui qui à écrit le texte s'appele Anuménas.

Saresh sentait déja la fatigue la prendre encor mal au ventre il fesait encor des cauchemars mais rarement depuis qu'il à pris une bonne journée de congé .Les Lican se rasemblait à Minas Thirit i lattendait Saresh il leur avait demander de le laisser mais il préférait aller à Minas Thirit.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 42 Date d'inscription : 09/02/2008

J'étais assis sur le rebord de l'enclos des chevaux dont j'avais la garde, quand après être partis dans mes pensées profondes, je sentis une lame froide contre mon cou. Ma première réaction était haineuse envers celui qui était l'auteur de l'attaque contre ma personne. Comment est-ce qu'une personne pouvait passer ainsi aussi facilement dans ce camp ? Ce n'est tout de même pas un moulin ici ! J'étais énervé mais calme à l'extérieur, les gestes brusques étaient inutiles et se seraient avérés dangeureux. Les évenements se déroulèrent avec extrême rapidité, alors que Saresh hurla dans mes oreilles pour savoir où était Kir je perdis les pédales ... d'où cet homme introduit clandestinement dans le camp connaissait ma mère ? Depuis quand ? Une seule manière de le savoir et je criais à mon tour à son insu

- Je n'en sais rien, elle est partie !

Mais à ce moment là face à moi elle fit son apparition, j'étais soulagé de la voir et de savoir qu'elle me délivrait en quelque sorte de l'emprise du dunedain. Pendant que ma mère et l'homme se parlaient, je les observais, ils se regardaient d'un air très doux l'un envers l'autre mais effectivement, Saresh risquait de se faire prendre, de toute façon les chances pour qu'il sorte d'ici vivant et sans que personne ne le remarque étaient très faibles. Je regardais Saresh à son dernier monologue

- tss ... ce n'est pas de sa faute si elle ne me connaissait pas ! Si on vous arrache votre enfant et qu'on vous dit qu'il est mort forcément vous ne saurez pas que l'on vous a mentis.

Je parlais avec conviction et un peu de colère se sentait dans ma voix, oui, j'étais énervé. Je regardais du coin de l'oeil le bout de parchemin que le dénommé Saresh tendait à ma mère, j'étais surpris du contenu, mais je me tus, je regardais la réaction de ma mère, il me semblait qu'elle était frêle et fragile créature mais peut-être que je me trompais ! Après tout je ne la connaissais que depuis peu. Kir avait enlacé le rodeur et c'est alors que je compris qu'elle tenait à cette personne bien qu'il m'ait menacé de son arme je ne pouvais le haïr ...
Je regardais autour de nous, cela m'étonnais que personne ne prête attention aux évenements, comment était-ce possible ?
Prenant les évenements sur moi, je pris ma mère par le coude et menais les deux personnes dans un endroit un peu plus reclus afin qu'ils puissent tranquillement parler. Je me demandais ce qui se passait dans la tête de ma mère. Apprendre que l'homme qui l'avait délaissé l'aimait mais qu'il était mort, quels sentiments, quelles pensées ? J'observais du coin de l'oeil Saresh aussi, je ne lui faisais pas entièrement confiance et lorsque je les ammenais à l'endroit que j'avais repéré je pris à part le Dunedain et le prévenais.

- Je ne vous connais pas, mais mes premières impressions, comprenez le, ne sont pas excellentes. J'espère que vous laisser en compagnie de ma mère ne s'avérera pas fatal pour vous. Je l'aime plus que tout, on est mutuellement lié et je pense que si elle tombe, je tomberais jusqu'à retrouver celui qui l'aura tuée pour à mon tour le tuer.
Si vous lui faites du mal, vous ne survivrez pas, mieux vaut que vous soyez prévenu.

Saresh parlait d'archives, de recherches et de son fils en premier, ah certes, il était bizarre pour les autres que Kir et Artahrys ne se connaissent pas mais il en était ainsi, on ne pouvait rien y faire. Cela arrive malencontreusement, mais maintenant que l'elfe le connaissait, personne ne l'en séparerait mis à part la mort. Tel était son serment.
Aux yeux du parchemin, les yeux de kir brillèrent, elle adorait toutes ces vieilles choses et surtout les vieux parchemins, on ne pouvait pas apprendre plus de choses que sur les plus anciens parchemins !
Mais à la lecture de celui-ci son visage terni, devint de plus en plus pâle et elle tressailla. Elle arrêta de penser, elle était perdue, ainsi celui qui l'avait délaissée sachant qu'elle était enceinte et même avant, car il ne l'avait pas su, avouait qu'il l'aimait. Elle s'était trompée, pensant qu'il l'avit délaissée, il s'était fait prendre par l'ennemi ... Kir s'en voulait à mort d'avoir suspecté son ancien amant d'une pareille chose. Et maintenant ? De toute façon, elle avait tiré un trait sur son passé ... oui mais ... mais quoi ? Un trait est un trait, quand on refuse une fois de revenir à son passé, on s'y tient. Mais elle considérait qu'elle devait des explications. Elle se sentit prise par le bras, on l'emmenait quelque part mais elle était tellement accablée par cette nouvelle, par ce papier qu'elle ne pouvait plus faire quoique ce soit. Une fois assise par terre, derrière un espèce de tas de cageots ou je ne sais quoi, elle attendit que Saresh vint lui tenir compagnie. Quand il arriva, elle le regarda avec un regard vide et perdu et lui dit d'une voix tout aussi perdue ...

Je ne sais pas trop quoi penser, je pensais ne plus jamais entendre parler de lui, je pensais qu'il était parti de peur de devoir s'occuper de notre enfant, mais maintenant je ne sais même plus si je lui ais dit que j'attendais un enfant.
Quand Artahrys est né, on m'a dit qu'il était mort, j'étais en plein désespoir et je me suis en allée, errer en terre du milieu. J'ai erré, erré et puis tu es la première personne avec qui j'ai voyagé depuis ... Après voilà où j'en suis, je retrouve mon enfant, en fait vivant et puis j'apprends que mon ancien amant m'aimait et qu'il s'est fait enlevé par des orques ... salauds ! Il doit être mort à cette heure ... depuis longtemps même. Mais qu'est ce que je dois faire moi ? J'avais tiré un trait sur lui et le voilà qui réapparait.

La jeune elfe, assise tailleur regardait à l'Est, vers le Mordor, elle savait qu'ils n'en étaient pas loin, après tout ils étaient au Gondor et rien de plus proche que le Gondor du Mordor.
Une larme coula sur la joue blanche et froide de Kir ... elle s'était promis de ne pas pleurer, de ne plus le pleurer. Elle sécha sa larme, se leva et dit sèchement à Saresh.

Très bien ... peu m'importe maintenant, il est probablement mort et comme je te l'ai dit, j'ai fait ma vie sans lui. S'il tendait à réapparaitre, je le renierait probablement, j'ai changé et je ne le considère plus comme étant mon amant.
Qu'est ce que tu comptes faire maintenant toi ?

Kir détestait en fait montrer ses sentiments, et bien que Saresh l'ai déjà vu pleurer, elle se sentait vulnérable à ces moments, c'est pourquoi elle avait enfin pu faire la part des choses après avoir eu un moment de totale confusion dans son esprit. Ces moments là lui permettaient de se remettre en question et de tout mettre à sa place dans son esprit. La seule envie qui démangeait l'elfe s'était de mettre en pièce quelques orques pour se défouler. Mais d'autres moyens étaient possibles et ouverts pour elle pour se défouler ...

-De toute façon se parchemin date d'au mouin 40 ans.... je suis désoler que tu l'est apris aussi sechement mais ... moi les affaires sentimentales..... depuis que je suis ici je ne penses qu'a me venger de Thirit j'imagine son visage.... ah... queqlues fosi j'aurait envie d'hurler et de tuer ne faire que sa tuer...... mais bon je ne suis plus comme avant sa fait en tous 1 mois que je n'est pas tuer un orcs ni aucune autres créatures... tu n'a jamais pensser à t'enfuirs ?? en te conaissant tu serait déja libre... bon je vais arrêter de te bombarder de mais 1001 qustions j'ai des choses à faires comme me trouver un endroit ou dormir..

Il se retourna et observa il sentait l'odeur d'un hommes mais à très lognue distance.Il était tellemetn stresser retourner dna sune cage serait la pire choses pour lui.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 276 Age : 35 Date d'inscription : 23/11/2007

Spoiler:

Hanna n’avait pas encore répondu ou même franchit le seul de la tente qu’un de hommes de garde entra, le souffle court visiblement fatiguer par sa course :

Capitaine, un homme escalade actuellement le versant sud de la falaise !

Thirit lâcha un soupir, alors il été encore de retour ?... Ce n’était vraiment pas le moment, il allait falloir pensez à lui faire passer cette mauvaise habitude.
Il se tourna vers le garde et lui dit d’une voie rapide et neutre :

Met tout le monde sur le qui-vive, et discrètement.
Puisque c’est probablement Saresh, il ira directement rejoindre Kir… Tellement prévisible.
Dit aux archers et arbalétriers de prendre les carquois qui renferment les flèches à pointe d’argent…
Quand il sera entré en contact avec Kir, fait les encercler mais garde tes distance, et ne vous mettez pas dans le sens du vent, ce débile vous repérera.
Une fois cela fait, tu reviens me chercher…

Thirit avait fait préparer ces flèches immédiatement après son premier affrontement avec les licans.
Cette précaution lui avait couter une véritable petite fortune, et même si maintenant, il allait se retrouver « allier » à cette troupes suite à son nouveau contrat, toujours garder ses défenses actives étaient une règle d’or pour lui.
Saresh allait en prendre pour son grade, il était venu seul, sa troupe était à plusieurs centaines de lieux d’ici, et seul deux de ses hommes étaient dans les alentours, et ils se feraient vite repérer si ils tentaient de rejoindre leur chef.
Thirit lui disposait de quelques 6500 hommes dont tous les archers et arbalétriers disposaient maintenant de quoi tuer les Licans en un tir…
Quelques instants plus tard, un de mercenaires revint le chercher. Thirit récupéra son sabre, fit signe à Hanna de le suivre, et partit en direction de l’enclos, se laissant guider par le soldat.

Prenant garde de toujours rester dans le sens contraire au vent pour ne pas qu’il porte leur odeur, le Capitaine fit signe au soldat de rester ici, et continua son avancé Hanna à ses cotés.
Il débarqua derrière le dos de Saresh à plusieurs mètres, entendant la fin de la discussion.

Un sourire froid sur son visage, le Capitaine de la Compagnie clama d’une voie froide et amusé :

Mais pas besoin de fantasmer sur mon visage et de le dessiner dans tes rêves, tu as juste à te retourner Saresh…

Préfèrent jouer carte sur table, le Capitaine claque des doigts et prêt de 3700 hommes approchèrent, armes et claire et flèches enfoncé, les autres protégeant le camp comme d’habitude.

Alors comme cela le chien est revenu… Prévisible, tellement prévisible. Des instincts bestiaux, le chien chien retourne toujours vers sa maîtresse.
Je dois avouer Kir, que je ne pensais pas que tu pouvais avoir autant d’attraction…

Il rajusta la prise sur la garde de son sabre et continua tout en avançant :

Saresh, tu commences à devenir lassant… Et je doute que Legolas apprécie le fait que tu espionnes la troupe qu’il a engagé…
J’espère pour ta vie que tu as une bonne excuse pour être ici… Autre celle de me tuer bien sûr…

- espionner??... sérieux.. je ne suis pas venu en ennemi en faite je n'est pas tuer un garde ni même blesser un seul d'entre eu... je suis venu parler à Kir tous simplement.Et vue quel est désormait dans votre eu.. camps. Je ne désire plus vraiment vous barrer la route... la preuve normalement j'aurait amener tous les Licans et je n'aurait pas perdu une seconde... et j'en n'ai asser ... de vous chercher... et... pour le momment mais hommes ont grandements besouins d'or pour manger et tous... alors je te propose une alliance. Tu peu refuser je te laisse le choix tous les Licans ont eu 35 ans d'entrainement à l'épée et à l'arc.Ensuite il n'ont fait que combattre... je te les donnerait si tu m'en laisse 100 sur mon commandement... mais meilleur dans le fond..ses un marcher équitable je pensse!

Tous se que Saresh avait dis était vrai, Il devait faire une alliance avec lui car de 1 ses hommes ont besouin d'un bon foyer de nourriture et de combat.de 2 Saresh pourrait parler à Kir quand il le voudrait et de 3 il aurait une raison de vivre........ il en n'a asser de vivre que pour combatre Sauron il voudrait quelque choses de plus.... de plus.... intéraissant.

L'elfe sourit, s'enfuir ... c'était un jeu auquel elle avait apporté ses propres règles, oui, elle savait fuir, et elle ne le faisait que trop bien. On avait du mal à la retrouver après mais fuir Thirit, c'était plus difficile, il entrait dans presque toutes les guerres et puis elle avait son plan à elle ...

- Moi ? M'enfuir ? Non, ce serait trop facile. Il faut que je me délivre de son contrat pour m'en aller tranquillement, et puis ici, on me nourrit, on me blanchie et pis j'ai mon gamin à portée.

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Kir lorsqu'elle entendit la voix de Thirit s'en alla de ses convictions de sagesse, encore une fois la seule envie qui lui pendait aux mains s'était de lui trancher la gorge mais quelque chose l'en empêchait ... un certain respect qu'elle avait envers lui mais que jamais, oh non ! Jamais elle ne lui montrerait. Elle le traiterait plutôt mille fois qu'une de bandit que de lui montrer le respect qu'elle avait envers lui. C'est peut-être sa façon d'être, son aura qui stoppait la jeune femme. Mais ne pouvant pas le toucher de ses lames, elle pouvait le toucher par ses paroles, et ça l'elfe savait le faire.

- Tu m'as toujours fait rire Thirit ! Tu devrais l'avoir remarqué que j'attire les gens ... sinon, tu m'aurais tuée depuis longtemps.
Et puis, toi et moi, visiblement on a le même pouvoir de se faire constament suivre. Je me trompe ?
Après tout, je choisis mieux mes alliés que toi, tu as encore beaucoup à apprendre, de moi, de la vie et ... de ceux qui t'entourent.

Son ton calme et si agaçant parce que ironique ne pouvait que provoquer le capitaine. Un sourire pendu aux lèvres, des regards vers Hanna quand elle la mentionnait sans dire son nom, toute cette gestuelle était si accentuée qu'on ne pouvait que voir qu'elle jouait ... dangeureusement comme à son habitude - Thirit avait tout pouvoir sur l'elfe vu qu'il "possédait" ses hommes mais Kir voulait jouer avec le feu quitte à mourir plutôt que de se laisser traiter ainsi et voir se faire traité son ami.- L'elfe regarda Thirit, cherchant dans ses yeux la moindre faille, cela faisait rire la jeune femme ...

L'elfe baissa les yeux regardant les alentours et regardant en particulier les hommes postés aux alentours prêts à tout moment à tirer sur le rodeur. Kir redevint sérieuse surtout lorsqu'elle entendit le mot alliance ... Une alliance ? Rien de plus fou ... elle ne pouvait se permettre d'envoyer Saresh à la mort en le voyant entrer dans la compagnie avec ses hommes, elle hocha la tête mais ne dit rien, son regard vers Thirit avait son sens, et je pense que le capitaine l'avait compris ce regard. Même si elle aurait adoré avoir Saresh à ses côtés ce ne pouvait qu'être néfaste pour lui ... ah ... si seulement ... Elle fit mine de s'étrangler peu de temps après la demande du rodeur et dit à son encontre

- Une alliance ? Mais ... mais ... tu ne t'imagines pas ce que c'est que d'être allié à cette troupe ! Ils sont fous tous ! tous des félés je te dis et si tu t'allies à eux, tu risques de te faire avoir vite fait bien fait. Ah ! tiens, depuis peu que je suis avec eux et moi je te dis, et je suis bien placée pour pouvoir te le dire ... lui, là (elle tend le bras vers Thirit en le pointant du doigt) c'est un froid calculateur. Tous ses coups sont réfléchis, je l'ai observé, il ne laisserait pas vivre une mouche sous prétexte d'un contrat, on lui dit de s'allier et celui qui est le plus offrant gagne ... je ne sais pas depuis combien de temps est-ce qu'il est du côté du seigneur Legolas mais dès que le Mal lui donnera une offre plus grande il s'alliera à lui. Evidemment, plutôt mourir que de combattre mes frères mais si tu t'allies à ce frappé, tu ne sauras pas où est-ce que tu cours. Il se dira ton frère et le lendemain te plantera un couteau dans le dos ... Fait attention à quoi tu t'engages.

A vrai dire, Kir ne croyait pas vraiment en ce qu'elle disait, elle aurait adoré avoir son ami à ses côtés mais ce qu'elle annonçait ici ce n'était que pour convaincre son ami à ne pas se mettre dans la gueule du loup à ses risques et périls.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 276 Age : 35 Date d'inscription : 23/11/2007

Thirit observait, analysait, décortiquait. Chaque mot, chaque réaction, chaque mouvement, chaque regard du groupe qui se tenait face à lui.
L’analyse, le charisme et la manipulation. Voila se qui lui avait permit de diriger cette troupe et de berner aussi bien ses ennemis que ses allier.

La remarque de Kir le toucha, même si rien ne le montra. Il plongea son regard dans celui de Kir, y déversant toute son autorité, toute sa rage et sa froideur, lui intiment aussi bien un silence que lui donnant une promesse de retour pour cet affront.
Il n’adressa pas un regard à Hanna. Pourtant il savait qu’elle avait raison. Il avait toujours sut lire dans l’âme des gens pour les incorporer à ses projets. Mais il se retrouvait toujours désemparer quand cela le concernait lui…

La proposition de Saresh l’étonna, il le voyait comme un adversaire et non comme un allier possible.
Utiliser les troupes de Saresh en chair à canon lui serai bénéfique, mais il n’avait ni les moyens de s’occuper de ces nouveau soldats, ni le temps de les assimiler à sa compagnie et il ne pouvait encore moins ce permettre d’avoir des ennemis potentiel dans son camps.
Après avoir vue Saresh et cerner sa mentalité, il avait davantage confiance en des orcs qu’au Licans….

Laissant Kir essayer de dissuader ses amis, le Mercenaire continua sa lente marche en avant, rejoignant le groupe.
Artharys n’avait toujours rien dit. Le Capitaine pausa sur lui un regard protecteur. Le jeune c’était montrer efficace et attentionner dans tout se qu’il faisait depuis qu’il avait rejoint la Compagnie, et il savait que déjà, pas mal de Mercenaire lui devait la vie. Tolbio lui en faisait une éloge à chaque rapport, poussant jusqu'à lui dire que si tous ses hommes étaient aussi douer que lui, sa division serai capable de ressusciter les morts, réflexion qui donnait toujours lui à un éclat de rire des officiers.

Continuant d’avancer, il passa devant Kir, la dépassant de toute sa stature bien plus imposante que celle de l’elfe. La encore il ne rajouta rien.
Le Capitaine croisa les mains dans le dos et vint se placer devant Saresh.
D’une voie froide est sans émotion, il commença :

Tu devras écouter ta maîtresse le chien…
Ta troupe enrager ne m’intéresse pas, elle ne rentre pas dans mes plans et je ne peux me permettre de rajouter d’autres troupes dans mes rangs. De plus, nous allons bientôt bouger pour un contrat.
Je te demande donc de quitter cet endroit rapidement, retournes à tes occupations et éviter d’aboyer trop fort.

Il reprit sa marche et s’arrêta juste à coté de lui, lui glissant à l’oreille avec froideur.

Dans le cas contraire, j’ai une superbe cage en argent qui t’attend, je l’ai faite construire rien que pour toi. Je suis sûr qu’elle te plairait…

-ah... d'accord.. moi j'ai fabriquer une épée juste asser coupante pour te persser le ventre.Mais bon... même si tu à un contrat avec Legolas tu aurait une plus grosses offre en partant au gouffre de helm.... sa chauffe la bas.. mais bon se n'était qu'une idée.

*je sens que je vais le tuer se gars.....*

La seule et unique choses à quoi il penssait c'était de lui couper la tête... quel imbécil! il aurait 11 500 hommes sur ses commande.. quel abruti... et déja que les Lican sont née au comabat. ah... mais bon. Saresh marcha vers le bord de la falaise. Il avait un petit grapin en main il sauta et il sorti de sa cape une arbalète i ltira le carreaux sur Thirit, et glissa le long de la corde la nuit était un avantage il détalla dans les bois. Le carreaux c'était planter directmeent dans l'épaule de Thirit.

Saresh avait seulement voulu parler à Kir mais le caractère de Saresh ne lui permétait pas de se faire insulter par un chef mercenaire. déja qu'il est colérique.. faut pas abuser!.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 276 Age : 35 Date d'inscription : 23/11/2007

Le gouffre de Helm ? En effet, il savait qu’une bataille s’y préparait où s’y déroulait. Depuis quelques temps, tous ces espions, tous ses informateurs et ses principaux contact étaient accès sur un nouvelle cible, et cible bien plus grande et plus imposante…
Il laissa le Lican quitter le lieu doucement. Il savait qu’il ne pouvait se permettre l’attaquer directement. Même s’il parvenait à le tuer, il se ferai lui-même transpercé dans la seconde qui suivait…

Le Capitaine le regarda se diriger vers la falaise et…. Un impact : un, puis deux pas en arrière.
Thirit chancela et la douleur arriva, le saisissant si violement qu’il laissa échapper une faible plainte.
Il lui fallut quelques secondes pour comprendre qu’il venait de ce faire transpercé par un garrot d’arbalète et plusieurs autres pour en déduire que Saresh en était l’auteur.

Le Capitaine se retourna, il voyait ses hommes entrains d’aller rapidement quérir les soigneurs.
Il voulut dire que ce n’était pas grave, mais une violente quinte de toux le stoppa avant qu’il ne puisse dire un mot et il crasha du sang sur la terre sèche qui se trouvait sous ses pieds.

Un nouveau regard vers la flèche lui apprit que la retirer ne serait pas facile, du moins pas sans causer de gros dommage.
Levant la main droite vers Artharys, il lui fit signe d’approcher.

Artharys, c’est le moment de montrer ce que tu sais faire.
Et fait ça bien, je te rappel que c’est moi qui te paye…

Sa voie était apaisée et son visage esquissa un sourire, mais la douleur était visible sur son corps et dans sa voie.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 42 Date d'inscription : 09/02/2008

Je n'avais pas eu l'occasion de répondre à qui que ce soit et de toute façon, , je ne considérais pas être impliqué dans cette affaire. Donc très peu pour moi que de m'engager dans quelques paroles venimeuses pour autant que je ne voulais pas créer d'ennuis ni à ma mère, ni à moi.
Thirit et Saresh s'envoyèrent des paroles tout au plus désagréables et le fait que le capitaine dise de ma mère qu'elle avait un attrait particulier ... j'aurais préféré ne pas avoir entendu. Malgré moi, je me retenais de planter des couteaux dans les ventres des deux hommes pour qu'ils se retrouvent dans une situation de totale faiblesse et ainsi pour qu'ils arrêtent de s'entretuer par des paroles. Rien de pire pour moi que d'être victime de railleries, plus improbables les unes que les autres.
Mais je me rangeais du côté de Thirit lorsque celui-ci tituba après s'être reçu une flèche dans l'épaule, surtout qu'il m'avait lancé un regard des plus approbateurs et qui me rendis calme. Je ne comprenais pas pourquoi est-ce que tous ces problèmes finissaient toujours par un blessé, autant organiser tout de suite un combat ... ne pas être lâche et ne pas avoir peur de ses actes, voilà ce qui était important pour moi. Dès que la flèche pénétra l'épaule de Thirit, je me précipitais vers lui et alors qu'il me demandait de l'aider à soutirer sa flèche j'étais déjà autour de lui à regarder sa plaie. Je ne pouvais laisser mon capitaine mourir aussi bêtement, ce serait trop facile ... et surtout trop niais, me mettant entièrement à mon "travail" j'examinais donc la flèche -profondément enfoncée- et disais à voix haute mais marmonnant dans ma barbe quelques paroles inaudibles pour ceux qui nous entouraient ... à moins d'avoir des oreilles pointues or de sa chevelure.

- Mmh ... il a bien visé. Un peu trop fort ... Sans grande importance mais très douloureux, j'espère qu'il n'y avait pas de poison ... mais vu comment la flèche s'est enfoncée ... il serait déjà mort ! Sauf si ... non, peu probable !

Je touchais à peine le capitaine, mais je connaissais mon affaire, à peine lorsque je l'effleurais la première fois, je ressentis la douleur qu'il supportait, on la voyait non seulement sur son visage et dans ses yeux mais aussi dans sa façon d'être inhabituelle, le seul "avantage" que j'avais sur les autres c'était de savoir à quel degré de douleur en était-il arrivé. Je lui murmurais à l'oreille quelques fois des choses qui resteraient seulement entre lui et moi, touchant parfois l'alentour de l'enfoncement de la flèche afin de savoir à quel niveau et de quelle façon s'était-elle enfoncée.

- Bon très bien, éloignez vous, je pense que le capitaine n'a pas besoin de vous, et surtout n'a pas besoin de se donner en spectacle ... allez ...

Les gens bougèrent autour, je ne voulais pas que l'on se fasse une image ... de moi. Même si on en avait déjà une, trop timide pour accorder encore une faveur de Tilbio mais surtout l'éloge qu'il faisait de moi. Cela me rendait mal à l'aise mais ce ne fut pas pour autant que l'on se séparait souvent l'un de l'autre et que l'on ne se faisait confiance ...

- La flèche est profondément enfoncée, ça risque de picoter légèrement, mais vous avez connu pire n'est ce pas !

Je tirais d'un sac qui trainait dans les alentours et qui se trouvait être le mien ... un grand torchon, je pris la flçche m'appuyant de la main gauche dans le bas du cou et aussi sur l'épaule gauche. La flèche coula dans mes mains, sortant aisément de l'épaule du capitaine, je mettais la main sur sa plaie, soulageant la douleur, je prenais un peu d'eau de mon sac, une gourge toujours remplie, et après en avoir bu, j'en mettais sur le torchon immaculé de sang. Je replaçais le torchon sur l'épaule du capitaine et après l'avoir retiré, on pouvait voir qu'une petite cicatrice de l'impact de la flèche mais qui s'en irait facilement d'ici quelques jours. Passant devant Thirit et regardant le cracha de sang par terre je lui dis sans que personne ne puisse entendre ...

- Je ne pense pas que ça soit Saresh, l'auteur de ce crachat de sang ... bien au contraire. Dites moi ce que vous avez, je ne ferais pas long feu et vous vous sentirez bien mieux si je vous aide mais si vous préférez en rester là avec votre maladie ... c'est vous qui ne ferez pas longue route.

Dans le silence le plus complet suivant mes paroles, je ramassais ma gourde et mon torchon, m'apprêtant à aller le laver avant notre départ. Je jetais un dernier coup d'oeil à Thirit qui se relevais et disparaissais de sa vue avant qu'il n'ait pu me donner de réponse.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 276 Age : 35 Date d'inscription : 23/11/2007

Durant toute la gestuel de Artharys, le Capitaine ne dit rien. Chose inhabituel, il avait la réputation auprès de la Division de Tolbio d’être un vrai chieur et le patient le moins facile à vivre.
Toujours a égueulé les soigneurs sur leur manque de rapidité, sur les faux mouvements. Et encore, c’est quand il acceptait de ce faire soigner !

Ravalant ses plaintes il ne broncha pas durant les soins, seuls quelques frissons de douleurs procurèrent son corps lors de certaines étapes. Sa respiration calme ne s’accéléra qu’au moment de l’extraction du projectile.
Le jeune Artharys était vraiment un soigneur hors père, seul Tolbio et l’ancien officier de la division lui étaient supérieur, et encore de peux.
Heureux que la flèche ne soit pas empoisonnée, Thirit se promit de ne plus faire cette erreur qui aurait pu lui couter aussi bêtement la vie.
Se relevant doucement et risquant de petit mouvement avec son bras droit, il braqua son regard froid sur son soigneur lorsqu’il lui parla de sa maladie. Seul Tolbio était au courant de se qui lui arrivait réellement, et même s’il appréciait le jeune homme, il ne voulait pas lui en parler. Par manque de confiance sans doute, son secret pouvait lui faire perdre toute autorité sur ses hommes…
Une sorte de Talon d’Achille qu’il cachait comme il pouvait.

Ne voulant pas que le bruit de cette attaque impuni ne fleurisse trop longtemps dans l’esprit de ses hommes, le Capitaine rejoignit le centre du camp et cria d’une voie forte et presque furieuse :

Compagnie, on lève le camp dans une heure !
Finissez vos paquetages et replier les tentes !

Il prit la direction de sa tente afin de mettre des vêtements plus chauds et surtout essuyer le sang qui souillait son corps et lui rappelait trop son erreur.

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