Cryldan avait devancé de beaucoup ses hommes mais avant, il leur avait expliqué qu'ils ne devaient surtout pas tous arriver en même temps à Lamedon car ils auraient bien du mal à passer discrètement à cause de ca. à la place, ils porteraient tous une armure adéquoite et arriverons en petits groupes. La manoeuvre prendrait bien du temps, ça il le savait mais il ne devait pas non plus faire en sorte qu'ils s'en doutent trop vite non plus. D'autres seraient cachés en paysans et d,autres genre de personnes pour pouvoir passer mieux innapercus. Il en envoya quelques uns dans la ville puis il se dirigea vers le feu d'alarme dans les montagnes, soit le premier qui devrait voir celui qui partirait de la ville. Les gens postés là ne devraient techniquement pas le connaitre donc il ne se cacha pas et y alla de plein front. Il s'addressa aux deux hommes qui le dévisageaient étrangement:
-Le seigneur Arthor vous envoie toutes ses amitiés.
Ils semblaient tout deux incrédules. Cryldan en profita pour tuer celui qui avait la tête tournée. Le second se prépara à entrer en duel mais fut vite mit à genoux devant l'assassin. Ce dernier frappa sa torche qui alla s'éteindre plus loin et lui dit:
-La prochaine fois, méfiez vous des hommes sans armures...
Puis il lui transperca la nuque. deux des hommes de Cryldan arrivèrent par la suite et il leur lanca:
-Débarassez-moi de ce feu d'alarme mais ne brulez rien ou vous allez alerter les autres et si vous désobéissez, je vais venir personnelement m'occuper de votre cas à tout les deux. à la place, jettez-moi ses buches unpeu partout et faires une bute carrée de neige, avec quelques brindilles juste au cas.
Cryldan regarda ensuite en direction du village. Sans la présence d'Arthor ou alors de son prétencieu de frère, la population restait pratiquement sans déffense. Ses hommes commencaient peu à peu à entrer. Certaines personnes se posaient des questions sur cette entrée soudaine mais il n'y avait rien d'anormale dans leur démarche ou leurs habits. Ils passeraient certainement pour des soldats d'une citée prise. Il regarda ensuite les soldats en charge du second feu d'alarme à la suite de celui-ci. Ils semblaient parfaitement occupée et n'avaient rien remarqué.
-Et ceux-là, je ne veux même pas que mes charognards ne goutent à leur chair infecte. Jettez-les à quelque part ou on ne remarquera pas la chute d'objets.
Une fois les affaires du feu d'alarmes réglés, il alla dans les bois plus près de la ville vérifier les entrées de ses soldats dans celle-ci. Un des hommes vint le voir, puis lui dit:
-Des gens la bas commencent à se poser des questions. Que devons-nous leur dire?
Il pensa un moment. Ou pouvait-il bien y avoir aucune bataille en cour qui ne parraitrais pas suspect et qui ne serait pas à Pélargir ou Minas Tirith et encore moin Osgiliath? Ah oui!
-Dites qu'ils viennent d'une ville conquise et si ils demandent laquelle, je compte sur vous pour leur faire chager de sujet très rapidement ou alors, dites que vous êtes d'une tentative de construction dans les montagne et que la base de ville que vous avez construit a été complètement rasé, sa fait déjà plus de sens.
Il partit. Cryldan se mit une sorte de masque qui ne laissait voir que ses yeux sombres. Il enfila une armure et un casque gondien qu'on lui avait prêter et se rendit dans le village. Il s'empara de deux de ses hommes et alla dans la tourelle ou ils gardaient leur feu d'alarme de la ville. Sans bruit, tel était l'art de l'assassina, il brisa le cou d'un des gardes et frappa l'autre si violemment que oui en quelque sorte il eut mal à la main mais il l'avait terrassé. Il rangea les deux hommes dans une salle vide qu'il ferma à clef. Son aventure avait été discrète donc personne ne l'avait entendu. Il dit à ses hommes:
-Tuez tout ceux qui viennent vous demander d'allumer les feux d'alarme, je ne veux pas qu'on prenne la chance que quelqun avertisse l'ennemi. Au pire, l'autre à été completement détruit et le troisieme est trop loin pour voir alors c'est unpeu moin grave.
Il retourna dans les rues de la ville. Ses hommes jouaient le role à la perfection et les hommes semblaient les croire. Il fixa le ciel et fit une de ses sinistres bêtes voler au dessus de lui. Tout serait prêt sous peu et ils pourraient attaquer.