Arrivée des renforts et début de l'attaque

P'tit Nouveau Nombre de messages : 35 Date d'inscription : 18/01/2008

Lorsque Ancalagon vint aussi au dessus des hommes de Losarnach, il en brûla une centaine de ses flammes puis poussa un tel cri que les hommes furent effrayés et se mirent à pleurer et à hurler.
Lorsque Ancalagon eut terminé de semer le trouble chez les hommes, ce fut au tour des chevaux du Rohan d'être repoussés une fois encore. Il vint s'écraser sur une dizaine de cavaliers et immédiatement, un cercle fut créé autour de lui, nul ne voulant être sa proie. Ancalagon fit un tour sur lui-même en crachant son feu puis se décida à donner la chasse aux chevaux. Il s'élança au milieu des cavaliers à grande vitesse, ouvrant ses ailes pour faire tomber tous ceux qu'il cognait puis les rentra dès que les Rohirrims retrouvèrent leurs esprits et commencèrent à tirer leurs glaives. Cependant, Ancalagon traversa l'armée toutefois puis arrivé non loin de la fin des lignes, il hurla, déchiqueta (au sens propre du terme ^^) deux chevaux et crache du feu, ce qui eut pour effet de faire tourner les talons à un millier de cavaliers qu'il commença à poursuivre. Il rabattit les cavaliers incapables de reprendre le contrôle de leurs montures et bon nombre de chevaux s'engouffrèrent dans des forêts enflammées pour échapper au dragon puis furent brûlés. Les autres furent écraser, dévorer ou brûler et plusieurs centaines d'entre eux fuirent définitivement le combat. Lorsqu'Ancalagon revint, il se jeta au milieu des hommes de Losarnach et des elfes qui s'étaient rejoins et qui constituaient une armée de 30.000 soldats, dont 20.000 elfes contre deux dragons, 10.000 orcs, 5000 Uruk et 50.000 archers. Celeborn parvint à extirper ses troupes du guet-apens, sauvant la vie de ses hommes dont l'un d'eux s'approcha du roi et le supplia de donner la retraite, qu'aucun elfe n'était plus capable de charger en cet instant et que même si les hommes de Losarnach semblaient vouloir combattre jusqu'au dernier, il fallait les laisser à leur sort. Celeborn le sage gronda l'elfe et celui-ci se suicida de honte.

//Ne serait-il pas temps que Forlong sorte de là avant que ses 8000 derniers hommes ne meurent tous ? Je veux bien mais si il répond pas pour dire ce qui se passe, nous on continue comme ça jusqu'au dernier ! Nous devons pas le tuer et alors qu'il se casse si il veut pas mourir au milieu de ses hommes, tués par 10.000 flèches non ?//

P'tit Nouveau Nombre de messages : 49 Date d'inscription : 17/02/2008

//De quel droit détruit-on mon armée de 50 000 cavaliers alors que je m'absente une journée, et aussi alors que je suis censé être depuis hier sur Imaragon? Je suis outré que des gens du mal fasse bouger mon armée, je suis tout prêt des remparts de Fondcombe, pas à l'entrée de la valée. Comment se fait-il qu'on détruise une armée et que deux dragons ne font qu'alterner leurs postes, tuant près de 100 000 cavaliers à eux deux?
EDIT ME: C'est de la faute à Elrond/Théoden, 'scusez-moi^^. Si vous voulez bien accepter que je sois toujours où j'étais, je vous en serai redevable, je n'ai jamais été attaquer les orques qui arrivaient moi, mais sinon c'est pas grave. Je te laisse dans ta merd* frérot Razz

Je crois qu'Elrond est pas content là, il va avoir certaines choses à dire, il devient livide XD \\

Les cavaliers de Forlong s'attaquaient au dragon Imaragon. Les cavaliers du Gondor lancèrent leur flèches sur le dragon qui était déjà gravement blessé. C'est à cet instant que des aigles, venant de toute part du ciel piquèrent sur les dragons. Ils furent acclamés par des cavaliers euphoriques, quoique stupéfaits. Ils tiraient des flèches sur le dragon. Ils se détachèrent de leur cible qui était out-combat. Ils se retirèrent vers leur arrière. Ils foncèrent sur les hommes d'Eron. Les 20 000 soldats furent bien vite cernés, débordés et attaqués de toute part. Forlong tenait sa lance dans sa main. Il sauta à terre. Tandis qu'Eron se dirigeait vers Elrond, il envoya une pierre avec sa fronde sur ce dernier. Eron se retourna, se massant la côte même si le choc avait été prit par son armure.

- Viens ici pourriture, traître au Gondor! Au lieu de t'attaquer aux Belles-gens, viens à moi!

P'tit Nouveau Nombre de messages : 115 Date d'inscription : 28/01/2008

Les filet commencait à seder plus qu,il se débatait plus il le fesait soufrir.

-Glaurung! dis à quelque un de t,es uruk de venir m'aider bon sens!!!!

Il voulu lacher une soufle de feu mais ses poumon était bloquer pa rle filet il ne fut que éjecter un grand nuage de vapeur au homme qui hurlait les yeux bruler.

il regarda et vue les aigles se faire masacrer des dragon tombait au sol écrssant nombreux elfs et les aigles tuer tombait sur la ville comme des mouches.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 190 Date d'inscription : 13/08/2007

(en passant Forlong tu na pas mal aucune chance contre moi mais bon...)

Éron ressu une pierre sur son armur il se retourna et vue Forlong le vieux il sorti son fléo et commenca à masacrer les elfs et homme devant lui pour arriver devant Forlong il ranga son fléo et sorit son épée. Les cavalier déron vraiment plus fort que les cavalier gondoriens perssait les ligne pour aller devant le dragon Imaragon en coupant les filet de leur longue lame avant de recharger dans les hommes.

-espèce d,idiot tu penses vraiment pouvoir me combatre.... pf... si tu es mouin fort qu,un seigneur elf oublie la posibiliter de durée 30 seconde au combat avec moi

Il resortit son fléo par surprise Forlong ressu le fléo dans les cote le désarsonnant de sa monture Éron prépara une deuxième attaque avec son épée.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 164 Date d'inscription : 17/03/2007

Avec les warg encore en vie, Carok regarda les elfe se mettre sur les rempart de Fondcombe alors il fit signe a ses warg d'arretter de se battre avec les rohirim et de monter vers la cité et de commencer a s'en prendre au archer elfe, les archer Uruk encore vivant visait les rang rohirim et il en tait plusieur, puis il monterent avec Carok et viserent les archer pour en tuer bon nombre, puis Carok continua de tuer des elfe qui tentait de l'abattre.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 49 Date d'inscription : 17/02/2008

//Je veux bien que tu sois fort, mais tu n'es pas le plus puissant de la Terre du Milieu. Je suis beaucoup plus vieux et chevronné que toi, avec 40 ans. Tes hommes sont aussi forts que les miens, c'est tout ce que je t'accordes, ce n'est pas la peine de dire que tu massacre tout --' . Forlong est un très grand combattant, c'est le peu qu'on dit sur lui dans le bouquin. De plus, je suis déjà descendu de mon cheval. Attaques, mais encaisses aussi! Je ne veux surtout pas te dégoûter mais appliques mes conseils Wink

\\

Forlong sauta en arrière pour éviter le fléau de Eron. Il sorti son épée, le faisant tourner autour de sa main droite. Il tenait son bouclier de l'autre main. Quand Eron partit à la charge en donnant un coup d'épée, il brisa le bouclier du Gondorien. Le seigneur en profita pour asseminer une estocade dans la côte de son adversaire.

- Ignores-tu donc tout de l'opiniâtreté des hommes de Lossarnach? De leur ruse et de leur capacité à...

Il donna un coup dans le genou de son adversaire. Celui-ci vacilla mais ne tomba pas. Il poursuivit:

- A attirer l'attention d'un pauvre homme cherchant la facilité, le manant à sa perte.

Il sauta en arrière, esquivant un coup. Il se prit un coup de lame dans le visage, provoquant une estafilade. Forlong ramassa sa javeline* et l'envoya sur son adversaire. Ce dernier esquiva, laissant l'arme embrocher deux des hommes d'Eron. Le seigneur Forlong refit un bond de côté et fit un mouvement de bras. Après plusieurs entrechoquement, le combat continuait.

EDIT ME: Carok, la cité comme l'a judicieusement fait remarquer Glaurung est entièrement entourée d'elfe, il est impossible que tu puisses passer avec tes ourouks sans qu'ils ne se fassent tuer.
[* arme servant au lancer, plus grande qu'un javelot]

Tandis que la bataille sévissait à Fondcombe, les 500 cavaliers éclaireurs envoyés par la reine de Nevrast s'approchaient. Depuis longtemps ils avaient entendus les coups d'épées tinter et l'odeur du sang s'approcher. Ils savaient que l'aide de l'armée entière de la reine serait nécessaire ; c'est ce qu'envoya le capitaine d'un des groupes à la reine.

Demandons renforts appropriés ... plus nous nous approchons et plus la peur se lit sur le visage de mes soldats, l'odeur du sang s'approche et nous aussi, venez nous rejoindre avec toute la troupe et les stratèges de combat.

La reine reçut le message très rapidement et à peine ses groupes de cent hommes arrivaient en sonnant le cor de Nevrast le faisant pousser avec la brise jusqu'à Fondcombe que la reine sortait se son palais accompagnée de son armée d'élites suivis des stratèges puis des soldats habituels.
Les hommes arrivèrent en se dispersant, ils entourèrent la ville de Fondcombe faisant entrer le capitaine principal -ne parlant pas la langue humaine ou très peu - accompagné d'un petit homme trapu qui lui traduisait quelques fois lorsqu'il en avait besoin le language des humains. Le vent soufflait et le capitaine, cheveux aux vents se demandait à qui s'adresser devant toute cette pagaille qui se dressait devant ses yeux. Il ne s'en préoccuppa davantage, envoyant l'homme trapu à la recherche de celui qui dressait ses corbeaux. Les ordres partirent en éclat.

Archers sur les remparts, cavaliers devant les remparts, toi là-bas ! prends tes hommes et aide ceux qui sont de notre côté à transporter les blessés et les soigner, vous partez en éclaireurs, transmettez moi ce qui se passe du côté des ennemis, faites vous discrets. Au travail ! Plus vite que cela !

Sa voix tonnait sur les remparts et comme donnant un rythme à la bataille il tonnait régulièrement un "TIREZ" aux archers qui étaient disposés en deux files pour pouvoir se relayer plus rapidement et tirer d'un flux continu. La bataille avançait et le capitaine attendait toujours l'homme trapu.

De l'autre côté de la vallée ... pendant que je discutais avec sasha, on m'apporta des nouvelles de mes éclaireurs, étonnée d'une réponse aussi rapide, je le fus moins en lisant le message. La guerre m'attendait et cela ne m'enchantait en aucun cas, c'était ainsi et mon devoir était d'y aller bien que mes conseillers voulaient m'en empêcher sortant des arguments les uns plus drôles que les autres, je courrais à travers les couloirs ces hommes en robe blanche à mes trousses. Je me retournais une fois pour toute en leur disant très sèchement.

Le premier qui me parle encore de ma non-participation à cette guerre je l'étripe en aucun cas je ne la manquerais. Avez vous bien compris ? Je dois soutenir mon armée et je le ferais sans quoi, allez vous faire du thé sans moi.

Je sortais en rogne, mes élites derrière moi, mes stratèges demandés avec moi aussi et mes soldats suivaient. On avançait assez vite malgré tout, notre arrivée s'annonçait d'ici une journée.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 190 Date d'inscription : 13/08/2007

(je suis plus vieux que toi Arrivée des renforts et début de l'attaque - Page 4 294524

chui un numénorien noir....)

Éron esquiva le coup de genou.

-et tu ne sais pas que j'ai eu Idrahil comme maitre..
Il lanssa un coup de fléo que Forlong esquiva il donna un coup de pied dans l'estoma de Forlong puis vint lui trancher une parti de sa joue.

-je n'aime pas me batre contre des gondorien comme toi... pf... si faible...

IL se serva de son épée comme d,un gourdin pour frappé à la tête Forlong et en le poussant il trébuchat sur un corps et tomba au sol.

-sa fais 230 ans que je me bat avec idrahil alors sa m'étonerait que tu me bat!

P'tit Nouveau Nombre de messages : 276 Age : 35 Date d'inscription : 23/11/2007

Spoiler:

Thirit vue trop tard l’arrivé des ouroukais vers les murailles.
Immédiatement, il donna ses ordres afin de les repousser, criant d’une voie forte et claire.
Lui-même courut entourer de sa garde vers l’entré de FondCombe.

La division de piquiers bloqua l’entrée de la cité afin d’empêcher tout nouvelle intrusion.
C’est un véritable mur de pique et de bouclier qui obstrua la route et les wargs s’y plantèrent.
Malheureusement, ces bêtes étaient aussi féroce que tenace tout doucement, le mur de Mercenaire commençait à se disloquer.
Heureusement, ils les avaient retenues assez longtemps pour permettre aux archers et aux arbalétriers de la Compagnie de rejoindre cette partie des remparts. Ce fut donc une plus de flèches qui s’abbatit sur les wargs en tuant un grand nombre, les obligeant à se replier sous peines de tous périr.
Alors que lui-même achevait d’un coup d’épée un orcs au sol, il hurla à ses hommes :

Ce n’est que partie remise !
Evacuez les blessés et concentrez vos tires sur les archers orcs !

Changeant de cible, les Mercenaires joignirent leur tires aux elfes présent sur la murailles, obligeant leurs ennemis à aller se mettre à l’abri dans la forêt.
Il savait que cette petite victoire n’était du qu’au fait qu’il est pu prendre par surprise les assaillants qui pensaient avoir uniquement affaire aux elfes.
Le prochain assaut serait surement plus sanglant même s’il venait d’ébranler fortement les ouroukais…
Alors que la 4e division évacuait les blessés, Thirit monta les marches des remparts avec difficulté. Ses différentes blessures commençaient à le fatiguer, il espérait que la bataille tourne rapidement en leur faveur car il doutait pouvoir tenir encore longtemps à se rythme…

P'tit Nouveau Nombre de messages : 49 Date d'inscription : 17/02/2008

//Et moi un numénoréen tout court avec 105 années dans la poche XD En sachant qu'aragorn est mort à 210, je ne vois pas dans quel état tu peux être. Je comptes 130. Arrête de dire que tu tue tout le monde, quand un aigle va t'attraper par les épaules, tu erras si tu fais le malin (je suis Thorondor ^^). Si tu veux pas que cet acte si triste t'arrives, calmes-toi et recoit aussi des coups.
EDIT ME: Justement, j'essaye d'apporter un peu plus de détails et de plaisir dans le topic. Dire que toutes les armées vont ici ou là tuant ceci cela n'a rien de palpitant.\\

Forlong regarda son adversaire lui dire qu'il avait Idrahil pour maitre et qu'il se battait depuis 130 ans. Le seigneur planta son épée dans le sol, et souffla quelques secondes. Le combat reprit et son adversaire le poussa au sol.

- Oui, c'est sur qu'Idrahil est un très bon exemple remarque. IL s'est même enfuit lorsque 360 000 cavaliers de Gondor et de Rohan sont arrivés. Crois-tu que mes hommes seraient partis si une telle armée arrivait? Nous nous battons jusqu'à la mort. En parlant de cela, celle de tes hommes est proche. Regardes-les se faire submerger par mes cavaliers.

En effet, les braves chevaliers du Gondor réduisaient en charpie les hommes d'Eron. Vingt mille hommes de pied ne valaient pas cinquante milliers de cavaliers bien armés sur des chevaux aussi robustes que ceux de Rohan.

- Tu devrais faire attention au lieu de parlementer.

Forlong se releva. Il trancha la tête d'un orque en un coup d'épée et sauta en arrière, esquivant un des coups de son adversaire. Forlong prit rapidement son arc et tira une flèche sur un numénoréen noir. Le seigneur du Lossarnach en avait vu tellement pire que cette -presque- joyeuse bataille. Il prit un bouclier en fer d'ourouk-haïs dont les côtés étaient tranchants et l'envoya sur Eron. Il ramassa une massue d'orque sur le sol. Il en frappa le bouclier de son ennemi. Celui-ci se brisa en mille morceaux, projetant des éclats de bois de part et d'autres.

- Idrahil? Ton frère? N'as-tu jamais compris qu'il n'en a jamais eut à faire de toi? Pauvre niais. Crois-tu que ton frère dans sa gloire a pensé à toi?

Il attrapa le genou de son adversaire avec la ponte de sa lance et fit un mouvement brusque de bras. Son adversaire tomba sur le sol. Forlong sauta en arrière, faisant toujours tourner son épée au tour de sa main. Il savourait cet instant, si funeste soit-il. Rien ne l'attirait plus qu'un duel comme cela. Il laissa son adversaire se relever et dit:

- Allez! Viens te battre! Combat Gondor si tu l'oses, combat les fils d'Anarion!

En vérité, l'aïeul de Forlong n'était autre que le frère du fils ainé d'Anarion. Lorsque la lignée des rois s'éteignit et que le dernier des rois de Gondor mourut sans lignée, on préféra donner le pouvoir à Mardil Voronwë, surintendant de la maison d'Anarion de Gondor et ainsi perpétuer la descendance jusqu'à Denethor, fils d'Echtelion. En cela, Forlong était le cousin de Denethor, et pour cela il était resté fidèle à sa famille. Il regarda avec dégout Eron qui avait choisit la facilité. Car maintenant l'arbre blanc fleurissait à nouveau dans la cour de la Fontaine. Forlong était un des proches amis du Roi. Le Lossarnach était une belle contrée au-dessous de l'Anorien, pays de minas Tirith. Forlong connaissait aussi Imrahil, prince de Dol Amroth et Targon, seigneur de Cair Andros.
Forlong retira son casque et le jeta au sol, ainsi que son bouclier ainsi que son plastron, les jetant au loin. Ses habits noirs et argent, avec l'arbre blanc du Gondor se dévoilèrent. Il lança un regard furieux à Eron.

- Vois maintenant la force du Gondor, vois la colère de l'arbre et blanc et la miséricorde de la maison d'Anarion!

Il sauta sur son cheval et le fit se ruer devant son adversaire. Ce dernier tomba, sous les coups de sabots du cheval. Forlong sauta de sa monture et assomma du pommeau de son épée son adversaire en lui donnant plusieurs coups.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 164 Date d'inscription : 17/03/2007

Les troupe warg de Carok avait foncer droit dans les piquier...enfin la premiere et deuxieme ligne, mais les 5 autre ligne de warg avait reculer juste a temps, car les archer avec les viser les warg qui étais encore tout pret du mur alors Carok fit signe a ses hommes de partir vers la foret et de s'y cacher le temps de voir leur réaction, quand les hommes firent tous sur qu'il avait abbandonner le combat Carok fit signe a ses warg et arche d'attendre son signale, quand Carok leva le bras une voler de 2000 fleche partie vers les hommes et les elfes, il en perdirent quelque un et durant se temps les warg avait pénétrer dans la cité, avaec difficulter biensur, mais il y avait entré.

Tuer moi tout ses sale homme et ses sale oreille pointu, il ne doit plus en rester un seul.

Carok laissa son warg en bas qui partie se cacher plus loin pour ne pas mourrir, puis Carok monta sur les mur et tua bon nombre d'homme qui tentais de le tuer, un homme penssait l'avoir par derriere, mais ce fut lui qui se fit prendre car un warg lui attrapa la jambe et commenca a le manger, puis les warg se chargait des hommes dans la cité et les archer commencais a monter sur les rempart pour aider Carok a abbatre les autre hommes encore sur les mur, puis quelque archer Uruk furent tuer, mais des gens du bien également, puis des warg tomberent sous el coup des homme et des elfe, mais il en restait encore beaucoup, le combat fesait rage en dehors de Fondcombe et maintenant il fesait rage a l'intérieur de la cité.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 190 Date d'inscription : 13/08/2007

(j'ai pas dis que je tuais tous le monde j'ai is que je me fraiyait un passage avec un fléo...)

-soldat! la phalan.. (resois coup d,épée)

Même si les hommes n'avais pas tous entendu il laissère leur monture et s eplacère en rond avec des pavois et des lance perssant les cavalier sun à un éron devant tuais des elfs et des hommes un à un il fendit le crane d,un cavalier elfs en le propulsant au sol il reprit son fléo et le fit tourner massacrant s,eu trop près.

-Forlong! t'es insulte ne me touche pas j'ai vécu avec idrahil long temps il ne m'apréci pas beaucoup mais nous somme frère de sang!

Il prit une lance en l'envoyant sur Forlogn qui esquiva elel se planta dans un cavalier dérrière qui revola au sol.

-et maintenant regarde la puissance du nord! lansser!

1200 lance fur lansser avec présition et puissance sur les cavaliers ensuite il prir de long pieu d ebois (comme dans coeur vayant) et les levère pour bloquée la cavaleri.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 115 Date d'inscription : 28/01/2008

Après savoir fait délivrer des filet par les cavalier D'éron Imaragon semblait fou de rage les archer de la compagnie croyant encor le dragon piéger ressur un jet de flamme en plein visage 40 soldat tombère embrasser imaragon qui avait mal au muscle (ses un dragon il à une meilleru résistance) devait se réfigier dans un endroit il fondit dans les rang adversse et grimpa à la montagne il monta si haut que même les balist ne pouvait le toucher.

(bon la batail dans le rp dure depuis à peu près 8 heures toute les troupe son épuiser autant les dragon que les hommes elf. mais pas les uruks à cause qu,il ont beaucoup d'endurance si on continue la batail les soldat elf vont devoir dire qu,il faiblis autant que les soldat d'éron0

P'tit Nouveau Nombre de messages : 276 Age : 35 Date d'inscription : 23/11/2007

L’attaque éclaire de Carok fut d’une efficacité renversante.
Les soldats ne purent et se protéger des flèches et en même temps stopper la charge des Wargs.
La ligne de piquer avait céder au milieu, donnant lui maintenant à deux groupes qui s’était mis en cercle afin de se protéger de nouvelle charge des deux cotés de l’entré.
Les échanges de tires entre ouroukai, et les membres de la Compagnie s’intensifièrent, mais progressivement, l’ennemis prit pied sur les remparts à proximité de l’entré.

Entouré de sa garde personnel, Thirit tentait tant bien que mal de repousser l’assaut.
Dans l’état actuel des choses, il ne pouvait plus diriger toute son armée, mais ce n’était pas aussi dramatique qu’il le pensait, ses officiers étaient des vétérans et leur talent de meneur d’hommes et de stratège était à la hauteur.
La Compagnie en entière se souleva comme un seul homme, s’engageant à corps perdu dans la bataille. Ce fut donc l’effectif complet, soit environs 9000 soldats qui s’organisèrent.
La 4e division forma immédiatement une ligne défensive autour du bâtiment qui servait d’hôpital de campagne afin de protéger les blessés. Ceux qui s’occupaient des balistes se mirent au travail.
Les engins prévus pour détruire les dragons pouvaient tirer à l’horizontale, ils durent donc en tout hâte soulever l’imposante machine et la caler à l’aide de caisse de manière à la penchez suffisamment en avant pour faire feux.

Les 7 balistes restantes ouvrirent le feu et les doubles projectiles reliés par les câbles cloutés firent de gros ravages, fauchant plusieurs ouargs, creusent ainsi des sillons dans l’armée adverse qui s’était introduite dans la ville.
Sachant que ces machines seraient trop longues à recharger, la Divisions de cavalerie chargea immédiatement, s’engouffrant ainsi dans les brèches ouvertes dans l’armée ennemie. Leur charge fut brutale et efficace, mais une fois l’élan perdu, le combats était inégale pour ces cavaliers qui devient aussi bien prendre garde aux orcs qu’à leurs montures…
Ce fut alors à la division de défense d’intervenir. Uniquement composé de nains elle chargea dans la mêlé. Les imposantes haches de ceux si tuaient ou mettaient hors d’état de nuire un ouarg à chaque fois qu’elles s’abattaient.
Profitant de la confusion la 11e division, celle dont les talents aux combats n’égalaient que leur brutalité se joignit à la bataille, apportant ainsi le surnombre à la Compagnie.

Aux prix de lourdes pertes, les Mercenaires forcèrent leurs opposants à reculer vers la sortie, jouant sur leur surnombre et leur fraicheur.
En effet, la plus pare étaient garder en réserve depuis le début de la Bataille, n’ayant pas eut à subir d’assaut majeur depuis le début, Thirit avait choisit de garder plus des ¾ de ces effectifs en réserve.

Le Capitaine et sa division appuyés de la 2e eux se battaient comme des beaux diables sur les remparts essayant de reprendre le contrôle.

Repoussez-les ! La perte des remparts signifie notre mort à tous !
Battez-vous ! Battez-vous pour vos vies !

Encouragés par leur chef qui criait à pleins poumons, les Mercenaires redoublèrent d’ardeur face à leurs assaillants.
Acculés et en sous effectifs, les ouroukais furent forcés de se replier une nouvelle fois vers la forêt.
Mais la joie des Mercenaires n’éclata pas. Ils avaient payé chère cet assaut, et le moment n’était pas encore aux réjouissances.

Reformé la ligne de défense. Emmenez les blessés, achever tous ceux qui respirent encore.
Que toutes les divisions rejoignent les remparts et la porte.
Allez les gas plus personnes aux repos, tout le monde s’y met !

Le Capitaine descendit doucement du rempart.
Couvert de sang, qui d’ailleur était autant celui de ces assaillant que le siens attrapa un soigneur au passage.

Je veux que tu me faces rapidement un rapport de nos pertes !
Allez-vas !

Thirit s’adossa alors au mur et ce laissa doucement tomber afin de s’assoir.
Il était épuiser et blesser, la coupure à son épaule gauche saignait abondamment et ses côtes le faisait souffrir le martyr.
Attrapant sa gourde, il contempla le désastre. Les corps de ses soldats étaient mélangés à celui des orcs, des elfes et des Ouroukais. C’est une vision apocalyptique qui s’offrait à son regard.
A vue de nez, cet attaque direct venait de lui couter plus de 1500 hommes, ce qui lui en laissait à peine 6 500…
Il chercha du regard le corps du capitaine de la troupe d’assaillant. Son attaques était un model du genre, et s’il n’avait pas péris, même si il ne lui restait probablement pas assez de troupe pour tenter un nouvel assaut contre la cité, il y avait fort à parié qu’il causera de gros dommages aux troupes qui se battaient dans les bois…

Portant la gourde à sa bouche afin de soulager sa gorge sèche et pâteuse, Thirit commença à boire, mais soudain prit d’une quinte de toux, il recracha l’eau ainsi que du sang. Sa maladie ne l’arrangeait pas.
Prit d’une nouvelle quinte de toux, il se pencha en avant afin de ne pas tacher se tacher de plus de sang qu’il ne l’était déjà. Il cracha de nouveau du sang, et alors que son visage transcrivait la douleur qui l’étreignait, il siffla entre ses dents :

Non pas encore, et pas maintenant…

P'tit Nouveau Nombre de messages : 172 Date d'inscription : 12/01/2008

Après quelques temps encore, les derniers fantassins de Forlong s'écroulèrent et la charge des cavaliers fut arrêtée par les deux dragons et 50.000 flèches venant de derrière les orcs et 10.000 depuis les montagnes.
Un millier de cavaliers s'écroulèrent, trois fois moins que Glaurung ne l'aurait espéré. Ils avaient de trop bonnes armures et les flèches perdaient la moitié de leur efficacité. Toutefois, lorsque Glaurung vit Eron en difficulté, il cria à Ancalagon d'agir de concert avec lui et le dragon noir cracha son feu autour de Forlong dont les hommes alentours brûlèrent ou fuirent. Puis Glaurung s'étant frayé un passage au milieu des cavaliers et ayant tués bon nombre de cavaliers en passant arriva près des deux hommes et de derrière, il tua le cheval de Forlong, jetant celui-ci à terre et créant une très profonde entaille dans la jambe de celui-ci. Puis il s'approcha de son visage et alors que l'homme pensait sa fin totue proche, Glaurung lui souffla avec une haleine fétide dans l'oreille :

"Je t'aime bien homme. Tout dragon que je puisse être, je t'aime bien et je sais reconnaître les bons et braves ennemis lorsqu'ils se présentent à moi. Toi et les tiens vous êtes battus sans relâche avec vaillance, même lorsque vous étiez entourés de 6 fois plus d'ennemis et coupés de tout renfort. Je pourrais en cet instant de tuer mais vois-tu, je considère que la puissance que tu représentes ne doit pas être annihilée. Ce n'est pas ton combat ici et j'ai conscience qu'en te laissant repartir il y a de fortes chances pour que tu reviennes mais je préfère te laisser la vie sauve.
Glaurung l'écrasa, l'empêchant de s'extirper.
Je vais te laisser en vie car tu le mérites et que le jour n'est pas bon pour tuer ceux qui méritent la vie. Je n'ai rien contre les hommes. Ils sont braves et fidèles mais pas vaniteux comme ces elfes. Ils sont nombreux et puissants mais ne se montrent pas tous écrasant envers les autres.
Tu n'es plus capable de combattre et je t'en prie, va-t-en. Et surtout, ne te remet plus jamais sur mon chemin."

Puis Glaurung se retournant retraversa les lignes, tuant tout le monde sur son passage et semant le trouble dans les lignes des hommes. Puis deux autres volées de flèches suivirent et deux milles cavaliers s'écroulèrent.

Glaurung cria vers Glaurung "dépêche toi avant qu'il ne soit trop tard. Tu n'as pas déjà assez de 40.000 pertes dans ton armée ?".
Enfin, Glaurung menant Eron et les siens et tenant l'homme dans une patte permis à l'armée de travers celle des hommes par le flanc sans encombre puisque les chevaux refusaient d'avancer à la seule vue du dragon. Lorsque l'armée d'Eron fut revenue, elle se mêla aux 4000 Uruks, au 10.000 orcs et aux 50.000 archers et firent face aux 10.000 cavaliers et aux elfes étant encore du même nombre. Les catapultes des montagnes tirèrent et 6 rocs vinrent s'écraser sur les lignes de Thirit tandis que les 47 autres s'éparpillèrent autour, détruisant les bâtiments qui étaient là. Enfin, l'un des rocs s'étaient écrasés si près d'une des balistes que celle-ci fut renversée.
Ce fut Ancalagon dont la vue perçante était sans égale qui montant haut dans le ciel visa juste et d'une boule de feu détruisit celle-ci.

Ensuite, les 2 dragons encore en vie et qui protégeaient les catapultes furent vaincus après avoir tués une dizaine d'aigles, réduisant leur nombre à 15 et obligeant Ancalagon et Glaurung a monter dans les montagnes près des catapultes. Ancalagon aux prises avec deux aigles les vainquit et Glaurung usa de son feu pour en tuer autant. Les aigles n'étaient plus que 11 dont Thorondor, Gwaihir et Landroval.
Les archers humains criblèrent de flèches un autre aigle qui vint alors ...

//Au sujet des archers et des catapultes, passez nous d'abord sur le corps pour les assaillir et il vous faudrait éviter 10.000 flèches et 2 boules de feu plus nos griffes et nos crocs pour les atteindre//

P'tit Nouveau Nombre de messages : 35 Date d'inscription : 18/01/2008

Dans le ciel, Ancalagon usa de son feu pour rôtir deux aigles qui tentèrent de forcer le passage et puis refit tirer les catapultes dont les rocs s'écrasèrent une fois encore sur les hommes de Thirit, ce qui fut accompagné d'un roc bien visé d'Ancalagon sur une autre compagnie. Glaurung poursuivant la défense de la position, Ancalagon vint haut dans le ciel et piqua sur les cavaliers de Forlong, crachant une longue et ininterrompue flamme sur ceux-ci. L'effet fut immédiat, les chevaux se serrèrent et les 60.000 flèches qui vinrent s'abattre tuèrent 1156 cavaliers et leurs chevaux.
Lorsque de plus Ancalagon arracha de sa selle le capitaine des cavaliers et rejeta au beau milieu des hommes le cadavres déchiquetés et mutilé de celui-ci, les hommes reculèrent et devant leurs hésitations, d'autres flèches volèrent et les orcs et Uruk se ruèrent sur eux. Les javelins d'Eron lancèrent une autre volée de javelots qui eut un effet assez important et les derniers Uruks se ruant là dans la bataille avec les wargs tuèrent 5000 des cavaliers avant de tous mourir. Il restait moins de 5000 cavaliers à Forlong et les 10.000 arbalétriers Uruk, qui étaient les seuls de l'armée de Glaurung encore debout tirèrent leurs carreaux à bout portant, faisant un millier de morts. Lorsque les cavaliers voulurent reculer, Ancalagon les prit en étau et si Glaurung n'hurla pas au dragon Noir de les laisser survivre, bien qu'Ancalagon ne comprit pas pourquoi, ils serraient tous tombés en quelques minutes.
Il restait précisément 3850 cavaliers en selles et un millier de soldats ayant perdus leurs chevaux étaient achevés un peu partout. Ancalagon se plaça devant les hommes et sur l'ordre de Glaurung, prit Forlong que ses hommes, devenus fous et tremblotants, ne semblèrent pas avoir vu et faillirent l'écraser et amena celui-ci auprès de Glaurung et des catapultes.
Puis, le Noir Ancalagon se rua sur un autre aigle...

//Je vous ait demander d'accepter de pardonner le fait que Théoden ait prit mes troupes pour les utiliser contre ceux qui arrivaient. Il ne me reste pas d tout 5000 hommes dans ce cas mais 35 000. Ils étaient censés être en train de combattre le dragon Imaragon depuis le début et je ne sais pourquoi cela se fait qu'il aient passés de devant Fondcombe à charger avec les rohirrims --' sans que je n'ai rien fait, je me demande comment on a tué 50 000 cavaliers en une journée d'absence. (voir page précedante).
EDIT: Coimment se fait-il qu'on a tué plus des trois quarts de mes troupes alors que je n'ai pas pu me défendre? Non mais je commence vraiment à en avoir marre là.\\

Thorondor volait dans le ciel, perpétuant ses assauts repetés sur les orques. C'est alors qu'il vit les hommes de Forlong en détresse. Il piqua sur le sol en un battement d'ailes. Il fonça dans le tas, éparpillant avec ses serres le mur de bouclier. Evitant les lances et les flèches avec sa rapidité il remonta. Il repiqua vers le sol, mais cette fois sur Eron. Il fit tomber Eron sur le sol. Il attrapa deux hommes dans ses serres, remonta plus haut et les lâcha dans le vide. Aidés, de trois autres aigles, ils attrapèrent des numénoréens dans leur bec et les envoyèrent dans l'armée orque. L'aigle remonta vers le ciel. Il apella cette fois-ci une dizaine d'aigles. ils piquèrent sur les numénoréens noirs qui étaient déjà en déroute (je ne pense pas que tu reste quand tu te fais attaquer par 11 aigles) qui écrasèrent à eux tous une bonne centaine de guerriers. Ils remontèrent vers le ciel. Ils s'attaquèrent à un dragon, lui déchiquetant le poitrail. Deux tombèrent. Le dragon tomba de la colline et s'écrasa sur les ourouks-haïs qui avançaient vers Fondcombe. Les aigles remontèrent vers le ciel. Les derniers aigles piquèrent vers Ancalagon. Thorondor en tête, fit déchaîner les cieux. Des éclairs de foudre, dans la colère de la bête déchirèrent les forêts alentours; tuant que ce soit elfes, orques ou hommes. L'oiseau dans sa rapidité fit vaciller le dragon. Evitant des flammes, il repiqua vers son oeil. Il regarda les elfes qui tiraient des vagues de flèches sur les orques, tombants un par un sous des tirs incessants. Les elfes d'Elrond tiraient depuis les galeries, protégés par le roc. Thranduil découvrit le passage, aidé d'Elladan et ils descendirent vers le champ de bataille. Ils ressortirent. Des cris de douleurs, de joies et de rage resonaient dans la valée. De la foudre déchirait le sol, des vents tournoyaient, maudissant tout ce qui était maléfiques, des vents purs et transparents, n'emportant rien sur leur sillage. L'aigle avec ses serres sauta sur la têe du dragon, évitant sa morsure. Il enfonça ses serres dans ses yeux et sur son nez.

La bataille faisait rage. Théoden ralliait sans cesse ses hommes ,et a chaque fois ,ses hommes reprenait un peu plus de courage alors que nous avancions à travers les lignes ennemies. Ils nous demandait de nous rappeler des champs du Pelennor. Pas simple ,vu qu'Astaldo n'était pas présent au champs du pelennor. Enfin ,il comprennait le principe ,ne rien laisser à l'ennemi mais tout lui prend. Il avancait toujours et son épée fendait l'air. Son bras devenait plus lourd à chaque seconde et l'épée qui au debut de la bataille ne sembalit avoir que le poid d'une plume devenait aussi lourde que l'ancienne enclume de Garulf qu'il lui demandait de porter autrefois. Cependant ,la voix de Théoden agissait comme un revitalisant sur lui. A chaque fois qu'il l'entendait ,il reprenait de la force et sa lame s'abattait sur les casques ennemis. Astaldo s'avancait toujours dans les rangs énnemis jusqu'au point ou il se retrouva encerclé par des Orques. Ils tomba de son cheval et dut combattre à terre. Il n'en pouvait plus et dans l'urgence ,il appela ses hommes.

-Rohirrims !!!

Il continuait à combattre ,tant bien que mal.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 164 Date d'inscription : 17/03/2007

Les warg et les archer sur les rempart avait fit de gros dommage dans l'armée adverse, mais il furent repousser une seconde fois vers la foret, encore une autre bétise de la part des homme du bien car, ses se qui a aider Carok pour sa premiere attaquer, alors il regarda les hommes sur les rempart et il fit signe a ses hommes de le suivre, il laissa les 520 warg encore en vie au meme endroit et il fit venir ses hommes archer avec lui, une fois tout pret des rempart, grace la foret qui les cachait, Carok leva le bras et une voler de 1000 fleche partie sur les soldat des rempart, et il continuerent comme sa, puis les warg ainsi que Carok retournerent fair une nouvelle charge qui laissa les hommes pret de la porte en peur, alors il partirent a la course se cacher dans la cité, mais les warg les rattrapait et les mangait, puis Carok descandit encore de sa monture et la fit partir vers la foret et il remonta sur les rempart avec les archer et la il ne partirait pas temps que l'un des deux camp ne perde, les archer aidait beaucou Carok car comme sa il pouvais encore plus avancer vers l'ennemi, sans etre bombarder de fleche a tout moment, puis une fos pret de l'un des généraux de l'armée de Thirit, il commenca le combat et il lui attrappa le bras et il cria.

Voila se qui arrive a ceux qui se dresse devant l'Isengard.

Carok attendit que Thirit voit son généraux en mauvaise posture et il lui trancha la tete devant le syeux de leur chef Thirit, puis il laissa tomber le corps inerte au sol et continua le combat, ses archer tirait sur les hommes des remparts et sur les hommes dans la cité, les warg eux combattait les cavalier qui étais prit entre deux sorte d'attaquer, les warg et les fleche, puis Carok continua de tuer les hommes sur les rempart.

La route avait été longue, les soldats s'étaient bien reposés avan,t de prendre la route mais quelques uns étaient tout de même fatigués. Nous sommes arrivés lorsque Carok avait commencé son attaque, mes elfes ne se sont pas prononcés, attendant le meilleur moment pour apparaitre. Nous étions derrière les bois, à l'affut du moindre mouvement suspect ; une fois jugé bon, je m'avançais parmi mes soldats leur montrant une carte de la cité, des remparts et des alentours.

Voici, en faisant très attention à ce qu'on ne vous repère qu'au dernier moment, prenez vos hommes, partez des deux côtés de la ville en renfort, bloquez l'entrée après avoir laissé passer les archers dans la ville, qu'aucun orque et créature ennemie n'entre dans cette ville.
Vous, prenez les flans en vous divisant en deux, je veux le moins de pertes possible, le plus de stratégie, repoussez les troupes, repoussez les.

Les armées s'élancèrent, comme je l'avais ordonné, les ennemis parurent surpris lorsqu'une fois en place un cor sonna et les troupes apparurent immédiatement de tous côtés. J'entrais avec mes archers dans la ville recherchant mon capitaine, je crus voir en entrant Kir-Thelassis mais je préférais me concentrer d'abord sur la guerre qui se menait ici au lieu de m'interesser à mes vieilles connaissances. Je vis une organisation extrêmement bien tissée de la part des fameux mercenaires Gondoriens. Je vis un homme en train de régurgiter du sang, il était des mercenaires, je m'avançais vers lui,

Mercenaire ! Oh ! Mercenaire ! Dis moi quelle est la situation ?

Voyant qu'il crachait du sang et que sa figure en était éclaboussée, je mis ma main sur son dos. Une chaleur s'en dégagea,

Apportez moi ma trousse de soins, vite !

Je voulais beaucoup aider l'homme mais le temps pressait, je décidais donc après l'avoir laissé entre les mains de mes meilleurs guérrisseurs de passer à l'attaque. Je montais sur les remparts rapidement jetant tout de même un coup d'oeil en arrière. Je regardais comment so'rganisait la bataille, le camp adverse avait beaucoup de créatures magiques (dragons ) mais notre camp avait les aigles. Je me demandais surtout comment allait se prolonger cette bataille.
Ordonnant aux hommes devant la cité d'attaquer, ils partirent en avant, éclatant les rangs des orques.

Les aigles se détachèrent de leur cible en déroute, ils remontèrent vers le ciel, évitant les feux toujours incessants des dragons. Les aigles suivaient maintenant tous Thorondor, et penser que l'un d'eux mourrait était inconcevable près du seigneur des vents. L'aigle remonta vers le haut. Les ourouks-haïs s'attaquaient à Imladris. Quand la foudre frappa une dizaine d'entre eux à travers armures t épées, ils regardèrent vers le haut. Les aigles piquèrent vers le sol et écrasant les archers, à une vitesse si grande qu'ils évitèrent toute les flèches et qu'ils n'eurent aucunes blessures. L'aigle esquiva un des javelots lancés et écrasa quinze ourks, les fasaient voler en tout sens.. La bête sur le sol écrasait de son bec des orques. Les aigles remontèrent et écrasèrent les catapultes qui volèrent en éclats. Ils attrapèrent 11 ouargues et les jetèrent lus loin. La foudre frappait les ourouks-haïs, en tuant un grand nombre. Les aigles remontèrent vers les hauts des montagnes, hors du champ de bataille. Ils attrapèrent de gros rochers entre leurs serres et les lachèrent sur Ancalagon, pilloné depuis une très haute altitude, son feu était inutile. Même les elfes ne voyaient plus les aigles. Une dizaine de fois ils recommencèrent leur salves. Bientôt, ils les dirigèrent vers les orques qui attaquaient la cité. De lourds rochers tombaient de part et d'autres, mais jamais sur des alliés, tellement la précision et la vue des aigles étaient parfaites. Des salves de 11 rochers tombaient.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 172 Date d'inscription : 12/01/2008

//Euh en fait je me permet de te dire que tu as eu deux jours et que dans le jeu, 35.000 fantassins qui se prennent 50.000 flèches à la fois ça a vite fait de mourir ! Je pouvais pas attendre patiemment que tu te décides à écrire pour dire que tu me prenais à revers ! En plus tu as eu le temps largement je pense ! Je t'ai quand même sauvé ...//

Alors que les derniers aigles lancèrent des rocs, Glaurung sourit. Les aigles perdaient leur temps avec des rocs pour battra une dizaine d'Uruk au maximum par roc, Ancalagon et Glaurung intervinrent. Tandis que deux aigles arrachaient un roc, ils furent tués, l'un par les crocs, et l'autre par les flammes du dragon rampant et Ancalagon en tua deux lui aussi en vol, ce qui réduisait leur nombre à 5.
Ensuite, les orcs continuèrent d'assaillir les 4000 derniers hommes de Losarnach et deux volées de flèches suivies d'une charge de toutes les troupes présentent alors suffirent à faire tourner talons aux 2000 derniers hommes.
Ensuite, orcs et archers visèrent les 15.000 elfes de Celeborn.

Pendant ce temps, Glaurung vint près de Forlong et lui offrit le remède au poison qui s'infiltrait dans son corps à la suite de la blessure que le dragon lui avait donné. Enfin, il renvoya Forlong et celui-ci arriva sain et sauf à Fondcombe où il retrouva ses derniers soldats.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 35 Date d'inscription : 18/01/2008

Ancalagon le Noir décida que maintenant que les hommes de Forlong étaient vaincus, il était temps pour les Rohirrims de subir le même sort.
Les 10 rocs des catapultes s'abattirent encore sur les lignes de Thirit dont les hommes durent se disperser sous le pilonnage de leurs positions par les machines de guerre de l'Isenguard. La seconde cible des catapultes fut les hommes de Celeborn et 8 des dix rocs s'écrasèrent sur les elfes. Les 2 autre dévièrent et tuèrent des orcs. Les protestations et jurons orcs furent nombreux et les coupables décapités. Les 10.000 archers de montagnes décochèrent eux aussi leurs flèches et les 50.000 orcs firent de même. Tandis que les elfes étaient acculés et ne tiendraient même plus 15 minutes dans cette situation, devait au plus vite se retirer si ils ne voulaient pas se faire massacrer.

Lorsqu'Ancalagon eut une idée brillante, il fit appel à Glaurung. Les deux dragons commencèrent à creuser une large tranchée dans le sol et à en arracher, pierre après pierre des rocs pour les lancer en contre-bas sur les cavaliers. Dès que les cavalies purent se retirer, les dragons cessèrent et recommencèrent plus loin. Deux boules de feu furent lancées, l'une au milieu des hommes de Rohan et l'autre sur le maréchal qui secondait Théoden. Puis les deux dragons dévalèrent comme la foudre les rochers et vinrent se jeter au milieu des chevaux qui une fois encore perdaient la tête. Les crocs d'Ancalagon furent meurtriers et il tua une bonne cinquantaine d'hommes du Rohan alors que l'autre dragon faisait de même. Ancalagon et Glaurung étaient deux fléaux au milieu des chevaux et des hommes apeurés et les traits des 50.000 orcs s'abattirent sur les cavaliers de Théoden qui, bien moins amrés que les hommes de Losarnach, virent 2000 des leurs périrent. Acculés et poussés par deux fois plus d'ennemis, ils ne pouvaient charger, d'autant que les deux dragons coupaient leurs lignes en deux, laissant ceux de devant sans soutient.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 276 Age : 35 Date d'inscription : 23/11/2007

Alors que Thirit essayait tant bien que mal de calmer sa toux et que ses hommes soignaient les blessés, de nouveau les ouroukai revenaient à l’assaut.
Bien que les soldats de la Compagnie étaient assez nombreux pour repousser le nouvel a ssaut, la surprise de les voir de nouveau devant eux alors qu’ils pensaient les avoirs repousser pour de bon les fit céder rapidement.
Le problème était que la stratégie adverse était parfaite, la dispersion des Ouargs empêchaient les Mercenaires de faire jouer leur nombre…

Toujours adosé au mur, le capitaine assista impuissant à la mort de l’un de ses officiers et se jura intérieurement de faire payer à cet Ouroukai la mort de son ami.
Alors que tout espoir des les repoussés s’évanouissait, un cor elfique sonna, redonnant du courage aux soldats de la Compagnie Noire qui redoublèrent de persévérance.
Ce qui semblait être le chef de cette escouade elfique se présenta à lui, ne sachant vraiment que lui dire, le Capitaine balbutia pendant que sa douleur disparaissait sous la guérison d’Elenwë.

Pas très bonne j’en ai peur, mais soldats fatiguent au contraire de ces ouroukais … De plus leur chef est aussi puissant guerrier que bon stratège, il a dispersé ses troupes dans toute la vielle… Si nous voulons l’empêcher de nuire, c’est toute son armée qu’il faut détruire…

Alors qu’il s’apprêtait à la remercier, elle avait disparue le laissant au bon soin de deux de ses guérisseurs. Le Capitaine se dégagea les remerciant d »un signe de tête.
Prenant appuie sur le mur, il se leva tant bien que mal. Rassemblant ses dernières forces, il hurla ses ordres !

On se repli ! Protégez les bâtiments et les balistes !
Ne passer à l’attaque que pour épauler les elfes !
Pour la Gloire de la Compagnie Noire !

Ces Mercenaires hurlèrent et doucement un chant de guerre se fit entendre dans FondCombe. Les Mercenaires, le cœur gonflé de courage par les renforts elfiques et les paroles de leurs officiers, redoublèrent de bravoure et se regroupèrent.
Dans toutes les zones de la ville où une défense était possible, les Mercenaires se regroupèrent et formèrent un cordon défensif.
Les balistes ne servaient pas à grand-chose vue qu’elles n’étaient efficaces que sur des groupes de soldats.

Titubant parmi ses hommes, Thirit observait la situation.
Les renforts elfiques entrés en ville étaient nombreux, et les ouroukais en sous effectif et de beaucoup ! Il suffisait d’être patient, de tenir les bâtiments et de laisser les elfes se charger de faire le ménage…

Les ennemis se defendaient avec rage et argne. Celeborn sentait que ses hommes faiblissaient autant physiquement que moralement. Les orcs et autres monstres etais plus nombreux et plus resistant. Quand un de ses elfes vint lui demander de battre en retraite, le roi lui repondit:

"La peur et le courage ne font qu'un si vous avez peur le courage viendras pour sauver votre vie. Abandonner est aussi impensable que de tuer ses allies!"

puis s'adressant a tous ses soldats encore vivant:

"Elfes de Lothorien,nous devons nous battre meme si cela dois nous conduire a la mort car il vaut mieux mourir sous l'epee d'un ennemi et mourir en paix en se disant que nous avons fais se qui etais juste pour un soldats, que de mourir de veillesse ronger par la honte de ne pas s'etre battu jusqu'a sa derniere goute de sang. Maintenant c'est a vous de choisir mais sachez que vous representer la Lothlorien!"

Le soldat elfe fut mort de honte (au sens propre). Celeborn evita de justesse la hache d'un ennemis et profita d'un temps calme pour jeter un coup d'oeil autour de lui. Le spectacle n'etais pas beau a voir...la sol etais d'habitude vert d'herbe et multicolre de fleur etais desormais rouge sang.
La vegetation n'etais plus que des tas de cendres, les cadavres des deux camps jonchaient le sol pur de la cite de Fondcombe. Mais le plus desolant c'étais que dans ses cadavres la majorite etais des allies...
Celeborn sortit de sa contemplation par une fleche qui se planta dans la cuisse de son cheval qui s'ecroula sur le sol, mort...un orcs se jeta sur lui par derrière et Celeborn encore etourdi par cette chute brutal se prit un coup poignard dans le dos,une fleche tua l'ennemi mais il etais deja peut etre trop tard...
Le roi tomba comme une masse au sol, sa respiration etais siflante,il entendit des cris puis un galop, trois chevaliers elfes mirent pied a terre et ils installerent Celeborn sur la croupe d'un cheval ils se remirent en selle et prirent la direction de Fondcombe. Ils devaient sauver leurs roi...
En arrivant pres de la porte des Uruk hai leur bloquais le passage il etais au moins 40. Ils etaient perdus aucun archers ne pouvaient tirer ici et aucun allies se profilais a l'horizon. Se rememorant les paroles de leurs rois il se jeterent dans la masse d'ennemis...

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