Retour du roi de Gondolin

Gil galad rentra dans la ville suivit de sa garde, la route avait était très longs de nombreux de personnes le regarder bizarrement comme si il le connaissait pas, il regardait le château il y avait se gardes qui c' était mis tout autour de lui en voyant que tout les villageois s' était rassemblé il attendait que ses fille sortait du château ou qu' il ait le capitaine des armée qui sorte de la caserne.

Il croyais pas qu' il allait pas le reconnaître au bout de quelle que mois d' absence. Peut être que c' était son absence longtemps qui la fait oublié dans les mémoires . Lui essayais de trouver ses fille et sa bien aimé dans la foule mais il n' était pas dans la foule.

(Les personnages importants demandent 8 lignes de posts et Gil Galad fait parti de l'un d'entre eux)

Tyrion entendit parlait que quelqu'un etait revennu dans la citer.
il ordonna à ses 100 meilleur guerrier de se préparer de prendre leur équipement:
Aller elfe nous quitons la caserne,notre roi et peut-etre revennu,il tourna la tete et dit au guerrier en formation dans la caserne:L'entrainement et terminer pour aujourd'hui quitter la caserne allait voir vos proche et profitésant demain je vous veux tous là à 7heure du matin.

De ses mot il tourna talon pour allait chercher son équipement,les 100 guerrier etait deja près,et un de ses guerrier lui demande:se serait le retour de notre roi.
On dit que la guerre gronde à fondcombe,un méssager et venu nous en avertir et demander de l'aide,à votre avis capitaine le Seigneur nous y envoira?

Tyrion répondit:Nous alons le savoir aller en route!!

Il se dirgere vers la citer et rentrére dedans ,il apercu son seigneur eet Tyrion s'inclinat devant son roi.

Les villageoi regardère les 100 guerrier et Tyrion s'incliner et ne comprire pas.
Tyrion s'écria:
Notre roi bien aimer et de retour,ne le reconnaisser vous d'ont pas?

et de ses mot la foul s'aclama et aplaudissa devant leur roi.

Tyrion se releva et dit a son maitre:
Fondcombe à envoyer un méssager et demande de l'aide,que faisont nous.

Sa garde rebaissa leurs arme, Gil galad vut son capitaine et au soldat et au villageois il dit :

Relève vous, et pour Foncombe la guerre et terminé, désoler pour tout le monde.

Il s' adressa a sa garde il leur dit :

Vous pouvez aller a la caserne ou rentrer chez vous.
On partira demain matin a 7 heure du matin que les dix meilleurs soldat de ma garde soie prêt prêt a m' accompagner mais avant je veux revoir mes fille que j' ai pas vus depuis longtemps et que j' ai laisser sans nouvelle.

Il regarda la caserne ou il voulut savoir combien d' hommes on avait car il ne savait plus rien de Gondolin il se souvenais juste de quelle que truc pas très important.

On aurais besoin de quinze mille hommes prêt et armé demain matin qui se poste autour de Gondolin a la défense.

Il sortie vite une feuille et écrit sur cette lettre avec son écriture assez claire :

Citation :: Cher fille je vous laisse cet lettre pour vous prévenir que je vais devoir repartie pour Foncombe je reviendrais très vite a la cite. Si vous voulez avoir des nouvelle de moi je vais très bien et si vous voulez me voir partir je partirai demain matin a 7 heure, moi j' ai hâte de vous revoir, je vais essayer de rejoindre votre mère mais sinon j' ai hâte de revoir. A bientôt.

Gil galad

Des qu' il termina d' écrire sont message il plia la lettre et demanda a un soldat de donner se message a mes filles et sans le lire. Il était fier de son capitaine il était le seule a l' avoir reconnu. Il s' était fait acclamer par son peuple se qui le fit plaisir et qui pensa qu' il avait bien fait de reprendre la place de son père a sa mère.

Il voyais de la tristesse dans les yeux de ses gens donc il dit:

Mais avant on fête mon retour d' une journée car la j' en ai ras la chaussette de manger du pain et du pain au repas, je ses que ses bon mais faut pas en manger tout les jours et tout les repas en mangent rien d' autre .

Il disait sa en souriant il voyais bien que le moral était pas au plus bas mais s' en était pas loin.

IL se releva et dit à son seigneur:
La caserne et en trein de former des guerrier,nous avons 5 000 guerrier qui surveille l'est de Gondolin.
10 000 sont à la caserne,et si nous les rapelons tous nous devrions etre environt 17 000 guerrier.
Mais je peux allez demander à mon père de nous préter des guerrier.

Puis il finnire la soirée en faisant un grand banquer,Le lendemain il équipa 12 000 de ses guerrier et les amena chez le roi en lui disant:

[b]Mon seigneur 12 000 guerrier son à vos disposition,j'en garde 5 000 dans la citer,mais ne vous inquieter pas d'autre guerrier seront bientot près.
[b]

Puis de ses mot il placa des sentinnelle tout autour ordonna au autre 5 000 guerrier de rester à proximiter,quand à ses 100 meilleur guerrier il continuère d'entrainner à la caserne.

Puis Il partis pour le royaume de sons père

*flash back*
Ancalìmë écouta Cìrdan lui parler, et prendre congé d'elle. Elle le salua respectueusement, puis ressorti derrière lui. La reine passa plusieurs jours à Mithlond, à se promener sur les côtes rocheuses, à écouter les chants et les retenir. Elle prit alors congé de Cìrdan et le remercia chaleureusement. Ses armées levèrent le camp. La brume céleste qui avait recouvert les plaines disparut. Un dernier coup de cor sonna, tel une musique douce dans le lointain. Les deux monarques ne devraient pas se rencontrer de nouveau avant la chute de Sauron, ou peut-être si en y réfléchissant. Les armées à cheval prirent donc la route vers Gondolin. Joyeux étaient les Noldor et terribles ils étaient sur la bataille. Mais le plus grand art et l'amour qu'ils partageaient était sans nul doute voué à la musique, aux chants et aux anciens savoirs. Aucun ennemi ne se mettait devant le chemin de la terrible et puissante armée, tellement les envoyés des Valar étaient craints, même si leur pouvoir étaient moindre à leurs suzerains.
Même si une envie de meurtre aurait éprit un quelconque assaillant, il n'aurait pas vu grand chose dans la brume, et se sserait vite dissuadé de cela. Le bruit des sabots ne s'entendait pas, seulement ces quelques vers étaient fredonnés:
Aïanol sevevrinmar celesto,
Salomni elen quetar
Elenvestar silmarilion fredunë
Afelô celdani irdil fi
I ithil, anor vendë
Solon tami enneth dûn sertyë
Elentar findoluin, amandilion fredu
Tandis que l'armée poursuivait son chemin, la reine était pensive, en tête, en retrait ou à l'arrière, sur son cheval gris comme ses yeux. Un nouveau coup de corps se fit entendre, cependant audible depuis Gondolin. Quelque chose arrivait, on ne préparait pas les armes mais on les tenaient à portée.
*fin*
Les chevaux galopaient doucement dans les cols, entre des rochers coupants comme des rasoirs. Le ciel bleu projetait des lumières blanches, et l'on se crut de nouveau dans les anciens âges. Un sourire vint sur les lèvres de la reine puis passa. Les jours anciens étaient terminés, même si ils demeuraient d'eux une partie ici. Les portes s'ouvrirent, et le cor sonna plus fort cette fois, clair et hautain. Deux cent milles guerriers à cheval, certains d'ici mais la plupart venant de la mer entrèrent dans la cité. La reine se dirigea vers le centre de Gondolin, passant par les rues blanches, les escaliers innombrables... Bientôt, elle aperçut un palais au centre, blanc et gris. Elle fit trotter son cheval jusque là-bas. Ne voyant personne, elle remonta sur le mur. La vallée étaient entourée de ruisseaux, de rochers et de fleurs. Elle vit quelques troupes sortirent de la ville, et se diriger vers l'extérieur, vers Nargothrond.

Il avait bien mangé au banquet qu' ont avais organisé pour son retour, se la fessait depuis bien longtemps qu' il avait pas aussi bien mangé . Il le rattrapa juste avant qu' il passe la porte, il savait très bien qu' il reviendrais trop tard, pour pouvoir surveillé le royaume quand il partirai

On auras pas besoin de beaucoup de soldat, la reine reviendra avec ses soldat .

Il savait très bien qu' il ne doit pas demander des hommes au royaume voisin, il sont déjà assez de difficulté .Il commença a remettre ses affaire en place, quand il écouta un soldat crier

Une armée de deux cent mille hommes et dans la cité.

Il dit a Tyrion :

Je vais partirez nul pars la reine et de retour.

Il sortie il vut tous les soldat qui était encore a Gondolin se rassemblé, les archers bander leurs arc et les spadassin pointa leur arme sur les soldat arriver
Gil galad dit

Baissé vos arme, Ancalimë cela fait longtemps que je t' est pas vut a Gondolin et même autre pars.

Il fut si content de la voir qu' il laissa un sourire passé il pensait pas qu' elle rentrerai aussitôt, et lui demanda :

Tu vas bien? et surtout tu aurais pas des nouvelle de nos fille je les ait pas vue a mon arrivé hier et aujourd' hui non plus. A oui aussi tu aurais pas des nouvelle des autre royaume?

Il parla au soldat qui avait rentrer accoter:

Vous pouvez aller ou vous voulez dans Gondolin vous été de repos après un aussi longs voyages.

Le banquet fut finit le roi et la reine partir pour leur appartement.Tyrion s'agenoya devant son roi et sa reine et ordonna au guerrier que des demain matin il voulait tout les guerrier à la caserne à 10 heure du matin.

Puis il partis en direction de la caserne pour allait dormir,la brise du vent lui fleura la tete,il réfléchissat et dit à vois basse:
Avec 212 000 guerriers de Gondolin sa defence etait assurée,il pourrait meme surveiller les frontière pour etre avertit de l'aproche de l'ennemis.

Le lendemaint il se leva très tot et se balada dans la foret...

Des 10 heure il avait les 200 000 guerriers à la caserne prèt au service.

Il en prendré ses 100 guerrier pour patrouiller maintenant que gondolin etait bien renforcer...

Ancalìmë regarda le roi. I lui parla, et quand à elle répondit de sa voix profonde et douce:

- Si j'ai des nouvelles... Assurément. Fondcombe à été asiégée, un froid s'est jeté entre Mithlond et Tol Eressëa et le Mordor se fait de plus en plus inquisiteur. Non, je n'ai pas vu Cristalyne, ni Tari. Elles ont du aller en Lothlorien comme elles le désiraient. Je n'ai quand à moi pas non plus le temps de me reposer. J'ai fort à faire dans le sud. Tu devrais rester ici, à la garde des frontières.

Elle lui sourit et se détourna dans le crépuscule. La soleil rouge qui se reflétait sur sa peau, ses cheveux devenant fauve, ses yeux qui devinrent verts... Elle le laissa vaquer à ses occupations, lorsqu'elle croisa un capitaine, qui sortait de la cité. Elle lui dit d'un ton grave:

- Sortir ne vous servira pas. Ces frontières sont bien gardées, dormez léger.

Elle lui sourit, et se retourna vivement. Cinquante milliers d'elfes gardaient les montagnes, et aux cent mille qui étaient déjà ici, venaient s'aouter ceux venus. Dans la nuit, un aigle descendit des hauteurs, afin de porter un message. La reine le gratifia, et il s'envola, en direction du sud. Le lendemain matin, le roi ne revit pas la reine, et deux cent mille elfes étaient sortis de la cité encore bien garnie. La cité imprenable ne seraient pas attaquée tant que Sauron n'aura pas posé le pied sur le Beleriand!

Tyrion qui venait de croiser sa reine s'inclinna devant elle,et lui dit:
Bien ma reine,cela me soulage,les guerriers resteront à la caserne à votre disposition et à celle du roi.

de ses mot je vous souhaite une bonne fin de journer,reposer vous bien.

Il la saluat et repartit pour la caserne pour en premier temps:
-se reposer
-continuer l'entrainement des nouveau guerriers.

Ancalimë lui dit des nouvelle des royaume et de sa fille.

Citation :

Il était assez tôt dans la journée. Lui voulais être sur que sa ville et que ses fille sont en sécurité a Foncombe et pas a Gondolin ni a une autre ville , donc il alla a la caserne pour aller voir Tyrion il dit :

Tyrion tu peux nous préparer deux chevaux tu m' accompagneras au sud, si tu veux car si tu veux pas tu peux rester ici. Si tu m' accompagne je t' expliquerais ou on vas aller pendant le voyage vers le sud.

Il était en train de terminer de ranger ses épée elfique dans ses fourreau. Il attendait la réponse de sont capitaine ou de Tyrion.

Tyrion aquiessat et alla chercher ses chevaux a la caserne puis il sonna le corp des 100 meilleur guerriers et il leur dit:
bien,je par avec le roi,je veux que vous veiller sur les guerrier en formation et surveiller les frontière meme si elle son bien surveiller (50 000)les 100 000 qui son dans la citer doive etre pret à saisir les arme ,maitenant je vous dit adieux
de ses mot il prit deux chevaux et partit avec son roi...

Il fut content que Tyrion parti avec lui car il ne voulais pas partir seule et il savait très bien en lui qu' il n' aurais jamais dit non a son roi, donc il se la chacun son cheval et monta sur lui au bout d' un moments il voulais révéler sa destination alors il dit :

Tyrion, si tu est d'accord que je t' appelle par ton prénom, je vais te révéler notre destination , que je tes pas préciser, on vas partir pour le royaume du gondor a Minas Tirith , je voudrais bien aider le roi de Minas Tirith, bien que sa seras pas en soldat mais on sait jamais.

Il était en train de passer devant des maison où tout les villageois s' était rassemblé et était très triste de voir sa reine et ensuite voir son roi partir alors Gil galad dit

Ne soyer pas triste je reviendrais avec votre capitaine, vous êtes bien défendus, et j' ai affaire au sud très importante.

Il termina de passer les porte de la ville, ne voulant pas partir au calos car il savait que sa pourrait être dangereux et qu' ont les écouterai de loin il partie au pas.

Tyrion ne m' appelle pas par mon rang mais appelle moi Gil galad, sa éviteras de faire de mauvaise rencontre, tu pourras recommencer des qu' on arriveras a Minas Tirith, et au retour aussi tu m' appelleras par mon prenom jusqu' a notre arrivés a Gondolin, d'accord ?

Tyrion après avoir bien écoute dit :

D'accord je ferais selon votre volonté Gil galad, Et oui vous pouvez m' appeler par mon prénom cela me dérange vraiment pas , fait longtemps que j' ai pas écouter mon prénom sortie de quelle qu' un.

Il y avait du bruit dans les buisson de leur gauche chacun dégaina leur arme, Gil galad sortie ses épée, et lui sortie son arc, prêt a toute attaque. S' était qu' un brigand qui se fut tuer en une seule minute par la flèche de Tyrion qu' il avait tiré de son cheval.

Il faut faire plus attention, si on veut pas tomber sur une bande de brigand, ou sur des animaux sauvage de la foret.

Son compagnon était inquiet de voir un brigand d' aussi prêt de sa ville mais en regardant un peu mieux il était encore vivant Tyrion alla le voir et dit :

Que fait tu ici qui ta ordonner d' aller ici réponds.

Le brigand soufrant le martyr acoce de la flèche de Tyrion mais avait réussi a répondre :

Je suis ici pour vous empêcher de sortir de la ville et personne ma obliger dit aller, je suis la de mon grès, heurg.

Gil galad content d' avoir eu sa réponse il leva ses épée et lui coupa la tête d' un coup sec sans aucun remord ni retenanse dans son geste, sa tête alla rouler sur la route salissant le sol.

( c' est Tyrion lui même qui m' a demandé de répondre a sa place sur la partie absences )

La venue de se bandit ne plaisait pas à Tyrion car il voulait que Gondolin ne cour aucun risque,mais il repensa qu'il avait ordonner à ses guerrier de veiller,des demain toute les menace autour de gondolin serait éxpédier.

il murmura à Gil-Galad:

Ne vous inquiéter pas,des demain des millier de guerrier elfe suveilleront les alentours,se pendant on avait pas vut des bandit depuis des année,et leur présence et une insulte ou son passer les terre ou la nature et les elfe régner en paix,mmais cela va changer tout va devenir normal et prospert.

puis il se relevat en attendent la réaction de son Seigneur...

Son épée était remplie du sang du brigand qui gouté par terre, il écouta se que Tyrion dissait et il répondit :

Ces vrai que des brigand insulte nos belle forét comme les orc dont j' en ai tuer avant d' arrriver a gondolin. Oui j' esspere quetu as raison Tyrion et que sa vas redevenir comme avant .

Il récoutas du bruit mais la il essayait pas d' étre silencieux il croyais tout les deux que c' était une embusquade donc Tyrion resorti son arc, et Gil galad était prés a se battre, et la il vut des elfe il y en avait a peu prés mille qui courait pour les rattraper et la il dit :

Capitaine la forét est plein de brigan chaque escouade qui fait des patroulle dans la forét se sont battue au moin par une bande de brigan, on ne pouras pas tous les déloger mais on vas s' en débaraser de prés de la ville.

La il regarda le roi et le salua comme si c'était un simple soldat, il vut qu' il avait très bienécouter et fut contend de s' être fait écouter par ses soldat.

tyrion pris sons arc et partis pour la citer,plus précisément vers la caserne,et sonnat le corp des 100 meilleur guerriers;5 minute plus tard il etait tous la en tenus noir brumeux pour mieux se camoufler.

Il quitère Gondolin,et se dirigere vers le nord de la foret,puis il dit:

L'ennemis et proche,préparé vous à faire chanté vos arc.

Leur pas etait silencieux et vif comme le vent qui porte une feuille.

La devant eux se trouver un petit camp de bandit,il n'y en avait que un de garde et il fut abatus d'une fleche dans la tete,les autre rapliquaire pour vois se qui se passait et en un volée de fleche,tout redevint calme.

Il balayèrent tout le nord de la citer à plus de 2 km au loin,des que se fut accomplis il ordonnat à 15 000 guerriers de suvreiller la citer dans tout le perimètre.(c'est à dire 2km de la citer)

Les 100 etait les meilleurs guerriers de Gondolin et il eux que trop de difficulter à tuer des bande de brigand,quand au orque éfrayet nous les avont auxis sans difficulter.

5 jour plus tard,Gondolin etait de nouveau un royaume de tranquiliter et les foret etait à nouveau sure.
Car à présent tous les 2km autour de la citer 15 000 guerriers roder dans la foret.

Bien que se soit un nombre conséquent,Gon dolin disposer encor de beaucoup de troupe en réserve.

Après des nuit entière de combat,Tyrion et les 100 allèrent se reposer à la caserne.

Puis il allat voir son roi et dit:
[b]Mon Seigneur n'ayait plus de crainte ,Gondolin et maintenant calme:
se n'etait que des voleur qui se cacher,de toute facons notre citer et impossible à trouvé,mais vous le savait mon seigneur,en se moment meme ou nous parlons des milliers de guerrier suveille les frontières.[b]

Bientot je ménerais les guerriers plus loin pour surveiller encore plus loins.
Puis de ses mot il repartit à la caserne pour former des guerriers...

Il fut étonnner qu' il ai oublier leurs départ mais apparament Tyrion ne voulais pas partir donc lui partie seule, se sentant seule dans son longs voyage pour Minas Tirith, il écouta ses dernie mot qu' il écouterai peut être,

Citation :: Mon Seigneur n'ayait plus de crainte ,Gondolin et maintenant calme:
se n'etait que des voleur qui se cacher,de toute facons notre citer et impossible à trouvé,mais vous le savait mon seigneur,en se moment meme ou nous parlons des milliers de guerrier suveille les frontières

Il alla en direction du royaume du gondor seule sans escorte s' était pas la premiere fois qu' il ferai un voyage seule mais pas aussi longs, ne sachant pas se qui se passerai il alla au galop et atteind le bout de la foret au bout de 3 ou 4 heure de route au galop, appres il alla vers le nord vers le gondor. Maintenant il savait que la forét de gondolin et de sa forét était en securite avec les soldat et Tyrion restait a la ville.

P'tit Nouveau Nombre de messages : 18 Date d'inscription : 17/07/2008

un messager d'ethor arriva

votre majesté! Votre fils le prince Ethor à demander en maiage une femme elfe noir du coté du bien.Il esprère que vous accepterez et il demande l'autorisation de fêté son mariage ici même.
Il demande aussis autres chosequi est:
Comment se fait t-il que les gens me confonde avec un paysan! je suis prince et non paysan(métier a changer)Il est en ce moment au chute de Rauros je pense.

Ethor, ta fiche n'a pas été validée, de plus cela ne sers à rien d'upper des sujets qui date de plus de 4 mois.Donc tu n'as rien à faire ici.

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