Enfin nous arrivions à la forteresse, les portes s'ouvrirent et nous entrons. Mon coeur fut déchiré lorsque je vis les familles qui ne retrouvaient pas leurs hommes fondre en larme. Nous avions ramenez avec nous les objets appartenant aux soldats tombé au combats. Je me chargeais de rendre les biens de mes seconds tombé à Morgul.

Je vis dans les yeux de leurs familles que la haine et la douleur. Je devinais sans qu'ils le disent, leurs incompréhensions. Pourquoi avoir confié des hommes à une personne si jeune.

Lorsque tous les biens furent rendu, je monta sur les murs du gouffre et parla au peuple.

Je sais ce que vous dites tous. Pourquoi quelqu'un d'aussi jeune commande des troupes ? Pourquoi continurait on de le suivre, de lui obéïr? Le roi m'a fait confience, moi même j'ignore pourquoi. Tout comme vous j'ai perdue des proches et cela très jeune. Toute ma famille et mes amis ont été terassé par des orcs et voilà la raison de cette guerre. Les orcs nous prennent tous ce qui nous est cher sur cette terre. Par la stratégie, je souhaite minimiser les pertes à la guerre, voir qu'il n'y ai pas de perte.
Ce que je veus vous dire, c'est que devant les murs de Morgul, nous avons perdue des hommes, mais un bon nombre est encore en vie. Nous avons affronter les hommes du Nord, les mumakils et les orcs par millions et nous sommes encore là! Nous revenons victorieux! Et ce soir nous boirons à la mémoire des morts victorieux!
Nous nous battons tous pour notre survie et sachez tous ici, que je donnerai ma vie pour sauver n'importe lequel d'entre vous. Pour preuve, je suis en première ligne avec vous et non à l'arrière en sureté. C'est notre guerre et si il faut mourrir, nous mourons ensemble ou je mourais seul pour que vous viviez.
Quand à vous que ferez vous?

Le silence pesa sur le gouffre jusqu'au moment où toute les épées sortirent de leurs fourreau. Les hommes avancèrent vers moi. Je me demandais quel étair leur but, question qui trouva vite sa réponse. Devant moi les hommes se mirent à genoux et l'épée planter au sol.

Vous nous avez mainte fois sauver au combat. Nous avons vaincue notre peur des monstres et du nombre grace à vous et nous sommes vivant au près de nos familles. Vous vous en sommes reconnaissants et pour que le Rohan retrouve ces temps de bonheur, nous vous suivrons quelque soit la fin.

Merci mes frères d'armes. Allons nous reposer, ce soir nous faisons la nuit blanche.

Ouvrez les portes! S'écria une voie dans les murs.

Les portes s'ouvrirent et un homme approcha d'Aragas.

Le Seigneur Aldor vous attend dans la salle du trône. Vous pouvez mettre votre monture aux écuries.

Un peu plus tard, Aragas entra dans la salle du trône.

Soyez la bienvenue Aragas. Je ne vous attendais pas si tôt, mais vous arrivez à temps. Avez vous pris votre décision? Voulez vous devenir un commandant? Je crois déjà connaitre votre réponse. Je vous en pris, asseyez vous. Si vous avez besoin de vous restaurez n'hésitez pas à demander.

J'attendais la réponse et les questions d'aragas afin de commencer les épreuves que je lui avais préparé. Tout le monde ici agissais froidement envers elle. C'était la première épreuve.

Aragas fut ravie quand les portes du gouffre s'ouvrirent enfin. Elle rentra son cheval dans les écuries.
"Excuse moi, je suis attendue, je ne peut pas trop rester avec toi !!! " dit elle d'un air contrit à son cheval. Elle déposa un baiser sur les naseaux soyeux de sa monture, puis demanda au garde de la conduire à la salle où se trouvait Aldor.
Ce dernier semblait à la fois surpris et content de voir Aragas.
Soyez la bienvenue Aragas. Je ne vous attendais pas si tôt, mais vous arrivez à temps. Avez vous pris votre décision? Voulez vous devenir un commandant? Je crois déjà connaître votre réponse. Je vous en pris, asseyez vous. Si vous avez besoin de vous restaurez n'hésitez pas à demander.
Aragas sourit.
-Si je suis ici, c'est que la réponse est évidente, non?
La jeune fille semblait avoir perdue son arrogance qu'elle avait à Minas Tirith.
Sur son visage ce lisait de l'humilité.
-Bon, alors, on commence quand l'apprentissage? Pour la monte à cheval, ça va, je m'en sort. Le maniement de l'épée manque sûrement de style et de technique, et euh.........
La jeune fille ne savait pas trop quoi dire. Elle avait une attitude positive, qui montrait son envie d'apprendre.
Ces yeux se levèrent sur le commandant.
-Je pense que, si c'est possible, on devrait commencer au plus vite, les gens du Gouffre semble épuisés. Je me sens coupable d'être là, à attendre que ça se passe, et à réclamer à manger comme si j'avais le temps. Je n'ai pas un rang élevé dans la société du Rohan. La collation sera donc remise.... à plus tard? Il ne faut pas la mérité ici? ajouta-t-elle avec un sourire malicieux.
Aragas leva son regard sur Aldor. Dans ce regard on remarquait de la détermination, quelque chose d'humble.
Elle s'était levé, et s'était redressé. Dans son attitude il y avait une sorte de fierté d'être admise dans l'armée. Il était évident que cette jeune fille voulait aider son peuple en le protégeant.

Très bien! Nous allons donc commencé. Voici une épreuve qui ce déroulera tout au long de votre apprentissage. Votre premier défi sera de gagner la confience des hommes et je vous garantis que ce n'est pas une chose facile. Vous devrez y aller progressivement. Leur démontré vos capacité est un bon point pour les atteindres, mais il faut aussi leur montré votre personnalité et vous de connaitre la leur. L'essentiel est qu'ils ne vous lache pas au début d'une bataille.

Pour commencer, travaux pratiques, suivez moi.

Avec Aragas, nous sortions dans la cour. Un lieu où beaucoup de monde pouvais nous voir.

En garde Aragas!

Je sortis mon sabre et elle le sien. Le combat commença. Elle se défensais bien, parant mes attaques et enchainant avec les siennes. Mais il manquait quelque chose pour qu'elle soit réellement un danger. En 2 frappe, je la désarma.

Ce n'est pas la technique qui te manque. C'est bien, mais il te manque l'esprit du combat. Première chose utilise le terrain à ton avantage. Tu combatttra plus facilement d'en haut. Utilise les murs pour appuie et surprendre ton adversaire.

Elle attrapa son arme et le combat repris. Elle me coinça entre elle et le mur. Je lui fit la démonstration en prenant appuie sur le mur et sautant en salto au dessus de sa tête en parant le coup de sabre qu'elle me donna. La situation se trouva inverser.

Un dernier détail. Tu pense beaucoup trop, ce qui rend tes frappes prévisibles. Tu pense au frappe que tu va effectuer, quelles enchainements, le monde au tour, tu pense aussi à ton ennemi. NE PENSE PAS! Vide ton esprit et agit d'instint. Tu sera alors plus rapide, plus efficace et imprévisible. Essai. Désarme moi!

Je me mis en position et attandis ses attaques.

Si aragas ne s'était pas arrêter, j'aurai perdue mon bras. Mes conseils l'ont aidés à devenir plus rapide. C'était le but.

C'est très bien! Tu apprend vite.

Lorsque je regardais dans les yeux D'aragas, je voyais qu'elle était encore surprise de ce qu'elle venait de faire d'instinct.

Maintenant, il va te falloir associer ton équilibre à ta force et ta technique.

Nous nous rendions au terrain d'entrainement où s'exersait déjà les nouvelles troupes. Un cable d'acier suspendue entre deux poteaux constituait l'épreuve d'équilibre.

Nous allons tous deux monter sur le cable. Si tu tiens assez longtemps nous reprendrons notre duel.

Je monte sur le cable et Aragas fit de même. Elle avais du mal à tenir l'équilibre mais elle y parvenais quand même. Je sortie alors mon épée et me prépara à combattre. Aragas et moi combattions à nouveau jusqu'à ce qu'elle perde l'équilibre.

Rappel toi ce que je t'es dit. Vide ton esprit. Le cable n'existe pas. Quelque soit le terrain pour combattre, qu'importe ton adversaire, ton but est de survivre.

Je vais te montrer tous les ateliers d'entrainement et te donnés quelques conseils, après tu aura tout le temps de t'entrainer et sur n'importe qu'elle ateliers de ton choix. La seul condition est que tu dois tous les faires.

L'atelier suivant se trouve être le tire à l'arc. Je saisie un arc et vise la cible la plus éloigner. La flèche fini dans le centre.

Pour cette atelier, il est important que tu saches certaines choses. La première est la visé : tu dois prendre en compte le déplacement de la cible et prendre ton temps. Pour ce qui est de la vitesse de tire : Concentration=précision=vitesse ne perd pas ta cible des yeux et reste concentré.

L'atelier suivant concerne le combat à cheval.

Pour ce qui est du combat à cheval, entraine toi avec les mentors. N'hésite pas a faire des numéros de cirque pour les combats.

Je monte sur mon cheval et lui fit une démonstration. Un piquier tenta de me planter. Je saisie la selle a deux mains et sauta du cotés opposés au piquier tout en gardans la selle en main. Mes deux pieds explosèrent la tête du manequin situer à coté ce qui me redonna assez d'élan pour remonter sur mon cheval.

Je retourne vers Aragas.

Je te conseil d'improviser sur ce type d'exercice. Plus tu as d'attaque différente des une des autres, plus tu surprendra ton adversaire.

Le dernier exercice est la défense contre un cavalier. Cela te permettra non seulement de te défendre, mais tu pourra aussi connaitre tes points faible sur un cheval et faire en sorte de les éviter.

Je descendit de mon cheval et ordonna à un cavalier de me charger avec sa lance. Lorsque celle-ci fut à porter de main, je la saisie et utilise l'élan du cheval pour faire tombé son cavalier.

Maintenant il se fait tard, un garde va te guider à ta chambre et demain tu pourras t'entrainer. Si tu veus manger, boire, n'ésite pas à demandé en cuisine. Je te souhaite une bonne nuit.

Je parti alors me coucher.

Aragas prenait son entrainement très au sérieux. Elle passait la plus part de son temps sur les ateliers et ses pauses avec son cheval. Pour moi, elle devrait essayer de passer plus de temps avec ses hommes pour les fidéliser.

Elle n'était pas forcer de s'en faire des amis, moi même je n'es aucun ami dans mes soldats. Je voulais juste gagner leurs respect et leur confience, chose faite.

Aragas avait tout son temps, je décide de la laisser décidé du moment où elle devra parler avec les autres, la laisser géré sa vie.

Après plusieurs semaines, Aragas était enfin prête pour combattre. Elle avais su passionner ses soldats et eux même étaient pret pour combattre à ses cotés.

Je finissais de pofiné quelques détails. Mes cavaliers étaient enfin au complet et le gouffre fortifier plus qu'il ne le faut. Nous n'avions subit encore aucune attaque et je n'es toujours pas eux de nouvelles de l'extérieur. Si cela continue, le Rohan pourra alors combattre à la fois hors et dans son territoire.

J'avais envoyé un soldat faire chercher Aragas, lui transmettre l'ordre de me rejoindre lorsqu'elle se sentirais prête.

Ce matin là, Aragas se leva encore plus tôt que d'habitude. Voilà maintenant plusieurs semaines qu'elle s'entraînait durement au combat, à cheval et à pied. Elle se sentait enfin prête pour faire face aux immondices appelés orcs.
Aragas enfila rapidement sa tunique noire et son pantalon. Elle ouvrit la porte, et se trouva nez à nez avec un soldat.
IL se mit au garde à vous.
-Le seigneur Aldor vous demande, madame.
-Bien. Dite lui que je le rejoins dans quelques instants.
-A vos ordres.

Le soldat salua de nouveau Aragas et s'éloigna.
La nouvelle guerrière dévala les escaliers. Elle arriva dans la salle où dormait ses hommes. A peine eut elle franchît le pas de la porte qu'ils se levèrent tous en criant leur joie de la voir. Deux d'entre eux vinrent prendre Aragas et la portèrent jusque sur un tonneau. Aragas se hissa dessus et fit un geste pour demander le silence.

-Messieurs, il y a quelques semaines, le seigneur Aldor vous a confiés une jeune femme audacieuse, afin que vous lui appreniez l'art de la guerre. Et aujourd'hui, vous êtes sous les ordres de cette même femme! Je tiens à tous vous remerciez de m'avoir enseigner tout ce que vous pouviez me donner. Aldor m'as convoqué. Je m'en vais de ce pas le rejoindre. Si mon intuition est bonne, il est sûrement en train de préparer une stratégie afin de défendre au mieux nos terres et nos familles!

Les soldats se levèrent de nouveau et firent descendre Aragas de son tonneau sous les huées de joie. Aragas savait que chaque homme ici présent ne faiblirait devant aucune menace, quitte à donner sa vie. Elle leur lança un regard amical puis disparut derrière la porte.

Le couloir était vide. Ses pas résonnaient sur les dalles impeccable. Le coeur de la jeune femme battait si vite qu'elle ne le sentait plus battre. Dire qu'il y a quelques semaines, elle pensait en savoir assez pour être une guerrière. Décidément, Aragas avait bien besoin de mettre un peu de plomb dans sa cervelle. Mais voilà qui était fais.

Deux gardes se mirent au garde à vous quand Aragas arriva au bout du couloir. L'un deux entra dans la salle, afin d'annoncer la jeune rohirrim. La porte s'ouvrit et le garde s'effaça pour laisser passer son supérieur.

Aldor était près d'une table, avec plusieurs autres capitaines. Aragas se mit au garde à vous.
-Vous m'avez fais demander, seigneur Aldor?

En effet Aragas. Vos entraineurs mon parlé de votre fulgurante évolution. Tous sont très fière d'avoir entrainer une recrue telle que vous. J'ai remarqué que vous avez gagner la confience de vos troupes ainsi que celle du gouffre. J'ai eu vent de ce qui c'est passé à votre réveille. Sous ces commentaires, j'ai décidé de vous faire passer la dernière épreuve.

Je marqua une pause, voyant dans ces yeux la joie mais aussi la déception d'avoir encore une épreuve à passé après tous sont entrainement.

Cette épreuve,........................................... c'est moi!

Je sortie mon épée et attaqua d'entré de partie. Sous la surprise, elle recula et para la 2eme attaque. Tout en combattant, nous montions sur la table. et le combat poursuivit. Elle parvint à me faire descendre de celle-ci. Nous sortons et passons sur tout les stands tout en combattant. Nous arrivons enfin au cable tendue. L'heure de vérité est arrivé. Le premier qui tombe gagnera.

Eh bien Aldor, autrefois tu courrais après les filles mais pas de cette manière et non pas pour les éventrer. Tu as bien changé...

La tête de mon jeune ami valait bien tous les trésors du monde, il tomba de son fil et jura et pesta contre la fougue des nains. J'avais changé, certes mais je crus qu'il me reconnaitrait au premier coup d'oeil. Quand le garde m'annonça, Aldor tomba sur une chaise, terriblement surpris. Il y avait de quoi, j'avais disparus subitement et ma mort lui avait été annoncée.

Réox, le dieu forgeron protecteur des nains m'avait confié une mission et m'avait mis à l'épreuve. J'en étais sorti plus sage mais plus vieux, le son de ma forge au sein de la montagne résonnait encore dans ma tête.

J'attendais qu'Aldor reprenne ces esprits, la bouche ouverte, les yeux ronds, la nouvelle avait été un choc.

Je fus surpris du retour de mon nain favori. Le duel est racourci pour ces raisons. Je pris mon ami dans mes bras.

Tiens c'est drôle, j'arrive pas à faire le tour avec mes bras. T'a grossi mon ami.

J'esquive le coup de hache d'Egrïn.

Aragas, je vous présente le nain qui n'a pas besoin de chiantos pour envoyer de vanne. Mais aussi un compagnon de guerre hors du commun. Avec lui, c'est concours non stop. Orc, Bière, etc...
Je termine avec Aragas et on ira tous boire.

La dextérité et l'agilité d'Aragas m'avais convaincue, elle méritait son titre.

Aragas vous avez fait vos preuves. Je suis fière de pouvoir vous accordez votre titre de commandant du Rohan. Vous pouvez disposé de votre armure et équipement dès maintenant. Tout est pret pour vous.
A genoux. Aragas, jurez vous de défendre le Rohan contre tous ces ennemis à l'extérieur comme à l'intérieur ?

J'assistais à la cérémonie et avant qu'Aldor ne prenne la parole je lui expliquais que le beau temps et l'inactivité martial m'obligeais à faire une légère promenade...

Je vais au village le plus proche, ils auront surement de la bière et de quoi refaire mon inventaire, je manque de tout et de rien... J'irais également questionner les gens du coin, pour savoir ce que tu leur a fait subir durant mon absence.

Je lui dis cette dernière phrase à Aldor, un sourire au coin des lèvres.

Il prit la première chose qui lui tomba sous la main et me la jeta. J'esquivais aisément la boulette de papier, lui fis un petit signe de la main et sortis prestement avant que mon jeune ami n'ai le temps de saisir un autre projectile. Ayant juste le temps de fermer la porte, j'entendis un objet lourd la frapper. Remerciant Réorx de m'avoir éviter un tel choc, je pris mes affaires et sortis de la forteresse.

Aragas ouvrit des yeux ronds en voyant Aldor dégainé son épée. Elle reprit cependant rapidement ses esprits. Son épée bondit hors de son fourreau. Aragas ripostait avec fougue. Elle savait que l'issue de ce combat était décisive pour son avenir.
Aragas attaqua Aldor, le forçant à reculer. Mais il était tout de même le maitre, et il lui arrivait souvent de faire recul Aragas.
Soudain, Aldor chuta du câble. Aragas jeta un coup d'œil en bas. Un nain, assez rond, souriant. Surement un ami de son capitaine. Aragas sauta à terre, et s'inclina devant le nain quand Aldor fit les présentations.
-Enchantée, maître nain qui n'as besoin de rien! dit elle en souriant.
Aragas rangea son épée, et se tint un peu en retrait.
Le nain sortit en courant, tandis qu'Aldor lui jetait toutes sortes de choses. Le rohirrim se retourna vers sa protégé. Il demanda à Aragas de se mettre à genoux. Cette dernière s'exécuta rapidement.
-Je jure obéissance au roi du Rohan. Je jure défendre le Rohan et ses alliés jusqu'à ma mort !
Aragas resta encore un moment à genoux. Aldor la fit se relever, et lui sourit. Le visage de la jeune file s'illumina. Elle sauta au cou d'Aldor.
-Merci beaucoup de m'avoir permis de devenir commandant! Merci!

La jeune femme sortit en courant. Elle courut à la caserne, où se tenait ses hommes. Quand elle entra, tous les hommes se levèrent. En voyant le visage radieux de leur nouvelle commandante, ils crièrent et la prirent dans leur bras. Elle avait réussit. Aragas savait qu'elle avait gagné le respect de tous ces hommes là.

J'étais plus que ravit de la voir heureuse. Elle a travaillé dur pour en arrivé là. Ces hommes étaient heureux, enfin, le Rohan avait un protecteur de plus. L'armée s'agrandit.

Bientôt nous pourrons aller voyager dans le Rohan à la recherche de créature damnés.

Après trois jours un garde m'appela pour m'annoncé le retour d'Egrin avec une monture spécial. lorsque je le rejoigna, ma surprise fut immense.

Aragas revenait de la salle du trône, où elle avait émis le souhait de s'entretenir avec le roi. Mais aucune réponse ne lui avait été donné.

Aragas avait revêtu ses habits normaux, car elle comptait faire un petite balade à cheval, et elle souhaité ne pas partir seule. Elle se dirigea donc vers la salle d'entraînement, afin de trouvé une personne avec qui se promenait.
Aragas se mit à chercher Aldor: peut être voudrait-il l'accompagnait?

Aldor était en compagnie d'Egrin, qui se tenait fièrement sur une....chose....au poil rude.......qui ressemblait drôlement à un sanglier géant. Aragas hocha la tête, d'un air de dire: "Ils sont tous fous ici!".
Aragas s'avança vers le rohirrim et le nain.
-Sympa ta monture. Plutôt originale même.... dit elle d'un air perplexe à Egrin.

Je regardais la jeune femme droit dans les yeux. Son air perplexe ne serait pas le dernier que je verais, en compagnie de Némésis.

Plutôt originale certes mais terriblement efficace.... Maintenant que Némésis est habitué au poids de l'armure et de mon poids en armure, c'est une vraie machine de guerre.

Sur ma selle, j'avais installé deux baudriers, avec 3 haches de lancers dans chacuns des deux. Avec l'armure en plaque le long de ses flancs, la plaque frontale protégeant son cerveau et les piques aux bouts de ses défenses, Némésis était redoutable au corps à corps comme à distance.

Avouez qu'un poney ne me sera pas d'une grande aide pendant les combats, et que ma monture et moi nous nous ressemblons plus qu'un rohirim et son cheval...

Après une petite chevauché, je rentre enfin au gouffre. Aragas discutait avec Egrïn.

Alors l'ami, tu as fini l'armure de Némésis? Tu vas pouvoir t'amusé un peu avec lui. J'ai repéré un petit camp de gobelins sauvages pret de l'Isen. J'offre un tonneau de bière à celui qui en tura le plus. Tu peus participé au concour Aragas si tu le souhaite.

Qui sera du concour ?

J'avais une soif de sang imposante. Je sentai que j'allais faire un massacre.

Aragas écouta avec un demi sourire les aroles de Egrin. C'était vrai que le nain et sa monture se ressemblaient. Aragas les regardaient tous deux, un sourire accrochés aux lèvres.
Elle leva les yeux, et croisa le regard d'Aldor, malicieux, qui semblait vouloir aller se battre un peu. Aragas ne se fit pas dire deux fois la même phrase. Elle courut chercher sa monture, sauta dessus en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, et rejoignit au petit trot Aldor et Egrin.

-Bien sûr que j'en suis! leur annonça-t-elle avec un sourire malicieux.

La jeune fille sentit le corps de son cheval prêt à bondir. Elle le tint fermement entre ses jambes. La bête s'apaisa un peu, mais il ne lui fallait pas beaucoup pour bondir. Il mâchait son mors vigoureusement, tandis que sa cavalière attendait le départ.

Et moi j'ai soif tout court, un petit tonneau ne me fera pas de mal, allons mauvaise troupe, à trois nous serons déjà bien trop pour des malheureux gobelins.

Je montais sur ma monture, ajustais ma position et mes baudriers. Némésis paraissait paisible à coté des montures d'Aldor et d'Aragas, ces derniers rongeant leur frein également.

Nous sommes d'accord le gagnant se fait payer son tonneau... je rectifie pardon, vous me payerez mon tonneau.

Le sourire au lèvre, je partis en trombe alors qu'Aldor fulminait.

Je regardais mes deux compagnons. Il me fallais sortir le grand jeu si je voulais gagner.

Alors à cheval et préparer vos pièces!

Je prend ma monture et chevauche en direction du camp gobelin avec les autres derrière moi. Le camp arriva dans notre champ de vision. Les gobelins étaient hors de leur troues.

Je me tourne vers Aragas.

Les dames d'abords.

Aragas ne se fit pas prié d'avantage et fonça. Avec Egrin nous la suivions de pret.

Les gobelins nous virent arriver de loin, ils nous entendaient surtout. Une des créatures qui semblaient être le chef s'avança et à ma vue ricana. Dans la langue gobeline, il me désigna moi et Némésis et se teint les côtes, ce fut la dernière erreurs qu'il commit dans sa misérable vie. Ma hache en acier lui arracha un dernier cri puis un soupir. Il s'effondra, sans vie. Les autres ne rigolaient plus, et une haine se lisait dans leurs yeux. Ma monture et moi-même ne les faisaient plus autant rire. Toutes mes haches lancées, j'entrais dans la bataille suivis par Aldor et Aragas. Comme je l'avais dis, Némésis était redoutable au corps à corps.

Et de 8 Aldor !!!!

Disant cela je vis un gobelin voler par dessus le champs de bataille, ma monture s'occupait d'un groupe de gobelins.

Aragas lança son cheval au galop vers le camps. Elle tua d'un geste rapide et précis les deux sentinelles. Un troisième gobelin vint se jeter sous sa lame.

-Tant pis pour toi mon pote! Note que tu viens de te jeter tout seul sous ma lame....je n'ai fais que finir ce que tu as commencé! dit tout haut la jeune fille, le sourire au lèvres.
Le sol se mit à trembler: Egrin et Aldor venait de lancer leur monture au galop. Aragas vint à leur rencontre, et re-rentra dans le camps à leur coté. De toute évidence, Egrin défiait Aldor.
Aragas ne s'en soucia pas, et fonça ver u n tas de gobelins qui pointaient peureusement leur lance sur la cavalière.
"Remarque," pensa la jeune gradé, "ils n'auront plus jamais peur!!"
Soudain, un gobelin un peu plus robuste que que autres fonça en hurlant sur Aragas. Son cheval fit face à l'adversaire, et se cabra. D'un coup de sabot, il fendit le crâne de son ennemi.

-Ah.....bon. D'accord! La cavalière semblait...perplexe quand au comportement de sa monture.
Elle donna encore quelques coups d'épée, puis rejoignit ses supérieurs.

-Re. Z'allez bien?

Cette question fut fatal à Aragas. Un gobelin, cachait sous des cadavres, se leva en hâte et réussit à planter sa dague dans la cuisse d'Aragas. Cette dernière leva son épée et l'abattit brutalement sur le cou de son attaquant.

"Saleté! Ça fais mal!" siffla-t-elle en arrachant la dague. Elle déchira un bout de sa chemise et fit un bandage serré autour de sa blessure.