Nom: Saresh Hidden
Race: Dunedain (Il souffre de Lycanthopie)
Peuple: Gondor
Age: 76 ans
Sexe: Masculin
Fils/Fille de: Lumiana Nakistar et de Rothgar Hidden
Caractéristiques morales: Il à acquit une grande sagesse comme la plupart des Dunedains. Malheureusement, il est très impulsif et prompt à la colère. Économe de parole, il ne vaincra jamais un ennemi par les mots, mais avec la lame de son épée. Il n'est pas un érudit, mais est rusé par conséquent dangereux. Il est loyal envers le Gondor, voilà pourquoi les nuits de pleines une, il va au coeur de la forêt et généralement laisse la bête en lui se gorgé du sang des animaux des forêts environnantes de l'Anorien.
Caractéristiques physiques: Il a des cheveux longs châtains toujours en bataille qui semblent capter toute la lueur du soleil, des yeux bruns, qui sont toujours à l'affût. Une musculature bien normal, mais qui cache une force de titan. Un commencement de barbe sur son visage de jeune adulte, bien qu'il à 76 ans. Il est d'une beauté bestiale, faisait tourner les têtes des filles dans les villages, vite ramené à la raison par leurs pères qui leurs disaient quelles dangers apportaient les rôdeurs dans son genre. Des traits fins et mystérieux, ses mains sont cornés puisqu'il passa sa vie à croiser le fer avec des Orques. Sous sa forme hybride, il est un énorme loup brun bipède à la musculature imprésionnate, aux yeux jaunes luisant, des cros tranchant et des griffes courbes prête à entailler la chaire des imprudents.
Titre: Dunedain errant, toujours aux services du Gondor
Amoureux: Il repousse ce genre d'amour, sa lycanthopie mettrait en danger n'importe quelle femme.
Pays: Anor, en pleine forêt
Armes: Épée longue et épée courte, arc long, une armure de peau et de fourrure rudimentaire, dagues de jets et finalement une hachette qu'il cache dans son dos.
Histoire:
Saresh Hidden est né pendant une nuit de pleine lune en plein hiver. C’était une nuit enneigée mais le ciel était presque sans nuages et les étoiles brillaient bien. De plus, l’éclat de la lune était reflété par la neige déposée en un magnifique tapis blanc pur et sans aucune trace. Les derniers flocons qui descendaient silencieusement du ciel dégagé tombèrent sur le toit d’une petite chaumière un peu en ruine qui était isolée en pleine campagne.
Soudain, des hurlements déchirèrent le silence de la nuit troublé seulement de temps en temps par les hululements d’une chouette ou autre rapace nocturne de sortie en cette belle nuit. Puis un autre hurlement se fit entendre et le bruit d’un meuble qui tombe au sol et qui est coupé à coups de hache. Dans la maison, une femme était allongée sur un lit et une autre femme était en train de mettre des planches dans une cheminée de taille moyenne afin de raviver le feu. Puis elle attrapa un baquet de bois et prit une louche pour prendre de l’eau dans le chaudron qui pendait dans l’âtre. Elle remplit la baquet de bois et prit un linge qu’elle trempa dedans puis s’approcha de la jeune femme allongée. Pendant prêt de deux heures, la femme couchée hurla et la femme à côté lui passait le linge humide sur le front et l’aidait à sortir quelque chose. Puis, elle finit par tirer un enfant et coupa le cordon ombilical. Puis elle se tourna vers la mère pour lui tendre son enfant et remarqua que celle-ci était droite, inanimée et elle comprit qu’elle venait de mourir. La jeune femme désormais seule attendit toute le reste de la nuit puis au petit matin quitta la chaumière et alla vers la forêt la plus proche et au bout de plusieurs heures de marche, elle embrassa le nouveau né sur le front, l’enveloppa bien dans ses linges et couvertures puis déposa l’enfant au pied d’un arbre, priant ses dieux que la neige ne se remette pas à tomber et qu’aucun animal ne trouve l’enfant même si elle savait que son geste condamnait cet enfant.
Toute la journée durant, l’enfant resta sous cet arbre et ne bougea pas, ni ne pleura. Une nouvelle nuit tomba et l’enfant resta seul, dans ses couvertures sans manger ni boire mais il était extrêmement calme. Le pleine lune montra de nouveau sa face argentée et éclaira le visage du bébé endormi. Une louve passait par là, ses pas feutrés ne laissait que de fine trace sur la neige. Lorsqu'elle vut le tat de couverture, elle n'eut aucune intention de manger le bambin. Elle prit dans sa gueule deux extrémités de couverture et le conduisit dans son "antre". Elle l'alaita devant plusieurs mois. L'enfant Dunedain n'apprit pas le langage des hommes, mes les grognements des loups. Le jeune enfant quitta la louve à 12 ans. Habilé des animaux qu'il tuait. Son père était un lycanthope qui lui avait transmit les gènes et avait quitté sa mère sachant qu'il la turait à la prochaine pleine lune, l'enfant ne le su jamais. Saresh grandit dans le forêt, devint ami avec une groupe de Dunedain qui lui apportait vivre, lui apprenait à parler et à combattre. Âgé de 17 ans, le jeune Dunedain était plus intelligent que la plupart des hommes. Il voyaga partout avec le groupe de Dunedain. Jusqu'à les abandonnés pour retourner à la solitude.
Il fonda pour aider le Gondon, son nouveau pays d'accueil la compagnie des Licans, petit groupe de rôdeur qui patrouillait partout pour empêcher les Orques d'envahir le Gondor. Les nuits de pleines lunes lui et ses hommes qui souffrait de lycanthopie allaient en forêt se livrer à la barbarerie de leurs esprits bestiales, la transformation toujours douloureuse les handicapaient pendant quelques jours puis il reprenait leurs activités. (PRÉCÉDENT DE RP) Il combattu à la bataille de Minas-Thirit, il fut capturé par Idrahil qui enferma Saresh jusqu'à son évasion, il eut de nombreuse confrontation avec des Nazguls et de nombreuses aventure. Bannit des villes elfiques pour avoir menaçé une reine... ect...
La suite en rp.
Expérience: Parler aux loups, se battre, soigner, chasser, faire des pièges, ect.
Camp: Bien! Sauf les nuits de pleines lunes
Personnes que votre personnage connait: Targon, Idrahil
Comment vous avez connu le forum: Vieux membre!
Niveau de RP: 8.5/10
Avez-vous lu les règlements? *Silence* Il n'y a aucun doute à avoir sur le fait que je les ai lu ou non, car ce n'est pas dans ma nature de ne pas respecter les règles.